Culture
Sting vend à son tour son catalogue de chansons
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/02/cest-au-tour-de-sting-de-vendre-son-catalogue-de-chansons-a-universal-music-1000x600.jpg&description=Sting vend à son tour son catalogue de chansons', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le chanteur britannique Sting a vendu la totalité de son catalogue d'auteur de chansons à une branche d'Universal Music. Cela comprend également son répertoire avec The Police.
Universal Music Publishing Group (UMPG) n'a pas dévoilé jeudi les termes financiers de l'accord dans son communiqué, mais la vente avoisinerait les 250 millions de dollars, selon les estimations de médias américains.
Elle réunit le catalogue de parolier de l'artiste de 70 ans avec celui de sa musique enregistrée, déjà contrôlé par Universal, selon le communiqué.
Les royalties de "Roxanne" à Universal
Universal recevra désormais tous les revenus et royalties liés aux oeuvres de l'auteur de tubes comme "Every Breath You Take" et "Roxanne" avec The Police, ou encore de "Fields of Gold" en solo. Dans un communiqué le chanteur s'est dit "ravi" que UMPG gère à présent son catalogue.
"Il est absolument essentiel pour moi que l'ensemble de mon oeuvre élise domicile là où elle est estimée et respectée", a déclaré le chanteur, cité dans le communiqué d'UMPG.
La détention des droits des catalogues - qui permettent de toucher des royalties à chaque utilisation d'une chanson, qu'il s'agisse d'un téléchargement, d'un passage dans un film ou une publicité - peut se révéler très rentable sur le long terme.
L'ancien bassiste et meneur de The Police ajoute son nom à une liste grandissante de rockstars ayant vendu tout ou partie de leur catalogue musical via des transactions aux montants astronomiques mais jamais officiellement confirmés.
En 2021 le "Boss", Bruce Springsteen, a cédé à Sony Music la totalité de ses droits musicaux pour un montant record estimé à près d'un demi-milliard de dollars, tandis que le prix Nobel de littérature Bob Dylan a fait de même avec Universal Music pour une manne de quelque 300 millions de dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le procès d'Harvey Weinstein entre dans le vif du sujet
"Il avait tout le pouvoir, elles n'avaient rien", a martelé mercredi l'accusation lors d'un nouveau procès à New York pour viol et agressions sexuelles de l'ex- roi du cinéma Harvey Weinstein. Ce dernier est rejugé après l'annulation de sa condamnation l'an dernier.
"Quand il voulait quelque chose, il le prenait", "il n'acceptait pas un refus", a encore asséné la procureure Shannon Lucey dans son propos liminaire à l'ouverture des débats, devant des jurés qui l'écoutaient attentivement, et en présence de l'accusé, assis sur une chaise roulante.
Malade et visiblement diminué, l'ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d'audience de la cour pénale de Manhattan.
Mais à l'époque des crimes dont il est accusé, il était un producteur tout-puissant face à des femmes sans appuis ni relations qu'il a abusées en leur faisant miroiter une carrière dans le spectacle, a décrit la procureure.
Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, est rejugé pour l'agression sexuelle avec pénétration de l'ancienne assistante de production Mimi Haleyi, en 2006, et le viol de l'aspirante actrice Jessica Mann, en 2013. Il avait été reconnu coupable de ces faits en 2020 et condamné à 23 ans de prison.
Procédure annulée
Mais en avril 2024, la cour d'appel de New York a annulé toute la procédure, au motif que le tribunal avait laissé témoigner d'autres victimes présumées sur des faits pour lesquels l'accusé n'était pas inculpé. Une annulation vécue comme une gifle pour le mouvement de lutte contre les violences sexuelles et un retour en arrière pour la prise en compte de la parole des victimes.
L'ancien producteur est resté depuis détenu car il a aussi été condamné en Californie à 16 ans de prison en 2023 dans un dossier distinct de viol et agressions sexuelles.
Le procès à New York porte aussi sur une inculpation pour une agression sexuelle avec pénétration - qualification pénale qui diffère du viol en droit américain - en 2006 dans un hôtel de Manhattan de Kaja Sokola, à l'époque une mannequin polonaise âgée de 16 ans.
"La honte, la douleur"
La procureure a insisté sur le fait que les victimes présumées avaient supplié Harvey Weinstein d'arrêter. Après l'agression, "toutes ces victimes ont vécu la honte, la douleur", mais elles comptent témoigner, a ajouté Shannon Lucey.
"Non coupable, non coupable, non coupable", lui a rétorqué l'avocat de l'accusé, Arthur Aidala, qui a fait sourire certains jurés en leur demandant de regarder "le film jusqu'à la fin", pas seulement "la bande annonce" de l'accusation.
"Promotion canapé"
Pour lui, le dossier se résume à des "promotions canapé". Les accusatrices étaient de jeunes femmes qui voulaient réussir dans l'univers du show business, et elles savaient que "Harvey Weinstein" avait "la clé" d'un monde où l'on fréquente "Brad Pitt, Leonardo di Caprio, Meryl Streep".
Il a assuré que les relations étaient consensuelles, insistant sur le fait que les jeunes femmes avaient continué de fréquenter l'accusé après les crimes allégués. "Vous verrez ses courriels" où les accusatrices écrivent "'je veux te revoir'", a poursuivi l'avocat.
Weinstein espère "un oeil neuf"
Harvey Weinstein a obtenu de pouvoir dormir, pendant le procès, à l'hôpital et non en prison en raison de ses problèmes de santé.
L'ancien magnat espère que l'affaire sera "regardée avec un oeil neuf", plus de sept ans après les enquêtes du New York Times et du New Yorker à l'origine de sa chute.
Parole des victimes libérée
Leur onde de choc avait libéré la parole des victimes et contraint la société à de profondes remises en question sur la place des femmes. Son avocat a souhaité que le procès se concentre sur les faits et ne soit pas, encore une fois, un symbole de #metoo.
Harvey Weinstein n'a jamais reconnu d'agression et a toujours assuré que les relations étaient consenties.
Plus de 80 accusatrices
Depuis les premières révélations, il a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.
Le procès, qui doit durer jusqu'à fin mai, se poursuit mercredi avec le début des interrogatoires des témoins.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Culture
Une offre en ligne commune des librairies indépendantes romandes
Les Romands peuvent désormais acheter en ligne leurs livres à une quarantaine de librairies indépendantes sur un seul site. LivreSuisse inaugure mercredi une boutique en ligne à l'occasion de la Journée mondiale du livre.
Avec ce projet, LivreSuisse veut favoriser l'économie locale en invitant lecteurs et lectrices à s'adresser aux librairies de proximité, indique l'association professionnelle des librairies dans un communiqué mercredi. Leur contribution à la vie du livre reste déterminante à l'heure des réseaux sociaux et des difficultés rencontrées par la presse, selon elle.
La boutique permet de commander n'importe quel livre, dans un catalogue mis à jour quotidiennement et qui comprend plus de 1,622 million de références, suisses et étrangères. La commande peut ensuite être retirée en librairie ou reçue à domicile, avec une facture.
Soutien politique
Le développement de ce site a bénéficié du soutien de la Conférence intercantonale de l'instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CIIP), dans le cadre de son programme Livre+, ainsi que de celui du canton de Vaud et de l'Office fédéral de la culture au titre de projet de transformation.
LivreSuisse, l'association qui représente en plus des librairies, des maisons d'édition et des diffuseurs de Suisse romande, réunit quelque 130 membres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Volte-face de Google: pas de blocage des "cookies" publicitaires
Google a annoncé mardi qu'il ne renonçait finalement pas à autoriser, sur son navigateur Chrome, l'utilisation de "cookies", qui permettent de suivre les utilisateurs sur les sites qu'ils consultent, cinq ans après avoir promis leur extinction.
Depuis 2022, le géant californien évoque la transition des "cookies" vers un système moins intrusif, susceptible de repérer préférences et centres d'intérêt sans compiler l'historique de la navigation.
Les "cookies tiers", traceurs numériques extérieurs qui cartographient l'utilisation d'internet au-delà du site qui les installe, sont un outil de ciblage précieux pour les publicitaires et les annonceurs.
Dès 2020, Google avait fait part de son intention de les bloquer, mais la mesure a été repoussée maintes fois depuis.
En juillet 2024, le groupe de Mountain View avait indiqué qu'il n'empêcherait pas les cookies par défaut mais laisserait la possibilité à l'utilisateur de les désactiver.
"Il est clair que les perspectives divergent" entre "éditeurs de contenus, développeurs, régulateurs et l'industrie publicitaire" quant aux modifications éventuelles à apporter aux cookies, a écrit Anthony Chavez, vice-président responsable de Privacy Sandbox, entité consacrée à la gestion des données personnelles.
Selon le responsable, les avancées technologiques enregistrées depuis 2022 et la montée en puissance de l'intelligence artificielle (IA) ont offert de nouveaux moyens de protéger les données personnelles des internautes qui ne souhaitent pas les partager.
Anthony Chavez mentionne aussi le paysage réglementaire qui a "considérablement évolué" dans le monde.
"Pour toutes ces raisons, nous avons décidé de maintenir notre approche actuelle pour les cookies tiers dans Chrome", a expliqué le dirigeant dans un message posté mardi sur le blog de Google.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le Général Guisan est à l'honneur au Château de Morges
Le Château de Morges propose de redécouvrir le parcours du Général Guisan. Des documents rares sont exposés jusqu'au 31 août.
Faire redécouvrir le général Henri Guisan aux jeunes générations. C’est l’objectif de la nouvelle exposition du Château de Morges. Une manifestation réalisée en partenariat avec la Fondation Général Henri Guisan. Elle retrace le parcours du commandant en chef de l’Armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale. Cette exposition propose un voyage historique à travers la montée du fascisme. Elle propose des documents rares, des archives photographiques accessibles via des codes QR. Elle invite aussi à redécouvrir le rôle central qu’à eu le Général Guisan. Adélaïde Zeyer, directrice du Château de Morges et ses musées.
Une exposition qui commémore deux anniversaires.
L’exposition est à découvrir jusqu’au 31 août
-
InternationalIl y a 3 jours
Le pape est mort d'un AVC, suscitant une émotion planétaire
-
ClimatIl y a 2 jours
Le tunnel du Grand-Saint-Bernard reste fermé jusqu'à nouvel avis
-
CultureIl y a 3 jours
Lausanne: plus de 51'000 spectateurs au Capitole en 2024
-
InternationalIl y a 2 jours
Les funérailles du pape se dérouleront samedi place Saint-Pierre
-
InternationalIl y a 2 jours
Le pape François est décédé suite à un AVC
-
InternationalIl y a 2 jours
Un "tic-tac" atomique dans l'espace pour tester l'effet Einstein
-
InternationalIl y a 3 jours
Autre faille de sécurité pour le ministre américain de la défense
-
InternationalIl y a 3 jours
Guerre commerciale: Pékin dénonce les pays jouant l'"apaisement"