International
Boeing perd de nouveau de l'argent au 3e trimestre
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Le constructeur aéronautique Boeing a de nouveau subi une perte nette au troisième trimestre, le rebond de son avion-vedette, le 737 MAX, étant assombri par les difficultés autour de son long-courrier 787 Dreamliner et de sa capsule spatiale Starliner.
Le groupe, qui était repassé dans le vert au deuxième trimestre après six trimestres de pertes consécutifs, a connu entre juillet et septembre une perte nette de 132 millions de dollars (121,2 millions de francs).
Son chiffre d'affaires est ressorti à 15,13 milliards de dollars sur la période, en hausse de 8% mais en-dessous des attentes des analystes.
"La demande pour les avions commerciaux continue à regagner du terrain avec les campagnes de vaccination (contre le Covid) à grande échelle et des restrictions aux frontières qui commencent à se lever", a souligné le directeur général David Calhoun dans le communiqué.
L'activité de Boeing dans les mois à venir va dépendre de "la capacité de la chaîne d'approvisionnement et du commerce mondial", a-t-il souligné.
Boeing continue de faire des progrès sur les livraisons du 737 MAX, cloué au sol pendant vingt mois après deux accidents mortels avant d'être autorisé progressivement à revoler dans le monde depuis fin 2020.
Le constructeur en a depuis livré 195 exemplaires sortis d'usine tandis que les compagnies qui avaient dû immobiliser leur 737 MAX ont remis en service plus de 200 appareils de ce type.
Le 787 continue en revanche à être source de tracas pour l'entreprise.
Depuis la découverte de premiers vices de fabrication à la fin de l'été 2020, le groupe en a plusieurs fois décelé de nouveaux. Les livraisons sont suspendues le temps de mener des inspections et de faire des modifications et les cadences de production ont été réduites à environ deux exemplaires par mois contre cinq normalement.
Starliner en difficulté
Ce ralentissement et les travaux supplémentaires à effectuer devraient engendrer des "coûts anormaux" supplémentaires d'environ 1 milliard de dollars au total, estime Boeing.
Une charge de 183 millions a été comptabilisée à cet effet au troisième trimestre.
Boeing a aussi passé sur la période une provision de 185 millions de dollars liée aux déboires de sa capsule spatiale Starliner.
Une mission d'essai de l'engin, qui doit servir à la Nasa pour acheminer ses astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS), a dû être annulée début août et la capsule est retournée à l'usine pour des réparations.
Boeing vise désormais la "première moitié de 2022" pour retenter le vol d'essai.
Le constructeur a pu compter sur la solidité de son activité de services aux clients, dont le chiffre d'affaires a progressé de 14% grâce notamment à la reprise de la demande en maintenance pour les avions commerciaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
Le Britannico-Hongrois David Szalay remporte le Booker Prize 2025
Le Booker Prize, prestigieux prix littéraire qui récompense des oeuvres de fiction en anglais, a été attribué au Britannico-Hongrois David Szalay, pour son sixième roman "Flesh", lundi lors d'une cérémonie à Londres. Il reçoit 50'000 livres sterling (53'000 francs).
Il est le premier auteur britannico-hongrois à recevoir cette prestigieuse récompense, équivalent au Goncourt français. Né en 1974, il succède à la Britannique Samantha Harvey, qui avait été primée l'année dernière avec "Orbital", oeuvre courte empreinte de lyrisme qui suit six astronautes à bord d'une station spatiale.
Un extrait du livre, interprété par le rappeur Stormzy, a été diffusé lors de la cérémonie. Qualifié d'oeuvre singulière par le président du jury, l'Irlandais Roddy Doyle, lauréat du prix en 1993, "Flesh" retrace la vie d'un Hongrois, István, depuis son adolescence troublée dans son pays natal jusqu'à son retour dans celui-ci à un âge avancé, l'essentiel de l'histoire se déroulant à Londres, où il a émigré.
Auteurs confirmés bredouilles
Ce texte à l'écriture très ciselée s'inscrit dans la continuité d'un de ses précédents ouvrages, "All That Man Is", publié en français en 2018 sous le titre "Ce qu'est l'homme" (éditions Albin Michel). Succès critique, il avait été dans la "shortlist" du Booker 2016.
David Szalay s'impose au terme d'une sélection qui a fait la part belle à des auteurs confirmés, dont trois avaient déja été finalistes du prestigieux prix. Il a surtout déjoué les pronostics qui penchaient en faveur de l'Indienne Kiran Desai et de son impressionnante saga familiale, "The Loneliness of Sonia and Sunny".
Décerné depuis 1969, le Booker Prize a contribué au succès d'écrivains comme Salman Rushdie, Margaret Atwood ou Arundhati Roy. Il est aussi la promesse d'une renommée internationale synonyme de succès en librairie.
Nouveauté de l'année 2025: les organisateurs ont récemment annoncé le lancement du Booker Prize pour enfants, qui vise à récompenser les oeuvres de fiction destinées aux lecteurs de 8 à 12 ans, écrites ou traduites en anglais et publiées au Royaume-Uni. Le premier prix sera décerné en 2027.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Masters ATP: Sinner réussit son entrée
Jannik Sinner (ATP 2) a réussi son entrée au Masters ATP à Turin. L'Italien, tenant du titre, a battu le Canadien Félix Auger-Aliassime (ATP 8) 7-5 6-1.
Sinner, très solide sur son service, a réussi le break à 6-5 dans la manche initiale. Il a converti sa troisième balle de set contre un adversaire qui a semblé touché physiquement.
Le Canadien a rapidement cédé son service au deuxième set et s'est retrouvé mené 3-0 après avoir perdu cinq jeux consécutifs. Il a fait alors appel au physio et demandé un temps mort médical pour se faire masser le mollet gauche.
Cela n'a pas modifié le scénario d'une rencontre devenue à sens unique. Sinner a réussi un nouveau break pour mener 5-1 avant de conclure.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump instaure une "semaine de l'anti-communisme"
Donald Trump a publié une proclamation établissant une semaine de "l'anti-communisme" aux Etats-Unis. Un texte qui attaque au passage ses adversaires progressistes.
Ces proclamations, par lesquelles les présidents américains mettent en valeur des thématiques qui leur sont chères pour une journée ou une semaine, ont surtout une valeur de signal politique. La "semaine de l'anti-communisme" a ainsi eu lieu du 2 au 8 novembre, sur la base d'une proclamation signée le 7 novembre, alors qu'elle était donc presque finie.
Dénonçant "l'une des idéologies les plus destructrices de l'histoire", le républicain de 79 ans écrit, dans ce texte diffusé par la Maison Blanche: "Aujourd'hui de nouvelles voix répètent de vieux mensonges, en les déguisant sous des expressions telles que 'justice sociale' ou 'socialisme démocratique'", le courant dont se revendique Zohran Mamdani, élu maire de New York mardi dernier, le 4 novembre.
"Leur message reste le même: renoncez à vos libertés, faites confiance au pouvoir du gouvernement, et échangez l'espoir de la propriété pour le confort vide de la surveillance", affirme encore Donald Trump. Le président américain a déjà qualifié Zohran Mamdani de "communiste", et déclaré dans un discours, après l'élection de ce dernier, que les Américains faisaient face à un "choix entre le communisme et le bon sens".
Le futur maire de New York l'a défié publiquement le soir de sa victoire à l'élection municipale, en lançant: "Donald Trump, puisque je sais que vous regardez, hé bien: 'montez le son!'".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
COP30: Lula reçoit le monde en Amazonie, bataille en vue entre pays
La 30e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte lundi à Belém en Amazonie brésilienne. Une bataille est déjà en vue entre pays sur l'urgence et les moyens de contenir le réchauffement climatique.
"Il est temps d'infliger une nouvelle défaite aux négationnistes", a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva en entamant deux semaines de conférence, sans les Etats-Unis, par une vigoureuse défense de l'action multilatérale.
Le président brésilien a répété qu'investir pour le climat - point éternel de dispute dans cette enceinte - coûtait "beaucoup moins cher" que les guerres. Avec une volonté d'éviter le fatalisme: "Nous allons dans la bonne direction, mais à la mauvaise vitesse."
Les Etats-Unis, premier producteur mondial de pétrole et deuxième émetteur de gaz à effet de serre, sont absents pour la première fois de l'histoire de ces réunions. "C'est mieux que d'envoyer des gens tout bloquer, non?", dit à l'AFP la cheffe de Greenpeace au Brésil, Carolina Pasquali.
Cette COP, la première en Amazonie, rassemble moins que lors des éditions précédentes, avec 42'000 personnes accréditées. Au premier jour, les délégués présents ont pu entendre la pluie tropicale cogner violemment contre le toit du centre de conventions, et même sentir des gouttes s'infiltrer dans l'enceinte.
Solutions
"Se lamenter n'est pas une stratégie, nous avons besoin de solutions", a lancé Simon Stiell, chef de l'ONU Climat, qui coorganise la COP30 avec le pays hôte.
Il s'est félicité d'une petite avancée: en incluant les toutes dernières feuilles de route climatiques déposées par certains pays, la baisse des émissions d'ici 2035 sera de 12%. Toujours loin du compte mais un peu mieux que les 10% annoncés dernièrement sur une base plus limitée.
"Chaque fraction de degré de réchauffement évitée sauvera des millions de vies et évitera des milliards de dollars en dommages climatiques", a souligné Simon Stiell. Mais il demande que les tractations produisent plus de concret: davantage d'engagements pour sortir des énergies fossiles, pour développer les renouvelables, et pour envoyer l'argent promis aux pays pauvres pour les aider dans un climat plus violent.
Le temps presse, rappellent les scientifiques. Jim Skea, président du Giec, le groupe de chercheurs qui travaille sur le climat sous l'égide de l'ONU, a jugé "presque inévitable" de dépasser à court terme le seuil de 1,5°C de réchauffement, l'objectif le plus ambitieux fixé par l'accord de Paris en 2015.
"Question de survie"
Un groupe de petites îles bataille pour que soit inscrit à l'ordre du jour le besoin de formuler une réponse à cet échec, mais le groupe des pays arabes et d'autres refusent, craignant une nouvelle attaque contre pétrole. La position de l'Arabie saoudite est "toxique", déplore un diplomate occidental.
Un échec à maintenir la limite de 1,5°C "scelle notre perte", a dit à l'AFP Maina Vakafua Talia, ministre du Tuvalu, petit archipel du Pacifique menacé par la montée des eaux. "Je garde espoir. On doit garder un certain optimisme", a-t-il toutefois dit.
"1,5°C n'est pas qu'un chiffre ou un objectif, c'est une question de survie", abonde auprès de l'AFP Manjeet Dhakal, conseiller du groupe des pays les moins développés à la COP. "Nous ne pourrons cautionner aucune décision qui n'inclue pas de discussion sur notre échec à éviter 1,5°C."
Mais il n'y aura pas de bras de fer d'emblée sur l'ordre du jour officiel de la conférence: les discussions les plus tendues sur ce sujet ainsi que la taxe carbone européenne et les mesures commerciales unilatérales ont été reportées à mercredi.
"Sujet sensible"
D'ici là, la présidence brésilienne organise des consultations entre pays, après de premiers échanges "assez tendus", selon un participant. "Personne ne veut bouger de ses positions", regrette un représentant d'un pays d'Amérique latine.
L'un des mystères de ces deux semaines de négociation concerne la "feuille de route" sur les énergies fossiles mise sur la table par Lula lors du sommet de chefs d'Etat, la semaine dernière à Belem.
La sortie du pétrole, du gaz et du charbon fera-t-elle l'objet d'une nouvelle décision négociée et contraignante - après une première étape il y a deux ans à Dubaï - ou, plus probablement, d'engagements volontaires de certains pays?
"On sait que c'est un sujet sensible pour un certain nombre de nos partenaires, que pour certains, c'est plus simple d'en discuter, pas sous un format de négociation, mais sous un format de coalition", reconnaît-on dans la délégation française.
La Suisse est présente à l'événement. Sa délégation sera menée par l'ambassadeur helvétique pour l'environnement Felix Wertli. Le conseiller fédéral Albert Rösti participera à la COP30 lors de la deuxième semaine de la conférence.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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