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Coronavirus

Le Conseil fédéral dévoile ses nouvelles mesures

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(Alain Berset, Chef du Département fédéral de l'intérieur. ©KEYSTONE/PETER KLAUNZER)
Le point presse du Conseil fédéral du 29 avril 2020 à 14h45 avec Simonetta Sommaruga, Alain Berset et Guy Parmelin (RTS info)

Les déclarations du Conseil fédéral en direct

Covid-19 : Le Conseil fédéral détaille son plan de déconfinement. Des précisions sur la réouverture des écoles, des clarifications pour les transports, la restauration, les frontières ou l'aide à l'aviation sont notamment attendues.

Gepostet von RTSinfo am Mittwoch, 29. April 2020

Le point presse du Conseil fédéral du 29 avril 2020 à 16h15 avec Simonetta Sommaruga, Karin Keller-Sutter et Viola Amherd (RTS info)

Les déclarations du Conseil fédéral en direct

Covid-19 : Le Conseil fédéral détaille son plan de déconfinement. Des précisions sur la réouverture des écoles, des clarifications pour les transports, la restauration, les frontières ou l'aide à l'aviation sont notamment attendues.

Gepostet von RTSinfo am Mittwoch, 29. April 2020


Restaurants, musées et bibliothèques pourront rouvrir dès le 11 mai. Les entraînements sportifs seront autorisés sous condition. Le Conseil fédéral a accéléré mercredi la levée des mesures contre la propagation du coronavirus.

Il y a deux semaines, seuls les magasins, les marchés et l'école obligatoire devaient ouvrir à cette date. Depuis, la situation s'est améliorée. Le nombre de nouvelles infections ralentit et les mesures mises en place déploient leurs effets, a expliqué la présidente de la Confédération Simonetta Sommaruga devant la presse.

Mais la vie ne peut pas reprendre son cours comme avant, a-t-elle ajouté. "Nous devons apprendre à vivre avec le virus". Les assouplissements s'accompagneront de plans de protection. Les règles de distance et d'hygiène devront être respectées et ceux qui le peuvent travailler encore à la maison.

Tables de quatre

A partir du lundi 11 mai, les restaurants pourront accueillir leurs clients à condition que chaque table ne compte que quatre personnes ou des parents avec leurs enfants. Les clients devront tous être assis et les tables espacées de deux mètres ou isolées avec un élément de séparation.

La responsabilité des restaurants et établissements qui reprendront leur activité est grande et les clients devront observer les nouvelles règles, a prévenu le ministre de la santé Alain Berset. D'autres mesures pour la restauration tomberont le 27 mai.

Les sportifs pourront reprendre leurs entraînements en groupes de cinq personnes au plus. Les musées, les bibliothèques et les archives seront accessibles au public.

Comme pour les restaurants, le Conseil fédéral avait dans un premier temps prévu leur réouverture pour le 8 juin seulement. Les flux peuvent y être contrôlés facilement, a relevé Alain Berset. Les zoos et les jardins botaniques resteront en revanche fermés jusque là.

Les transports publics circuleront à nouveau selon l’horaire normal, mais le port du masque n'y sera pas obligatoire. Il ne sera recommandé que lors de fort afflux de voyageurs. Une rencontre entre le Conseil fédéral et les milieux concernés est prévue jeudi pour discuter d'un concept, a indiqué Simonetta Sommaruga.

Pas de grands festivals cet été

Les grandes manifestations de plus de 1000 personnes seront interdites jusqu'à la fin du mois d'août. Cette échéance a été choisie afin de garantir une certaine coordination avec les pays voisins et d'offrir une certaine sécurité de planifications aux organisateurs.

Des centaines de manifestations sont concernées, le nombre est impressionnant, a indiqué Alain Berset. Le Conseil fédéral réévaluera la situation avant les vacances d’été en tenant compte des mesures prises dans les autres pays. Le 27 mai, il décidera également à quelle date les manifestations de moins de 1000 personnes seront à nouveau autorisées.

Le régime strict est lié à un risque de contamination beaucoup plus important lors de grandes manifestations. Il n’est pas possible de remonter la chaîne de contamination et les mesures d’hygiène et de distance ne peuvent généralement pas être respectées.

Nouvelles décisions le 27 mai

Lors de sa séance du 27 mai, le Conseil fédéral se prononcera aussi sur l'interdiction des rassemblements de plus de cinq personnes. Il faudra attendre cette date pour connaître le sort des cours dans les gymnases et les hautes écoles ainsi que les institutions culturelles, les installations sportives, les remontées mécaniques et les offices religieux.

Le gouvernement envisage en outre la possibilité de mettre fin à la situation extraordinaire.

16h15 - Les entrées en Suisse seront assouplies dès le 11 mai

Les restrictions d'entrée sur le territoire suisse seront progressivement assouplies à partir du 11 mai, si la situation épidémiologique le permet. Mais le Conseil fédéral maintient les contrôles aux frontières, a-t-il décidé mercredi.

Les demandes déposées avant le 25 mars par les travailleurs en provenance des Etats membres de l'UE ou de l'AELE seront traitées dès le 11 mai. Le regroupement familial sera à nouveau possible pour les membres de la famille de citoyens suisses. Il le sera également pour les membres de la famille de ressortissants d’États membres de l’UE ou de l’AELE qui vivent en Suisse.

15h50 - La première conférence de presse est terminée.

A 16h15, une seconde conférence de presse est prévue avec la présence des deux conseillère fédérales Karin Keller-Sutter et Viola Amherd.

15h20 - Le Conseil fédéral veut soutenir les médias

Les médias sont essentiels pour la démocratie. Mais ils sont mis à mal par la diminution des recettes publicitaires. Le Parlement pourra se prononcer sur le train de mesures prévu par le Conseil fédéral pour les soutenir et leur offrir des conditions attractives.

Suppression de postes, fusions de rédaction, recul de la diversité médiatique. Le Conseil fédéral souhaite y répondre par trois mesures, indique-t-il mercredi.

Il veut étendre l'aide indirecte à la presse à tous les quotidiens et hebdomadaires en abonnement. Le plafonnement du tirage à 40'000 exemplaires est supprimé. Les titres nationaux pourront dorénavant aussi bénéficier d'un soutien. Un soutien est également accordé aux journaux qui font partie d'un groupe dont le tirage global moyen est supérieur à 100'000 exemplaires par édition.

Grâce à ces deux mesures, près de 35 millions d'exemplaires de journaux supplémentaires par année profiteront de l'aide indirecte à la presse.

15h10 - Les manifestations de plus de 1000 personnes sont interdites en Suisse jusqu'à la fin du mois d'août

Les grandes manifestations de plus de 1000 personnes seront interdites jusqu'à la fin du mois d'août. Cette échéance a été choisie afin de garantir une certaine coordination avec les pays voisins et d'offrir une certaine sécurité de planifications aux organisateurs.

Des centaines de manifestations sont concernées, le nombre est impressionnant, a relevé le ministre de la santé Alain Berset. Le Conseil fédéral réévaluera la situation avant les vacances d’été en tenant compte des mesures prises dans les autres pays, a précisé mercredi à la presse le ministre de la santé Alain Berset.

14h55 - Près de 1,9 milliard pour le secteur aérien

Les compagnies Swiss et Edelweiss devraient pouvoir surmonter leurs problèmes de liquidités grâce à des garanties fédérales. Le Conseil fédéral a décidé mercredi de demander au Parlement près de 1,9 milliard de francs pour soutenir l'ensemble du secteur aérien.

Swiss et Edelweiss devraient avoir besoin d'environ 1,5 milliard de francs de liquidité jusqu’à la fin de l’année. Elles seront mises à à disposition par l’intermédiaire d’un consortium de banques, par analogie avec les crédits Covid-19+. Au total, 85% des fonds utilisés, mais au maximum 1,275 milliard de francs, seront garantis par la Confédération.

14h50 - Les examens de maturité sont laissés à l'appréciation des cantons

Les cantons sont autorisés à ne pas organiser d'examens écrits de maturité cette année. Le Conseil fédéral leur laisse le choix. Plusieurs avaient demandé une annulation afin de tenir compte des conditions imposées par le coronavirus.

Le Conseil fédéral s'est rangé mercredi à l'avis de la Conférence des directeurs cantonaux de l'instruction publique (CDIP). Le gouvernement estime que cette solution permet de tenir compte des différents degrés d'atteinte par la pandémie et des conditions pédagogiques résultant de l'interdiction d'enseigner en classe.

14h45 - Magasins, restos et musées pourront ouvrir le 11 mai

Magasins, restaurants, marchés, musées et bibliothèques pourront rouvrir leurs portes dès le 11 mai. Tout comme les écoles primaires et secondaires. Le Conseil fédéral a assoupli mercredi d'un cran supplémentaire les mesures de protection contre le coronavirus.

12h45 - Possible rebond durant l'été, selon des chercheurs de l'EPFL

Le relâchement progressif des mesures anti-coronavirus en Suisse pourrait augmenter le nombre d’infections et provoquer un rebond durant l'été. Des chercheurs de l'EPFL, avec des confrères américains, planchent sur différents scénarios.

Selon ces travaux, une deuxième vague de cas de Covid-19 pourrait connaître un pic en juillet/août, poussant le système hospitalier helvétique très près de sa limite en lits de soins intensifs, récemment augmentée à environ 2000 unités pour fait face à la crise.

Au cours de cette deuxième vague, selon les différents scénarios, plusieurs millions de personnes pourraient contracter le Covid-19 en Suisse. Avec à la clé 5000 à 15'000 morts, voire plus de 20'000 pour le modèle basé sur un taux de reproduction de la maladie (la valeur R0) de 1,5, où chaque porteur du virus contamine en moyenne une personne et demie. Pour faire reculer la pandémie, il est important que ce taux descende au-dessous de 1.

12h35 - La Suisse a enregistré 143 nouveaux cas de coronavirus en un jour, soit 43 de plus que la veille.

A ce jour, 1408 personnes sont décédées des suites de la maladie, soit 28 décès supplémentaires en un jour, indique mercredi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

 

Robin Jaunin et Keystone-ATS

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Alain Berset admet des contacts avec le directeur de Ringier

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"Bien entendu, je savais qu'il y avait des contacts avec le CEO de Ringier", affirme Alain Berset dans la presse. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le ministre de la santé Alain Berset admet avoir eu connaissance des contacts avec le directeur du groupe Ringier pendant la pandémie. Mais rien de confidentiel n'a été échangé, affirme-t-il mercredi soir dans la presse.

Le conseiller fédéral tire à boulets rouges sur le rapport des commissions de gestion (CdG) rendu public il y a deux semaines. "J'aurais attendu une enquête ouverte", dit-il dans les titres alémaniques du groupe Tamedia.

Le document ressemble, aux yeux du Fribourgeois, à une tentative de prouver que toutes les indiscrétions proviennent du Département fédéral de l'intérieur. "Je tiens à préciser d'emblée que je ne tolère aucune violation du secret de fonction au sein de mon département", précise-t-il.

"Bien entendu, je savais qu'il y avait des contacts avec le directeur de Ringier", affirme Alain Berset, admettant avoir été parfois présent lors de ces échanges. L'administration a toujours des contacts avec les milieux concernés par les décisions, dit-il.

"Je ne savais pas"

Le ministre de la santé affirme en outre que pas un seul élément du rapport des CdG montre que des informations auraient été utilisées pour influencer les décisions du gouvernement via les médias. Les contacts avec le directeur de Ringier étaient d'une toute autre nature qu'un contact avec un professionnel des médias, dit-il.

Alain Berset affirme en outre avoir pris connaissance des informations confidentielles partagées par son chef de la communication pendant l'enquête. "Je ne le savais pas, dit-il. Il va de soi que je ne lis ni ne contrôle les emails de mes collaborateurs".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Fuites: Alain Berset au courant des échanges mais pas du contenu

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Le président de la Confédération Alain Berset était au courant des échanges entre son chef de la communication et les médias pendant la crise du coronavirus, mais pas de leur contenu. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le président de la Confédération Alain Berset avait connaissance des échanges entre son chef de la communication et les médias dans le cadre des fuites pendant la pandémie. Mais il n'aurait pas su leur contenu, ont informé vendredi les commissions de gestion.

Il n'y a aucun indice qui permet de ne pas croire ce qu'a dit M. Berset, a indiqué Philippe Bauer (PLR/NE) au nom des commissions de gestion du Parlement devant la presse à Berne.

Les commissions ont rapidement pu établir qu'il y a eu de nombreuses indiscrétions. Mais "nous n'avons pas réussi à identifier tous les auteurs des indiscrétions, ni tous les destinataires", a précisé M. Bauer. "Des e-mails ont été effacés." L'ancien chef de la communication du Département fédéral de l'Intérieur (DFI) a notamment fait effacer ses mails privés.

M. Bauer a toutefois ajouté que, selon les commissions de gestion, d'autres mails envoyés par ou destinés à l’ancien chef de la communication du DFI laissent penser que les informations classifiées ou non publiques étaient traitées "à la légère". Il n’était pas rare que des informations soient sciemment partagées avec des personnes extérieures ou des médias.

Interrogé sur sa définition d'une indiscrétion, l'ancien chef de la communication Peter Lauener a indiqué que des renseignements pouvaient sans problème être partagés avec des journalistes afin de leur donner des informations contextuelles. Mais cette conception ne correspond pas aux prescriptions, indiquent les commissions dans leur rapport.

Le Neuchâtelois a cependant précisé: "Nous avons voulu garder la proportionnalité." Il n'est pas possible de contrôler toutes les adresses mails privées et publiques de toutes les personnes susceptibles d'avoir été concernées.

200 articles concernés

Quelque 200 articles publiés par 24 titres de presse concernant le Covid-19 ont été rédigés sur la base d'indiscrétions. Et 38 séances sur 50 du Conseil fédéral ont été "contaminées", a précisé Thomas de Courten (UDC/BL).

Les commissions ont étudié environ 500 articles et 50 séances du gouvernement. Seules douze d'entre elles n'ont pas été sujettes à indiscrétions. Dans les 38 autres cas, les décisions du Conseil fédéral avaient été publiées avant la séance.

Ce sont surtout les médias alémaniques, en premier lieu les médias de Ringier et de Tamedia, qui ont profité des indiscrétions de l'administration fédérale et obtenu des informations classifiées. Le Blick, le Sonntagsblick, le Tages-Anzeiger et la SonntagsZeitung ont publié chacun 60 articles sur la base d'informations confidentielles; contre seulement six pour Le Temps et 24 heures.

Dans certains cas, ces journaux alémaniques étaient les premiers à publier des projets de mesures ou des contenus de propositions ou de co-rapports. D’autres journaux ont ensuite explicitement fait référence à ces premières publications dans leurs propres articles.

Perte de confiance

Le Conseil fédéral a essayé de prendre un certain nombre de mesures à cet égard, qui se sont "vite révélées relativement vaines", a poursuivi Philippe Bauer, citant par exemple l'augmentation du degré de classification des documents. Au final, le gouvernement "s'est résigné". Cela a conduit à une perte de confiance de la part de certains conseillers fédéraux, qui ont renoncé à déposer des co-rapports, ou alors ceux-ci étaient simplifiés.

En janvier dernier, les commissions de gestion ont décidé d’enquêter sur les indiscrétions liées aux affaires du Conseil fédéral relatives au Covid-19, y compris sur le rôle du chef du Département fédéral de l’intérieur.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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PNR 78: coopération insuffisante entre science et politique

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Quelque 200 chercheurs ont étudié différents aspects du coronavirus dans le cadre du Programme national de recherche "Covid-19". (Photo d'archives) (© Keystone/CHRISTIAN BEUTLER)

La science et la politique n'ont pas suffisamment collaboré pendant la pandémie de coronavirus. C'est la conclusion à laquelle sont parvenus les chercheurs dans le rapport de synthèse du Programme national de recherche "Covid-19" (PNR 78).

Le partenariat entre la communauté scientifique et les institutions publiques n'a pas été suffisamment développé pour résister à l'énorme pression d'une crise pandémique, peut-on lire dans le rapport final publié mardi devant la presse à Berne.

Sur le fond, les chercheurs tirent toutefois un bilan positif. Le programme de recherche a apporté une contribution constructive à la compréhension scientifique de la pandémie en Suisse, indique le rapport.

Le PNR 78, financé à hauteur de 20 millions de francs, a été lancé en avril 2020 dans le but d'acquérir de nouvelles connaissances sur Covid-19, d'élaborer des recommandations pour la gestion clinique et la santé publique et de faire progresser le développement de vaccins, de traitements et de diagnostics.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le soutien du personnel fédéral à Lonza jugé positif

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Lonza a produit des vaccins anti-Covid sur le site de Viège (VS) (archives). (© Keystone/GAETAN BALLY)

Le soutien temporaire du personnel de la Confédération à l'entreprise Lonza à Viège (VS) durant la crise du Covid-19 est positif, a estimé mercredi le Conseil fédéral. Cette intervention étatique n'a pas distordu la concurrence et ne nécessite pas de revoir la loi.

En avril 2021, le Conseil fédéral a lancé le projet "Leute für Lonza" pour soutenir le site de production qui peinait à recruter du personnel. L'objectif était d’éviter tout retard dans la livraison des vaccins contre le Covid-19.

Au total, 29 spécialistes de l’Institut fédéral de métrologie, d’Agroscope, de l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires et des deux écoles polytechniques fédérales (EPFZ et EPFL) ont travaillé pour Lonza jusqu'à fin 2021.

A la demande de la commission de gestion du Conseil national, le Conseil fédéral a évalué ce programme notamment en ce qui concerne l'intervention étatique dans l'économie privée et les bases légales. Il conclut que les collaborateurs de la Confédération ont "apporté une contribution précieuse pour renforcer la sécurité de la production."

Engagement volontaire

Etant donné qu’à ce moment-là, seule Lonza produisait un composant d’un vaccin contre le Covid-19 en Suisse et qu’elle était en manque de personnel, le programme n’a pas faussé la concurrence, indique-t-il sur la base d'un rapport qu'il a adopté mercredi.

Par ailleurs, l’engagement des personnes concernées ne pose pas de problème au regard de la loi sur le personnel de la Confédération. Les collaborateurs fédéraux ont décidé volontairement de s'engager. Mais si le placement avait eu lieu contre leur volonté, il faudrait compléter la loi, selon le rapport.

Le Conseil fédéral n’estime donc pas nécessaire d’adapter la loi sur le personnel de la Confédération. Tout programme similaire restera fondé sur le volontariat, précise-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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