International
Blue Origin s'apprête à retrouver l'espace
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L'entreprise spatiale américaine Blue Origin doit faire redécoller lundi sa fusée New Shepard pour la première fois depuis un accident survenu il y a plus d'un an, marquant ainsi le grand retour dans les airs de la compagnie fondée par le milliardaire Jeff Bezos.
La fenêtre de tir pour le lancement depuis l'ouest du Texas s'ouvre à 08H30 locales (14H30 GMT), a fait savoir Blue Origin, qui retransmettra le vol en direct sur son site internet.
La mission, nommée NS-24, ne transportera personne mais des expériences scientifiques seront menées à bord, dont plus de la moitié sont développées avec le soutien de la Nasa.
L'accident, survenu en septembre 2022, s'était soldé par le crash de l'étage de propulsion de la fusée, qui ne transportait pas de passagers.
Une enquête avait été ouverte par le régulateur américain de l'aviation (FAA), qui a conclu en septembre que l'accident avait été causé par "une température opérationnelle du moteur plus élevée que prévue".
La FAA avait demandé des changements à l'entreprise spatiale avant que les vols ne puissent reprendre. Ces "actions correctives" comportaient notamment la modification du design de certaines composantes du moteur.
Le régulateur a confirmé dimanche à l'AFP avoir approuvé la licence de vol modifiée déposée par Blue Origin.
Tourisme spatial
La fusée New Shepard est notamment utilisée par l'entreprise pour des vols de tourisme spatial depuis le Texas.
Elle a déjà transporté 31 personnes pour des voyages de quelques minutes au-dessus de l'ultime frontière, dont le fondateur de la compagnie Jeff Bezos.
La fusée est composée d'un étage de propulsion et, à son sommet, de la capsule transportant sa cargaison.
Lors de la mission nommée NS-23, le système d'éjection automatique de la capsule s'était déclenché et celle-ci était retombée au sol ralentie par ses parachutes.
L'étage principal avait lui été détruit en frappant le sol, au lieu d'atterrir de façon contrôlée pour être réutilisé, comme habituellement.
Tous les débris étaient retombés dans la zone de sécurité désignée, avait noté la FAA en septembre.
Blue Origin est en concurrence sur le créneau des vols courts de tourisme spatial avec Virgin Galactic, entreprise fondée par le milliardaire britannique Richard Branson.
Mais Blue Origin développe également un lanceur lourd, nommé New Glenn, dont elle prévoit le premier vol en 2024. Avec ses 98 mètres de haut, la fusée New Glenn doit pouvoir emporter jusqu'à 45 tonnes en orbite terrestre basse -- une toute autre échelle que les vols suborbitaux de New Shepard.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
France: le Premier ministre veut supprimer deux jours fériés
Le gouvernement français veut supprimer deux des onze jours fériés officiels pour que "l'activité du pays dans son ensemble soit plus importante", a annoncé mardi le Premier ministre François Bayrou en présentant des mesures pour améliorer les finances publiques.
Le chef du gouvernement propose de travailler "le lundi de Pâques, qui n'a aucune signification religieuse, et le 8-Mai (commémoration de la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe, ndlr)", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse, estimant que cette mesure "rapportera plusieurs milliards au budget de l'Etat".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La prison pour avoir détruit l'arbre le plus célèbre d'Angleterre
Deux hommes ont été condamnés mardi à quatre ans et trois mois de prison par le tribunal de Newcastle pour avoir tronçonné l'arbre le plus célèbre d'Angleterre près du mur d'Hadrien, deux ans après cet acte de vandalisme qui avait ému au-delà du Royaume-Uni.
Daniel Graham, 39 ans, et Adam Carruthers, 32 ans, ont écopé de la même peine. Ils risquaient jusqu'à dix ans de prison pour ce que le procureur Richard Wright avait qualifié de "mission débile".
La juge Christina Lambert qui les a condamnés a souligné que leurs actions avaient impliqué un "haut degré de planification et de préparation" et provoqué "choc et stupéfaction".
Le "Sycamore Gap Tree", érable sycomore majestueux niché depuis plus de 100 ans entre deux collines dans un paysage spectaculaire du Northumberland (nord), était l'un des arbres les plus photographiés d'Angleterre.
Il était connu dans le monde entier depuis son apparition dans "Robin des Bois: Prince des voleurs" avec Kevin Costner en 1991.
Dans la nuit du 27 au 28 septembre 2023, les deux amis, armés d'une tronçonneuse, avaient conduit pendant 40 minutes jusqu'à un parking, marché 20 minutes dans l'obscurité et l'un d'eux avait filmé l'autre pendant qu'il abattait l'arbre, lui envoyant ensuite la vidéo.
Ils avaient également emporté un morceau du tronc comme trophée, et les dégâts s'élèvent a minima à 458'000 livres (527'000 euros) selon l'accusation.
Andrew Poad, l'un des responsables de l'organisation National Trust, chargée de la gestion du site, a évoqué un acte "dépassant l'entendement", dans une déclaration lue avant le verdict.
"Juste un arbre"
Le lendemain de leur méfait, Daniel Graham et Adam Carruthers s'étaient délectés de la couverture médiatique de l'affaire, se félicitant d'une histoire devenue "virale" en s'envoyant messages vocaux et articles de presse.
Mais les deux hommes n'ont jamais expliqué pourquoi ils s'en étaient pris au célèbre sycomore.
Pendant leur procès en mai à Newcastle (nord-est), où ils ont tous les deux été reconnus coupables, Carruthers a expliqué qu'il ne comprenait pas l'émotion provoquée par la destruction de l'érable. C'était "juste un arbre", a-t-il dit.
Après avoir d'abord nié les faits et s'être renvoyé la faute, les anciens amis ont avoué avoir participé à l'opération. L'un d'eux a affirmé qu'ils étaient en état d'ébriété, ce qui n'a pas convaincu le parquet.
Daniel Graham avait déjà été condamné, entre autres, pour des infractions à l'ordre public en 2021 et 2022. Son téléphone portable et sa voiture avaient été localisés près du site après la chute de l'arbre.
Celle-ci a endommagé le mur d'Hadrien, une fortification romaine de 135 km de long construite entre 122 et 127 apr. J.-C. et inscrite sur la liste du patrimoine mondial par l'Unesco.
Les jurés ont pu voir une vidéo tournée de nuit, dans laquelle on entend le bruit d'une tronçonneuse, puis du tronc s'effondrant sur le sol.
Renaissance
Selon Andrew Poad du National Trust, qui gère de nombreux lieux du patrimoine britannique, un "sentiment accablant de perte et de désarroi a été ressenti à travers le monde" après la destruction de l'arbre.
Lieu de mariage et de souvenirs familiaux, extrêmement photogénique, l'érable avait été élu arbre anglais de l'année en 2016.
L'an dernier, le National Trust a annoncé que de nouvelles pousses étaient apparues sur la souche.
Il a également récupéré des graines et obtenu 49 jeunes plants, objets de tous les soins, qui doivent être replantés l'hiver prochain dans des espaces accessibles au public, notamment des parcs, hôpitaux et écoles.
Une partie du tronc a été transformée en oeuvre d'art, que les visiteurs peuvent désormais étreindre, au centre d'accueil du parc national du Northumberland.
Dans cette exposition permanente, conçue par l'artiste Charlie Whinney, le tronc de plus de deux mètres de hauteur est entouré de trois bancs en chêne d'où les visiteurs peuvent lire des mots poétiques montant du sol, liés au chagrin initial créé par sa destruction, mis en scène comme une sculpture ramifiée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le parquet réclame la condamnation de Bolsonaro pour "coup d'Etat"
Le parquet brésilien a demandé mardi à la Cour suprême de condamner l'ancien président Jair Bolsonaro pour "coup d'Etat" et "association criminelle armée", au cours d'un procès qui a provoqué une crise diplomatique entre le Brésil et les Etats-Unis.
Après plusieurs journées d'audience, le parquet s'en est tenu à la thèse selon laquelle l'ex-président d'extrême droite et sept de ses anciens collaborateurs ont essayé d'assurer leur "maintien autoritaire au pouvoir par des tentatives de perturber violemment l'ordre démocratique", peut-on lire dans son communiqué.
M. Bolsonaro, jugé pour tentative de coup d'Etat, encourt jusqu'à 40 ans de prison. Il est accusé d'être le "leader d'une organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir quel que soit le résultat de l'élection présidentielle d'octobre 2022, remportée par l'actuel chef de l'Etat de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.
"Après avoir vérifié l'implication des individus dans les faits", le procureur général a conclu qu'il était "nécessaire qu'ils soient condamnés (...) pour organisation criminelle armée", "tentative d'abolition de l'Etat démocratique", "coup d'Etat" ainsi que pour d'autres délits en lien avec des dommages causés aux biens publics, a précisé le parquet.
Le sort de l'ex-président et de ses anciens associés est entre les mains du juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes, menacé de sanctions par Washington pour ses décisions contre des plateformes américaines de réseaux sociaux.
Trump en colère
Le procès intenté à Jair Bolsonaro a provoqué la colère du président américain Donald Trump, son allié, qui accuse le Brésil de "chasse aux sorcières" et a annoncé des droits de douane de 50% sur les produits brésiliens importés aux Etats-Unis à partir du 1er août.
M. Bolsonaro, de son côté, se dit innocent et "persécuté".
Devant la Cour, il a reconnu avoir envisagé "un dispositif constitutionnel" pour empêcher l'investiture de Lula.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pour Moscou, la menace de Trump poussera Kiev à continuer la guerre
Le Kremlin a affirmé mardi que l'ultimatum qui lui a été adressé la veille par Donald Trump, ainsi que les nouvelles livraisons d'armes promises à l'Ukraine, pousseraient Kiev à "prolonger la guerre".
Lundi, le président américain s'est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l'Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères.
"Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l'Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre", a répondu mardi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
"Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et quand le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera", a-t-il dit au cours de son briefing quotidien, auquel participait l'AFP.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais "déçu".
Sanctions financières
"Je pensais que nous aurions un accord il y a deux mois mais ça ne semble pas se concrétiser", a-t-il regretté lundi à la Maison Blanche, au côté du secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.
Sans accord d'ici à 50 jours, les Etats-Unis mettront en place des "droits de douane secondaires", c'est-à-dire contre les alliés de Moscou, a averti le président américain.
L'an dernier, les principaux partenaires commerciaux de la Russie étaient la Chine, pour quelque 34% du total des échanges, ainsi que, dans une moindre mesure, l'Inde, la Turquie et le Bélarus, selon les Douanes russes. Pékin a fustigé mardi une "coercition qui ne mène nulle part".
Reprise des livraisons
Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires "d'une valeur de plusieurs milliards de dollars", en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot, seraient envoyés à l'Ukraine.
Ce matériel sera acheté par les membres européens de l'Otan. Mark Rutte a précisé que l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs.
Le Danemark et les Pays-Bas ont annoncé mardi à Bruxelles être prêts à participer au plan de Donald Trump. Mais reste à savoir combien de temps il faudra aux pays européens pour expédier ces armes en Ukraine, cible chaque jour par de frappes russes.
Offensives russes
Mardi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est). Les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines.
Dmitri Peskov a affirmé que la Russie restait prête à négocier mais attendait "des propositions de la partie ukrainienne" concernant un troisième cycle de négociations, après deux récentes sessions peu fructueuses à Istanbul. La Russie a rejeté toute trêve prolongée, qui permettrait selon elle aux forces ukrainiennes de se réarmer.
Moscou exige, entre autres, que l'Ukraine lui cède quatre régions, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce à rejoindre l'Alliance atlantique.
Inacceptable pour Kiev qui réclame, avec ses alliés européens, un cessez-le-feu sans conditions de 30 jours avant des négociations de paix et veut que l'armée russe se retire entièrement du territoire ukrainien.
Promesses et réalité
De leur côté, des moscovites interrogés par l'AFP considèrent les déclarations de Donald Trump comme un jeu politique. "C'est une partie d'échecs", commente ainsi Svetlana, une ingénieure dans l'aéronautique.
"Les négociations vont se poursuivre", juge cette femme de 47 ans, peu impressionnée. Donald Trump "a donné 50 jours, et puis ensuite ce sera prolongé", ajoute-t-elle, soulignant attendre "le prochain coup" de Vladimir Poutine.
Dans l'est de l'Ukraine, des soldats ukrainiens se disent quant à eux reconnaissants, sans nourrir trop d'illusions. Un militaire de 44 ans, qui se fait appeler Shah, dit ainsi ne pas croire aux paroles de Donald Trump, dénonçant un "fossé entre les promesses (des Etats-Unis) et la réalité".
Un autre soldat, Master, juge que les systèmes Patriot, très efficaces contre les frappes aériennes russes, "auraient pu être envoyés plus tôt" et sauver des vies. Avec sa longue barbe rousse, Rouslan, 29 ans, est plus positif. "Mieux vaut tard que jamais", soupire-t-il
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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