International
Grève en Grèce: échauffourées lors des manifestations contre la flambée des prix
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Des échauffourées ont eu lieu entre la police grecque et des manifestants alors que 20'000 personnes protestaient mercredi à Athènes contre la flambée des prix. Cela à l'occasion d'une grève générale dans toute la Grèce.
Un groupe de manifestants a lancé des cocktails Molotov en queue d'un cortège sur la place Syntagma, en bas du Parlement grec. La police a répondu en tirant des gaz lacrymogènes, a constaté une photographe de l'AFP.
Au total, 20'000 personnes ont manifesté contre le coût de la vie et la hausse des prix de l'énergie dans la capitale grecque, soit deux fois plus de manifestants que lors d'une mobilisation en avril, selon des chiffres de la police.
Objets incendiaires
Devant le ministère des Finances, un petit groupe de protestataires a lancé des objets incendiaires pour tenter de mettre le feu à un véhicule tandis que d'autres projetaient de la peinture rouge sur l'entrée de la Banque centrale de Grèce, selon un autre journaliste de l'AFP.
Le cortège du syndicat communiste Pame était le plus important avec 14'000 personnes, selon la police. "La cherté de la vie est intolérable" était inscrit sur une de ses banderoles.
Incidents à Thessalonique
A Thessalonique, deuxième ville du pays, des incidents limités ont eu lieu à la fin d'une manifestation de 8000 personnes. La police a également tiré des gaz lacrymogènes après des cocktails Molotov lancés contre les forces anti-émeutes, selon un journaliste de l'AFP.
La grève générale, à l'appel des syndicats du privé et du public, a notamment touché les transports publics, les écoles, les universités, les hôpitaux - avec toutefois du personnel d'astreinte - et les médias, aucun journal radio-télévisé n'était diffusé.
Les transports en commun (bus, métro, tramway et le train interurbain ainsi que les taxis) ont en grande partie cessé de fonctionner et aucune liaison maritime n'était assurée entre le continent et les îles de la mer Égée (est) et Ionienne (ouest) en raison de la participation du syndicat des marins (PNO) à la grève.
Pour des salaires plus élevés
"Nous réclamons la hausse des salaires et une protection sociale pour tout le monde", pouvait-on lire sur la grande affiche de la Confédération des salariés du privé GSEE, la plus grande du pays.
"Ce sont les salariés qui payent le coût de la cherté de la vie", a quant à lui fustigé le syndicat des fonctionnaires l'Adedy, appelant également à des rassemblements à travers le pays en fin matinée.
Le gouvernement a annoncé débloquer une enveloppe de 5,5 milliards d'euros avec une aide exceptionnelle de 250 euros pour les plus faibles revenus qui voient notamment les factures d'électricité grimper, des aides au logement pour les étudiants, et une subvention d'urgence pour les agriculteurs.
Mais les syndicats estiment que ces aides s'inscrivent dans la campagne "pré-électorale" du parti conservateur au pouvoir, à huit mois des élections générales, évoquant "la situation difficile" des ménages.
L'inflation a dépassé la barre de 10% lors des six derniers mois en Grèce, et même atteint 12% en septembre sur un an. Le prix du gaz a quant à lui plus que quadruplé (+332%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Gaza: Londres menace Israël de "nouvelles actions concrètes"
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a averti jeudi Israël de "nouvelles actions concrètes en réponse" à la poursuite de son offensive à Gaza et aux restrictions imposées sur l'aide humanitaire, après une réunion à Londres avec le roi Abdallah II de Jordanie.
"Le Premier ministre a réaffirmé que si Israël ne cessait pas son offensive militaire et ne levait pas ses restrictions sur l'aide humanitaire, le Royaume-Uni et ses partenaires prendraient de nouvelles actions concrètes en réponse", a déclaré un porte-parole de Downing Street dans un communiqué.
Les deux dirigeants ont discuté de "la gravité de la situation intolérable à Gaza" et des "développements préoccupants" en Cisjordanie. "Il était vital d'assurer un cessez-le-feu durable, la libération de tous les otages et la livraison rapide et massive de l'aide humanitaire", a souligné le porte-parole.
Le mois dernier, la Grande-Bretagne a suspendu ses négociations de libre-échange avec Israël et convoqué son ambassadrice au ministère des Affaires étrangères en raison de la conduite d'Israël dans la guerre à Gaza.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a vivement condamné le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu concernant l'expansion de ses opérations militaires.
Londres "ne peut rester passif"
Lors d'un discours passionné devant le Parlement britannique, M. Lammy a également déclaré que le gouvernement britannique imposait de nouvelles sanctions à des individus et organisations impliqués dans les colonies en Cisjordanie. Londres "ne peut rester passif face à cette nouvelle détérioration" à Gaza, avait-il aussi souligné.
Mercredi, le gouvernement britannique a réclamé une "enquête immédiate et indépendante" sur une série d'incidents meurtriers survenus cette semaine dans des lieux de distribution d'aide dans la bande de Gaza.
Le sous-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères britannique, Hamish Falconer, a décrit comme "profondément troublantes" les morts de Palestiniens cherchant de la nourriture et a qualifié d'"inhumaines" les restrictions imposées par Israël à la livraison de l'aide humanitaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La marche était trop haute pour Loïs Boisson
La magnifique aventure de Loïs Boisson (WTA 361) à Roland-Garros a connu une fin abrupte : une défaite 6-1 6-2 en seulement 1h09’ devant la no 2 mondiale Coco Gauff.
Après ses succès contre Jessica Pegula (WTA 3) et Mira Andreeva (WTA 6), la joueuse de Dijon n’a pas eu l’ombre d’une chance face à la gagnante de l’US Open 2023. Dès les premiers coups de raquette, l’Américaine a placé la barre beaucoup trop. A aucun moment, le public parisien n’a pas s’enflammer pour sa joueuse comme il l’avait fait lors des précédents matches.
Finaliste malheureuse à Paris en 2022 face à Iga Swiatek, Coco Gauff s’offre une deuxième possibilité de cueillir le titre à la Porte d’Auteuil. Elle aura vraiment sa chance face à Aryny Sabalenka dans cette finale qui opposera les deux premières du classement de la WTA. L’Américaine et la Bélarusse ont été opposées à dix reprises à ce jour avec cinq victoires pour chacune des deux joueuses. C’est Aryna Sabalenka qui est sortie victorieuse de leur dernier affrontement, en avril dernier en finale du tournoi WTA 1000 de Madrid (6-3 7-6).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Rencontre cordiale entre Merz et Trump, divergences sur l'Ukraine
Le chancelier allemand Friedrich Merz doit être soulagé: il n'a pas été piégé comme d'autres dirigeants étrangers par Donald Trump, qui l'a reçu jeudi de manière très cordiale, en dépit de leurs différends commerciaux. Des divergences ont affleuré sur l'Ukraine.
"Nous avons été investis d'une mission par notre peuple, et une partie de cette mission consiste à avoir une très bonne relation avec votre pays. Je tiens donc à vous remercier pour votre présence", a déclaré le président américain au dirigeant allemand dans le Bureau ovale.
Friedrich Merz lui a offert un exemplaire encadré du certificat de naissance de son grand-père, Frederick (Friedrich) Trump, né en Allemagne en 1869. Le président américain l'a de son côté complimenté pour son anglais très fluide.
"Je sais qu'à présent, vous dépensez davantage d'argent pour la défense, beaucoup plus d'argent, et c'est une bonne chose", a aussi déclaré Donald Trump, qui n'a de cesse de réclamer plus d'efforts de la part des alliés de l'Otan.
Dépenses militaires
Le chancelier a promis de satisfaire d'ici début 2030 l'exigence américaine d'une augmentation des dépenses de défense et de sécurité des pays de l'Alliance, à 5% de leur PIB.
Le président américain n'a pas frontalement attaqué son invité sur la question épineuse de l'excédent commercial allemand, tandis que ce dernier s'est gardé d'exposer trop crûment leurs divergences sur le conflit déclenché par l'invasion russe de l'Ukraine en 2022.
"Vous savez que nous avons apporté notre soutien à l'Ukraine et que nous cherchons à accroître la pression sur la Russie", a déclaré le chancelier allemand, depuis un mois à la tête de la première économie européenne, sans que Donald Trump ne réponde à cette demande à peine voilée de nouvelles sanctions américaines contre Moscou.
Friedrich Merz a assuré que Donald Trump, très sensible à la flatterie, était "le personnage-clé" pour trouver une issue pacifique.
Le républicain a seulement dit avoir demandé à Vladimir Poutine, avec lequel il a parlé mercredi, de ne pas répondre à la spectaculaire attaque de drones lancée par l'Ukraine le week-end dernier sur plusieurs aérodromes russes, tout en assurant que cette riposte russe ne serait "pas belle à voir".
"J'ai dit (à Vladimir Poutine) : 'Ne le faites pas. Vous ne devriez pas le faire. Vous devriez arrêter'. Mais encore une fois, il y a beaucoup de haine (entre l'Ukraine et la Russie)", a déclaré le président américain, qui a à nouveau semblé renvoyer dos à dos les deux belligérants.
Merz sauvé par Musk?
"Notre alliance avec les Etats-Unis a été, est et restera d'une importance capitale pour la sécurité, la liberté et la prospérité en Europe", avait écrit Friedrich Merz avant son départ pour Washington.
La bataille commerciale est évidemment au centre de la visite, à quelques semaines de la date à laquelle le président américain menace d'imposer des droits de douane de 50% sur tous les produits européens, un cauchemar pour une économie allemande déjà affaiblie.
Friedrich Merz avait prévenu avant la visite que l'Allemagne, troisième économie mondiale, ne se présentait pas en "quémandeur".
Le dirigeant allemand n'est pas tombé dans une embuscade telle que celle tendue par le président américain à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, puis sud-africain Cyril Ramaphosa.
Il le doit peut-être à un troisième homme, absent du Bureau ovale mais dont le nom a été prononcé plusieurs fois: Elon Musk, qui a émis de très vives critiques contre une grande loi budgétaire portée par Donald Trump.
Le président américain, devant les caméras, a rompu avec son allié en disant qu'il était "très déçu" par le multimilliardaire. Le patron de Space X et Tesla, qui vient de quitter son rôle de "conseiller spécial" de la Maison Blanche, a répliqué immédiatement sur X en accusant le républicain de dire des choses "fausses".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Fin de règne pour Iga Swiatek
Iga Swiatek n’a pas gagné un... 27e match de suite à Roland-Garros. La triple tenante du titre est tombée en demi-finale, battue 7-6 (7/1) 4-6 6-0 par la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.
Ce choc tant attendu entre la Polonaise et la Bélarusse n’a pas vraiment tenu ses promesses. Trop tendues, les deux joueuses ont eu bien de la peine à développer leur tennis. Le grand mérite d’Aryna Sabalenka fut d’élever le curseur au jeu décisif du premier set après avoir galvaudé deux balles de... 5-1. Elle fut également la plus incisive au début du troisième set pour reprendre la main dans cette demi-finale. Le 6-0 qui a sanctionné ce troisième set fut presque humiliant pour une Iga Swiatek qui a très vite renoncé dans cette fin de match et qui a bouclé jeudi avec cette défaite une année entière sans gagner le moindre tournoi...
Pour sa première finale à Paris, Aryna Sabalenka affrontrera samedi la gagnante de la rencontre entre la no 2 mondiale Coco Gauff et Loïs Boisson (WTA 361) qui sera, bien sûr, poussée par tout le public de Roland-Garros.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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