Économie
HSBC a vu son bénéfice net augmenter de 17,6% en 2022
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/02/la-banque-hsbc-a-annonce-mardi-une-augmentation-de-176-de-son-benefice-net-en-2022-archives-1000x600.jpg&description=HSBC a vu son bénéfice net augmenter de 17,6% en 2022', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La banque HSBC a annoncé mardi une augmentation de 17,6% de son bénéfice net en 2022, le patron du géant bancaire invoquant une "bonne performance à travers ses activités mondiales" dans un contexte de cession prochaine de ses activités de détail en France.
En 2022, HSBC a réalisé un bénéfice net de 14,822 milliards de dollars américains, contre 12,607 milliards en 2021, a indiqué le groupe dans un communiqué.
"2022 a été une nouvelle fois une bonne année pour HSBC", a souligné le PDG du groupe Noel Quinn.
"Nous sommes en passe de réaliser des rendements plus élevés en 2023 et (nous) avons construit une base pour (poursuivre) la création de valeur", a-t-il ajouté.
Dans son communiqué, HSBC a expliqué avoir enregistré "une bonne croissance sous-jacente dans l'ensemble de l'entreprise au sein de secteurs clés, particulièrement dans ceux liés à notre réseau international".
Le bénéfice net avant impôts du groupe a cependant baissé de 7,3%, passant de 18,9 milliards de dollars en 2021 à 17,5 milliards en 2022.
Pour expliquer notamment les pertes de crédit attendues, HSBC a mentionné l'accroissement de l'incertitude économique, l'inflation, des taux d'intérêt en hausse et les perturbations des chaînes d'approvisionnement des entreprises, de même que les difficultés traversées par le secteur immobilier chinois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Commerce: Pékin et Washington scellent la détente
La Chine et les Etats-Unis ont annoncé avoir scellé le cadre général visant à lisser leurs différends commerciaux, Pékin assurant vendredi que Washington est prêt à lever des restrictions à l'encontre de ses produits et vice versa.
Après des pourparlers à Genève en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.
La Chine s'était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l'accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d'exportation de terres rares.
Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l'économie mondiale moderne.
Mi-juin, Washington et Pékin s'étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève sur les rails.
C'est cet accord, portant notamment sur l'accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis, que Donald Trump s'est félicité jeudi d'avoir "signé".
Et Pékin a confirmé vendredi qu'un consensus avait été trouvé.
Les investisseurs se sont montrés rassurés par la nouvelle, d'autant que l'exécutif américain semble de surcroît disposé à reporter la date butoir à partir de laquelle il devait mettre en place des droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux, dont l'Union européenne.
Vendredi matin, le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux.
"Je pense que nous pouvons boucler les discussions commerciales d'ici à la fête du travail", le 1er septembre aux Etats-Unis, a dit le secrétaire au Trésor sur Fox Business.
Wall Street a réagi avec optimisme, l'indice américain S&P 500 finissant même d'effacer l'intégralité des pertes causées depuis février par le tumulte autour des droits de douane, pour dépasser son plus haut historique en séance, de même que le Nasdaq.
"Même sens"
"La Chine espère que les Etats-Unis avanceront dans le même sens qu'elle", a indiqué dans un communiqué le ministère chinois du Commerce, en confirmant que Pékin et Washington avaient scellé leur accord.
"La Chine procédera en vertu de la loi à l'examen et à l'approbation des demandes d'exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences", a-t-on poursuivi de même source.
"Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l'égard de la Chine", a complété le ministère chinois.
Aucune précision supplémentaire n'a été apportée dans l'immédiat.
La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.
Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l'obtention d'un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares.
La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.
Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels (acier, aluminium, automobile).
Mais il a aussi mis en place une surtaxe quasiment universelle de 10% et menacé d'aller plus loin à l'égard des pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'achètent de produits américains.
Donald Trump a suspendu ces droits de douane punitifs jusqu'au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'inflation réaccélère en mai aux Etats-Unis, à +2,3% sur un an
L'inflation a réaccéléré en mai aux Etats-Unis selon un indice officiel publié vendredi, dans la lignée des attentes des analystes et de la banque centrale (Fed) aux prises avec un président Donald Trump assurant que l'inflation n'est plus un problème.
Les prix ont progressé de 2,3% sur un an en mai contre 2,2% le mois précédent (valeur révisée en hausse, l'indice ayant d'abord été annoncé en progression de 2,1%), selon l'indice PCE, publié par le ministère du Commerce.
Les analystes s'attendaient à ce regain, selon le consensus publié par MarketWatch.
Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, avait aussi dit cette semaine, devant les parlementaires américains, qu'il s'attendait à voir le PCE augmenter de 2,3% sur un an en mai.
Depuis plusieurs mois, la banque centrale des Etats-Unis se montre inquiète de voir l'inflation rebondir avec les droits de douane mis en place par Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.
Jusqu'ici, les chiffres officiels avaient montré que l'inflation restait en passe de revenir au niveau souhaité par la Fed, autour de 2%.
Cela avait porté le président Donald Trump à assurer qu'il n'y avait "pas d'inflation" et à réclamer à l'institution de baisser ses taux d'intérêt rapidement.
Dans la publication de vendredi, l'inflation sous-jacente (hors prix volatils de l'énergie et de l'alimentation) est légèrement au-dessus des attentes, à +2,7% sur un an.
Autre élément de nature à attirer l'attention: les dépenses de consommation s'affichent en repli de 0,1% d'un mois sur l'autre. Les revenus des ménages ont quant à eux reculé de 0,4%.
Les analystes s'attendaient au contraire à des hausses.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin
Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.
En janvier 2024, la Ville de Sion, le Département cantonal de la sécurité, des institutions et du sport, l’Association valaisanne de football et le FC Sion avaient signé une lettre d’intention visant à pérenniser le football professionnel et la relève en Valais.
Après 18 mois de travail, les quatre partenaires ont pris plusieurs décisions de principe communiquées vendredi en conférence de presse. La variante rénovation du Stade de Tourbillon est abandonnée. L’infrastructure restera en fonction jusqu’à la construction d’un nouveau stade.
Celui-ci sera porté par des privés, sans participation financière publique, selon Christian Constantin. Et les signataires confirment leur intention de développer à Sion une académie de football pour former la relève d’élite, masculine et féminine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin
Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
Les antibios devront à l'avenir être remis à l'unité en Suisse
-
SportIl y a 3 jours
Le Conseil fédéral réintroduit le concours d'armée
-
InternationalIl y a 3 jours
Sept soldats israéliens tués dans la bande de Gaza
-
SuisseIl y a 2 jours
Près de 2400 tonnes de cerises vont être récoltées en Suisse
-
SuisseIl y a 2 jours
Téléphones interdits dans les écoles valaisannes, annonce Darbellay
-
CultureIl y a 2 jours
La Pologne rêvée à Lausanne: 100 chefs-d’oeuvre du musée de Varsovie
-
LausanneIl y a 3 jours
Des pépinières d’un nouveau type produisent les arbres de demain
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne et région: le CID sera rénové