Coronavirus
Demande d'autorisation en urgence du vaccin de Johnson & Johnson
L'entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson a déposé jeudi une demande d'autorisation conditionnelle de son vaccin contre le Covid-19 auprès des autorités sanitaires américaines, a annoncé la société.
Au terme de la procédure, s'il obtient le feu vert de l'Agence américaine du médicament (FDA), ce vaccin serait le troisième autorisé aux Etats-Unis, après ceux de Pfizer/BioNTech et de Moderna.
Il est particulièrement attendu car il présente deux avantages non négligeables en termes logistiques. D'abord, il peut être stocké à des températures de réfrigérateur plutôt que de congélateur, ce qui facilitera considérablement sa distribution. Surtout, il ne s'administre qu'en une seule dose.
La société a déposé ce qui s'appelle aux Etats-Unis une demande d'autorisation d'utilisation en urgence auprès de la FDA, la principale agence fédérale de santé publique dans le pays.
Celle-ci devrait maintenant convoquer un comité consultatif sur les vaccins, qui rendra son avis après étude des données des essais cliniques. Elle sera chargée de déterminer si les bénéfices du vaccin l'emportent sur les risques de son utilisation.
Cette étape avait pris environ trois semaines pour les vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna, mais pourrait être plus rapide cette fois. Le feu vert devra ensuite être donné, probablement dès le lendemain de l'avis du comité consultatif.
Efficace à 66%
Johnson & Johnson s'est engagé à acheminer 100 millions de doses aux Etats-Unis avant la fin du mois de juin.
Le géant pharmaceutique a fait part en fin de semaine dernière des premiers résultats de ses essais cliniques, menés sur près 44'000 personnes dans 8 pays. Le vaccin était dans l'ensemble efficace à 66%, s'est félicitée la société. Et il est efficace à 85% pour prévenir les formes graves de la maladie.
Mais ces résultats ont aussi soulevé une inquiétude: le remède était plus efficace aux Etats-Unis (72%), qu'en Afrique du Sud (57%), où un variant apparu dans ce pays y est devenu largement majoritaire.
Les experts y voient l'indication que de futurs variants pourraient finir par totalement contourner les défenses immunitaires développées par les vaccins actuels. Une raison supplémentaire, selon eux, pour accélérer les campagnes de vaccination.
Contrairement aux remèdes de Pfizer et Moderna, qui utilisent la technique innovante de l'ARN messager, le vaccin de "J&J" est un vaccin à "vecteur viral". Ce procédé est aussi employé pour les vaccins d'AstraZeneca et de Sputnik.
Coronavirus
Un nouveau variant du Covid peut déclencher une vague d'infections
BA.2.86, le nouveau variant du coronavirus, a le potentiel de déclencher une vague d'infections, alerte un infectiologue de l'hôpital de Winterthour. "Depuis la mi-août, nous avons à nouveau quatre à six patients hospitalisés de manière constante à cause du Covid-19".
Il s'agit en général de personnes âgées souffrant de comorbidités telles que des troubles du rythme cardiaque ou une insuffisance cardiaque, déclare dans la NZZ am Sonntag Urs Karrer, chef du service d'infectiologie de l'hôpital de Winterthour (ZH). Les décès dus à une infection par le SARS-CoV-2 sont cependant devenus rares, ajoute celui qui était vice-président de la task force Covid-19 de la Confédération.
Le nouveau variant ne se propage pas particulièrement vite jusqu'à présent et les données actuelles n'indiquent pas qu'elle provoque des évolutions graves, note l'expert. Il recommande aux personnes à risque et aux personnes souffrant d'un Covid long de se faire vacciner pour prévenir tout risque.
"Je ne m'attends pas à ce que plus de 75% de la population soit infectée en peu de temps, comme cela a été le cas durant l'hiver 2022", indique le docteur Karrer. "Mais je pense que le Covid-19 a toujours le potentiel de provoquer une vague sérieuse, où 20 à 30% de la population pourrait être infectée", poursuit-il, soulignant qu'elle pourrait commencer "dès novembre ou décembre".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
La vaccination anti-Covid est recommandée aux personnes vulnérables
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations recommandent aux personnes vulnérables de se faire vacciner contre le Covid-19 pour l'hiver. Le coronavirus continue de circuler et peut provoquer une forme grave du Covid-19.
Pour cette raison, une vaccination leur est recommandée cet automne pour se protéger contre une telle évolution, indique l'OFSP dans un communiqué publié lundi.
Par rapport aux années de pandémie 2020 et 2021, la situation a beaucoup changé: chez les personnes de moins de 65 ans ne présentant pas de facteur de risque, la probabilité d’une forme grave du Covid-19 est minime. Chez les personnes vulnérables par contre, le risque est nettement plus élevé. La vaccination leur offrira une meilleure protection contre une évolution grave de la maladie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
La première dame des Etats-Unis testée positive au Covid-19
La première dame des Etats-Unis, Jill Biden, âgée de 72 ans, a été testée positive au Covid-19, a annoncé la Maison-Blanche. Le président américain Joe Biden, 80 ans, a quant à lui été testé négatif.
Déjà infectée par le coronavirus il y a un an, Jill Biden ne présente que de légers symptômes, a indiqué son bureau. Elle restera dans la maison du couple à Rehoboth Beach, dans le Delaware.
Le président Biden a subi un test de dépistage du Covid-19 lundi soir, qui s'est révélé négatif, a indiqué la Maison-Blanche. Il doit poursuivre ses tests réguliers.
Les Etats-Unis ont observé une augmentation des cas de Covid-19 et des hospitalisations au cours des dernières semaines.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Coronavirus
La Suisse a violé le droit international selon un comité de l'ONU
La Suisse et d'autres pays du Nord ont violé le droit international en refusant de lever la propriété intellectuelle sur les vaccins contre le coronavirus, selon un comité de l'ONU. Ils n'ont pas honoré leurs engagements en termes de garantie de non-discrimination.
Dans une décision prise mercredi et rendue publique jeudi à Genève, le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU s'en prend aussi aux Etats-Unis, aux autorités britanniques et à l'Allemagne. Dans plusieurs pays en développement, moins de 1% de la population a reçu au moins une dose de rappel.
Or la part dans le monde entier atteint un tiers, a ajouté le Comité. La Suisse et d'autres pays s'étaient résolus à accepter à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) une levée provisoire des brevets sur les vaccins, mais seulement après deux ans de pandémie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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