Économie
Generali: bénéfice net semestriel en berne
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Le numéro un de l'assurance en Italie, Generali, a dégagé un bénéfice net de 1,4 milliard d'euros au premier semestre, en baisse de 9% en raison de son exposition à la Russie mais supérieur aux attentes du marché.
Ce résultat, publié mardi, a dépassé les prévisions des analystes qui tablaient en moyenne sur 1,33 milliard d'euros, selon le consensus compilé par Generali.
L'assureur a passé au premier semestre des provisions de 138 millions d'euros (134,6 millions de francs) dues aux risques liés à la Russie, un pays où le groupe diminue progressivement sa présence en raison de l'invasion de l'Ukraine.
Des provisions de 97 millions d'euros ont été inscrites au titre des placements à revenu fixe en Russie et 41 millions d'euros sont dus à sa participation dans l'assureur russe Ingosstrakh.
Sans ces provisions, le bénéfice net aurait été stable à 1,54 milliard d'euros, précise Generali.
Le groupe a enregistré un bénéfice opérationnel en hausse de 4,8% à 3,14 milliards d'euros, dépassant là aussi les attentes des analystes qui prévoyaient 2,96 milliards d'euros.
Le bénéfice opérationnel a été soutenu par la croissance des segments assurance-vie (+17,1%) et dommages (+3%). La gestion d'actifs a connu une baisse de 3,3%, dans un contexte de volatilité sur les marchés financiers.
L'entrée de primes brutes, l'équivalent du chiffre d'affaires, a augmenté de 2,4% à 41,88 milliards d'euros, tirée par le segment dommages (+8,5%).
"La solide performance de Generali" démontre que la mise en oeuvre de son plan stratégique est "le bon moyen d'assurer une croissance durable", dans un "contexte géopolitique et macroéconomique de plus en plus incertain", a commenté son PDG Philippe Donnet.
Objectifs confirmés
Le groupe a confirmé les objectifs de son plan stratégique, dont une hausse du bénéfice par action de 6 à 8% par an et des dividendes cumulés de 5,2 et 5,6 milliards d'euros sur la période 2022-2024.
S'y ajoute un rachat d'actions portant sur 500 millions d'euros prévu en 2022, dont le coup d'envoi aura lieu mercredi.
Le ratio économique de solvabilité du troisième assureur européen en termes de capitalisation boursière s'est établi à 233% fin juin, comparé à 227% fin 2021.
Generali avait annoncé début mars son retrait graduel de la Russie, avec notamment la fermeture de sa représentation à Moscou.
Le groupe s'est retiré du conseil d'administration d'Ingosstrakh, dont il détient cependant toujours une participation de 38,5% qu'il considère désormais comme "gelée".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre
L'évolution qu'aura connue l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections pour les moins divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP.
Seul point de convergence, la vive progression du produit intérieur brut (PIB) observée sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Espoirs de stabilisation
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre
L'évolution de l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP. Seul point de convergence, la progression du PIB sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Service universel de la Poste garanti mais plus flexible en Suisse
La Poste devra continuer à l'avenir à garantir un service universel suffisant et à des prix abordables. Cependant, une certaine flexibilité devra permettre de s'adapter aux besoins futurs. Le Conseil fédéral a posé les jalons de la révision de la loi sur la poste.
Au vu de la transition numérique, le géant jaune doit pouvoir adapter son offre, relève mercredi le gouvernement dans un communiqué. A l'entrée en vigueur de la réforme, vers 2030, le service universel comprendra l'offre actuelle ainsi que des mesures qui devraient être prises au niveau de l'ordonnance en 2026.
Le gouvernement veut toutefois ancrer dans la loi un mécanisme d’adaptation en fonction de la demande. Si certains seuils sont atteints, la Poste pourra demander une adaptation du service universel, à condition qu'elle respecte un catalogue minimal, qui sera défini. Elle devra offrir ce catalogue en toutes circonstances et indépendamment de l'évolution future de la demande.
Le Conseil fédéral veut encore garantir la sécurité juridique de l'activité commerciale de la Poste en dehors du service universel. Il convient notamment de préciser le but de l'entreprise.
Le Département fédéral de la communication (DETEC) doit élaborer un projet de consultation d'ici fin juin 2026. Les objectifs stratégiques 2025-2028 en matière d'acquisitions de la Poste doivent également être revus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BNS dévoile ses propositions de nouveaux billets de banque
La Banque nationale suisse (BNS) a publié mercredi les maquettes des nouveaux billets de banque. Un sondage public a été lancé pour départager les modèles divers et variés. Le choix final sera annoncé début 2026.
Douze propositions de séries ont été présentées en ligne pour un sondage d'opinion, effectué par un institut spécialisé, du 13 août au 7 septembre, rapporte un communiqué.
Les six meilleures, choisies par la population et par un jury de spécialistes externes, passeront une seconde phase de sélection portant notamment sur des aspects commerciaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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