Rejoignez-nous

Économie

Geberit soigne sa rentabilité au 1er trimestre

Publié

,

le

Geberit a réalisé entre janvier et fin mars un chiffre d'affaires de 893 millions de francs, en recul de 8,9% par rapport au premier trimestre 2022 (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Geberit a vu ses ventes reculer sur les trois premiers mois de 2023, en raison notamment d'effets de change négatifs. Malgré la baisse des volumes, la rentabilité a toutefois pu être améliorée.

L'équipementier de salles d'aisance fait état mardi d'un chiffre d'affaires de 893 millions de francs, en recul de 8,9% par rapport au premier trimestre 2022. En monnaies locales (ML), la contraction s'est limitée à 4,3%, précise la multinationale de Rapperswil-Jona dans un communiqué.

Affecté par la diminution des volumes, l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) accuse quant à lui une contraction de 2,5% à 296 millions, mais la marge afférente s'est enrobée de 2,2 points à 33,1%.

La copie rendue par le groupe saint-gallois s'inscrit dans le bas de la fourchette des analystes sollicités par AWP pour ce qui est du chiffre d'affaires, alors que les résultats ont dépassé la moyenne des projections.

Pour la suite de l'exercice, la direction de Geberit a réaffirmé les perspectives brossées à l'occasion de la présentation de ses chiffres annuels en mars. Elle s'attend toujours à un environnement de marché difficile pour le secteur de la construction, mais se dit convaincue de pouvoir atteindre ses objectifs stratégiques, à savoir une croissance annuelle des ventes nettes en ML de 4 à 6% assortie d'une marge Ebitda de 28-30% en moyenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Économie

Les députés débattent sur les limites d'âge à la BCV

Publié

le

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) a été discutée au Grand Conseil, notamment la question des limites d'âge au Conseil d'administration et à la Direction (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) est actuellement débattue au Grand Conseil. Alors que le Conseil d'Etat défend la suppression de toute limite d'âge au sein de l'établissement, les parlementaires ont décidé mardi en premier débat de fixer une petite cautèle pour les membres de la direction générale.

Dans sa modification de la loi, le gouvernement veut supprimer la limite d'âge fixée à 70 ans pour les membres du Conseil d'administration (CA) et de réduire le nombre de maximum de mandats de quatre (seize ans au total) à trois (douze ans au total).

"La suppression de l'âge limite pour le CA facilitera les renouvellements, permettra davantage de flexibilité et des départs étagés. Cela permettra aussi de conserver plus longuement au sein du CA certaines compétences qui se font rares sur le marché", argumente le Conseil d'Etat.

S'agissant de la direction générale, il propose, pour la limite d'âge de ses membres qui est actuellement de 65 ans, de renvoyer aux règles applicables au personnel de la banque autorisant les collaborateurs, avec l'accord de l'employeur, à travailler jusqu'à 68 ans.

"Actuellement, les membres de la direction générale doivent quitter la BCV dans l'année de leurs 65 ans, tandis que les autres collaborateurs peuvent, avec l'accord de l'employeur, travailler jusqu'à 68 ans. La proposition vise à harmoniser l'âge de départ des membres de la direction générale en renvoyant aux règles applicables pour le personnel de la banque", justifie le gouvernement.

Deux amendements

La commission du Grand Conseil chargée d'étudier ces changements a préféré une solution médiane pour le CA: "Le président et les membres du CA sont nommés pour quatre ans. Ils sont rééligibles jusqu'à la limite de 70 ans révolus; toutefois la durée totale de leur mandat ne peut excéder douze ans".

Largement accepté en commission, cet amendement n'avait pas passé la rampe la semaine passée dans l'hémicycle, le groupe PLR n'ayant pas suivi ses représentants au sein de ladite commission. Il avait été refusé par 70 voix, contre 53 oui et sept abstentions. C'est donc la version du Conseil d'Etat qui a été ainsi maintenue.

Les députés ont repris ce premier débat, inachevé la semaine dernière, mardi. Ils devaient cette fois se prononcer sur la modification concernant la direction générale.

Ils ont accepté par 74 oui, 57 non et cinq abstentions l'amendement de la commission qui fixe une petite cautèle. Il stipule que "le président et les membres de la direction générale sont tenus de se démettre de leur fonction à l'âge prévu de 65 ans. Une dérogation est possible jusqu'à 68 ans, sur décision des organes compétents".

Deuxième débat nécessaire

Cette nouvelle formulation autorise le départ des membres de la direction générale à 68 ans, mais évite le renvoi au règlement de la BCV, car il peut être modifié par l'institution elle-même, sans contrôle démocratique. Ce que critiquaient certains commissaires.

Un deuxième débat immédiat a été refusé mardi et aura donc lieu, sans doute, la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Bâtiments administratifs: 18 millions pour l'autonomie électrique

Publié

le

L'Etat de Vaud souhaite poser environ 6000 m2 de panneaux solaires par an pour assurer l'autonomie électrique de ses bâtiments administratifs à l'horizon 2035 (photo symbolique). (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Le Grand Conseil vaudois a accordé mardi à l'unanimité un crédit de 18 millions de francs pour financer les mesures nécessaires à initier la démarche d'autonomie électrique des bâtiments de l'administration cantonale. Objectif: couvrir de panneaux solaires une surface d'environ 100'000 m2 d'ici 2035, ce qui correspond à quatorze terrains de foot.

Entre les toits déjà équipés (environ 20'000 m2) et les projets en cours de réalisation, il faudra poser 6000 m2 de panneaux par an pour atteindre cet "ambitieux objectif", selon le gouvernement. Ces installations devraient permettre de produire annuellement 23 GWh d'électricité, l'équivalent de la consommation annuelle de 5000 ménages suisses.

L'autonomie électrique ne passera pas uniquement par une production "maison", mais aussi par une réduction de la consommation, soit une baisse de 30% par rapport à la situation actuelle, toujours selon le Conseil d'Etat. Il s'agira notamment d'optimiser les installations techniques, d'améliorer les éclairages (utilisation de LED, capteurs de présences, etc.) ou encore de sensibiliser le personnel.

Après les bâtiments de l'administration cantonale, l'Université de Lausanne (UNIL) et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) vont aussi procéder à une telle étude de leur potentiel photovoltaïque, a souligné devant le plénum la conseillère d'Etat Isabelle Moret.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Nouveau char d'artillerie allemand pour l'armée suisse

Publié

le

Le système d'artillerie actuellement utilisé avec l'obusier blindé M109 arrivera en fin d'utilisation dans les prochaines années (archives). (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

L'armée suisse souhaite se doter de nouveaux obusiers blindés allemands. Son choix se porte sur le système AGM Artillery Gun Module sur Piranha IV de l'entreprise KNDS Deutschland. Le Parlement devra approuver cet achat dans le cadre du message sur l'armée 2025.

L'Office fédéral de l'armement (armasuisse) a évalué diverses offres et essais. Le système choisi correspond à l'offre la plus avantageuse, indique-t-il mardi dans un communiqué. Un autre système de la même entreprise allemande ainsi qu'un constructeur suédois étaient aussi sur les rangs.

Les montants exacts de l'acquisition n'ont pas été divulgués, ils seront préparés en vue du message sur l'armée. Le système d'artillerie actuellement utilisé avec l'obusier blindé M109 arrivera en fin d'utilisation dans les prochaines années.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Les députés accordent un nouveau crédit pour les arènes d'Avenches

Publié

le

Une vue de l'amphithéâtre d'Avenches, fermé pour cause de travaux depuis l'automne 2022 (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil vaudois a accordé mardi un deuxième crédit d'étude de 3,26 millions de francs, destiné à financer l'approfondissement des études pour la conservation et la rénovation de l'amphithéâtre romain d'Avenches. Un premier crédit d'étude de 1,3 million avait déjà été accordé en juin 2021.

Les députés ont accepté à l'unanimité la demande du Conseil d'Etat. "C'est un projet exceptionnel et passionnant, tant du point vue du patrimoine, de l'histoire, de la culture et du tourisme", a affirmé devant le plénum la conseillère d'Etat en charge du dossier Isabelle Moret. Elle a aussi assuré qu'il sera toujours possible d'organiser les festivals Rock Oz'Arènes et Avenches Tattoo dans les arènes après les grands travaux de rénovation.

Concrètement, le crédit d'étude est destiné à financer des études approfondies pour l'établissement d'un projet définitif de conservation et restauration, procéder aux appels d'offres auprès d'entreprises et établir le dossier de l'enquête publique. Il permettra d'établir un devis général "très solide" en vue de présenter un crédit d'ouvrage en 2025, selon le gouvernement.

Pour rappel, l'amphithéâtre de la capitale de l'Helvétie romaine a été fermé à l'automne 2022. Une réouverture partielle est prévue en 2027, avec une fin complète des travaux à l'été 2029. Outre des arènes restaurées, Avenches devrait bénéficier en 2028 d'un nouveau Musée romain.

Ce chantier de restauration devrait coûter près de 30 millions de francs au total. Le crédit d'ouvrage pour le musée est, lui, estimé à 51 millions de francs

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Cancer

Le moment n’est pas très bien choisi pour prendre des décisions significatives pour la famille… Prenez le temps d’entendre chacun !

Les Sujets à la Une

X