Suisse
Renvoi d'Afghans facilité depuis lundi, "très peu" de cas attendus
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/04/le-secretaire-detat-aux-migrations-vincenzo-mascioli-en-place-depuis-janvier-a-presente-ses-priorites-mardi-lors-dune-rencontre-informelle-1000x600.jpg&description=Renvoi d'Afghans facilité depuis lundi, "très peu" de cas attendus', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le renvoi de requérants d'asile afghans, facilité depuis lundi, touchera "très peu" de personnes. Le SEM n'a encore prononcé aucun renvoi depuis l'application de cette nouvelle règle qui concerne certains requérants déboutés, indique-t-il mardi.
Il faut s'attendre à "un nombre relativement faible" d'hommes afghans touchés par ces renvois, déclare à Keystone-ATS Samuel Wyss, porte-parole du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Il n'a pas souhaité chiffrer le nombre de cas potentiels. Actuellement, 65 requérants afghans ont été déboutés selon une statistique datée du 31 mars.
M. Wyss ne donne pas de détail sur la date à laquelle de premières décisions pourraient tomber. Le SEM doit encore examiner les cas de toutes les personnes identifiées comme pouvant correspondre aux critères d'un renvoi, précise-t-il.
Des auditions sont nécessaires avant de prendre une décision. Celle-ci sera prise avec une grande précaution, la situation en Afghanistan étant encore "très précaire" en ce qui concerne les droits humains, affirme le porte-parole.
Hommes sans famille ciblés
Depuis lundi, des requérants d'asile afghans déboutés peuvent se voir renvoyés de Suisse. Le SEM avait estimé qu'un retour était raisonnablement exigible dans certains cas, mentionnant une amélioration sécuritaire dans le pays.
Le secrétariat d'Etat cible les hommes majeurs et en bonne santé, dont la demande d'asile a été refusée, sans famille en Suisse et disposant d'un réseau solide en Afghanistan. Les femmes, les familles, les mineurs et les personnes en mauvaise santé ne sont pas concernés.
Le SEM avait suspendu les renvois vers ce pays le 11 août 2021, après la prise de pouvoir des talibans.
Nombreux requérants afghans
Nombre des demandes d'asile en Suisse proviennent de requérants afghans. En mars, 564 des 1829 demandes enregistrées ont été déposées par des citoyens afghans, indique le SEM dans un communiqué. Près d'une centaine étaient des demandes secondaires présentées par des personnes vivant depuis longtemps en Suisse.
En 2024, l'Afghanistan a été, comme les années précédentes, le principal pays d'origine des requérants d'asile. Pas moins de 8627 demandes ont été enregistrées, sur un total de 27'740.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le groupe NZZ veut monter au capital d'APG-SGA
L'actionnariat du spécialiste de la publicité en extérieur APG-SGA s'apprête à changer fortement. Le groupe de médias NZZ a l'intention de renforcer sa participation à 45%, contre 25% actuellement.
Le groupe NZZ a l'intention de racheter des titres aux investisseurs historiques du groupe genevois, le français JCDecaux et la société de participation Pargesa, précisent vendredi les deux entreprises en voie de rapprochement.
La transaction n'est pas encore réalisée puisque NZZ demande préalablement l'introduction d'une clause d'"opting up" sélective dans les statuts de l'entreprise, qui lui épargnerait de lancer une offre de reprise complète sur APG-SGA tant que le seuil des 49% des droits de vote ne serait pas dépassé. Actuellement, la limite est fixée à 33%.
Cette proposition et la montée au capital de NZZ est soutenue par les administrateurs indépendants du géant de l'affichage, qui estiment que le groupe de médias zurichois, bien implanté en Suisse et jouissant d'une bonne réputation ainsi que d'une marque forte, est un "partenaire idéal" pour APG-SGA. Dans un contexte de désengagement des grands actionnaires JCDecaux et Pargesa, la transaction aura un effet stabilisateur, affirment ces administrateurs. NZZ s'est par ailleurs engagé à maintenir une politique de distribution de "dividende favorable".
Feu vert de la Commission des OPA
Au sujet de la clause d'opting up, la solution proposée ne va pas au-delà de ce qui est nécessaire, précise le communiqué. Dans une prise de position distincte, la Commission des OPA estime que le dispositif prévu par APG-SGA est "valable et déploie ses effets au regard du droit".
Les actionnaires du groupe genevois auront cependant le dernier mot. Ils se réuniront en assemblée générale extraordinaire le 23 janvier. L'introduction de la clause d'opting up nécessitera une "majorité de la minorité", excluant donc les votes de la NZZ, de JCDecaux et de Pargesa.
NZZ souhaite racheter les actions à un prix unitaire de 220 francs, bien davantage que les 205 francs du cours de clôture de jeudi. La société zurichoise est engagée dans APG-SGA depuis juin 2024, date à laquelle elle avait déjà racheté un paquet de titres à Pargesa et JCDecaux, à hauteur de 25% du capital-actions.
Le président s'en va
"Les hypothèses qui ont motivé l'acquisition initiale de la participation se sont confirmées. APG-SGA se développe bien et nous voyons un potentiel de croissance supplémentaire sur les marchés de la publicité numérique", indique Isabelle Welton, présidente du groupe NZZ, citée dans un autre communiqué.
Dans le sillage de ses changements, le président de APG-SGA Daniel Hofer annonce son départ, après 15 ans au service de la société dont 11 ans à son poste actuel. Le conseil d'administration proposera en remplacement lors de l'assemblée générale ordinaire du 23 avril la candidature du patron du groupe NZZ Felix Graf. La vice-présidence est promise à l'administratrice Maya Bundt.
Xavier Le Clef, qui représente Pargesa à l'organe de surveillance, ne briguera pas de nouveau mandat. Corine Blesi, directrice générale de NZZ Connect et membre de la direction élargie de la NZZ, sera proposée comme nouvelle administratrice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Nestlé France rappelle un lait pour bébés
Nestlé lance en France une campagne de rappel pour son lait Optipro Relais, destiné aux bébés de la naissance à l'âge de six mois. La mesure répond à la détection de micro-organismes susceptibles de provoquer diarrhées et vomissements.
Le paquebot alimentaire a détecté la présence de ces micro-organismes sur une ligne de fabrication des laboratoires Guigoz, prévient l'ordre des pharmaciens de l'Hexagone sur son site internet.
Nestlé France indique sur son propre site avoir détecté dans certains lots non distribués la présence de la toxine céréulide, produite par la bactérie Bacillus cereus.
La multinationale assure qu'aucun autre produit de la marque Guigoz n'est concerné. Elle appelle les clients à ne pas utiliser ni retourner le produit, mais à le mettre à la poubelle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Une pétition veut rembourser la contraception thérapeutique
Un texte demande que les contraceptifs prescrits dans une visée thérapeutique soient remboursés par l’assurance de base. La pétition a été lancée par deux associations et une fondation. Les paraphes ont été remises en début de semaine.
Pilule, patch, implant, stérilet hormonal... Ils constituent souvent un traitement de référence pour des pathologies comme l’endométriose ou des règles douloureuses. Une pétition demande que ces dispositifs soient remboursés par l’assurance maladie de base lorsqu’ils sont délivrés pour soigner une maladie. Ne pas rembourser ces traitements comporte deux problèmes selon Caroline Gautier, médecin à PROFA Lausanne
Une motion avait déjà été débattue à Berne en début d'année. La conseillère nationale vaudoise, Brigitte Crottaz souhaitait faire évoluer la situation. Mais pour le Conseil fédéral, rembourser ces traitements irait trop loin car ils ne serviraient pas à traiter une maladie. Et il y a confusion selon Caroline Gautier
La pétition remise lundi à Berne a récolté 20’000 signatures.
Suisse
Deux rentes de cinq ans grâce à l'Eurodreams
Deux personnes chanceuses en France et en Irlande ont décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce à l'Eurodreams jeudi soir. Elles ont coché les six bons numéros 4, 6, 21, 23, 32 et 37, mais pas le numéro "dream" 1, a annoncé la Loterie romande.
Le gros lot est une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans. Il faut pour cela trouver les 6 bons numéros ainsi qu'un numéro spécial appelé "dream".
Huit pays européens proposent ce jeu. En Suisse, Eurodreams est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage du jeu est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 2 jours
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 3 jours
Un président du Tribunal correctionnel de Lausanne est récusé
-
LausanneIl y a 2 jours
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Valais: 16 loups tués en Valais en moins de deux mois et demi
-
SuisseIl y a 3 jours
Le réseau FM peut continuer d'émettre en Suisse, dit le Parlement
-
SuisseIl y a 3 jours
Les vélos cargos et "longtails" devraient avoir des plaques
-
SuisseIl y a 22 heures
Les pétards devraient être interdits en Suisse
-
LausanneIl y a 14 heures
Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police


