Culture
Vincent Fontana nouveau directeur du Musée d'Yverdon et région
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Neuf candidats au poste de directeur du MY ont été entendus parmi les 38 dossiers reçus, écrit mercredi le Conseil de fondation du Musée. Au second tour, le comité de nomination a retenu à l'unanimité l’historien moderniste de 37 ans.
La Fondation du Musée d’Yverdon a été séduite par sa vision très aboutie et ses idées d’exposition qui dénotent sa capacité à faire résonner histoires passée, présente et future. Il ne fait aucun doute, selon elle, que ce spécialiste des 18e et 19e siècles saura donner à l’institution un élan bénéfique et renforcer son identité comme pôle culturel majeur, ouvert sur la cité.
Riche parcours
Vincent Fontana a entamé son cursus académique par un master en histoire à l’Université de Genève (UNIGE) et en ethnologie à l’Université de Neuchâtel en 2008. Assistant, puis chargé d’enseignement à l’UNIGE, il obtient le Prix Arditi d’Histoire en 2010 et une bourse du FNS à l’Université de Paris Panthéon-Sorbonne où il étudie de 2013 à 2014.
Après une thèse de doctorat en histoire moderne en 2016 à Genève, il parachève sa formation en 2018 avec un "master of advanced studies" en conservation du patrimoine et muséologie. Il a par ailleurs travaillé au Musée cantonal d’archéologie et d’histoire de Lausanne et au Musée d’ethnographie de Genève. Parallèlement, M. Fontana a effectué de nombreux mandats privés de valorisation du patrimoine.
Vincent Fontana prendra officiellement ses fonctions de directeur le 1er septembre prochain. Dans l’intervalle, l’intérim continuera d’être assuré par Corinne Sandoz. L'ancienne directrice, France Terrier, avait quitté le musée le 30 septembre 2019 après 27 ans à sa tête.
Culture
L'actrice Michelle Yeoh honorée à la prochaine Berlinale
L'actrice malaisienne Michelle Yeoh recevra un Ours d'or d'honneur pour l'ensemble de sa carrière lors du prochain festival du film de Berlin en février, ont annoncé les organisateurs vendredi.
Michelle Yeoh, 63 ans, sera récompensée pour ses "réalisations exceptionnelles dans le domaine du cinéma", a souligné le festival dans un communiqué. "Michelle Yeoh est une artiste et interprète visionnaire dont le travail transcende les frontières - qu'elles soient géographiques, linguistiques ou cinématographiques", a déclaré Tricia Tuttle, directrice de la Berlinale.
Le prix lui sera remis lors de la cérémonie d'ouverture, le 12 février 2026. La Berlinale, qui se tiendra du 12 au 22 février, est le premier grand rendez-vous cinématographique de l'année en Europe et figure, avec Cannes et Venise, parmi les incontournables du continent.
Michelle Yeoh en a été membre du jury en 1999, puis en a occupé l'écran dans "Tigre et Dragon" et "Everything Everywhere All at Once". Elle a remporté l'Oscar de la meilleure actrice en 2023 pour son rôle dans "Everything Everywhere All at Once", devenant la première femme asiatique à recevoir cette distinction.
Ses débuts dans le cinéma remontent aux années 1980, avant une percée à Hollywood en 1997 comme première James Bond girl d'origine chinoise dans "Demain ne meurt jamais", aux côtés de Pierce Brosnan.
Parmi quatre décennies de filmographie, elle a aussi marqué le public avec ses rôles dans le film d'arts martiaux oscarisé "Tigre et Dragon" en 2000, le drame historique "Mémoires d'une geisha" en 2005 et la comédie romantique "Crazy Rich Asians" en 2018.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
The Offspring, Orelsan et Aya Nakamura aux Eurockéennes 2026
The Offspring, Orelsan et Aya Nakamura sont les têtes d'affiche de l'édition 2026 des Eurockéennes de Belfort, a annoncé vendredi le festival, qui se tiendra du 2 au 5 juillet.
Rock, métal, pop, rap, électro... "C'est une programmation éclectique, dans l'esprit des Eurockéennes", a résumé devant la presse le programmateur du festival, Kem Lallot.
L'édition 2026 débutera par un jeudi "énervé", avec le groupe de punk-rock américain The Offspring, créé en 1986, qui n'a prévu que deux concerts en France l'an prochain, aux Eurockéennes et au Hellfest, selon M. Lallot.
Avec 26 artistes annoncés vendredi, le festival a dévoilé la moitié de sa programmation. On y retrouvera le vendredi soir l'incontournable Orelsan, le rappeur français qui vient de sortir un nouvel album.
Le rappeur Vald proposera un projet commun avec Vladimir Cauchemar et Todiefor, alors que le phénomène rap de l'année, L2B, sera aussi de la partie. "C'est le deuxième groupe de rap le plus écouté dans le monde derrière les Américains Migos", assure Anthony Fernandes, l'un des responsables de la programmation, évoquant le classement des formations d'au moins trois membres.
L2B a été à l'origine d'incidents à Paris en octobre à l'occasion d'un concert gratuit aux Halles qui a attiré quelque 2000 personnes.
Pulp, "les hérauts de la britpop"
Les nostalgiques feront un bond dans le passé le samedi soir avec les Anglais de Pulp, programmé une seule fois aux Eurockéennes... en 1998. "Ce sont les hérauts de la britpop", rappelle Jean-Paul Roland, le directeur du festival. La figure de la techno française Anetha aura aussi la charge d'animer la soirée du samedi.
Aya Nakamura enflammera la scène le dimanche, avec son tube planétaire Djadja. "C'est l'artiste francophone la plus écoutée dans le monde", rappelle Anthony Fernandes, évoquant sa prestation "mémorable" avec la Garde républicaine lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris.
Feu! Chatterton pourra enfin se produire aux Eurockéennes: le concert du groupe avait été annulé en 2022 pour cause de tempête. Les Français, aux influences d'Alain Baschung, Georges Brassens ou Léo Ferré, sortent un nouvel album, Labyrinthe.
Ouverture de la billetterie le 17 novembre à 12 heures.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Bad Bunny remporte le Grammy Latino de l'album de l'année
La vedette du reggaeton et du rap latino Bad Bunny a remporté jeudi le prix de l'album de l'année pour "DeBÍ TiRAR MáS FOToS" lors des Grammy Latino, récompensant la musique hispanophone et lusophone à Las Vegas. Il s'est adjugé cinq récompenses au total.
Le chanteur portoricain de 31 ans a aussi été distingué pour la meilleure performance urbaine/fusion urbaine, meilleure performance reggaeton, meilleur album urbain et meilleure chanson urbaine. Il était notamment en compétition avec le duo argentin Ca7riel & Paco Amoroso, reparti avec cinq récompenses.
Cette reconnaissance marque une année en or pour Bad Bunny, de son vrai nom Benito Antonio Martínez Ocasio, qui vient d'achever une série de concerts à guichets fermés sur son île de Porto Rico et doit débuter une tournée mondiale ce mois-ci.
Etats-Unis évités
Cette tournée évitera les Etats-Unis, Bad Bunny craignant que ses fans ne soient pris pour cible par la police de l'immigration en marge des concerts. Seule exception: son spectacle pour la mi-temps du Super Bowl, le 8 février en Californie.
Il succédera à des vedettes comme Madonna ou Beyoncé comme tête d'affiche de la finale du championnat de football américain, devant des dizaines de millions de téléspectateurs.
Ce choix a indigné des partisans du président américain Donald Trump, qui reprochent notamment à Bad Bunny de chanter exclusivement en espagnol ou de brouiller les frontières entre les genres avec ses vêtements ou son maquillage.
L'artiste avait expliqué en espagnol sur la chaîne télévisée américaine NBC que sa présence au Super Bowl était "une victoire" pour tous les Latinos aux Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Des oeuvres hivernales à découvrir à la Maison Tavel
A Genève, la Maison Tavel met l'hiver à l'honneur en présentant une quarantaine d'oeuvres, principalement des peintures et des photographies, issues des collections publiques. L'exposition "Quel froid!" est à découvrir dès jeudi et jusqu'à fin août au premier étage du bâtiment historique de la Vieille-Ville.
L'exposition s'ouvre sur "Coucher de soleil en haute montagne" (1913) de Luigi-Tony Laforêt, une toile lumineuse qui représente un paysage au-dessus du village de Kippel (VS) par grand froid. Selon une note manuscrite du peintre au dos du tableau, il faisait entre -20 et -30 degrés. Et l'artiste a ajouté "Che freddo!", soit "Quel froid!", ce qui a donné le titre de l'exposition.
Les oeuvres sont accrochées sur "des parois blanches comme neige", a expliqué jeudi Laurie Bischoff, commissaire de l'exposition. Les photographies et les peintures se répondent. L'oeuvre "Le Léman et Le Mont-Blanc en février" (1918) de Ferdinand Hodler est associée à une image du photographe David Wagnières, qui représente deux nageuses de la Coupe de Noël.
La neige du siècle
Une salle est consacrée à la pratique du ski et du patin à glace. Le public peut ainsi découvrir les peintures du 19e siècle d'Alfred Dumont et d'Eugène Sordet qui illustrent les marais gelés de Rouelbeau dans la campagne de Meinier. L'exposition révèle aussi une facette peu connue d'Eugène Sordet: excellent patineur, il a rédigé un manuel dédié à cette pratique.
Des images de la RTS datant de février 1985 plongent aussi le visiteur dans l'ambiance hivernale. L'arc lémanique avait été recouvert d'une épaisse couche de neige, incitant les habitants à sortir des luges et des skis au centre-ville. Ces chutes de neige sont restées dans la mémoire collective, comme "la neige du siècle".
Une sélection de photographies raconte aussi Genève sous la neige au fil des années. A découvrir également des oeuvres plus contemporaines, dont une chaufferette électrique qui a été donnée par l'artiste genevois John Armleder ou l'iconique bonnet Credit Suisse.
De nouveaux espaces
Inaugurée en 1986, la Maison Tavel qui est un musée consacré à l'histoire urbaine et la vie quotidienne, accueille chaque année environ 60'000 visiteurs. L'institution a renouvelé ses espaces en proposant notamment un salon dédié à la musique, une cour-jardin réaménagée et une salle en sous-sol consacrée au coeur de la collection du musée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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