International
Eni: bénéfice net trimestriel quadruplé, à 3,58 milliards d'euros
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Le géant italien des hydrocarbures Eni a plus que quadruplé son bénéfice net au premier trimestre, à 3,58 milliards d'euros, dopé par la flambée des cours du pétrole et du gaz.
Ce résultat, publié vendredi, est supérieur au consensus des analystes du fournisseur d'informations financières Factset, qui tablaient sur un bénéfice de 3,33 milliards d'euros.
Le bénéfice net ajusté - un indicateur scruté de près par les marchés car il exclut des éléments exceptionnels - a été multiplié par 12, atteignant 3,27 milliards d'euros.
Ces résultats ont démontré "la résilience" du groupe "dans un contexte de forte volatilité du marché et d'incertitude liée à la guerre en cours et aux tensions internationales", a commenté le patron d'Eni, Claudio Descalzi, cité dans le communiqué.
Le groupe italien a profité comme l'ensemble du secteur de l'envolée des cours des hydrocarbures ces derniers mois, liée au redémarrage de l'économie après la levée des restrictions sanitaires dues à la pandémie de Covid-19, mais aussi à l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Seul bémol, la production d'hydrocarbures d'Eni a baissé de 3% à 1,65 million de barils par jour (mbj) au premier trimestre.
Le chiffre d'affaires du groupe italien a bondi de 122% à 32,12 milliards d'euros, un résultat nettement supérieur aux attentes des analystes.
Eni avait dégagé en 2021 un bénéfice net de 5,82 milliards d'euros, après avoir essuyé une perte abyssale de 8,63 milliards d'euros en 2020, année chahutée par la pandémie de Covid-19.
Le géant italien avait annoncé début mars céder sa part de 50% dans le gazoduc Blue Stream, qu'il contrôle à égalité avec le géant russe Gazprom, dans la foulée de l'invasion de l'Ukraine.
Eni suivait ainsi l'exemple de majors pétrolières comme les britanniques Shell ou BP, qui ont annoncé se retirer de projets en Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Israël et la Syrie s'accordent sur un cessez-le-feu
Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président syrien Ahmad al-Chareh se sont accordés sur un cessez-le-feu, deux jours après les frappes israéliennes ayant visé Damas, a annoncé l'émissaire américain pour la Syrie Tom Barrack vendredi.
"Le premier ministre israélien (Benjamin) Netanyahu et le président syrien Ahmad al-Chareh, avec le soutien du secrétaire d'Etat américain (Marco) Rubio, ont accepté un cessez-le-feu", écrit Tom Barrack sur le réseau social X. "Nous appelons les druzes, les bédouins, et les sunnites à déposer les armes, et, ensemble, avec les autres minorités, à construire une identité syrienne nouvelle et unie, dans la paix et la prospérité avec ses voisins", poursuit l'émissaire américain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Canada: Six millions d'hectares brûlés par les feux de forêt
Avec près de six millions d'hectares brûlés pour l'instant, soit la superficie de la Croatie, la saison des feux de forêt au Canada est l'une des pires jamais enregistrées au pays, selon une mise à jour des autorités vendredi.
En raison de la sécheresse et des températures supérieures à la normale, le pays de 40 millions d'habitants a connu une saison précoce et extrême avec plusieurs mégafeux actifs. Et ces derniers dévorent les terres à un rythme rarement vu depuis 40 ans.
"Il s'agit de l'une des superficies cumulées les plus élevées pour cette période de l'année, derrière le record de la saison des incendies de 2023", a souligné Michael Norton, porte-parole de Ressources naturelles Canada.
Mais contrairement à l'été hors du commun de 2023, où l'activité des incendies "ne s'est pas stabilisée" et où près de 18 millions d'hectares ont brûlé au total, "nous observons cette année un schéma d'incendie plus normal", a-t-il poursuivi.
L'intensité des feux a ralenti en juin mais le pays entre "dans ce qui est normalement les deux mois les plus actifs de la saison", avec des conditions propices aux incendies dans plusieurs régions, a-t-il prévenu.
Plus de 560 feux sont actuellement actifs dans le pays. Ottawa a fait appel à l'aide internationale et 533 pompiers des Etats-Unis, Nouvelle-Zélande, Australie, Costa Rica et du Mexique sont sur place.
L'intensité des brasiers a forcé la province du Manitoba (centre) à déclarer l'état d'urgence pour une deuxième fois en quelques mois le 10 juillet et les autorités ont indiqué que le nombre d'hectares brûlés cette année est dix fois supérieur à la moyenne.
Depuis ce printemps, 39'000 autochtones ont été évacués, a indiqué vendredi la ministre des Services aux Autochtones, ajoutant que les Premières nations sont "touchées de manière disproportionnée" par les feux et sont "108 fois plus susceptibles d'être évacuées lors d'urgences".
Le Canada, qui se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète, est confronté à de plus en plus d'événements météorologiques violents.
Liée au changement climatique d'origine humaine, la hausse des températures entraîne moins de neige, des hivers plus courts et plus doux, et des conditions estivales plus précoces qui favorisent les incendies, selon les experts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pandémie: les USA rejettent des amendements adoptés par l'OMS
Le gouvernement de Donald Trump a annoncé vendredi que les Etats-Unis rejetaient les amendements adoptés en 2024 par les pays de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour lutter contre les pandémies, affirmant qu'ils violaient la souveraineté américaine.
En 2024, les pays membres de l'OMS ont adopté des amendements au Règlement sanitaire international (RSI), un cadre juridiquement contraignant pour répondre aux urgences de santé publique qui avait montré ses limites pendant le Covid.
Le président américain Donald Trump a décidé dès son retour au pouvoir en janvier de retirer les Etats-Unis de cette agence de l'ONU. Mais, selon le département d'Etat, ces amendements sont toujours contraignants pour le pays.
Le ministre de la Santé Robert Kennedy Jr, connu pour ses positions vaccinosceptiques, et le secrétaire d'Etat Marco Rubio affirment dans un communiqué que "ces amendements risquent d'entraver indûment notre droit souverain à élaborer notre politique sanitaire".
"Nous placerons les Américains d'abord dans toutes nos actions, et nous ne tolérerons aucune politique internationale qui porte atteinte à la liberté d'expression, à la vie privée ou aux libertés individuelles des Américains", ajoute le communiqué.
"Vulnérabilité de l'OMS à l'influence politique"
Les amendements introduisent la notion d'"urgence pandémique" et "plus de solidarité et d'équité", selon l'OMS. Ils avaient été adoptés après que l'organisation a échoué l'année dernière à conclure un accord mondial plus ambitieux dans la lutte contre les pandémies. En 2025, cet accord avait finalement été conclu, mais sans les Etats-Unis.
Washington, sous la présidence de Joe Biden, avait pris part aux négociations en 2024 mais n'était pas parvenu à trouver un consensus. Les Etats-Unis exigeaient en effet plus de protection concernant les droits de propriété intellectuelle sur les vaccins américains. Le prédécesseur de Marco Rubio, Antony Blinken, avait par la suite salué les amendements, les qualifiant de progrès.
"Ils ne traitent pas non plus de manière adéquate la vulnérabilité de l'OMS à l'influence politique et à la censure, notamment de la part de la Chine, lors des épidémies", ajoutent vendredi les deux ministres pour justifier leur rejet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tour de France: Tadej Pogacar creuse encore l'écart
Tadej Pogacar s'est imposé dans la 13e étape du Tour de France, un contre-la-montre de 10,9 km en côte entre Loudevielle et Peyragudes. Le Slovène a donc encore renforcé son maillot jaune.
Pogacar - vainqueur pour la quatrième fois depuis le départ et pour la 21e fois de sa carrière sur la Grande Boucle - s'est imposé avec 36 secondes d'avance sur le Danois Jonas Vingegaard, son principal contradicteur. Cela lui a permis de porter son avance au classement général à 4'07.
Le maillot jaune avait choisi de s'élancer avec un vélo traditionnel, alors que Vingegaard et Primoz Roglic, troisième de l'étape à 1'20, ont couru sur des vélos de contre-la-montre. Mais la domination du champion du monde a été une fois encore totale, de sorte qu'une quatrième victoire finale lui semble promise après 2020, 2021 et 2024,
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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