Culture
Harris et Trump avancent vers le sprint final de leur campagne
Jusqu'à la dernière heure du dernier jour, Kamala Harris et Donald Trump poursuivent vendredi au pas de charge leur grand duel à distance pour la Maison Blanche, mais sans trop s'éloigner: les deux candidats ont chacun donné rendez-vous à leurs partisans à Milwaukee.
Dans la plus grande ville du Wisconsin, la démocrate recevra le soutien sur scène de la célèbre rappeuse Cardi B, après avoir tout récemment obtenu celui de Beyoncé, Bruce Springsteen, Jennifer Lopez ou encore de la superstar du basket LeBron James.
Le républicain devrait lui continuer à faire ses choux gras de la dernière gaffe du président Joe Biden, qui a qualifié les supporteurs trumpistes d'"ordures", avant de se reprendre.
Selon des médias, il a également prévu d'être le premier candidat majeur de cette présidentielle 2024 à se rendre à Dearborn, dans le Michigan. Il s'agit de la plus grande ville américaine à population majoritairement d'origine arabe, un électorat qui s'est relativement détaché des démocrates car mécontent de l'appui de l'administration Biden/Harris à la guerre menée par Israël à Gaza.
Le Wisconsin est un symbole de l'imprédictibilité de cette élection, tellement serrée qu'elle risque de se jouer à quelques dizaines de milliers de voix.
Cet Etat donnant sur le lac Michigan a basculé pour Donald Trump en 2016, puis pour Joe Biden en 2020, avec moins d'un point de pourcentage à chaque fois.
L'actuel président l'avait emporté avec près de 21'000 voix d'avance, contre un avantage d'environ 80'000 voix en Pennsylvanie et 154'000 voix dans le Michigan.
Ces trois Etats-clés historiquement industriels du nord du pays font partie du "mur bleu", la couleur des démocrates, c'est-à-dire qu'ils sont censés pouvoir propulser le candidat du parti à la Maison Blanche.
Courtiser chaque voix
Mais cela, c'était avant l'irruption du tonitruant Donald Trump dans la politique américaine.
Le républicain avait créé une déflagration en remportant il y a huit ans le Wisconsin, le Michigan et la Pennsylvanie, avant de les perdre en 2020.
Encore quatre ans plus tard, l'issue de la bataille se déroulera dans un mouchoir de poche.
A quatre jours de la présidentielle et à 80 jours exactement de l'installation de Kamala Harris ou de Donald Trump dans le Bureau ovale, la tension continue de monter.
Le camp de Donald Trump a déjà commencé à alimenter sur les réseaux sociaux l'idée que des irrégularités étaient commises dans les opérations de vote.
"Si nous parvenons à maintenir la tricherie au plus bas, nous remporterons une immense victoire", a encore lâché Donald Trump jeudi soir lors d'une interview en public avec l'animateur conservateur Tucker Carlson en Arizona.
Lors de cette même discussion, il a accusé Liz Cheney, sa bête noire politique, d'être une "va-t-en-guerre radicale".
"Mettons-la fusil en main face à neuf canons d'armes lui tirant dessus. Voyons ce qu'elle en penserait. Vous savez, avec les armes braquées sur elle", a déclaré Donald Trump, en évoquant l'image d'un peloton d'exécution.
Liz Cheney, la plus célèbre opposante républicaine à Donald Trump, a répondu par un message sur X.
"Voici comment les dictateurs détruisent les nations libres. Ils menacent de mort ceux qui parlent d'eux en termes défavorables. Nous ne pouvons pas confier notre pays et notre liberté à un homme mesquin, vindicatif, cruel et instable qui compte être un tyran".
En meeting à Las Vegas, Kamala Harris a, elle, dépeint le milliardaire comme un "homme de plus en plus instable, obsédé par la vengeance, rongé par les griefs, et qui aspire à un pouvoir sans contrôle".
Mauvaises statistiques
Deux tiers des Américains redoutent des violences et déjà à Washington, autour de la Maison Blanche, des commerces décident de protéger leur vitrine de panneaux de contreplaqué.
La cheffe de la police de Washington, Pamela Smith, a affiché sa fermeté. "Je veux être très claire: nous ne tolérerons aucune violence d'aucune sorte. Nous ne tolérerons aucune émeute", a-t-elle averti cette semaine.
Kamala Harris ne pourra pas compter sur une dernière bonne nouvelle concernant l'emploi. En effet les créations d'emplois ont ralenti fortement et bien plus qu'attendu en octobre aux États-Unis, sous l'effet cumulé de grèves et de deux ouragans, malgré un taux de chômage stable à 4,1%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Clap de fin pour la tournée de tous les records de Taylor Swift
Clap de fin pour la tournée de tous les records: Taylor Swift achève dimanche à Vancouver, au Canada, son "Eras tour", qui a affolé les compteurs et cimenté son statut de mégastar internationale de la musique.
Cette tournée mondiale, la plus lucrative de l'histoire, avait débuté en mars 2023 en Arizona (Etats-Unis) et aura parcouru une cinquantaine de villes, de Buenos Aires à Tokyo en passant par Singapour, pour un total de 149 concerts.
L'entourage de la star américaine de la pop n'a pas communiqué le chiffre des ventes de billets mais le magazine spécialisé Pollstar l'a estimé à plus de 2 milliards de dollars.
Loin, très loin devant les 939 millions de dollars de la tournée d'adieu à la scène d'Elton John, interrompue par la pandémie de Covid-19 après cinq ans et 328 spectacles.
Outre la vente de billets, la tournée "Eras" a constitué une manne économique substantielle pour les villes traversées par la tournée.
A Toronto, avant-dernier stop de la tournée avec six concerts étalés sur deux week-ends le mois dernier, l'office du tourisme local (Destination Toronto) a estimé que la présence de la chanteuse et compositrice américaine avait injecté quelque 282 millions de dollars canadiens (199 millions de dollars) dans l'économie de la plus grande ville du Canada.
L'an dernier, avant que les concerts canadiens soient officiellement annoncés, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, qui a assisté à un des spectacles à Toronto en famille, avait d'ailleurs publiquement demandé à la star de passer par le Canada.
La tournée a donné lieu à des scènes rarement observées pour d'autres artistes. En mai à Paris, par exemple, des fans s'étaient installés aux abords de la salle de spectacle deux jours avant le concert, campant sur place dans l'espoir de se retrouver au plus près de leur idole.
Activité sismique
A Edimbourg en juin, les fans ont fait trembler le sol lors des concerts selon l'agence britannique de surveillance des séismes (BGS), avec une activité sismique mesurée jusqu'à six kilomètres autour du stade où se produisait la star.
La tournée, dont un film a été tiré l'an dernier ("Taylor Swift: The Eras Tour"), n'a pas non plus échappé aux soubresauts de l'actualité: en août, les trois concerts de Vienne ont été annulés après la révélation d'un projet d'attentat suicide islamiste.
Les prestations de Taylor Swift ont enchanté les fans mais également enthousiasmé les critiques, ces derniers louant son énergie et son endurance sur scène lors de prestations durant trois heures et trente minutes en moyenne.
Désignée personnalité de l'année 2023 pour le magazine Time, Taylor Swift a également marqué l'année 2024 en se jetant dans l'arène politique lors de l'élection présidentielle américaine. Son ralliement à la démocrate Kamala Harris avait fait enrager Donald Trump, qui avait dit la "détester".
Malgré un calendrier de concerts très chargé, la chanteuse américaine a aussi été souvent vue aux matches de son petit ami, le célèbre joueur de football américain Travis Kelce, et notamment le plus important d'entre eux, le Superbowl, grande finale du championnat américain.
Le 10 février, à la sortie d'un concert à Tokyo, la star avait sauté dans un avion pour pouvoir assister à ce match, le lendemain à Las Vegas, à 9.000 km de là. Ce périple contre la montre avait tenu en haleine bon nombre de "Swifties" et d'Américains.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Notre-Dame célèbre ses premières messes depuis cinq ans
Après l'inauguration officielle samedi soir, place aux célébrations religieuses: Notre-Dame de Paris accueille ses deux premières messes dimanche, ouvrant ses portes au public pour la première fois depuis cinq ans.
La célèbre cathédrale, dévastée par un incendie en avril 2019, a rouvert en mondovision samedi soir avec une cérémonie devant des dizaines de chefs d'Etat et de personnalités telles que le président élu des Etats-Unis Donald Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky ou encore le milliardaire Elon Musk.
Dimanche, la réouverture se poursuit côté religieux, avec deux messes dans cette cathédrale située au coeur de Paris et qui fait autant partie du patrimoine culturel que chrétien.
Une "messe inaugurale", célébrée par l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, aura lieu à 10H30 en présence de plusieurs chefs d'Etat, dont Emmanuel Macron.
Le président français, qui a prononcé un discours à l'intérieur de la cathédrale samedi soir, ne communiera pas, a précisé l'Elysée, alors que le respect de la séparation des Eglises et de l'Etat donne régulièrement lieu à des polémiques en France.
Plus de 100 évêques de France et du monde sont également attendus à cet office, ainsi qu'un prêtre de chacune des 106 paroisses parisiennes et des sept églises catholiques de rite oriental. La célébration de plus de deux heures culminera avec la consécration de l'autel, une étape essentielle pour pouvoir ensuite célébrer la messe.
"Octave"
Les fidèles attendaient avec impatience la réouverture de cette cathédrale magnifiée par Victor Hugo et célébrée dans les comédies musicales et les films.
"C'est un monument symbolique, pour nous chrétiens, mais aussi pour la France", affirmait samedi Dominique Terreran, un postier dijonnais de 62 ans, venu à Paris dans l'espoir de rentrer dans la cathédrale.
Mais l'accès à la messe du matin se fera sur invitation. Et si la seconde, à 18H30, est prévue pour le grand public, une réservation - gratuite - est nécessaire pour y accéder.
La billetterie ayant été prise d'assaut dès son ouverture mardi matin, plus aucun créneau n'est disponible, ni pour la messe de dimanche, ni pour celles de la semaine suivante, offertes sur une application dédiée.
Le diocèse organise jusqu'au week-end prochain une semaine d'"octave" avec deux messes quotidiennes, à 10H30 et 18H30 locales. Un point fort de la semaine sera le retour, vendredi après-midi, de la couronne d'épines à Notre-Dame.
Pour les visiteurs souhaitant admirer les murs blonds, le mobilier minimaliste et les vitraux partiellement restaurés sans pour autant assister à une messe, l'accès à la cathédrale sera possible à partir de lundi 15H30 - là aussi sur réservation.
Après ces cérémonies de réouverture, l'affluence devrait durer, le diocèse de Paris attendant désormais de 14 à 15 millions de visiteurs chaque année.
"Gratuitement"
Au grand dam des fidèles: "j'irai un peu plus tard, je n'aime pas les foules, j'aime le silence", affirmait quelques jours avant la réouverture Christine Linard, une Parisienne de 81 ans.
Le pape François a plaidé samedi pour continuer à accueillir "gratuitement" les visiteurs, alors que la ministre française de la Culture Rachida Dati a lancé un pavé dans la mare en évoquant une entrée payante.
Le souverain pontife s'exprimait par écrit, ayant décliné l'invitation à cette cérémonie fastueuse - une absence d'autant plus remarquée qu'il se rendra le week-end prochain en Corse, à l'occasion d'un modeste colloque sur la religiosité populaire.
"Je comprends et c'est bien qu'il veuille aller d'abord aux périphéries", des zones moins visitées par les papes, affirmait samedi Raphaël Jean, étudiant de 23 ans, avant d'ajouter: mais "s'il était venu, ça n'aurait pas mis l'accent sur le politique mais sur le fait que c'est d'abord un monument religieux qui rassemble les chrétiens français et les Français plus largement".
Car la cérémonie de samedi s'est doublée de discussions stratégiques entre Donald Trump, qui effectuait là son premier déplacement international depuis son élection, et Volodymyr Zelensky, trois ans après l'invasion russe.
Le dispositif de sécurité exceptionnel restera inchangé dimanche, avec 6000 policiers et gendarmes mobilisés, selon une source sécuritaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
"Emilia Pérez" gagne le Prix du cinéma européen
Le film "Emilia Pérez" rafle le prix du meilleur film au Prix du cinéma européen samedi soir à Lucerne. Jacques Audiard a déjà gagné les prix du meilleur réalisateur ainsi que scénariste et l'actrice transgenre espagnole Karla SofIa Gascon celui de meilleure actrice.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Notre-Dame a rouvert, cinq ans après avoir été sauvée des flammes
Détruite en partie par un incendie en 2019, la célèbre cathédrale Notre-Dame de Paris a rouvert ses portes samedi devant un parterre de chefs d'Etat et de personnalités, point d'orgue d'un colossal chantier de reconstruction inédit dans l'histoire de France.
A 19H20, l'archevêque de Paris Laurent Ulrich, dans une tenue dessinée par le styliste français Jean-Charles de Castelbajac, a symboliquement fait ouvrir les portes sur lesquelles il a donné neuf coups de crosse, officialisant la renaissance de ce chef d'oeuvre gothique du XIIe siècle, sauvé in extremis des flammes le 15 avril 2019. "Notre-Dame, ouvre tes portes", a-t-il lancé.
A l'intérieur de l'édifice, niché en plein coeur de Paris, avaient pris place 2500 invités dont une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement (parmi lesquels le président élu des Etats-Unis Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky), des têtes couronnées mais aussi le milliardaire Elon Musk.
A son entrée, M. Zelensky a été longuement applaudi comme, plus tard, 160 des pompiers qui ont sauvé Notre-Dame des flammes et des artisans ayant participé à sa reconstruction.
A l'intérieur de la cathédrale, le président français a exprimé la "gratitude de la nation française". "Nous avons redécouvert ce que les grandes nations pouvaient faire: réaliser l'impossible", a salué Emmanuel Macron dans un discours.
"Choc d'espérance"
Avec cet évènement en mondovision, celui qui avait fixé le "défi insensé" d'une restauration en cinq ans au lendemain de l'incendie espère créer un "choc d'espérance" dans un pays plongé dans une profonde crise politique depuis la censure du gouvernement jeudi.
Un office religieux a ensuite été célébré pendant lequel un message du pape, qui a décliné l'invitation, a été lu.
François a plaidé pour "accueillir généreusement et gratuitement" la "foule immense" de visiteurs attendus à Notre-Dame, alors que la ministre démissionnaire de la Culture Rachida Dati a provoqué un débat en proposant d'en faire payer l'entrée.
"Puisse la renaissance de cette admirable église constituer un signe prophétique du renouveau de l'Église en France", a-t-il ajouté.
Entre 14 et 15 millions de visiteurs par an sont attendus à Notre-Dame, qui figurait parmi les monuments les plus visités en Europe.
"Un peu fou"
Au terme de la cérémonie, un dîner s'est tenu à l'Elysée avec plusieurs dirigeants étrangers, dont MM. Zelenksy et Trump.
Plus tôt dans la journée, Emmanuel Macron, fragilisé par la crise politique en France, avait réussi un coup diplomatique en accueillant ces deux dirigeants à l'Elysée pour une réunion trilatérale d'une trentaine de minutes, ponctuée d'accolades et de poignées de main.
M. Zelensky l'a qualifiée de "bonne et fructueuse". "Poursuivons l'action commune pour la paix et la sécurité", a réagi son homologue français.
Le président élu des Etats-Unis avait estimé, à son arrivée à l'Elysée, que le monde semblait devenir "un peu fou".
Les festivités se poursuivront dimanche avec les premières messes publiques célébrées depuis avril 2019 à Notre-Dame, magnifiée par Victor Hugo et célébrée dans les comédies musicales, les films ou un dessin animé Disney.
La première de ces messes, à 10H30, en présence de M. Macron, de chefs d'Etat et de gouvernement ainsi que de personnalités religieuses, consacrera l'autel. La seconde, à 18H30, a été ouverte au public, sur inscription.
Gospel de Pharrell Williams
Pour clore l'hommage samedi à Notre-Dame, la chaîne France 2 a diffusé dans la soirée un concert réunissant une pléiade de stars du classique, dont le pianiste chinois Lang Lang, et des artistes pop comme la star américaine Pharrell Williams et la chanteuse franco-Béninoise Angélique Kidjo.
Au fil du concert, enregistré vendredi en raison des intempéries, les têtes d'affiche se sont produites sur le parvis de Notre-Dame, accompagnées à l'intérieur de la cathédrale par l'Orchestre philharmonique de Radio France, dirigé par le maestro vénézuélien Gustavo Dudamel.
Moment marquant, Pharrell Williams a interprété son tube planétaire "Happy" devant Notre-Dame accompagné d'un gospel de 60 choristes. Peu auparavant, l'actrice française oscarisée Marion Cotillard avait déclamé dans la nef un poème de Victor Hugo, accompagnée par le violoncelliste franco-américain d'origine chinoise Yo-Yo Ma.
Ce show hybride s'est terminé par le set du DJ electro français Michael Canitrot, qui a fait s'illuminer la façade ouest de Notre-Dame.
"Là, on la voit finie"
Bravant la météo samedi, des centaines de curieux avaient afflué pendant la journée vers la cathédrale, bouclée par un imposant dispositif de sécurité.
"On espérait s'approcher un peu plus de Notre-Dame, la voir toute belle, sans les échafaudages autour... Mais on ne peut pas", a regretté Aymeric Bourgarel, Parisien de 25 ans.
Arrivée à l'aube, Noëlle Alexandria, autrice canadienne, a fait part de son émotion. "Quand la cathédrale a brûlé, j'étais anéantie", s'est-elle souvenue, émerveillée par sa réouverture "vraiment inspirante".
L'incendie, dont les causes n'ont toujours pas été déterminées par l'enquête, a aussi marqué Dominique Terreran, postier de 62 ans qui a fait le voyage de Dijon (centre de la France) avec sa femme et sa fille.
"On était venu plusieurs fois voir les étapes de (la reconstruction) depuis l'extérieur. Là, on la voit finie", a-t-il savouré, même si "on aurait bien aimé voir l'intérieur".
Couleurs éclatantes
En 2019, les images de sa toiture dévorée par les flammes et de l'effondrement de sa flèche ont sidéré le monde, provoquant un vaste élan de générosité dans plusieurs pays.
Au fil des années, quelque 340'000 donateurs ont permis de récolter 846 millions d'euros, dont 700 millions ont financé la restauration.
La blondeur des pierres nettoyées, les couleurs éclatantes des vitraux partiellement restaurés et celles des décors peints des chapelles sont sublimées par un nouvel éclairage modulable.
L'axe central, où trône un nouveau mobilier liturgique minimaliste en bronze brun massif, donne la mesure de l'édifice, construit aux XIIe et XIIIe siècles, d'une longueur de près de 150 mètres, d'une largeur de quelque 50 mètres, dont la nef s'élance à plus de 40 mètres de hauteur sous toit.
Un nouveau dispositif de sécurité anti-incendie a également été installé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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