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International

Espagne: activité touristique record en vue pour 2023

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L'Espagne devrait profiter cette année du retour des visiteurs étrangers, notamment chinois, autorisés à voyager librement depuis le début de l'année, après trois ans de crise sanitaire. (archives) (© KEYSTONE/EPA EFE/MANUEL LORENZO)

L'activité touristique en Espagne, deuxième destination mondiale, devrait atteindre cette année un niveau record après un premier trimestre "très positif", malgré l'inflation, selon un rapport publié jeudi par l'organisation patronale Exceltur.

Au vu des bons résultats enregistrés en début d'année et des "attentes positives" du secteur "pour les prochains mois", le PIB touristique de l'Espagne devrait atteindre 172,2 milliards d'euros en 2023, indique l'organisme professionnel dans un communiqué.

Ce chiffre, s'il est effectivement atteint, représenterait une hausse de 8,3% par rapport au niveau record de 2022 (159 milliards d'euros, quasiment autant en francs) et de 9,4% par rapport à celui de 2019 (153 milliards), dernière année avant la pandémie de Covid-19.

D'après l'organisation patronale, l'Espagne devrait profiter cette année d'une hausse du nombre de visiteurs étrangers, en raison notamment du retour des touristes chinois, autorisés à voyager librement depuis le début de l'année, après trois ans de crise sanitaire.

En 2022, l'Espagne a accueilli 71,6 millions de touristes étrangers, principalement britanniques, français et allemands, selon le gouvernement. Ce chiffre, en forte hausse par rapport à 2021 (31,1 millions), est resté inférieur à celui de 2019 (83,7 millions).

Selon Exceltur, qui fait état d'une "excellente" fréquentation lors des vacances de Pâques début avril, la progression de l'activité devrait profiter à la fois aux destinations du littoral et à celles plus dépendantes du tourisme d'affaires.

Pilier de l'économie espagnole, le tourisme a représenté 12,2% du PIB l'an dernier. Ce poids avait fortement chuté durant la pandémie, avant de rebondir en 2022, à la faveur de la levée des restrictions sanitaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Près de 138 millions d'enfants travaillaient l'année dernière

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Des millions d'enfants sont toujours exposés au travail dans différents pays (archives). (© KEYSTONE/AP/EBRAHIM NOROOZI)

Près de 138 millions d'enfants travaillaient en 2024. En 25 ans environ, ce nombre a diminué de près de moitié, une avancée toutefois insuffisante pour atteindre l'objectif d'éliminer ce problème d'ici cette année, ont dit mercredi des agences onusiennes à Genève.

Selon un rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) et du Fonds des Nations pour l'enfance (UNICEF), environ 54 millions d'enfants sont exposés à des activités dangereuses. Celles-ci pourraient compromettre leur santé, leur sécurité ou leur développement.

Depuis 2020, le nombre d'enfants qui travaillent a été diminué de plus de 20 millions. Ce chiffre est positif, alors que la situation observée entre 2016 et 2020 était alarmante, ajoutent les deux agences onusiennes à la veille de la Journée internationale contre le travail des enfants.

"Les parents doivent eux-mêmes être soutenus et avoir accès à un travail décent", a aussi expliqué le directeur général de l'OIT Gilbert Houngbo. Près de deux tiers des enfants qui travaillent se trouvent en Afrique subsaharienne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Musk regrette d'être "allé trop loin" en critiquant Trump

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"Je regrette certains de mes messages sur le président (...) la semaine dernière. Ils sont allés trop loin", a écrit Elon Musk (archives.) (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, qui s'était répandu la semaine dernière contre l'homme le plus puissant du monde, Donald Trump, a regretté d'être "allé trop loin". Une tonitruante dispute qui a fâché les deux anciens proches alliés.

"Je regrette certains de mes messages sur le président (...) la semaine dernière. Ils sont allés trop loin", a-t-il publié sur son réseau social X, dans la nuit de mardi à mercredi aux Etats-Unis.

Elon Musk patron de SpaceX, entreprise spatiale très dépendante des commandes de la Nasa, et du constructeur automobile Tesla, soumis au cadre normatif édicté par les autorités américaines, avait fait une série de premiers gestes la semaine dernière.

Il avait ainsi supprimé un post sur X publié au plus fort de sa dispute avec le président américain, dans lequel il l'accusait d'être impliqué dans l'affaire Jeffrey Epstein, du nom d'un financier accusé d'exploitation sexuelle de mineures.

D'autres posts écrits ou partagés par le milliardaire, dont l'un appelait à destituer Donald Trump, ont également été supprimés.

Elon Musk n'a pas détaillé mercredi à quelles publications il faisait référence.

Les deux hommes, qui ont été très proches pendant la campagne de Donald Trump et au début de son second mandat, se sont déchirés publiquement, dans des registres tant professionnels que personnels. L'homme d'affaires avait ainsi dénoncé le projet de loi budgétaire porté par Donald Trump, lequel avait mis en cause la santé mentale de ce dernier.

Menaces trumpiennes

Tout avait commencé quand Elon Musk avait traité d'"abomination répugnante" le grand projet de loi budgétaire. Donald Trump avait répondu être étonné, d'autant que selon lui Elon Musk connaissait le contenu du projet.

"Faux", avait rétorqué ce dernier, avant d'enchaîner en affirmant que c'était grâce à lui, à son soutien et à ses dollars, que Donald Trump était aujourd'hui assis dans le Bureau ovale. Et d'évoquer la possibilité de créer son propre parti politique, lui qui ne peut pas être élu à la Maison Blanche car né hors des Etats-Unis.

Il est "devenu fou", avait riposté Donald Trump, agitant la menace de supprimer subventions et commandes publiques aux entreprises d'Elon Musk, et les échanges s'étaient poursuivis ainsi pendant des heures sous le regard interloqué du reste de la planète, sidéré devant le choc entre l'homme le plus riche du monde, adossé à une fortune de près de 400 milliards de dollars, et l'homme le plus puissant du monde à la tête des Etats-Unis.

D'autant qu'ils avaient été très proches, échangeant d'innombrables amabilités au cours des mois précédents, quand Elon Musk avait été chargé de mettre en place le Doge, la commission fédérale chargée de faire fondre, parfois brutalement, les dépenses de l'Etat fédéral.

Mais cette séparation porte aussi en germe des conséquences très concrètes pour les entreprises d'Elon Musk, compte tenu du pouvoir exécutif détenu par Donald Trump. Et ce, malgré la place cruciale des entreprises d'Elon Musk dans le paysage américain, même si ce dernier soutenait que sa puissance à lui était plus durable: "Trump a encore trois ans et demi en tant que président. Moi, je serai là pour encore 40 ans."

Il a fait aussi face à une série de mises en cause et menaces moins économiques: des trumpistes influents comme l'idéologue d'extrême droite Steve Bannon ont ainsi demandé d'enquêter sur le statut migratoire d'Elon Musk, quinquagénaire né en Afrique du Sud, sur son habilité à accéder à des informations confidentielles et sur sa consommation présumée de drogues.

Le Président américain l'a aussi menacé explicitement s'il commençait à soutenir des candidats démocrates dans des élections: "Il devra faire face à de très lourdes conséquences", avait-il mis en garde, sans détailler la nature de ces potentielles répercussions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Israël: le Parlement va devoir voter sur un projet de dissolution

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Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu devrait faire face à une motion de dissolution du parlement (archives). (© KEYSTONE/AP POOL EPA/ABIR SULTAN)

Les chefs des partis de l'opposition israélienne ont décidé de soumettre mercredi à la Knesset (Parlement) un projet de loi de dissolution du Parlement. Les partis ultra-orthodoxes, soutiens clés de la coalition de Benjamin Netanyahu, ont menacé de soutenir ce texte.

"Les chefs des partis d'opposition ont décidé de soumettre au vote un projet de loi de dissolution de la Knesset aujourd'hui. Cette décision a été prise à l'unanimité et engage tous les partis" d'opposition, ont indiqué leurs chefs dans un communiqué commun.

Les partis Shass et Judaïsme unifié de la Torah (JUT) ont menacé de se joindre à l'action de l'opposition en raison de leur opposition à la loi de conscription visant notamment les exemptions des ultra-orthodoxes.

Si le projet est approuvé lors de cette lecture préliminaire en session plénière mercredi, il faudra encore trois autres votes avant une dissolution.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Neil Young sort un nouvel album avec "The Chrome Hearts"

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Neil Young se prépare à se produire sur scène lors de la manifestation 'Fighting Oligarchy Tour" à Los Angeles le 12 avril. Des milliers de personnes ont participé au rassemblement en soutien au sénateur Bernie Sanders et à la députée Alexandria Ocasio-Cortez. (© KEYSTONE/EPA/DAVID SWANSON)

Neil Young, que l'on pourra écouter le 6 juillet au festival de jazz de Montreux, sort un nouveau disque. Le musicien, qui arpente les scènes depuis plus de 60 ans, ne se prive pas de critiquer le gouvernement américain, qui vient de lancer l'assaut sur Los Angeles.

Neil Young, qui a déjà des dizaines d'albums à son palmarès, sort "Talking To The Trees" (Parler aux arbres) vendredi. Pour ce musicien canadien de folk rock, qui aura 80 ans en novembre, il s'agit du premier disque avec son nouveau groupe "The Chrome Hearts" (Les coeurs de chrome).

Neil Young a écrit les dix chansons et joue de la guitare, de la harpe, du piano et du vibraphone. On entend les quatre membres du groupe à la guitare, à la basse, à l'orgue, à la batterie et au chant.

Critique de Trump et Musk

Le son est celui du folk rock classique de Neil Young. Pour les textes, l'homme de 79 ans ne se censure pas, comme toujours. Le musicien s'en prend surtout au gouvernement américain, comme il l'avait déjà fait lors du premier mandat du président Donald Trump. "Big Change" était le nom de la première chanson publiée de l'album - parue peu avant l'assermentation de Trump. Dans la chanson "Lets Roll Again", Neil Young appelle par exemple l'industrie automobile américaine à produire davantage de voitures électriques.

Il déconseille toutefois les voitures électriques de l'entreprise Tesla, produite par le milliardaire de la tech Elon Musk, et soutien de Trump jusqu'il y a peu: "If you're a fascist, then get a Tesla" ("Si tu es un fasciste, achète une Tesla"), dit la chanson.

Peu après la sortie de l'album, Neil Young et son groupe partent en tournée mondiale, d'abord en Europe, puis aux Etats-Unis et au Canada.

Inquiétude pour le retour aux Etats-Unis

Neil Young ignore s'il pourra rentrer aux Etats-Unis après ses concerts en Europe. "Si je fais de la musique en Europe et que j'y parle de Donald J. Trump, je pourrais être l'un de ceux qui reviennent en Amérique et qui sont empêchés d'entrer ou qui sont mis en prison pour dormir sur un sol en ciment avec un plafond en aluminium", a écrit le musicien, qui a la double nationalité canadienne et américaine, sur son site internet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa

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