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Culture

La Française Juliette Binoche mise à l'honneur aux Goya espagnols

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Juliette Binoche semble appréciée en Espagne. Elle pose ici l'an dernier dans le cadre du Festival international du film de et à San Sebastian, aux Pays Basques pour son fim Avec amour et acharnement (Archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/JUAN HERRERO)

L'actrice française Juliette Binoche sera mise à l'honneur le 11 février lors des Goya, les oscars espagnols. Elle y recevra un prix récompensant "son extraordinaire trajectoire", a annoncé mercredi l'Académie du cinéma espagnol.

L'interprète de 58 ans qui a remporté un Oscar en 1996 pour "Le patient anglais" d'Anthony Minghella, "référence indiscutable dans le cinéma européen", recevra un "Goya international" lors de la cérémonie qui se tient cette année à Séville, dans le sud du pays.

Ce prix n'existe que depuis deux ans et avait été remis en 2022 à l'actrice australienne Cate Blanchett.

Au cours de ses quarante ans de carrière, Juliette Binoche a joué dans de nombreux films parmi lesquels "l'Insoutenable légèreté de l'être", "Les amants du Pont-Neuf" ou encore "Le patient anglais" pour lequel elle a reçu l'Oscar de la meilleure actrice pour un second rôle.

Elle a travaillé avec des cinéastes comme Jean-Luc Godard, Leos Carax ou Louis Malle, mais aussi le Polonais Krzysztof Kieslowski, l'Américain Abel Ferrar, le Suédois Lasse Hallström, le Britannique John Boorman ou encore l'Autrichien Michael Haneke.

L'actrice collectionne les récompenses, du César français au Bafta britannique en passant par les prix d'interprétation dans les festivals de Cannes, Berlin ou Venise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Des ½uvres jamais montrées en Europe dans l'expo Calder à Lugano

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La sculpture "Funghi Neri" d'Alexander Calder est actuellement exposée au Musée d'art de la Suisse italienne à Lugano. (© KEYSTONE/TI-PRESS/Pablo Gianinazzi)

Le Musée d'art de la Suisse (Masi) de Lugano consacre dès samedi une vaste exposition à l'artiste américain Alexander Calder. Jusqu'en octobre, "Calder. Sculpting Time" présente au public plusieurs ½uvres qui n'ont encore jamais été montrées en Europe.

On passerait presque à côté du délicat mobile en trois parties. Silencieux et presque transparent, il tourne dans l'air, comme s'il faisait partie de l'élément qu'il semble toucher. Est-ce un poisson que l'artiste avait en tête lorsqu'il a tissé les fils ? Ou un calice ?

Ce sont précisément ces idées et ces images que Calder voulait délibérément laisser au spectateur, a expliqué son petit-fils et président de la fondation Calder Alexander S.C. Rower lors d'un entretien avec Keystone-ATS à Lugano. Loin de lui l'idée de véhiculer des idées toutes faites à travers ses ½uvres d'art.

L'½uvre "Sans Titre" de 1939 a été créée en même temps qu'un deuxième mobile, a poursuivi Alexander Rower. La "sisterpiece" (la pièce soeur) a été conçue pour l'escalier principal du Museum of Modern Art (MoMA) de New York. "Sans Titre" n'a été exposé qu'une seule fois à Los Angeles, ce mobile aux fines lignes n'a encore jamais été présenté en Europe.

Musée d'art de la Suisse méridionale

L'exposition du Masi abrite d'autres trésors qui n'ont encore jamais fait escale sur le vieux continent. L'un d'entre eux, qui devrait toutefois déjà être connu, est "Eucalyptus". Cette sculpture a été présentée pour la première fois en 1940 lors d'une exposition à la Pierre Matisse Gallery de New York et a ensuite fait partie de presque toutes les expositions importantes de Calder.

Certaines ½uvres sont colorées et puissantes, d'autres projettent des ombres délicates sur le sol qui, à leur tour, entament leur propre jeu dans l'espace et le temps. L'exposition, conçue comme un espace ouvert, invite à flâner et à s'attarder, presque comme dans un parc dont les mobiles de Calder forment le ciel.

Le jeu avec l'espace et le temps représente un élément central dans l'½uvre d'Alexander Calder. Après son déménagement à Paris en 1926, il a franchi le pas vers ses premières sculptures non-figuratives au début des années 1930.

C'est précisément là que commence l'exposition, qui se concentre sur les années 1931 à 1960 et présente plus de 30 ½uvres. Elle a été organisée par Carmen Giménez et Ana Mingot Comenge.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Décès de Bernard Hill, second rôle dans Titanic

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Le grand public connaissait surtout Bernard Hill pour son rôle de capitaine du Titanic Edward Smith. Ici, une photo de 2003. (archives) (© KEYSTONE/AP/MAX NASH)

L'acteur britannique Bernard Hill, qui avait joué dans Titanic et Le Seigneur des anneaux, est mort à 79 ans dimanche, a annoncé son agent.

Originaire de Manchester, le grand public connaissait surtout Bernard Hill pour son rôle de capitaine du Titanic Edward Smith dans le film éponyme de James Cameron sorti en 1997 et au succès planétaire.

L'acteur est décédé tôt dimanche matin, a indiqué son agent Lou à des médias britanniques.

Il avait aussi incarné le roi du Rohan Théoden dans la trilogie adaptée du Seigneur des anneaux, sortie au début des années 2000, et joué de nombreux seconds rôles, comme dans Aux sources du Nil, de Rob Rafelson (1990) ou Jugé coupable (1999), de Clint Eastwood.

Révélé au début des années 1980 pour son rôle de chômeur dans la série télévisée multi-récompensée Boys from the Blackstuff, Bernard Hill a également mené une carrière prolifique à la télévision britannique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

La Fête de la Danse tire sa révérence sur une participation record

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A Meyrin (GE), la performance dansée "Reset" à l'occasion de la Fête de la Danse. (© Nicolas Dupraz/Fête de la Danse)

L’édition 2024 de la Fête de la Danse a connu un record de participation malgré la météo capricieuse. Près de 100'000 danseurs et danseuses ont célébré l'art du mouvement six jours durant à travers toute la Suisse.

De mardi à dimanche, 500 spectacles, 600 cours et près de 20 projections de films de danse se sont déroulés dans plus de 30 localités, indiquent dimanche les organisateurs. Dix-huit villes romandes étaient associées à la manifestation, ainsi qu'une dizaine de villes alémaniques - dont Berne, Bâle et Zurich - et tessinoises.

Sur les quais et les places publiques, dans les parcs, les théâtres, les musées, les cinémas ou les zones piétonnes, le festival a investi toutes les scènes. De l'afrodance à la capoeira, en passant par la danse derviche, le flamenco, la valse, le tango et le lindy hop, le programme offrait une large palette de cours et ateliers, pour tout niveau et dans tous les styles.

Virus de la fête

Au Village de la Danse à Genève, 150 spectateurs se sont fait emporter par les sourires, grimaces et chants de la danseuse danoise Mette Ingvartsen. A Bienne et Fribourg, c'est la Compagnie Ouinch Ouinch qui a transmis le virus de la fête au public avec ses chorégraphies sauvages et explosives. Le duo valaisan Dakota et Nadia a pour sa part ouvert les feux de la première édition de la Fête de la Danse à Sion.

Treize spectacles ont fait étape dans plusieurs villes romandes, notamment Jukebox Dancer dans lequel Kilian Haselbeck remet en question les étiquettes en explorant son désir d'être plus qu'une seule version de lui-même (Bulle, Vevey et Morges). Dans Entrelacés, Cédric Gagneur et sa Cie Synergie ont cherché une symbiose entre l'univers aérien de la guitare et la dimension terrestre du breakdance (Fribourg, Bienne et Sion).

Mettre la danse sous le feu des projecteurs et assurer son accessibilité à tous est l’une des missions de la Fête de la Danse. La prochaine édition, qui marquera la 20e, se tiendra du 14 au 18 mai 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Fribourg: objet bien plus ancien que prévu de retour aux Archives

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L'objet rare et bien plus ancien que prévu a fait son retour aux Archives de l'Etat de Fribourg. (© Abegg-Stiftung, CH-3132 Riggisberg, 2024 (Christoph von Viràg))

Un objet rare a fait son retour le 18 mars aux Archives de l’Etat de Fribourg (AEF). Il s'agit d'un tissu qui a servi de protection pour des documents provenant du fonds de l’abbaye de Hauterive, dont une datation récente le fait remonter à 1250 et non au XIVe siècle.

Avant son retour, la pièce a fait l'objet d'une restauration auprès de la Fondation Abegg, entité sise Riggisberg (BE) de renommée mondiale pour la conservation de textiles anciens. Elle était conservée aux AEF depuis le milieu du XIXe siècle, mais avait ensuite disparu, ont indiqué les AEF lors d'un récent point presse.

C’est l’historien Hubert de Vevey, mort en 1984, qui était entré en possession du tissu en lin. Et ce sont ses descendants qui l’ont récemment cédé aux AEF, a précisé à Keystone-ATS Lionel Dorthe, collaborateur scientifique aux AEF.

Datation à l'EPFZ

A l’origine, le tissu enveloppait une copie en parchemin et quatre copies en papier de l’acte de fondation de l’abbaye, cotée "CH AEF Hauterive, Parchemins, I, 4 (Gumy 33)", d’où la présence de la cote I.4, inscrite trois fois sur son bord gauche.

Le tissu a été envoyé par ailleurs à l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) pour y effectuer une datation au carbone 14. Si l’écriture de son étiquette laissait présager qu’il pouvait dater du XIVe siècle, l’analyse a révélé qu’il datait en fait de 1250. Il est rare d’avoir en sa possession un tissu de cet âge en si bon état.

C’est pourquoi il est doté d’une grande importance historique, ont fait savoir les AEF.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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