Culture
Karine Meylan prend la tête du Musée romain de Lausanne-Vidy
Une femme va prendre la direction du Musée romain de Lausanne-Vidy. La Municipalité lausannoise a nommé vendredi Karine Meylan, actuelle conservatrice à l'ArchéoLab de Pully. Elle remplacera dès le 15 juin Laurent Flutsch à la suite de son départ à la retraite.
"Son expertise dans les disciplines de la muséologie, de l'archéologie et de la médiation culturelle lui permettra de poursuivre l'excellent travail mené par M. Flutsch au musée ces vingt dernières années et de faire face aux futurs enjeux notamment en matière d’accès à la culture", écrit la Ville dans un communiqué.
Née en 1981, Karine Meylan est titulaire d'un Master à l'Université de Lausanne en archéologie gallo-romaine, histoire ancienne et histoire ainsi que d'un certificat en pratique muséale de l'International Council of Museums (ICOM). Elle termine actuellement un doctorat en archéologie à l'Université de Lausanne, spécialisée dans le domaine de la médiation des sciences historiques.
Elle dispose d'une grande connaissance du domaine muséal de l'archéologie pour avoir travaillé plus de dix ans commeconservatrice à l'ArchéoLab et comme commissaire d'exposition, notamment à la Villa romaine d'Orbe-Boscéaz, au Musée des Arts et des Sciences de Sainte-Croix et à l'UNIL, détaille la Municipalité.
Hommages à Laurent Flutsch
La Municipalité de Lausanne témoigne aussi à Laurent Flutsch sa vive reconnaissance pour avoir, depuis plus de vingt ans, permis au Musée romain de Lausanne-Vidy de se positionner comme une institution de premier plan dans le domaine de l'archéologie en Suisse romande.
"Les nombreuses expositions présentées sous sa direction ont attiré et émerveillé des générations d'écoliers et marqué un public de tous âges par le caractère unique de l'expérience qui leur était offerte, en alliant intelligence, humour, originalité et rigueur scientifique", salue-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La star belge Stromae annonce un film sur sa tournée interrompue
La star belge Stromae a annoncé mardi un "film" sur sa tournée européenne "Multitude", qu'il avait dû interrompre en mai 2023 pour des raisons de santé.
Disant avoir besoin de "repos", il avait arrêté totalement sa tournée, déjà stoppée partiellement alors qu'elle devait durer jusqu'en décembre 2023. Il devait notamment se produire dans plusieurs villes en France, en Belgique et en Allemagne. En avril de cette année-là, il avait déjà annulé trois concerts prévus en Suisse, à Genève et Bâle.
"Merci du fond du coeur pour votre soutien", écrit-il mardi dans un post sur ses réseaux sociaux. "Votre gentillesse et votre empathie, suite à l'annulation de la fin de la tournée, m'ont énormément touché".
"Je suis conscient que cette situation a pu en décevoir certains et j'aurais aimé clôturer l'aventure Multitude sur une meilleure note. C'est pourquoi avec mon équipe (...), nous avons rassemblé l'ensemble des images existantes autour du live afin de vous offrir la possibilité de découvrir gratuitement le show ou de simplement le revivre", annonce-t-il. Et de conclure: "plus d'infos suivront bientôt. J'espère que le film vous plaira."
Essoré par une tournée mondiale XXL dans la foulée de l'album "Racine carrée" (2013), Stromae avait une première fois jeté l'éponge fin 2015, sapé par une dépression aggravée par les effets secondaires d'un antipaludique.
Celui qui compte parmi les artistes francophones les plus écoutés dans le monde était enfin remonté sur scène en 2022, pour présenter "Multitude". Ce troisième album lui avait permis de gagner une sixième et septième Victoire de la musique. Il avait confessé des "pensées suicidaires" dans "L'enfer", un morceau à la forte tonalité autobiographique paru en 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
L'actrice espagnole Marisa Paredes à Lausanne mardi prochain
La comédienne espagnole Marisa Paredes sera à la Cinémathèque suisse le mardi 17 septembre prochain à l'occasion d'une soirée spéciale en marge de la projection de "Hors saison" du cinéaste helvétique Daniel Schmid. La Madrilène y joue le rôle de l'actrice Sarah Bernhardt.
"Marisa Paredes sera présente au Capitole pour évoquer ses souvenirs de tournage et la personnalité du réalisateur suisse", écrit l'institution mardi dans un communiqué. "Hors saison", sorti en 1982, est le 8e long métrage du cinéaste disparu en 2006. Il s'agit d'une fiction qui a pour cadre un hôtel semblable à celui que les parents de Daniel Schmid tenaient à Flims dans les Grisons.
Née en 1946, Marisa Paredes a commencé comme actrice de théâtre et de cinéma dans les années 1960. Elle a accédé à la célébrité en tournant six fois pour le réalisateur Pedro Almodovar entre 1983 et 2011, notamment dans "Todo sobre mi madre" (Tout sur ma mère). Elle est l'une des sept actrices à avoir reçu le Prix national de cinéma du Ministère espagnol de la culture.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Musée d'art de Pully se met à la figuration narrative
Le Musée d'art de Pully consacre sa nouvelle exposition à la figuration narrative. Au travers de plus de 80 oeuvres, il propose de (re)découvrir un mouvement souvent méconnu de la scène artistique française des années 1960 et 1970.
A voir jusqu'au 15 décembre, les oeuvres proviennent de la Fondation Gandur pour l'Art de Genève, qui organise conjointement l'exposition, indique le musée pulliéran dans son communiqué de presse.
Il y rappelle que la figuration narrative est née à Paris au début des années 1960, où elle émerge "en réaction aux différents courants abstraits" dominant la scène artistique de l'époque. Nourrie de l'actualité politique, sociale, économique et culturelle, elle entretient "des liens esthétiques étroits avec le pop art anglo-saxon, tout en conservant son identité propre".
Critique et ironique
A Pully, l'exposition est divisée en six sections thématiques. Celles-ci montrent comment les artistes ont utilisé les images de la pop culture, de la bande dessinée, de la photographie, du cinéma ou de la publicité "pour développer un langage pictural porteur d'un engagement politique et social basé sur la représentation du quotidien".
Les artistes exposés à Pully viennent majoritairement de France, mais aussi d'autres pays européens. Leur regard est "à la fois critique et ironique" sur les années 1960-1970, deux décennies marquées notamment par la guerre froide et l'essor de la société de consommation des Trente Glorieuses.
Ces artistes ont su insuffler à leurs oeuvres "une réflexion authentique sur la production et la réception des images des médias de masse, ainsi que sur leur impact dans notre société contemporaine", résume le musée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Musée Jenisch présente le peintre-graveur Ferdinand Springer
A la suite d'une donation exceptionnelle, le Musée Jenisch à Vevey expose dès vendredi des oeuvres du peintre-graveur Ferdinand Springer (1907-1998). A la croisée entre plusieurs disciplines artistiques, elles sont à découvrir au Pavillon de l'estampe jusqu'au 12 janvier prochain.
Né à Berlin d'un père allemand et d'une mère suisse, Ferdinand Springer étudie l'histoire de l'art et la philosophie à Zurich. Il commence sa carrière artistique en tant que peintre à Milan puis à Paris. Dans les années 30, toujours dans la ville lumière, "il se familiarise avec le médium de l'estampe", attiré par son aspect "artisanal" et se découvre une passion pour le burin, raconte l'institution veveysanne dans son dossier de presse.
Ferdinand Springer expose ses oeuvres à Paris, Bâle et New York, puis installe en 1938 son atelier à Grasse (F). Avec la Seconde Guerre mondiale, il est interné environ un an dans un camp en Provence en raison de sa nationalité allemande.
De retour à Grasse, sa pratique artistique change. De graveur figuratif, "il s'oriente alors peu à peu vers l'abstraction, jouant avec des formes colorées au sein de compositions linéaires", poursuit le document.
Influences multiples
En 1942, il se réfugie dans l'Oberland bernois et découvre l'oeuvre de Paul Klee, qu'il décrit comme un véritable "choc émotionnel et artistique". Après la guerre, il retourne en France et se consacre avant tout à l'estampe et aux expérimentations techniques.
Dès les années 1960, il s'intéresse aux civilisations anciennes comme les cultures amérindiennes, les Aborigènes d'Australie ou l'Egypte ancienne. Son oeuvre est également marquée par une grande sensibilité à la musique. Ses combinaisons de formes "rappelant même parfois les portées d'une partition".
La nature occupe également une place de plus en plus importante dans son oeuvre avec "des formes suggérant végétaux, pierres aux textures et couleurs diverses dont la surface a été patinée par le temps". Le motif des galets lui parle particulièrement, comme en témoigne l'affiche de l'exposition.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
Incendie dans un dépôt de ferraille au Mont-sur-Lausanne
-
ClimatIl y a 1 jour
Réouverture de la route pour la vallée de Saas (VS) prévue mercredi
-
LausanneIl y a 1 jour
Le "J1" détrône le Crêt de la Neige pour le titre de toit du Jura
-
InternationalIl y a 2 jours
Les nouveaux iPhone à l'IA d'Apple attendus au tournant
-
InternationalIl y a 3 jours
L'équipe Red Bull de Roglic touchée par une "vague de maladies"
-
GenèveIl y a 2 jours
Alternatiba Léman fête les initiatives locales pour le climat
-
InternationalIl y a 2 jours
Un 5e or pour Catherine Debrunner, qui survole le marathon
-
InternationalIl y a 2 jours
Norvège: un aigle attaque un bébé avant d'être abattu