Économie
HSBC: le bénéfice net trimestriel a presque quadruplé
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/05/de-janvier-a-mars-le-benefice-net-dhsbc-a-atteint-10327-milliards-de-dollars-916-milliards-de-francs-contre-2755-milliards-sur-la-meme-periode-en-2022-archives-1000x600.jpg&description=HSBC: le bénéfice net trimestriel a presque quadruplé', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le groupe bancaire HSBC a annoncé mardi un bond de son bénéfice net part du groupe de 274,8% sur un an au premier trimestre 2023.
De janvier à mars, le bénéfice net d'HSBC a atteint 10,327 milliards de dollars (9,16 milliards de francs), contre 2,755 milliards sur la même période en 2022.
Sur la même période, le groupe a déclaré que ses bénéfices avant impôts avaient augmenté de 210,9% en glissement annuel, passant de 4,144 milliards à 12,886 milliards, selon le bilan financier du groupe.
"Nos excellents résultats du premier trimestre prouvent une fois de plus que notre stratégie fonctionne", a déclaré le directeur général du groupe Noel Quinn dans un communiqué, soulignant que les "bénéfices étaient répartis entre nos principales zones géographiques".
La vente des activités de banque de détail en France à My Money Group, contrôlé par le fonds américain Cerberus, est désormais "moins certaine", affirme le groupe.
"Cela est dû à une hausse inattendue des taux d'intérêt en France, qui augmentera le montant du capital requis par l'acheteur à la fin de la transaction", précise-t-il encore.
La pression monte sur HSBC depuis que son principal actionnaire, l'assureur chinois Ping An, a demandé à la banque de scinder ses activités asiatiques, dans le cadre d'une "restructuration stratégique" visant à dégager de la valeur pour les actionnaires.
Le géant bancaire, qui fait l'essentiel de ses profits en Asie, a appelé ses actionnaires à "voter contre les résolutions" allant dans le sens du projet de Ping An lors de l'assemblée générale du 5 mai.
La proposition a cependant fait des adeptes parmi les investisseurs de détail à Hong Kong, certains exprimant leur frustration face à l'annulation des dividendes par la banque pendant la pandémie.
Dans une rare prise de parole publique, l'assureur chinois a estimé que HSBC était à la traîne de la concurrence internationale et que la récente amélioration de ses performances n'était liée qu'à la hausse des taux d'intérêt, qui a désormais atteint son pic.
Ping An a également invoqué la détérioration des relations entre les États-Unis et la Chine pour justifier la restructuration.
HSBC a toutefois estimé que cette proposition ne permettrait pas "de dégager plus de valeur pour les actionnaires. Au contraire, l'impact serait négatif".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
USA: le taux de chômage recule à 4,1% en juin, mieux que prévu
Les chiffres de l'emploi sont meilleurs que prévu aux Etats-Unis: le taux de chômage a légèrement reculé à 4,1% en juin et davantage d'emplois qu'attendu ont été créés, selon des données officielles publiées jeudi.
La première économie mondiale a créé 147'000 emplois le mois dernier, soit plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (110.000, selon le consensus publié par MarketWatch).
Un même volume d'emplois avait été créé en mai (144'000, valeur révisée en hausse), selon le rapport mensuel du ministère du Travail.
Les créations d'emplois se sont concentrées dans l'administration locale et la santé, alors que des emplois ont continué à être détruits au niveau de l'Etat fédéral, conformément au voeu du gouvernement républicain.
Le taux de chômage a légèrement reculé, passant de 4,2% à 4,1% - un niveau considéré comme proche du plein emploi.
Les analystes s'attendaient au contraire à une légère hausse du taux à 4,3%.
Ces données laissent entendre que l'économie reste solide, en dépit des secousses liées aux nouveaux droits de douane mis en place par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.
Les chiffres de l'emploi devraient permettre à la Réserve fédérale (Fed) d'attendre encore avant de baisser ses taux d'intérêt.
Fustigée par le président Trump qui réclame des taux plus bas, la banque centrale des Etats-Unis fait face à une situation complexe.
Elle s'inquiète de voir augmenter le chômage et l'inflation. Or elle est censée fixer le niveau de ses taux d'intérêt de manière à assurer plein emploi et stabilité des prix.
Quand les prix augmentent, elle peut augmenter ses taux directeurs pour freiner l'activité et limiter l'emballement.
Quand le chômage progresse, elle peut au contraire baisser ses taux pour stimuler l'économie.
Mais quand les deux éléments se dégradent en même temps, elle doit choisir entre accepter des prix plus élevés ou de voir des gens perdre leur emploi.
Les banquiers centraux américains s'attendent à voir l'inflation à 3% à la fin de l'année et le taux de chômage à 4,5%, selon la médiane de leurs prévisions, récemment actualisée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Etats-Unis: le taux de chômage recule à 4,1%
Les chiffres de l'emploi sont meilleurs que prévu aux Etats-Unis: le taux de chômage a légèrement reculé à 4,1% en juin et davantage d'emplois qu'attendu ont été créés, selon des données officielles publiées jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats / afp
Économie
Imposition individuelle: Centre et UDC lancent le référendum
L'introduction de l'imposition individuelle crée de nouvelles inégalités, estime jeudi une alliance interpartis. Le Centre, le PEV, l'UDC et l'UDF ont lancé jeudi le référendum contre ce qu'ils décrivent comme une "tromperie fiscale".
Le Parlement a soutenu en juin l'initiative des Femmes PLR et le contre-projet du Conseil fédéral pour l'imposition individuelle. Ces projets visent à corriger la "pénalisation du mariage".
Mais pour l'alliance, cette imposition "n'est pas juste". Elle conduit à de nouvelles injustices pour les familles et la classe moyenne.
"Les couples mariés n'ayant qu'un seul revenu ou des revenus très différents seraient nettement plus imposés que les couples ayant deux revenus similaires", estime l'alliance. Les familles, les personnes seules et la classe moyenne sont les plus touchées. En revanche, les ménages à double revenu qui gagnent bien leur vie en profiteraient.
Les partis critiquent également un monstre bureaucratique. Les couples mariés devraient remplir deux déclarations. Les administrations devraient traiter 1,7 million de déclarations supplémentaires.
La discrimination des couples mariés peut être éliminée sans changer complètement le système. Plusieurs cantons ont déjà prouvé qu'une telle correction est possible sans recourir à l'imposition individuelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'inflation rebondit au mois de juin en Suisse
Les prix à la consommation sont repartis de l'avant au mois de juin en Suisse, après avoir fait une brève incursion en territoire négatif le mois précédent.
En juin, l'inflation a augmenté de 0,1% sur un an et de 0,2% comparé au mois précédent, a annoncé jeudi l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans un communiqué.
Ces données se situent dans le haut de la fourchette des prévisions. Les économistes interrogés par l'agence AWP prévoyaient en effet un taux d'inflation entre -0,1% et +0,1% sur un an et de 0,0% à +0,2% en variation mensuelle.
Alors que les prix des produits locaux ont progressé de 0,7% comparé à juin 2024, ceux des produits importés ont baissé de 1,9%. Ce recul s'explique par le repli des prix du pétrole et l'appréciation du franc, notamment face au dollar, qui rend les denrées importées moins onéreuses.
Parmi les catégories de produits, les plus fortes baisses ont été observées dans la location de voitures (-19% sur un an), le transport aérien (-11,2%) et l'essence (-9,7%).
A l'inverse, les loyers, principal poste de dépense des Suisses, ont accéléré de 2,6% sur un an. Certaines denrées alimentaires ont également vu leurs prix s'envoler, notamment les fruits et légumes (+10,7%), les oignons et poireaux (+11,9%) et les fruits à noyau (+6,7%).
L'inflation rejoint à nouveau la zone que la Banque nationale suisse (BNS) assimile à la stabilité des prix, soit un indice des prix à la consommation (IPC) entre 0% et 2%. Pour défendre cet objectif, elle avait abaissé mi-juin son taux directeur de 25 points de base à 0%, incitant ainsi entreprises et particuliers à la consommation plutôt qu'à l'épargne.
Les loyers pèsent
En mai, l'inflation avait basculé en territoire négatif, s'établissant à -0,1% sur un an pour la première fois depuis mars 2021.
Pour cette année, la majorité des économistes table sur une inflation entre 0,1% et 0,3% et en 2026 de 0,2% à 0,9%.
"Hors loyers, l'inflation suisse serait négative à -0,5% sur un an, traduisant une situation de déflation sur la quasi-totalité des autres biens et services", a fait remarquer Arthur Jurus, directeur des investissements d'Oddo BHF Suisse.
Pour M. Jurus, "la hausse des loyers empêche l'IPC de plonger, faisant des coûts du logement le principal foyer d'inflation en Suisse et laissant craindre la persistance de pressions inflationnistes tant que la crise du logement ne sera pas résolue".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
LausanneIl y a 2 jours
Une ado à moto décède sur la route de Plaines-du-Loup
-
CultureIl y a 3 jours
Le train royal britannique s'apprête à marquer son dernier arrêt
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Vaud: un quart de la force de travail réside hors du canton
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
L'encaveur Cédric Flaction continue de nier la plupart des faits
-
InternationalIl y a 3 jours
Turquie: tensions après un dessin qui représenterait Mahomet
-
VaudIl y a 2 jours
Morrens: la Mèbre polluée cause la mort de poissons sur 500 mètres
-
SuisseIl y a 3 jours
Logement des personnes handicapées: système complexe et inégalités
-
FootballIl y a 2 jours
Le centre-ville de Sion va se transformer en fan zone géante