International
Plus de 3600 morts en Turquie et Syrie, l'aide se mobilise

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Plus de 3600 personnes, selon un bilan provisoire, ont été tuées lundi dans le sud-est de la Turquie et en Syrie voisine par un puissant séisme de magnitude 7,8, suivi quelques heures plus tard par une très forte réplique. L'aide afflue, de Suisse notamment.
Le bilan ne cesse de s'alourdir, un très grand nombre de personnes restant piégées sous les bâtiments effondrés qui se comptent par milliers. La pluie et la neige, tombée à certains endroits en abondance, l'arrivée de la nuit et la baisse des températures rendaient encore plus difficile la situation des personnes se retrouvant sans abri, ainsi que le travail des secours.
La première secousse est survenue à 04h17 locales (02h17 en Suisse, 01h17 GMT) dans le district de Pazarcik, dans la province de Kahramanmaras (sud-est), à 60 km environ à vol d'oiseau de la frontière syrienne.
Des dizaines de répliques ont suivi, avant un nouveau séisme de magnitude 7,5, à 10h24 GMT, toujours dans le sud-est de la Turquie, à 4 km au sud-est de la ville d'Ekinozu.
"Avec ma femme et mes enfants, nous avons couru vers la porte de notre appartement au troisième étage. Dès que nous l'avons ouverte, le bâtiment tout entier s'est effondré", a raconté Oussama Abdelhamid, un habitant d'un village syrien frontalier de la Turquie, soigné à l'hôpital Al-Rahma dans la ville de Darkouch.
La terrible crainte de l'OMS
En quelques instants, Oussama Abdelhamid s'est retrouvé sous les décombres du bâtiment de quatre étages dans le village d'Azmarine, mais "Dieu le protecteur" l'a miraculeusement sauvé, ainsi que sa famille, assure-t-il.
Dans ces zones tenues par les rebelles qui combattent le régime de Damas, on dénombre des centaines de morts.
Les bilans des victimes ne cessent de grimper. Vers 21h30 lundi, les autorités faisaient état de 3613 morts dans les deux pays, dont 2316 en Turquie. S'y ajoutent plus de 13'000 blessés uniquement côté turc. Des milliers d'immeubles se sont effondrés.
L'OMS craint même que le nombre de victimes soit au final au moins huit fois plus lourd. "Il y a un potentiel continu d'effondrements supplémentaires et nous voyons souvent des nombres huit fois plus élevés que les nombres initiaux", a dit à l'AFP une responsable des situations d'urgence du bureau européen de l'organisation, Catherine Smallwood.
Un deuil national de sept jours a été décrété en Turquie.
"Apocalypse"
"Ma soeur et ses trois enfants sont sous les décombres. Aussi son mari, son beau-père et sa belle-mère. Sept membres de notre famille sont sous les débris", a raconté dans la matinée à l'AFP Muhittin Orakci, devant un immeuble effondré à Diyarbakir, la grande ville à majorité kurde du sud-est de la Turquie.
Le bilan risque encore d'évoluer dans les villes touchées, Adana, Gaziantep, Sanliurfa, Diyarbakir notamment. A Iskenderun et Adiyaman, ce sont les hôpitaux publics qui ont cédé sous l'effet du séisme, survenu à une profondeur d'environ 17,9 kilomètres.
Ce séisme est le plus important en Turquie depuis le tremblement de terre du 17 août 1999, qui avait causé la mort de 17'000 personnes, dont un millier à Istanbul.
A Kahramanmaras, Melisa Salman, journaliste locale de 23 ans, raconte avoir toujours vécu avec les tremblements de terre. "J'ai l'habitude des secousses, mais c'est la première fois que je vis quelque chose comme ça. On a pensé que c'était l'apocalypse".
Les intempéries qui frappent cette région montagneuse paralysent les principaux aéroports autour de Diyarbakir et Malatya, où il continue de neiger très fortement, laissant les rescapés hagards, en pyjama dehors dans le froid.
"Nous entendons des voix ici et là-bas. Nous pensons que peut-être 200 personnes se trouvent sous les décombres", a déclaré un secouriste dépêché devant un immeuble détruit de Diyarbakir, selon des images diffusées sur la chaîne NTV.
Face à cette désolation, partout les habitants se mobilisent et tentent de dégager les ruines à mains nues, utilisant des seaux pour évacuer les débris.
A Hama (centre-ouest de la Syrie), les secouristes et civils extraient à la main, aidés d'engins lourds, les corps des victimes sous les décombres, dont celui un enfant, a constaté l'AFP.
A Jandairis (nord-ouest de la Syrie), un homme, effondré, pleure la mort de son fils, un tout petit garçon emmitouflé dans un anorak, qu'il serre dans ses bras.
"Ya Allah, Ya Allah" (mon Dieu), sanglote l'homme en baisant le front de son fils.
Plus de quarante habitations se sont effondrées comme un château de cartes dans cette localité frontalière de la Turquie.
Les habitants tentent de retirer à mains nues ou à l'aide de pioches les survivants des décombres, faute de moyens humains et matériels de secours.
"Toute ma famille est sous les décombres. Mes fils, ma fille, mon gendre, il n'y a personne pour les retirer", souffle Ali Battal, des traces de sang sur le visage.
Biden, Xi, Poutine, la Suisse
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé à l'union nationale, précisant que la Turquie avait reçu les offres d'aide de 45 pays.
Quant au gouvernement syrien, il a lancé un appel à l'aide à la communauté internationale.
La Suisse a envoyé lundi soir 80 secouristes. Parmi eux figurent des spécialistes du génie et du sauvetage de l'armée. Une équipe avec des chiens de recherche s'est aussi mobilisée.
Du monde entier ont afflué les messages de soutien, du président américain Joe Biden à ses homologues russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping, en passant par le pape François qui s'est dit "profondément attristé", ainsi que les propositions d'aide humanitaire et médicale.
"Nos équipes sont sur le terrain pour évaluer les besoins et apporter leur assistance", a déclaré dans un communiqué le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, en appelant à la communauté internationale alors qu'une minute de silence était observée à l'assemblée générale de l'organisation.
Le Kremlin, allié de la Syrie, a indiqué que des équipes de secouristes allaient partir pour ce pays "dans les prochaines heures", alors que selon l'armée, plus de 300 militaires russes sont déjà sur les lieux pour aider aux secours.
Le Kremlin a également indiqué que le président turc avait accepté, après un entretien téléphonique avec son homologue russe Vladimir Poutine "l'aide des secouristes russes" dans son pays.
La Grèce aussi
La Grèce, malgré ses relations orageuses avec son voisin, a promis "de mettre à disposition (...) toutes ses forces pour venir en aide à la Turquie" et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a appelé M. Erdogan pour offrir une "aide immédiate" à la Turquie.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé avoir satisfait une demande d'aide de la Syrie, avec laquelle l'Etat hébreu n'entretient pas de relations diplomatiques. Damas a démenti.
L'Union européenne a activé son "mécanisme de protection civile" et "des équipes des Pays-Bas et de Roumanie sont déjà en route" ainsi que notamment 139 secouristes français qui doivent partir dans la soirée et 76 pompiers polonais. L'Azerbaïdjan, allié et voisin de la Turquie, a annoncé l'envoi immédiat de 370 secouristes, le Qatar et les Emirats ainsi que l'Inde celui d'équipes de secours et médicales et de matériel de secours. C'est jusqu'à l'Ukraine en guerre qui a proposé "un grand groupe de secouristes".
Citadelle d'Alep
En Syrie, selon un bilan provisoire, au moins 1300 personnes sont mortes, dans les provinces d'Alep, Lattaquié, Hama et Tartous, sous contrôle du régime. Dans les zones rebelles, les secouristes des Casques Blancs ont fait état de 390 morts et plus d'un millier de blessés.
La citadelle d'Alep et plusieurs autres sites archéologiques ont été endommagés, selon la Direction générale des antiquités et des musées
En Turquie, les dégâts les plus importants ont été enregistrés près de l'épicentre du séisme de la nuit, entre Kahramanmaras et Gaziantep, où des pâtés de maison entiers étaient en ruine, sous la neige.
Les secousses, ressenties dans tout le sud-est du pays, l'ont également été au Liban et à Chypre, ainsi qu'au Kurdistan irakien dans le nord du pays à Erbil et Douk. Les secousses ont été ressenties jusqu'au Groenland.
La Turquie est située sur l'une des zones sismiques les plus actives du monde.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Echanges de tirs entre soldats indiens et pakistanais
Des soldats indiens et pakistanais ont échangé des coups de feu au Cachemire pour la cinquième nuit consécutive, a déclaré mardi l'armée indienne. Ils font suite à un attentat il y a une semaine, qui a enclenché une escalade entre les deux puissances nucléaires.
Comme lors des nuits précédentes, l'armée indienne a rapporté que les troupes pakistanaises avaient ouvert le feu à l'arme légère sur ses positions proches de la ligne de contrôle au Cachemire, frontière de facto entre les deux pays. L'armée indienne a indiqué que ses troupes avaient "répondu de manière mesurée et efficace à la provocation". New Delhi n'a fait état d'aucune victime.
La tension entre l'Inde et le Pakistan est à son comble depuis l'attaque menée le 22 avril par des hommes armés à Pahalgam, au Cachemire indien, qui a fait 26 victimes.
Sans attendre de revendication, New Delhi a imputé à Islamabad la responsabilité de cette attaque, la plus meurtrière visant des civils commise dans la région à majorité musulmane depuis plusieurs décennies.
Des milliers de morts
Le Pakistan a démenti toute implication et a réclamé une "enquête neutre" sur ses circonstances. Les deux pays ont lancé des représailles l'un contre l'autre et ont ordonné la fermeture de la frontière.
L'Inde a fixé à mardi la date limite pour le départ des citoyens pakistanais de son territoire. Des analystes craignent que les déclarations belliqueuses ne débouchent sur une éventuelle action militaire.
Le Cachemire, à majorité musulmane, a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Les deux voisins continuent depuis lors à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire.
Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Ancelotti sera le prochain sélectionneur du Brésil
Carlo Ancelotti va quitter son poste d'entraîneur du Real Madrid en fin de saison. L'Italien va prendre la tête de la sélection du Brésil, rapportent lundi plusieurs médias espagnols.
L'instance dirigeante du football brésilien a pour sa part indiqué à l'AFP qu'elle "n'avait aucun commentaire" à faire sur cette affaire.
"Carlo Ancelotti a déjà conclu un accord avec la Confédération brésilienne (CBF) pour prendre en charge l'équipe nationale brésilienne une fois son passage au Real Madrid terminé", assure le quotidien sportif madrilène Marca sur son site internet. Marca note cependant que l'Italien n'a rien signé avec la CBF.
Ancelotti, qui a remporté trois Ligues des champions (2014, 2022, 2024) avec le Real en deux mandats (2013-2015 puis depuis 2021), est au centre des critiques depuis l'élimination en quart de finale de la C1 contre Arsenal. Et samedi, le Real a aussi perdu la finale de la Coupe du Roi face au FC Barcelone (3-2 après prolongation).
Mais les Merengues sont toujours en lutte pour le titre de champion d'Espagne avec quatre points de retard sur le leader, le FC Barcelone, à cinq journées de la fin.
Le média sportif Relevo indique pour sa part que Madrid ne mettra "aucun obstacle" au départ d'Ancelotti pour le Brésil. Selon les deux médias, il quittera son poste à la fin de la saison de la Liga, le 25 mai. Il ne dirigerait donc pas le Real lors de la Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet) aux États-Unis.
Le Brésil a limogé son sélectionneur Dorival Junior fin mars après la défaite historique (4-1) contre l'Argentine lors des éliminatoires de la Zone AmSud pour la Coupe du monde 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un automobiliste percute une garderie aux Etats-Unis: quatre morts
Un automobiliste a percuté lundi une garderie dans le nord des Etats-Unis, tuant quatre personnes, a annoncé la police. Des enfants figurent parmi les victimes. Après avoir heurté le bâtiment, le véhicule l'a traversé et en est ressorti de l'autre côté.
"A l'heure actuelle, nous pouvons confirmer que quatre personnes âgées de 4 à 18 ans sont décédées", à Chatham, petite ville de l'Illinois, a indiqué la police de cet Etat dans un communiqué, qui ne précise pas s'il s'agit d'un acte intentionnel.
"Le conducteur et seul occupant du véhicule a été blessé et transporté dans un hôpital du secteur", a ajouté la police. Plusieurs autres personnes ont été blessées et transportées à l'hôpital, dont une par hélicoptère.
Le gouverneur de l'Etat, JB Pritzker, s'est dit dans un communiqué sur le réseau social X "horrifié et profondément attristé".
"Les parents ont dit au revoir à leurs enfants ce matin sans savoir que ce serait la dernière fois. J'ai le coeur lourd pour ces familles et le chagrin inimaginable qu'elles éprouvent - quelque chose qu'aucun parent ne devrait avoir à endurer", a-t-il écrit.
Les autorités ont été alertées à 15H20 locales (20H20 GMT) après qu'un automobiliste est rentré dans une garderie avant de la traverser et de ressortir de l'autre côté.
Parmi les victimes, trois ont été percutées à l'extérieur du bâtiment et une à l'intérieur.
La police de l'Illinois a lancé une enquête.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Vainqueur des élections canadiennes, Carney promet de triompher des Etats-Unis
Le Premier ministre libéral canadien Mark Carney a remporté mardi une victoire électorale historique. Il a promis de triompher des Etats-Unis dans la guerre commerciale lancée par Donald Trump et de ne jamais oublier la "trahison" américaine.
Les libéraux pourraient toutefois échouer de peu à obtenir une majorité au Parlement et donc être contraints de gouverner avec l'appui d'un autre parti. Le dépouillement était encore en cours dans certaines régions.
Il y a quelques mois encore, la voie semblait toute tracée pour permettre aux conservateurs canadiens emmenés par Pierre Poilievre de revenir aux affaires, après dix ans de pouvoir de Justin Trudeau. Mais le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et son offensive inédite contre le Canada, à coups de droits de douane et de menaces d'annexion, ont changé la donne.
Trump veut "nous briser"
Devant ses partisans dans la nuit de lundi à mardi, Mark Carney a estimé que l'"ancienne relation avec les Etats-Unis était terminée". Le "président Trump tente de nous briser pour nous posséder", a-t-il ajouté, appelant le pays à l'unité pour les "difficiles mois à venir qui exigeront des sacrifices".
Reconnaissant sa défaite, M. Poilievre a de son côté promis de travailler avec Mark Carney et de placer l'intérêt du pays avant les luttes partisanes face aux "menaces irresponsables" du président américain.
Un peu plus tôt dans l'aréna de hockey où étaient réunis les supporters libéraux, l'annonce de la victoire avait provoqué une salve d'applaudissements et des cris enthousiastes.
"Je suis si heureuse", lâche sur place Dorothy Goubault, originaire de l'Ontario. "Je suis contente car nous avons quelqu'un qui peut parler à M. Trump à son niveau. M. Trump est un homme d'affaires. M. Carney est un homme d'affaires, et je pense qu'ils peuvent tous les deux se comprendre".
Un choix "historique"
Pour le ministre de la Culture Steven Guilbeault, "les nombreuses attaques du président Trump sur l'économie canadienne, mais aussi sur notre souveraineté et notre identité même, ont vraiment mobilisé les Canadiens". Et les électeurs "ont vu" que M. Carney "avait de l'expérience sur la scène mondiale" , a-t-il dit sur la chaine publique CBC.
Dans les longues files devant les bureaux de vote toute la journée, les électeurs ont souligné l'importance de ce scrutin, parlant d'élections historiques et déterminantes pour l'avenir du pays.
A 60 ans, Mark Carney, novice en politique mais économiste reconnu, a su convaincre une population inquiète pour l'avenir économique et la souveraineté du pays qu'il était la bonne personne pour piloter le Canada en ces temps troublés.
Cet ancien gouverneur de la banque du Canada et de Grande-Bretagne n'a cessé de rappeler pendant la campagne que la menace américaine est réelle pour le Canada. "Le chaos est entré dans nos vies. C'est une tragédie, mais c'est aussi une réalité. La question clé de cette élection est de savoir qui est le mieux placé pour s'opposer au président Trump", a-t-il expliqué pendant la campagne.
Pour faire face, il a promis de maintenir des droits de douane sur les produits américains tant que les mesures de Washington seraient en place. Mais aussi de développer le commerce au sein de son pays en levant les barrières douanières entre provinces et de chercher de nouveaux débouchés, notamment en Europe.
Félicitations européennes
Le lien Europe-Canada "sont forts et se renforcent", a d'ailleurs déclaré mardi matin la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, félicitant M. Carney de sa victoire. "J'ai hâte de travailler en étroite collaboration, tant au niveau bilatéral qu'au sein du G7. Nous défendrons nos valeurs démocratiques communes, nous encouragerons le multilatéralisme et nous nous ferons les champions du commerce libre et équitable", a-t-elle déclaré sur X.
A Londres, le Premier ministre britannique Keir Starmer a lui aussi félicité M. Carney et s'est réjoui d'un "renforcement des liens" Royaume-Uni/Canada.
Baisses d'impôts et coupes
Pierre Poilievre, qui avait promis des baisses d'impôts et des coupes dans les dépenses publiques, n'a pas réussi à convaincre les électeurs de la neuvième puissance mondiale de tourner le dos aux libéraux. Il aura aussi souffert jusqu'au bout de sa proximité, de par son style et certaines de ses idées, avec Donald Trump, ce qui lui a aliéné une partie de l'électorat, selon les analystes.
Au QG des conservateurs à Ottawa, Jason Piche se dit toutefois "surpris" des résultats, "je pensais que ce serait plus serré que ça". Un peu plus loin, Jean-Guy Bourguignon, homme d'affaires de 59 ans, se dit carrément "très triste". "Est-ce que c'est vraiment ça le pays dans lequel nous voulons vivre?", demande-t-il alors qu'il énumère les politiques des libéraux, qu'il juge "liberticides".
Près de 29 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes dans ce vaste pays qui s'étend sur six fuseaux horaires. Et plus de 7,3 millions de personnes avaient voté par anticipation, un record.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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