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Au Parc, le PSG devra être royal pour rallier la finale de la C1

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Luis Enrique veut emmener le PSG en finale de la Champions League (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Victorieux à Londres à l'aller (1-0), le PSG a rendez-vous mercredi avec son public. Face à Arsenal, le club veut écrire l'une des plus grandes pages de son histoire, en se hissant en finale de la C1.

Le PSG a déjà connu une finale, perdue en 2020 face au Bayern à Lisbonne, mais la période de pandémie était alors bien moins propice à la fête collective. Mercredi au contraire, le Parc des Princes va se parer de ses plus beaux atours pour soutenir son équipe qui a su déjouer les pronostics après son début de saison laborieux pour atteindre le dernier carré de la plus prestigieuse compétition continentale.

Des groupes de supporters espèrent pouvoir organiser des rassemblements aux abords du stade pour ceux qui n'auraient pas pu obtenir de billet.

Depuis la victoire à l'Emirates stadium mardi dernier, le PSG essaie de préparer le match retour comme s'il n'était pas en ballottage favorable pour rallier Munich le 31 mai, afin d'écarter le spectre des traumatisantes remontées subies lors de son histoire européenne récente. Il faudra aussi oublier la demi-finale retour de l'an dernier - défaite 1-0 contre Dortmund synonyme d'élimination - alors même que le Parc devait transcender les joueurs.

L'entraîneur Luis Enrique l'a confié fin mars: "Je travaille tous les jours pour éviter le relâchement. Tous les adversaires recèlent des difficultés et ont la motivation de nous battre. L'excès de joie peut te brouiller les idées".

A l'aller justement, le PSG a peut-être profité de cet apparent "excès de joie" d'Arsenal qui venait d'éliminer le Real Madrid, en surprenant les Anglais dans leur stade avec un but précoce d'Ousmane Dembélé.

Forcer le destin

Celui qui s'est mué cette saison en prolifique attaquant (28 buts depuis son replacement en "faux numéro 9" en décembre) devrait être apte à jouer mercredi soir. Une bonne nouvelle, puisque sa sortie sur blessure à la 70e minute à Londres avait charrié quelques doutes.

Le club a rassuré sur son compte vendredi, estimant que son "étirement musculaire des ischio-jambiers de la cuisse droite (...) évoluait favorablement". Ousmane Dembélé a enchaîné deux entraînements collectifs en début de semaine et Luis Enrique a dit mardi que son joueur était "disponible" pour jouer la demi-finale.

Les autres de l'entraîneur ne sont pas convaincants pour le rôle de "faux neuf", entre Gonçalo Ramos, un avant-centre classique, Bradley Barcola, qui est surtout un bon ailier et Désiré Doué, brillant partout ailleurs mais moins à ce poste. Sans parler de Lee Kang-in, qui n'a jamais convaincu dans ce registre si particulier.

De son côté, Arsenal, qui déplore de nombreux blessés depuis plusieurs mois, enregistre le retour de suspension du milieu de terrain Thomas Partey. Sa présence pourrait changer la physionomie du match par rapport à l'aller, où Paris avait globalement réussi à contrôler l'entre-jeu londonien.

"Rage"

Si Paris vient de perdre deux matches de Ligue 1, sans enjeu puisqu'il est déjà champion, les Gunners ont concédé samedi leur quatrième défaite de la saison en Premier League, à domicile contre Bournemouth (2-1).

"Nous avions dit que nous voulions créer une bonne atmosphère, qu'un résultat positif nous aiderait vraiment à bâtir ce que nous voulions pour mercredi", a regretté l'entraîneur Mikel Arteta. "Ce que nous avons créé maintenant, c'est beaucoup de rage, de colère, de frustration et une sensation désagréable dans le ventre. Nous devons donc nous en servir mercredi pour réaliser une grosse performance à Paris, gagner le match et remporter la finale."

Arsenal essaiera de prendre pour référence sa victoire probante le 1er octobre contre le PSG (2-0), mais le club français n'était alors pas le même. Depuis, Paris est devenu plus intense au pressing, plus solidaire et plus efficace à la finition. Au point de vaincre Manchester City (4-2) ou encore Liverpool aux tirs aux buts en huitièmes de finale, avant d'assurer l'essentiel contre Aston Villa en quarts.

De quoi nourrir, chez les supporters, l'espoir d'une première Ligue des champions, obsession du club depuis son rachat par Qatar Sports Investments en 2011.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Belle occasion pour Sion et Winterthour

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Les Valaisans ont l'occasion de se mettre à l'abri mardi soir. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Sion a l'occasion de se tirer d'affaire ce soir lors de l'antépénultième journée du tour de relégation du Super League. Une victoire à Tourbillon contre St-Gall mettrait les Valaisains à l'abri.

Dans le même temps, Winterthour, l'équipe en forme qui s'en va affronter le FC Zurich (également à 20h30), veut poursuivre sur sa lancée et distancer les deux derniers, Yverdon et Grasshopper, qui s'affrontent mercredi à Zurich.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sandro Schärer arbitrera la finale de la Ligue des nations

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Sandro Schärer dirigera la finale de la Ligue des nations (© KEYSTONE/DPA/ROBERT MICHAEL)

Un Suisse dirigera la finale de la Ligue des nations à Munich le 8 juin. Le Schwytzois Sandro Schärer a en effet été désigné par l'UEFA pour arbitrer cette prestigieuse rencontre.

Il aura l'aide de ses assistants Jonas Erni et Stéphane De Almeide, alors que Fedayi San officiera comme Video Assistant Referee. L'arbitre suisse a déjà dirigé cette saison la Supercoupe de l'UEFA, cinq matches de Ligue des champions, quatre en Europa League et un en Conference League. Il a aussi sifflé lors de trois parties de Ligue des nations.

Lors du Final Four, les demi-finales mettront aux prises l'Allemagne et le Portugal le 4 juin à Munich et la France et l'Espagne le 5 à Stuttgart. La finale opposera les deux vainqueurs dans la capitale bavaroise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Des dizaines de milliers de Bâlois fêtent leurs héros

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Euphorie en ville de Bâle après le 21e titre de champion du FCB. (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Des dizaines de milliers de supporters et d'habitants fiers de leur équipe ont célébré durant des heures dimanche soir et dans la nuit le 21e titre de champion de Suisse du FC Bâle.

La fête fut d'autant plus belle que les Rhénans avaient connu une éclipse depuis 2017.

La Bärfusserplatz a été le coeur de la fiesta. L'équipe championne s'est réunie vers 20h30 sur le balcon du casino de la ville pour saluer la foule enthousiaste. Ce titre doit énormément au retour de l'enfant prodige, Xherdan Shaqiri, décisif et efficace en particulier dans la dernière phase du Championnat.

L'apparition de "XS" sur le balcon a provoqué l'euphorie. Tout comme celle de Taulant Xhaka, autre star de l'équipe, qui prendra bientôt sa retraite.

Une bonne partie de la ville arborait les couleurs rouge et bleu de l'équipe, dans un élan d'autant plus fort et joyeux qu'il coïncidait avec les festivités en ouverture du Concours Eurovision de la chanson, qui voit déjà affluer des dizaines et bientôt des centaines de milliers de visiteurs en vue du week-end prochain.

"Je n'avais pas pensé vivre ça comme ça", a lancé, ému, le président et ancien joueur du FCB David Degen. Le coach assistant Davide Callà a promis aux fans que l'équipe réaliserait le doublé. Il faudra pour cela vaincre le FC Bienne (formation de Promotion League) en finale de la Coupe le 1er juin au Wankdorf.

Les autorités bâloises avaient donné leur feu vert pour ces festivités en ville, dans une sorte de double vacarme avec celles, fortes en décibels, marquant le lancement de l'Eurovision. Mais la fête officielle du titre de champion reste agendée au 24 mai.

XS taille XXL

Les médias suisses ont souligné l'importance de ce nouveau sacre pour le club, après une traversée du désert qui a vu le FCB évoluer dans l'ombre, notamment, des Young Boys.

"Ce titre représente une surprise, comme rarement il en a été", relève la NZZ. L'explication, c'est Xherdan Shaqiri, simplement, écrit la Basler Zeitung, pour qui ce sacre est indissociable du no 10 au pied gauche magique.

Critique, lematin.ch estime que ce trophée est le résultat du niveau médiocre de la concurrence. Cette explication ne franchit guère la Sarine.

CH-Media est nuancé: "Affirmer que Bâle est redevenu champion parce que YB a failli n'est pas faux, mais représente seulement une partie de la vérité. Avec un Shaqiri aussi impressionnant, YB aurait dû sérieusement hausser le niveau pour barrer la route aux Bâlois (...). Les Bernois doivent avoir le courage de corriger leurs erreurs. Car la fin d'une ère (de domination) arrive souvent plus vite qu'on ne le pense. Les Bâlois le savent mieux qui quiconque, eux qui semblaient invincibles en 2017 après leur 8e titre d'affilée", suivi par une longue éclipse et, donc, la renaissance d'aujourd'hui, note CH-Media.

Lematin.ch relève encore, lui, que cette saison sera à oublier rapidement, rarement le niveau du Championnat ayant été selon lui aussi médiocre ces dernières années.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'Inter fait le job et revient à 1 point de Naples

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L'Inter de Simone Inzaghi est revenu à 1 point de Napoli en Serie A (© KEYSTONE/EPA/Alessandro Di Marco)

L'Inter Milan a fait le job dimanche en Championnat d'Italie.

Les Nerazzurri, qui se sont imposés 2-0 sous une pluie diluvienne sur le terrain du Torino lors de la 36e ronde, reviennent même à une longueur du leader Naples à deux journées de la fin.

Futur adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions, l'Inter a rempli sa mission avec une équipe-bis. Le coach Simone Inzaghi avait procédé à neuf changements par rapport à l'équipe victorieuse du FC Barcelone mardi en Ligue des champions, laissant notamment au repos le héros de la qualification Yann Sommer.

Cinq jours après sa retentissante et renversante qualification pour la finale de C1 à Giuseppe-Meazza, l'Inter s'est imposé grâce à un but de Nicola Zalewski (14e) et à un penalty transformé par Kristjan Asllani (49e). Malgré les trombes d'eau, qui ont provoqué une longue interruption à la mi-temps.

Napoli a en revanche manqué son affaire en soirée, se contentant d'un nul 2-2 face au Genoa qui avait titularisé à la surprise générale le gardien bâlois Benjamin Siegrist, champion du monde M17 en 2009. Les Napolitains ont mené deux fois au score mais ont concédé l'égalisation à la 84e minute. La lutte pour le Scudetto n'est donc pas terminée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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