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Culture

Une classe de Bercher gagne le concours des langues anciennes

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Via un concours de langues anciennes, le canton de Vaud cherche à valoriser l'apprentissage du latin et du grec ancien (photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/LOUISA GOULIAMAKI)

Une classe de Bercher a remporté, mercredi soir à Lausanne, le premier concours vaudois des langues anciennes. Elle est ressortie gagnante d'une compétition destinée à valoriser l'apprentissage du grec et du latin, et qui a réuni environ 300 élèves de 10 et 11e années.

Sur les 28 projets réalisés autour du thème "Santé et médecine", cinq avaient été retenus pour disputer la grande finale, mercredi soir à l'auditorium du Musée cantonal des Beaux-Arts (MCBA). Chaque groupe disposait de dix minutes sur scène pour défendre oralement son projet. Les élèves ont aussi dû montrer un court-métrage retraçant leur aventure.

Ils ont été évalués par un jury de cinq professionnels, présidé par Cesla Amarelle, la cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC). Le public présent dans la salle a aussi pu voter via une application.

"Cluedo" revisité

La classe de Bercher a remporté la mise avec son idée de jeu plateau, intitulé "Cluedo: Mystère à Epidaure", du nom d'une ancienne cité grecque.

Ce premier concours cantonal offre "une vitrine à la large palette des compétences acquises grâce aux langues anciennes, que ce soient les capacités linguistiques, étymologiques, historiques, syntaxiques, l'esprit critique et d'analyse, l'expression orale, la curiosité ou encore la précision", écrit le DFJC dans un communiqué.

Le Département relève qu'il est encore trop tôt pour dresser un bilan chiffré de cette opération. Il souligne toutefois que l'engouement pour ce concours et les retours du terrain encouragent à poursuivre la valorisation du latin et du grec au secondaire I et II.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Après avoir tourné en anglais, Pedro Almodovar revient à l'espagnol

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Pedro Almodovar, ici à New York en avril dernier à l'occasion du 50e Chaplin Awards Gala, a fait une infidélité à sa langue maternelle lors de son précédent film, La Chambre d'à côté, tourné en anglais. Il revient à l'espagnol avec son dernier tournage. (© KEYSTONE/AP Invision/EVAN AGOSTINI)

Le cinéaste espagnol Pedro Almodovar a entamé le tournage de son nouveau long-métrage, "Amarga Navidad" ("Noël amer"), un retour à sa langue maternelle après un dernier film réalisé en anglais, a annoncé lundi sa maison de production.

Le 24e long métrage du réalisateur de 75 ans originaire de Castille-La-Manche sera tourné entre Madrid et l'île de Lanzarote, dans l'archipel des Canaries, situé en face des côtes africaines. Il sortira au cinéma en 2026, indique un communiqué de presse de la maison de production des deux frères Agustín et Pedro Almodovar.

Le casting comprendra l'acteur argentin Leonardo Sbaraglia ainsi que les Espagnols Barbara Lennie, Aitana Sanchez-Gijon, Victoria Luengo, Patrick Criado, Milena Smit et Quim Gutiérrez.

Sbaraglia, Lennie, Luengo, Sanchez-Gijon et Smit ont déjà tourné dans d'autres films du réalisateur oscarisé, qui fait souvent appel aux mêmes interprètes.

"Amarga Navidad" racontera deux histoires parallèles: celle d'Elsa, une directrice de publicité qui décide de faire un voyage avec une amie à Lanzarote pour se remettre de la mort de sa mère, et celle du réalisateur Raúl, qui mélange "fiction et réalité".

Le film "montre comment la vie et la fiction sont unies d'une façon indissoluble, parfois même de façon douloureuse", indique le communiqué de presse.

Almodovar revient donc à l'espagnol après s'être essayé à la réalisation en anglais avec "La chambre d'à côté" qui mettait en scène l'amitié et la mort de Tilda Swinton et Julianne Moore et qui lui a valu un Lion d'or à Venise et trois prix Goyas en Espagne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Une 49e édition de La Bâtie, la dernière de Claude Ratzé

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La 49e édition de La Bâtie-Festival de Genève, du 28 août au 14 septembre, programme plus de 50 événements, dont un concert de la chanteuse française Lou Doillon en ouverture (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La 49e édition de La Bâtie-Festival de Genève, du 28 août au 14 septembre, sera la dernière de son directeur Claude Ratzé. Elle proposera 51 événements, avec la chanteuse Lou Doillon en ouverture et le chorégraphe Boris Charmatz en clôture.

Boris Charmatz reprendra "10000 gestes", un hommage monumental à la danse. Un grand final très symbolique, a relevé mardi Claude Ratzé lors de la présentation de sa huitième édition. Plus de 60 groupes, compagnies et artistes internationaux et suisses, reconnus ou émergents, sont à l'affiche de la manifestation pluridisciplinaire de la rentrée culturelle, avec 24 spectacles ou concerts en première romande.

Parmi les artistes incontournables figurent les chorégraphes Marlène Monteiro Freitas, Lia Rodrigues, le Cirque Trottola, la chanteuse Barbara Carlotti ou encore les humoristes Blaise Bersinger, Tiphanie Bovay-Klameth et Grégoire Leresche. Plusieurs thèmes traverseront cette édition, comme l'exploration de l'intime, les jeux et rituels et la mémoire en mouvement.

www.batie.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La plainte de Justin Baldoni contre Blake Lively rejetée

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Blake Lively et Justin Baldoni s'affrontent en justice depuis des mois sur fond d'accusations de harcèlement sexuel portées par la comédienne (archives). (© KEYSTONE/AP/EVAN AGOSTINI)

Un juge américain a rejeté lundi la plainte estimée à 400 millions de dollars de l'acteur et réalisateur Justin Baldoni contre l'actrice Blake Lively. Ils s'affrontent en justice depuis des mois sur fond d'accusations de harcèlement sexuel portées par la comédienne.

En décembre dernier, le New York Times avait révélé que Blake Lively avait déposé une plainte contre Justin Baldoni et le producteur Jamey Heath pour des comportements et commentaires inappropriés, selon elle, pendant le tournage du film "Jamais Plus" ("It ends with us").

Blake Lively avait accusé par exemple l'acteur, également réalisateur du film, d'avoir improvisé des baisers qui n'étaient pas au script original et le producteur de l'avoir regardée seins nus dans sa loge alors qu'elle avait manifesté son malaise.

Dans un communiqué envoyé au New York Times, l'avocat de M. Baldoni et de Wayfarer, le studio de production derrière le film, avait notamment dénoncé des accusations "complètement fausses, scandaleuses et volontairement salaces".

Une "victoire totale"

Le camp Baldoni avait ensuite porté plainte, en janvier, devant un tribunal civil de New York contre l'actrice, son époux, l'acteur Ryan Reynolds, et le New York Times, estimant que ce média avait pris parti dans sa couverture pour Blake Lively, tête d'affiche de "Gossip girl".

Or, lundi, un juge de la cour de Manhattan a "rejeté" la plainte du camp Baldoni, précisant que le New York Times n'avait fait que publier des informations contenues dans une plainte initialement déposée par l'actrice devant un tribunal de Californie, qu'il avait pris le soin de demander une réaction à la partie adverse et de l'intégrer à l'article.

Dans sa plainte, Justin Baldoni estimait également que Blake Lively, dont le compte Instagram revendique plus de 43 millions d'abandonnés, avait cherché à "voler" et "prendre le contrôle" du film et de sa promotion. Et il avait accusé Ryan Reynord de l'avoir fait passer, à tort, pour un prédateur sexuel.

Le juge a également rejeté lundi ces éléments. Dans un communiqué diffusé par certains médias américains, l'équipe légale du clan Lively s'est félicitée d'une "victoire totale" face à la "plainte en représailles" de Justin Baldoni.

Tiré du best-seller de l'écrivaine américaine Colleen Hoover, le film "Jamais plus" avait récolté plus de 350 millions de dollars au box-office en 2024 pour en faire un des plus grands succès de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Décès à 82 ans de Sly Stone, pionnier du funk

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Sly Stone sur la scène de l'Olympia de Paris en 2007 (archives). (© KEYSTONE/EPA/JOELLE DIDERICH)

Le musicien américain Sly Stone, pionnier du funk, est décédé à l'âge de 82 ans, a annoncé lundi sa famille aux médias américains. Sa musique a été à l'origine de l'explosion de la soul dans les années 1960.

"C'est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès de notre père bien-aimé, Sly Stone de Sly and the Family Stone", a déclaré sa famille dans un communiqué.

Le musicien multi-instrumentiste, qui a également connu des problèmes de drogue, était à la tête du groupe "Sly and the Family Stone", formation de rock multiraciale et mixte, une rareté dans les années 1960.

Concert à Woodstock

Le groupe avait notamment donné un concert mémorable lors du festival de Woodstock, en août 1969, où il était arrivé sur scène peu après 03h00 du matin au troisième jour de cette manifestation mythique.

"Compte tenu de leur apparition tardive, Sly and The Family Stone étaient remarquablement frais et en forme", rappelle le site internet dédié au festival. "Le concert de Woodstock est largement considéré comme l'une de leurs meilleures performances."

En l'espace de cinq ans seulement, son inventivité a laissé un impact indélébile sur la musique américaine et mondiale, depuis le premier succès du groupe, "Dance to the Music", en 1967, et leur chanson "Everyday People", un an plus tard, jusqu'au chef-d'oeuvre du rhythm and blues des années 1970, "If You Want Me To Stay".

Un génie musical

Pour beaucoup, Sly Stone était un génie musical qui créait le son du futur et a jeté les bases d'artistes tels que Prince, Miles Davis, les Red Hot Chili Peppers et OutKast.

C'était "comme voir une version noire des Beatles", avait déclaré la légende du funk George Clinton à CBS News à propos de la présence sur scène de son ami de longue date. "Il avait la sensibilité de la rue, de l'église et les qualités de la Motown. Il était tout cela en une seule personne".

Cependant, Sylvester "Sly" Stone a eu du mal résister aux pressions liées à la célébrité et a sombré dans la toxicomanie. Il a manqué des concerts, sa production musicale est devenue erratique et le groupe a implosé en 1973.

Arrêté à de multiples reprises en raison de ces problèmes de drogue, il a même un temps été SDF, vivant dans une camionnette, avant de réussir à sortir de cette spirale infernale. Dans ses mémoires, publiées en 2023, il disait avoir réussi à se sevrer en 2019.

Sly and the Family Stone avait été introduit au Hall of Fame du Rock & Roll en 1993.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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