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International

Barcelone: Rafael Nadal sorti au 2e tour

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Beaucoup d'engagement mais en vain pour Nadal (© KEYSTONE/EPA/Enric Fontcuberta)

Rafael Nadal (ATP 644) n'a pas enchaîné au tournoi ATP 500 de Barcelone. Le vétéran espagnol a été éliminé dès le 2e tour par l'Australien Alex de Minaur (ATP 11), vainqueur 7-5 6-1.

Dans l'un de ses jardins - il y a remporté douze finales -, le Majorquin de 37 ans a résisté pendant un set à son adversaire. Il a ensuite dû baisser pied, sans néanmoins trahir de gêne sur le plan physique.

Plombé par des douleurs à répétition, l'homme aux 22 succès en Grand Chelem n'avait plus joué sur le circuit ATP, avant cette semaine, depuis une blessure à la hanche à Brisbane début janvier. Ce coup d'arrêt en Catalogne démontre qu'un quinzième sacre à Roland-Garros dans un peu moins de deux mois reste une hypothèse hautement improbable.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Attaque à l'épée à Londres, un garçon de 13 ans tué

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Un garçon de 13 ans a été tué mardi par un homme armé d'une épée dans l'est de Londres (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/KERIM OKTEN)

Un garçon de 13 ans a été tué mardi, victime d'un homme armé d'une épée dans l'est de Londres. L'agresseur a aussi blessé quatre personnes, dont deux policiers, a annoncé la police

"C'est avec une grande tristesse que je peux confirmer que l'un des blessés dans l'attaque, un garçon de 13 ans, est décédé", a annoncé le responsable de la police Stuart Bell dans une déclaration à la presse. Un homme de 36 ans a été arrêté. La police a précisé que l'attaque ne semblait pas liée au terrorisme.

Des images diffusées sur les réseaux sociaux et reprises par les médias britanniques montrent un homme blanc, légèrement barbu, vêtu d'un pantalon noir et d'un sweat à capuche jaune, épée en main, marchant erratiquement devant des maisons, tandis que des voitures de police encadrent la scène.

Le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a dénoncé un "incident choquant". "Mes pensées vont aux personnes touchées et à leur famille", a-t-il écrit sur X.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Beat Jans soutient le pacte européen sur l'asile

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Le conseiller fédéral Beat Jans a discuté lundi et mardi à Gand (Belgique) de la mise en ½uvre du pacte européen sur l'asile et la migration. (Image symbolique) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le conseiller fédéral Beat Jans a discuté lundi et mardi avec ses homologues européens de la mise en ½uvre du pacte de l'UE sur l'asile et la migration. Du point de vue de la Suisse, le pacte est un progrès, a déclaré M. Jans mardi à l'issue de la conférence.

La mise en oeuvre du pacte ne nécessitera pas de chamboulement complet des procédures suisses, a indiqué le chef du Département fédéral de justice et police (DFJP) à l'agence de presse Keystone-ATS depuis Gand, en Belgique. Il s'agira d'harmoniser les différentes données et processus avec l'Union européenne (UE), a-t-il poursuivi.

Début avril, le Parlement de l'Union européenne a approuvé une réforme dans le domaine de l'asile et de la migration. Celle-ci prévoit que les procédures d'asile aient lieu aux frontières extérieures de l'espace Schengen. Afin de soulager notamment les pays situés aux frontières sud, un mécanisme dit de solidarité est également prévu.

Certains pans seront contraignants pour la Suisse, car ils constituent des développements de l'acquis de Schengen et Dublin, précise le DFJP dans un communiqué.

Il s'agit notamment de nouvelles règles pour la procédure Dublin, d'un cadre normatif pour les situations de crise et de modifications du règlement Eurodac. La Suisse a deux ans pour reprendre ces dispositions.

Mécanisme de solidarité pas obligatoire

Le nouveau mécanisme de solidarité, qui prévoit des relocalisations ou le versement de contributions financières aux Etats qui subissent une forte pression migratoire, n'est lui pas contraignant pour la Suisse. Elle peut néanmoins décider de s'y associer. La Suisse n'est pas non plus liée par les nouvelles procédures aux frontières extérieures de Schengen.

Le chef du DFJP a encore tenu à rappeler l'importance de la sauvegarde des droits fondamentaux: le droit de demander l'asile est un droit intangible.

Le conseiller fédéral a aussi évoqué les expériences positives faites avec la procédure d'asile accélérée, introduite en 2019, et dont la Suisse pourra tirer parti pour mettre en ½uvre le pacte européen sur la migration et l'asile.

Un progrès

Les nouvelles règles seront aussi profitables pour la Suisse, car elles permettront d'endiguer les migrations secondaires et renforceront la sécurité grâce aux contrôles aux frontières extérieures. Il est prévu que les nouvelles dispositions s'appliquent à partir du milieu de 2026.

Même s'il n'est pas parfait, ce pacte est un progrès, a souligné Beat Jans: il est la preuve que l'UE peut faire avancer les choses dans le domaine de l'asile et des migrations.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le roi Charles III reprend ses engagements publics

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Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée. (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Le roi Charles III s'est rendu mardi dans un centre de traitement contre le cancer à Londres, son premier engagement public officiel depuis qu'il a annoncé il y a trois mois qu'il souffrait lui-même de cette maladie.

Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée, durant laquelle il devait rencontrer patients et médecins au centre Macmillan de l'University College Hospital.

Arrivé en voiture, il a serré des mains avant de rentrer dans le bâtiment.

Traitement en cours

Charles III suit toujours un traitement pour son cancer, découvert après une opération de la prostate en janvier, et dont la nature n'a jamais été précisée.

Mais le palais de Buckingham, prudemment optimiste, avait annoncé vendredi dernier que ses médecins étaient "suffisamment satisfaits des progrès accomplis jusqu'à présent" pour lui permettre une reprise graduelle de ses activités publiques, adaptée à son état de santé.

Ses engagements seront "soigneusement calibrés" en "concertation étroite avec ses médecins", a précisé Buckingham palace.

Le roi et la reine doivent aussi recevoir en juin à une date non précisée l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

D'autres engagements possibles - Royal Ascot, 80 ans du D-Day, Trooping the Color en juin, traditionnelles garden parties - seront conditionnés à l'avis de ses médecins, plus près de leur date.

Après l'annonce de son cancer début février, neuf mois après son couronnement, Charles III avait suspendu ses activités publiques. Mais il a continué ses tâches de monarque constitutionnel selon Buckingham palace. Elles prévoient notamment qu'il signe les lois, s'entretienne régulièrement avec le Premier ministre et valide certaines nominations.

Le palais a régulièrement diffusé des photos ou de très courtes vidéos de lui recevant des personnalités, préparant un discours, ou lisant des cartes de bon rétablissement.

Impatient de reprendre, selon son neveu Peter Phillips, Charles III s'était offert un bref bain de foule au sortir des matines à la chapelle du château de Windsor le dimanche de Pâques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

L'UE met la pression sur Facebook et Instagram avant les élections

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Les réseaux sociaux Facebook et Instagram sont soupçonnés de ne pas respecter leurs obligations en matière de lutte contre la désinformation (archives). (© KEYSTONE/AP/JENNY KANE)

La Commission européenne a ouvert mardi une enquête contre les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Ils sont soupçonnés de ne pas respecter leurs obligations en matière de lutte contre la désinformation à cinq semaines des élections européennes.

Des dirigeants se sont inquiétés récemment de possibles manipulations de l'opinion par la Russie.

"Cette Commission a mis en place des outils pour protéger les citoyens européens de la désinformation et de la manipulation par des pays tiers", a souligné la présidente Ursula von der Leyen. "Si nous soupçonnons une violation des règles, nous agissons. C'est toujours vrai, mais particulièrement en période d'élections".

Bruxelles a listé quatre principaux griefs. Le premier concerne une modération "insuffisante" des publicités par Meta. La Commission épingle la diffusion d'un grand nombre d'annonces "qui présentent un risque pour les processus électoraux", évoquant des "campagnes publicitaires liées à une manipulation d'information de l'étranger".

Meta n'a pas directement commenté la procédure. "Nous disposons d'un processus bien établi pour identifier et atténuer les risques sur nos plateformes. Nous sommes impatients de poursuivre notre coopération avec la Commission européenne et de leur fournir de plus amples détails sur ce travail", a réagi un porte-parole.

L'exécutif bruxellois critique aussi le fait que Meta diminue la visibilité de contenus politiques dans les systèmes de recommandations d'Instagram et Facebook, une pratique contraire aux obligations de transparence du DSA.

La Commission soupçonne par ailleurs le mécanisme mis en place par Meta pour permettre aux utilisateurs de signaler des contenus illégaux de ne pas respecter la réglementation. Il ne serait pas suffisamment facile d'accès et d'utilisation.

Enfin, Bruxelles reproche à Meta son projet de supprimer un outil considéré comme essentiel pour repérer et analyser la désinformation sur Facebook et Instagram, sans solution adéquate de remplacement.

Possibles sanctions

Meta a annoncé début avril que son outil "CrowdTangle" ne serait plus disponible après le 14 août au grand dam de nombreux chercheurs et journalistes qui l'utilisent pour suivre en temps réel la propagation de théories du complot, d'incitations à la violence ou de campagnes de manipulation pilotées de l'étranger.

"Dans le sillage des élections européennes qui auront lieu du 6 au 9 juin 2024 et d'une série d'autres élections qui se dérouleront dans les États membres", cette suppression pourrait réduire "les capacités de suivi des fausses informations", s'inquiète la Commission.

Elle demande à Meta de l'informer, dans un délai de cinq jours, sur "les mesures correctives" prises pour assurer un contrôle public des contenus diffusés, sous peine de possibles sanctions.

Il s'agit de la cinquième enquête formelle lancée par Bruxelles dans le cadre du nouveau règlement sur les services numériques (DSA) entré en application l'an dernier pour lutter contre les contenus illégaux en ligne.

TikTok déjà visé

La Commission a déjà ouvert deux enquêtes visant TikTok, dont une a poussé la semaine dernière cette filiale du chinois ByteDance à suspendre une fonction controversée de sa nouvelle application TikTok Lite qui récompense les utilisateurs pour le temps passé devant les écrans. Cette fonctionnalité est suspectée de créer des risques d'addiction chez les adolescents.

Une procédure avait été lancée début mars contre le géant chinois du commerce en ligne AliExpress, filiale d'Alibaba, soupçonné de ne pas suffisamment lutter contre la vente de produits dangereux comme des faux médicaments.

La première enquête formelle portait déjà sur des risques liés à la désinformation. Elle avait été initiée le 18 décembre contre le réseau social X (ex-Twitter) pour des manquements présumés en matière de modération des contenus et de transparence.

Le règlement sur les services numériques s'applique depuis fin août aux plateformes en ligne les plus puissantes comme X, TikTok ainsi que les principaux services de Meta (Facebook, Instagram), Apple, Google, Microsoft ou Amazon.

Au total, 23 très grands acteurs de l'internet, dont trois sites pornographiques (Pornhub, Stripchat et XVideos), ont été placés sous la surveillance directe de la Commission européenne, qui a recruté plus d'une centaine d'experts à Bruxelles pour assumer son nouveau rôle de gendarme du numérique.

Les contrevenants s'exposent à des amendes pouvant atteindre jusqu'à 6% de leur chiffre annuel mondial, voire à une interdiction d'opérer en Europe en cas de violations graves et répétées.

L'AFP participe dans plus de 26 langues à un programme de fact-checking développé par Facebook, qui rémunère plus de 80 médias à travers le monde pour utiliser leurs "fact-checks" sur sa plateforme, sur WhatsApp et sur Instagram.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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