International
Desplanches se teste sur 100 m brasse
Jérémy Desplanches n'allait pas prendre le risque de se lancer dans le grand bain pour les séries du 200 m 4 nages, prévues le mercredi 28 juillet, sans avoir pris ses repères.
Le Genevois s'alignera dès samedi aux JO de Tokyo, sur 100 m brasse. "J'étais inscrit sur 400 m 4 nages et sur 100 m brasse pour cette première journée de compétition", explique le vice-champion du monde 2019 et champion d'Europe 2018 du 200 m 4 nages, dont la brasse est la discipline naturelle. "J'ai renoncé au 400 m 4 nages, qui me fatigue bien plus", souligne-t-il.
"Ca constituera un bon test avant le 200 m 4 nages. Je verrai comment j'arrive à récupérer après le 100 m brasse", dont les séries sont programmées en soirée samedi. Jérémy Desplanches devra en effet enchaîner les séries du 200 m 4 nages et les demi-finales, prévues le matin du jeudi 29, avec moins de 16 heures pour se régénérer.
"La bonne surprise"
Les nageurs et nageuses suisses ont d'ailleurs adapté leurs horaires d'entraînement lors de leur camp de préparation effectué du 11 au 19 juillet à Fuji, là où ils avaient déjà posé leurs valises avant les Mondiaux 2019 disputées en Corée du Sud. Un camp effectué dans des conditions sanitaires très strictes.
"On ne pouvait pas sortir de l'hôtel. C'était un peu chiant, si j'ose dire", glisse le grand blond. "En revanche, je m'attendais à pire dans le village olympique. Mais à part le port du masque, le maintien des distances et le plexiglas au réfectoire, on peut tout faire. C'est la bonne surprise", précise-t-il.
L'arme secrète
Pour faire face aux horaires inhabituels de leurs compétitions, les nageurs et nageuses suisses ont par ailleurs trouvé une autre parade: le port de lunettes "blue blockers", qui aident à mieux dormir en filtrant une partie du spectre lumineux. "Ca crée un effet de mélatonine. Ca marche plutôt bien", souligne Jérémy Desplanches.
"Ca permet de mieux récupérer en baissant l'intensité lumineuse avant même de se mettre au lit", grâce à une lumière orange. "La deuxième fonction est d'aider à se réveiller plus rapidement grâce à un LED bleu, même si c'est parfois difficile à supporter", sourit le Genevois de bientôt 27 ans.
"C'est un peu mouillé"
Jérémy Desplanches, qui espère que ces lunettes "apporteront le pour-cent supplémentaire qui peut faire la différence", est par ailleurs particulièrement détendu à l'heure d'aborder le plus grand rendez-vous de sa carrière. "C'est un peu mouillé", a-t-il ainsi lâché lorsqu'on lui demanda comment était l'eau du bassin...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Pizza à l'ananas: un restaurant anglais relance les hostilités
Un restaurant britannique a relancé les hostilités contre la pizza à l'ananas, mise à son menu certes, mais avec un supplément exorbitant de 100 livres sterling (112 francs) pour les "monstres" qui en veulent.
Un plat chez Lupa Pizza à Norwich, dans l'est de l'Angleterre, coûte en règle générale dix fois moins cher mais l'un des propriétaires du restaurant Francis Woolf a expliqué au journal local, Norwich Evening News qu'il "détestait par dessus tout l'ananas sur une pizza".
Cette sorte de hawaïenne avec sa garniture de morceaux d'ananas figure donc sur la carte Deliveroo du restaurant, mais avec cette légende: "Ouais, pour 100 livres sterling, tu peux l'avoir. Commande aussi le champagne. Vas-y, espèce de monstre!".
L'art du pizzaïolo napolitain a fait son entrée au patrimoine immatériel de l'Humanité de l'Unesco en 2017, une inscription symbolique mais qui a récompensé les efforts des thuriféraires de ce met italien pour qui l'ajout d'ananas constitue une hérésie.
La querelle en Grande-Bretagne en reste pour l'instant au stade des mots, mais le restaurant en rajoute sur Facebook en déclarant qu'il "espére un afflux de militants pro et anti-ananas qui viendront voter avec leurs pieds et leur portefeuille ! Quelques heurts dans la rue. Tout ça à la télévision".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris: 860'000 visiteurs
Notre-Dame de Paris a accueilli "860'000 personnes depuis la réouverture" au grand public le 16 décembre, soit après les cérémonies d'inauguration de la première semaine.
La cathédrale a depuis accueilli "29'000 personnes par jour, et cela peut monter à 35'000 les jeudi de nocturne", a dit Sybille Bellamy-Brown, la responsable de la gestion des publics de la cathédrale parisienne mercredi lors d'une conférence de presse, en rappelant à titre d'exemple que le Louvre accueillait quotidiennement 30'000 visiteurs.
La fréquentation était estimée autour de 23'500 personnes par jour avant l'incendie qui a ravagé Notre-Dame en avril 2019.
"L'engouement ne se dément pas"
La cathédrale a rouvert le weekend des 7 et 8 décembre en présence de nombreuses personnalités, et a accueilli ensuite une semaine de "neuvaine" à l'accès réduit. Depuis la pleine réouverture au grand public le 16 décembre, l'engouement ne se dément pas, les vacances d'hiver (Noël) s'ajoutant à l'attrait de la nouveauté, ce qui a créé de longues files en fin d'année.
Mais "depuis deux semaines, on ne fait pas la queue", a assuré la responsable, en rappelant que l'entrée pouvait se faire avec ou sans réservation et que d'ailleurs seul "un tiers" des entrées se faisaient avec.
"Tout le monde a la possibilité de rentrer librement dans la cathédrale", a-t-elle rappelé, en martelant que l'entrée était gratuite.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Russie a planifié des "actes de terreur", selon Varsovie
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a affirmé mercredi que la Russie avait planifié des "actes de terreur" dans les transports aériens à travers le monde, l'accusant d'organiser des sabotages et des détournements d'avions en Pologne et au-delà.
M. Tusk a fait ces déclarations en présence du président de l'Ukraine voisine, Volodymyr Zelensky, en déplacement à Varsovie pour une série d'entretiens, quelques jours avant l'investiture de Donald Trump.
La Pologne, membre de l'UE et de l'Otan, est l'un des principaux alliés de Kiev face à l'armée russe depuis le début de l'invasion du territoire ukrainien, en février 2022.
"Sans entrer dans le détail, je peux confirmer le bien-fondé des craintes selon lesquelles la Russie a planifié des actes de terreur dans les airs, non seulement contre la Pologne, mais aussi contre des compagnies aériennes du monde entier", a dit M. Tusk au cours d'un point de presse commun avec son invité ukrainien.
Selon lui, "les actes de sabotage, les différentes versions de la guerre que la Russie a déclarée à l'ensemble du monde civilisé, et pas seulement à l'Ukraine, rendent nécessaires une action commune".
En novembre, la Lituanie a procédé à des arrestations dans le cadre d'une enquête criminelle sur la présence d'engins incendiaires à bord d'avions à destination de pays occidentaux.
Selon les médias polonais et lituaniens, ces engins, notamment des masseurs électriques imprégnés d'une substance inflammable, ont été envoyés de Lituanie au Royaume-Uni en juillet et pourraient être à l'origine de l'incendie d'un camion à l'extérieur de Varsovie.
Un conseiller à la sécurité à la présidence lituanienne avait assuré à l'époque que Moscou avait été à l'origine de ces incidents.
En octobre, la police antiterroriste britannique avait quant à elle annoncé qu'elle enquêtait sur la manière dont un colis avait pris feu dans un dépôt au début de l'année, après qu'un cas similaire en Allemagne avait été imputé à la Russie.
"Sortir de l'impasse"
M. Tusk, dont le pays assume la présidence tournante de l'Union européenne, a promis de tout faire pour "sortir de l'impasse" des "derniers mois" dans le processus d'intégration à l'UE de l'Ukraine.
"Nous travaillerons avec l'Ukraine et nos partenaires européens, sans conditions préalables, pour accélérer autant que possible le processus d'adhésion", a-t-il souligné.
"Plus tôt l'Ukraine sera dans l'UE, plus tôt l'Ukraine deviendra membre de l'Otan, plus nous agirons ensemble, plus tôt l'ensemble de l'Europe obtiendra la certitude géopolitique dont elle a besoin", a se son côté martelé M. Zelensky.
"La Russie ne passera pas là où il y a notre intégration, notre force commune", a-t-il ajouté, appelant par ailleurs ses alliés occidentaux à dépenser 250 milliards de dollars d'actifs russes gelés afin d'acheter des armes pour son pays.
Le président ukrainien a multiplié les rencontres avec les soutiens de Kiev avant le retour la semaine prochaine à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a promis de rapidement mettre fin aux combats, sitôt qu'il aura pris ses fonctions. Ce qui fait redouter à l'Ukraine qu'elle ne soit contrainte de faire des concessions territoriales majeures en échange de la paix.
Le chef de l'Etat ukrainien a rencontré à Varsovie son homologue polonais Andrzej Duda qui a réitéré son opinion selon laquelle "aucune discussion concernant l'Ukraine, la fin de la guerre, l'indépendance et la souveraineté de l'Ukraine ne peut avoir lieu sans la participation de l'Ukraine".
"Problème à régler"
MM. Tusk et Zelensky ont en outre parlé du règlement d'un différend vieux de plusieurs décennies concernant les massacres de Polonais pendant la Deuxième Guerre mondiale à Volyn, une ville aujourd'hui dans l'ouest de l'Ukraine.
Avec en ligne de mire l'élection présidentielle de mai, l'alliance pro-UE qui gouverne la Pologne subit la pression des nationalistes pour obtenir l'exhumation des victimes de ces tueries.
"Il y a un problème assez évident à régler, à savoir le besoin des familles polonaises d'enterrer dignement leurs proches qui ont été victimes du massacre de Volyn", a estimé M. Tusk.
"Le fait que nous nous comprenions sur cette question, que nous commençions à en parler normalement et que nous ayons pris certaines mesures, oui, cela mérite d'être qualifié de percée", s'est-il félicité.
Aucune des deux parties n'a précisé quelles actions concrètes avaient été entreprises.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
ONU: L'humanité a libéré "les maux d'une boîte de Pandore moderne"
L'humanité a libéré "les maux d'une boîte de Pandore moderne", s'est alarmé mercredi le secrétaire général de l'ONU, incluant les "technologies hors de contrôle" parmi les menaces existentielles du monde d'aujourd'hui, aux côtés des guerres et du réchauffement.
"Nos actions, ou inactions, ont déchainé les maux d'une boîte de Pandore moderne", a déclaré Antonio Guterres, en présentant ses priorités pour 2025 devant l'Assemblée générale.
"Quatre de ces maux se démarquent parce qu'ils représentent, au mieux des menaces risquant de perturber tous les aspects de nos politiques, au pire ils pourraient bouleverser notre existence même", a-t-il ajouté, citant "les conflits galopants, les inégalités endémiques, la crise climatique enragée, les technologies hors de contrôle".
Multiplication des conflits
Premier de ces maux, les conflits qui "se multiplient, devenant plus compliqués et plus meurtriers", comme à Gaza ou au Soudan, a noté Antonio Guterres, dénonçant également la menace nucléaire "au plus haut depuis des décennies", les attaques "constantes" contre les droits humains et l'"impunité endémique".
Il s'est également inquiété du chemin vers lequel pourrait mener la "réorganisation" en cours du Moyen-Orient, que ce soit dans les territoires palestiniens occupés, en Iran ou en Syrie.
Le patron de l'ONU, qui a fait depuis des années de la lutte contre le réchauffement de la planète une des priorités, fustige une nouvelle fois les industries fossiles et les autres responsables de la "crise climatique qui ravage" notre monde.
"Ne regardez pas plus loin que les collines de Los Angeles, lieu de tournage de films catastrophes transformées en scène de catastrophe", a-t-il noté.
Alors que tous les signataires de l'accord de Paris sont censés présenter dans les prochaines semaines une révision de leurs objectifs climatiques d'ici 2035, il a d'autre part annoncé un sommet pour "faire le bilan" de ces plans et garder l'objectif de +1,5°C "à portée", avant la COP30 au Brésil en novembre.
Un peu d'espoir
Alors qu'il rappelle régulièrement ses inquiétudes quant au développement débridé de l'intelligence artificielle, il souligne les "opportunités sans précédent" de la "révolution technologique" qui nécessite également une "gestion prudente".
"Le monde a besoin d'une IA éthique, sure et sécurisée", a-t-il plaidé, appelant l'Assemblée générale à mettre en place "sans délai" le Groupe international d'experts scientifiques approuvé par les Etats membres et destiné à éclairer les décideurs sur les risques et les opportunités de l'IA.
"Nous avons une responsabilité historique pour s'assurer que cette révolution bénéficie à toute l'humanité et pas seulement à quelques privilégiés", a-t-il plaidé.
Plus largement, les immenses inégalités dans le monde, "signe indéniable" que "quelque chose est profondément rompu dans nos systèmes sociaux, économiques, politiques et financiers", sont selon lui un des maux sortis de la boite de Pandore.
"La bonne nouvelle est que nous avons les plans pour nous attaquer à ces défis. Nous n'avons pas besoin de réinventer la roue, seulement de la faire tourner", a souligné le secrétaire général, appelant à agir en suivant les priorités adoptées en septembre dernier dans le "Pacte pour l'avenir" (renforcement du système multilatéral, réforme des institutions financières, désarmement, lutte contre la pauvreté...).
Continuant à dérouler le mythe de Pandore, il a appelé à soulever, "par l'action", le couvercle de la boite pour libérer l'espoir resté prisonnier.
"Ne perdons jamais l'espoir de vue", a-t-il martelé, voyant d'ailleurs déjà des "signes" d'un avenir meilleur.
"Oui il y a des progrès dans notre monde dans la tourmente", a-t-il assuré, citant en vrac le cessez-le-feu au Liban, le développement sans précédent des énergies renouvelables, l'amélioration de la mortalité infantile ou encore l'accès plus large à internet.
Il est enfin monté au créneau pour défendre l'ONU, de plus en plus attaquée au moment où elle s'apprête à fêter son 80e anniversaire.
"Depuis le premier jour, les Nations unies représentent la conscience mondiale. Dans un monde qui semble vouloir la destruction à tout prix, notre organisation a été une force de construction", a-t-il assuré.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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