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Fast Retailing relève ses objectifs après un trimestre solide

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Les magasins Uniqlo ont réalisé des ventes importantes au troisième trimestre (mars-mai) en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est. (archive) (© KEYSTONE/EPA/FRANCK ROBICHON)

Le groupe japonais de prêt-à-porter Fast Retailing a relevé ses prévisions annuelles jeudi, s'attendant toujours à un résultat record après des ventes solides au troisième trimestre dans ses magasins Uniqlo au Japon et à l'étranger, à l'exception de la Chine.

Le groupe a rehaussé jeudi sa prévision de bénéfice net annuel à 365 milliards de yens (2,03 milliards de francs, +23,2% sur un an), contre 320 milliards de yens lors de ses dernières projections livrées en avril dernier.

Il prévoit désormais un bénéfice opérationnel annuel de 475 milliards de yens (+24,6% sur un an), contre 450 milliards de yens jusque-là, et a aussi légèrement relevé sa perspective de chiffre d'affaires à 3070 milliards de yens (17,1 milliards de francs au cours actuel). Cela reviendrait à une hausse de 11% sur un an.

Les magasins Uniqlo ont réalisé des ventes fortes au troisième trimestre (mars-mai) à l'international, en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-Est, a souligné le groupe dans un communiqué.

En Chine en revanche, "les ventes ont été freinées par des facteurs extérieurs comme (...) un manque +d'appétit+ à l'achat des consommateurs et des conditions météorologiques ne correspondant pas à la saison, ainsi qu'à une gamme de produits insuffisante pour satisfaire les besoins des clients locaux", a écrit Fast Retailing.

Au Japon, les ventes à périmètre constant ont augmenté de 9% sur un an, avec de nettes améliorations des ventes de vêtements "en matière ultra-extensible qui ont fait l'objet de campagnes publicitaires pendant les périodes de chaleur persistante".

La deuxième grande marque du groupe, GU, a aussi vu son chiffre d'affaires progresser grâce à "des articles qui ont réussi à capter les tendances de la mode", s'est félicité le groupe.

Hors Uniqlo et GU, les autres marques du groupe (Theory, PLST, Comptoir des Cotonniers et Princesse tam.tam) ont connu un nouveau trimestre difficile, avec une baisse de 5,1% de leurs ventes totales, à cause de la réduction du nombre de magasins PLST et "des difficultés rencontrées par Theory et Comptoir des Cotonniers", a souligné Fast Retailing.

Leur bénéfice opérationnel a cependant augmenté (+7%) en comparaison avec les pertes de valeur enregistrées l'année précédente en raison de la fermeture de magasins PLST et Comptoir des Cotonniers.

Sur son troisième trimestre, le bénéfice net du groupe a totalisé 116,9 milliards de yens (670 millions d'euros, +37,4% sur un an), tandis que son bénéfice opérationnel a lui bondi de 31,2% et que ses ventes ont augmenté de 13,5%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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La CEDH annonce ce matin sa décision dans l'affaire Semenya

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L'athlète sud-africaine Caster Semenya (centre) lors de la course des 5000 mètres à Regensburg (D) en juin 2021. (archives) (© KEYSTONE/AP DPA/STEFAN PUCHNER)

La Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme publie ce jeudi sa décision définitive dans l'affaire de la Sud-Africaine Caster Semenya. En 2023, la cour avait déjà estimé que la Suisse avait violé plusieurs droits de l'athlète hyperandrogène.

Il y a deux ans, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait admis la requête de Caster Semenya sur plusieurs points. Elle avait estimé en particulier que son droit à la vie privée, en relation avec l'interdiction des discriminations, avait été violé par le règlement de World Athletics (WA) imposant aux femmes présentant un excès naturel d'hormones mâles (hyperandrogènes) à prendre des hormones féminines pour participer aux compétitions.

Après sa condamnation il y a deux ans, la Suisse a porté l'affaire devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) afin d'obtenir une décision définitive. En effet, le règlement de WA a été confirmé par le Tribunal administratif du sport (TAS), siégeant à Lausanne, puis par le Tribunal fédéral saisi successivement par Caster Semenya.

Examen très restreint

Dans cette affaire, le Tribunal fédéral a analysé les faits avec un pouvoir d'examen très restreint, comme le veut la loi suisse lorsque cette instance agit dans des procédures d'arbitrage. A ce titre, la Sud-Africaine estime que son droit à un procès équitable et à un recours effectif a été également violé par la Suisse.

Athlète spécialisée dans les courses de demi-fond, Caster Semenya se plaint du règlement de WA qui l'oblige à réduire son taux naturel de testostérone afin de pouvoir participer aux compétitions internationales dans la catégorie féminine.

Après le TAS, le Tribunal fédéral a débouté la Sud-Africaine en 2020. Il a estimé en substance que le règlement attaqué était une mesure apte et nécessaire aux buts légitimes de l'équité sportive.

La sportive, qui présente un excès naturel d'hormones sexuelles mâles, mène depuis plus de dix ans un bras de fer avec WA. Expertises à l'appui, cette dernière a défini en avril 2018 un seuil maximal de testostérone (5 nanomoles par litre de sang) pour concourir avec les femmes sur des distances allant du 400 m au mile (1609 m), et englobant donc le 800 m où la Sud-Africaine excelle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Trump annonce des taxes de 50% sur le cuivre dès le 1er août

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Donald Trump invoque la sécurité nationale des Etats-Unis pour justifier les droits de douane sur le cuivre. (© KEYSTONE/EPA/AARON SCHWARTZ / POOL)

Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi des droits de douane de 50% sur les importations de cuivre à partir du 1er août. Ce métal était jusqu'à présent exempté des taxes douanières plancher de 10% imposées en avril.

"J'annonce une surtaxe de 50% sur le cuivre, qui entrera en vigueur le 1er août 2025, après avoir reçu une évaluation approfondie en matière de sécurité nationale", a déclaré mercredi le président américain sur son réseau social Truth Social, sans doute en référence à une enquête du département du commerce.

"Le cuivre est le deuxième matériau le plus utilisé par le ministère de la défense", a-t-il tempêté, évoquant les besoins du pays pour construire des semi-conducteurs, avions, navires, munitions, centres de données et systèmes de défense anti-missiles, entre autres.

Au nom du rééquilibrage des relations commerciales au profit des Etats-Unis, Donald Trump a imposé en avril une surtaxe plancher de 10% sur les importations, y compris si elles ne peuvent être produites sur place, mais avec des exemptions, notamment pour l'or, le cuivre, le pétrole et les médicaments.

Brésil visé

Il est revenu mardi sur ces exceptions, envisageant par exemple une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques et de 50% sur le cuivre, une menace qui a fait s'envoler le cours du métal de près de 10% à New York mardi, dépassant son sommet historique.

Si les droits de douane sur le cuivre entrent en vigueur, les prix des biens fabriqués avec ce métal (réfrigérateurs, voitures) pourraient grimper, comme pour les autres produits surtaxés à l'importation.

Mercredi, le président américain a aussi annoncé une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, car les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le géant sud-américain.

Dans un courrier adressé au président brésilien Lula, M. Trump affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, jugé dans son pays pour tentative de coup d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La capitale ukrainienne Kiev visée par une attaque russe

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Les bombardements russes contre les infrastructures civiles, notamment à Kiev, se sont intensifiés ces dernières semaines. (© KEYSTONE/EPA/STATE EMERGENCY SERVICE HANDOUT)

Des frappes de drones russes sur la capitale ukrainienne Kiev dans la nuit de mercredi à jeudi ont fait au moins huit blessés, selon les autorités locales. Elles ont mis en garde contre l'approche d'autres missiles.

Le maire de la capitale Vitali Klitschko a indiqué sur le réseau social Telegram que les frappes avaient fait cinq blessés, dont quatre ont été hospitalisés. L'administration militaire de Kiev, qui a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville, a plus tard fait état de huit personnes blessées.

Au moins six districts ont été visés. Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris.

"L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies", a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un "groupe de missiles" était "en approche de Kiev depuis l'est".

Intensification des attaques

Des journalistes de l'AFP à Kiev ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et ont vu les explosions de projectiles interceptés par la défense antiaérienne.

Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque.

L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité a été interceptée, selon Kiev, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique.

Réunions à Londres et Kuala Lumpur

A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz.

Selon l'Elysée, des représentants américains devraient également y assister. Le président américain Donald Trump a durci le ton contre la Russie ces derniers jours, menaçant de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais

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Donald Trump a reçu plusieurs présidents africains à la Maison-Blanche, dont le président libérien Joseph Boakai. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le président américain Donald Trump a complimenté mercredi à la Maison-Blanche le président du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, qui est la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest.

"Merci, et dans un si bon anglais, si beau", a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais.

"Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle? Où avez-vous étudié? Au Liberia?", a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre "oui monsieur" à la dernière question.

Etudes au Kansas

"Eh bien, c'est très intéressant. C'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous", a conclu le président américain.

Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des Etats-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays.

Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'Etat du Kansas, dans le centre des Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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