International
Des militants de Greenpeace abordent un navire de Shell
Des militants de Greenpeace sont montés à bord et "occupent" mardi un navire pétrolier du géant des hydrocarbures Shell se dirigeant vers un gisement au large de l'Ecosse, a annoncé l'organisation environnementale.
Quatre militants ont approché l'installation de 51'000 tonnes depuis des bateaux pneumatiques avant d'accoster et de monter à bord du navire. Ils ont brandi une bannière où on pouvait lire "Stop Drilling. Start Paying" (Arrêtez de forer. Commencez à payer), selon des images relayées par l'ONG.
Le navire se trouvait alors juste au nord des îles Canaries, dans l'océan Atlantique, et se dirige vers un gisement dans la mer du Nord au large de l'Ecosse. Il transporte un FPSO, une unité flottante assurant notamment la production et le stockage de pétrole ou de gaz naturel extraits en mer.
"La protestation pacifique a pour but de souligner la destruction du climat à l'échelle mondiale commise par Shell et l'industrie des énergies fossiles plus largement, qui n'ont pas payé un centime pour les dommages qu'ils ont causés", a indiqué Greenpeace dans un communiqué.
45'000 barils/jour
Les quatre activistes "occupent désormais la cargaison du navire", est-il ajouté. Ils "ont assez de ressources pour occuper la plateforme pendant des jours".
La plateforme pourrait permettre à Shell de débloquer huit nouveaux puits d'extraction, de quoi produire jusqu'à "45'000 barils de pétrole par jour", déplore Greenpeace.
"Nous nous mobilisons aujourd'hui car quand Shell extrait des énergies fossiles, elle provoque une vague de morts, de destruction et de déplacement dans le monde entier", a indiqué Yeb Saño, un responsable de l'ONG cité dans le communiqué.
"Shell et l'industrie fossiles au sens large font entrer la crise climatique dans nos foyers, nos familles, nos paysages et nos océans."
De son côté, le géant britannico-néerlandais a dénoncé, selon un porte-parole cité par le Guardian, une action "qui pose de réelles inquiétudes sur la sécurité, avec un certain nombre de personnes montant à bord d'un navire en mouvement dans des conditions difficiles".
Fin 2019, Shell - qui doit publier jeudi ses résultats annuels - avait remporté une victoire devant la justice écossaise qui avait interdit à des militants de Greenpeace d'aborder ses plateformes en mer du Nord.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux morts dans une attaque de drones ukrainiens en Russie
Une attaque de drones ukrainiens a fait deux morts dans la région russe frontalière de Belgorod, dans l'ouest du pays, a rapporté le gouverneur local tôt samedi. L'attaque a eu lieu dans le village de Poroz.
"En conséquence du largage de deux engins explosifs, un bâtiment résidentiel a pris feu (...) deux civils sont morts", a indiqué Viatcheslav Gladkov sur Telegram, précisant qu'il s'agit d'une femme et d'un homme.
Un bâtiment résidentiel et une grange ont été "complètement brûlés" et un autre bâtiment d'habitation a été gravement endommagé, a ajouté M. Gladkov.
Plus tôt samedi, le gouverneur avait fait état d'une autre attaque de drone conduite par Kiev dans le village d'Istobnoye et n'ayant fait aucune victime.
Les autres régions russes visées sont celles de Koursk, Kalouga et Briansk, toutes situées dans l'ouest de la Russie, selon des messages de leurs gouverneurs respectifs publiés sur Telegram dans la nuit de vendredi à samedi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Le groupe TMTG de Trump accuse des fonds de manipuler son action
Trump Media and Technology Group (TMTG) de l'ex-président américain Donald Trump a alerté vendredi la bourse électronique Nasdaq, accusant des fonds spéculatifs de manipuler le marché pour faire baisser le cours de son action moyennant un mécanisme illégal.
Entre son introduction en bourse, le 26 mars et mardi, le cours de TMTG s'est effondré de plus de 70%, avant de rebondir de plus de 60% lors les trois dernières séances de la semaine.
Mardi, TMTG a publié un document pédagogique répondant à une série de questions que peuvent se poser les actionnaires du groupe de médias de Donald Trump, dont le principal actif est le réseau social Truth Social. Il leur a notamment donné des conseils pour éviter que leurs titres ne soient prêtés à des spéculateurs qui souhaiteraient parier sur la baisse du cours.
Ce mécanisme appelé vente à découvert consiste à emprunter une action, puis à la vendre. Dans un second temps, le spéculateur rachète un titre de la même entreprise, puis le donne à la personne ou la société à laquelle il l'a emprunté.
Ventes à découvert "à nu"
Si le cours de l'action a baissé dans l'intervalle, le spéculateur a racheté le titre moins cher que le prix auquel il l'avait vendu, ce qui lui permet de réaliser un bénéfice.
Le directeur général de TMTG, Devin Nunes, membre républicain de la chambre des représentants de 2003 à 2022, a envoyé au Nasdaq un courrier s'inquiétant de possibles pratiques dites de ventes à découvert "à nu" (short selling).
Cette technique, contre laquelle le régulateur américain des marchés (SEC) a pris des mesures en 2005 et 2008, consiste à promettre de vendre un titre sans l'avoir emprunté auparavant. Elle permet de démultiplier les ventes à découvert, qui ne sont plus limitées au nombre d'actions disponibles.
Devin Nunes évoque une "possible manipulation de marché" sur cette base et relève que parmi les sociétés les plus actives dans les échanges d'actions de TMTG figurent deux sociétés d'investissements alternatifs ou "hedge funds", à savoir Citadel Securities et Jane Street Capital.
"Devin Nunes est un 'loser' patenté qui essaye de mettre la chute du titre sur le compte des ventes à découvert à nu", a réagi Ken Griffin, l'influent patron de Citadel, dans une déclaration à plusieurs médias.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Demande d'annulation de la garantie déposée par Trump à New York
La procureure générale de l'Etat de New York a requis vendredi l'annulation de la garantie de 175 millions de dollars versée par l'ex-président américain Donald Trump dans l'affaire de fraudes financières. Elle lui avait permis d'éviter des saisies sur son patrimoine.
M. Trump avait écopé d'une condamnation à 454 millions de dollars d'amende dans cette affaire. Outre de repousser d'humiliantes saisies judiciaires sur son patrimoine, la garantie, déposée le 1er avril, lui avait permis de faire appel de la condamnation.
Mais dans un document judiciaire déposé vendredi par la procureure générale Letitia James, à trois jours d'une audience sur la validité de cette garantie, ses services assurent qu'elle doit être annulée.
"Plutôt que de choisir comme caution une grande compagnie d'assurance nationale licenciée à New York, expérimentée dans la souscription de garanties de cautionnements et dont les liquidités sont largement supérieures à 175 millions de dollars", Donald Trump a "préféré choisir Knight Specialty Insurance Company, un petit assureur qui n'est pas autorisé à exercer à New York [...] qui n'a jamais souscrit de caution à New York ni au cours des deux années précédentes dans aucune autre juridiction et qui dispose de liquidités totales de 138 millions de dollars", exposent-ils.
Valeurs des actifs gonflées
Donald Trump avait été condamné mi-février à 454 millions de dollars d'amende avec ses fils Eric et Donald Jr., pour fraudes financières au sein de leur empire immobilier Trump Organization.
Ils étaient accusés d'avoir gonflé à hauteur de plusieurs milliards de dollars les actifs de leur patrimoine immobilier tout au long des années 2010 pour se voir octroyer des prêts plus favorables des banques.
Après la condamnation, la procureure générale de l'Etat de New York avait menacé de lancer des saisies judiciaires pour recouvrer la valeur de l'amende, en citant l'immeuble du 40 Wall Street.
L'audience sur cette garantie est prévue lundi, le jour où le premier procès pénal de Donald Trump, centré sur des paiements dissimulés à une ancienne vedette de films pornographiques pour acheter son silence en pleine campagne présidentielle de 2016, entrera dans le vif du sujet avec les propos liminaires de l'accusation et de la défense.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Udinese-AS Rome se terminera le 25 avril
Le match de Serie A Udinese - AS Rome se terminera le 25 avril, a annoncé la Ligue italienne. Cette partie avait été arrêtée dimanche dernier après le malaise du défenseur de l'AS Rome Evan Ndicka.
"Les 18 minutes et 30 secondes restant à disputer, plus les éventuels arrêts de jeu du match entre l'Udinese et l'AS Rome se joueront le jeudi 25 avril à 20h00", a indiqué la Lega Serie A dans son communiqué.
La Roma, qualifiée pour les demi-finales de l'Europa League où elle affrontera les 2 et 9 mai le Bayer Leverkusen de Granit Xhaka, avait demandé que la fin de cette rencontre soit programmée au plus tôt mi-mai.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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