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International

Deux Israélo-Britanniques tuées en Cisjordanie occupée

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Le "dôme de fer" israélien a intercepté samedi des roquettes tirées depuis la bande de Gaza. Israël a riposté par des tirs sur Gaza et le Liban. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

Deux Israélo-Britanniques ont été tuées et leur mère grièvement blessée vendredi dans une attaque en Cisjordanie occupée, après des frappes israéliennes contre la bande de Gaza et le sud-Liban, dernier épisode en date d'une brusque montée de tension au Proche-Orient.

Israël a dit avoir visé à Gaza et au Liban des positions du mouvement palestinien Hamas, en riposte aux tirs de dizaines de roquettes contre son territoire.

Cette poussée de fièvre fait suite à l'irruption brutale des forces israéliennes et aux violences mercredi dans le mosquée Al-Aqsa de Jérusalem, troisième lieu saint de l'islam. Les condamnations internationales se sont multipliées et le Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a dénoncé un "crime sans précédent" d'Israël, en plein ramadan.

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé que les forces israéliennes avaient été "contraintes d'agir pour rétablir l'ordre" face à des "extrémistes" qui s'étaient barricadés dans la mosquée.

Vendredi, deux soeurs originaires de la colonie israélienne d'Efrat et âgées de 16 et 20 ans ont été tuées et leur mère grièvement blessée dans une attaque en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

Les soeurs possédaient également la nationalité britannique, a annoncé la diplomatie britannique dans un communiqué appelant "toutes les parties dans la région à faire baisser les tensions".

L'armée israélienne a indiqué que leur véhicule avait été la cible de tirs au carrefour de Hamra, dans le nord-est de ce territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

L'attaque survient après des frappes israéliennes à Gaza et au Liban, dans une escalade sans précédent sur le front israélo-libanais depuis 2006.

"Etat d'alerte"

Au Liban, l'armée israélienne a affirmé avoir frappé trois "infrastructures" du Hamas dans la zone de Rachidiyé, où se trouve un camp de réfugiés palestiniens, près de Tyr.

"Deux obus au moins sont tombés près du camp", a raconté à l'AFP un habitant du camp de Rachidiyé.

Jeudi, jour de la Pâque juive, une trentaine de roquettes avaient été tirées du Liban vers Israël, blessant une personne et causant des dégâts matériels.

L'armée israélienne a affirmé que les tirs, non revendiqués, étaient "palestiniens", et probablement du Hamas ou du Djihad islamique, autre groupe armé.

Elle a affirmé qu'elle n'autoriserait "pas l'organisation terroriste Hamas à opérer à partir du Liban et qu'elle (tenait) l'Etat libanais pour responsable de tout tir dirigé (vers Israël) à partir de son territoire.

M. Netanyahu a promis d'en faire "payer le prix fort" aux "ennemis" d'Israël.

"Les menaces et intimidations des dirigeants sionistes ne mèneront à rien", a réagi vendredi Naïm Qassem, numéro deux du mouvement chiite Hezbollah, maître de fait du sud du Liban.

"Tout l'axe de résistance est en état d'alerte", a-t-il ajouté, après que son organisation eut apporté son soutien jeudi à "toutes les mesures" que les groupes palestiniens pourraient prendre contre Israël.

"Les Palestiniens au Sud-Liban ne peuvent pas tirer un coup de fusil sans l'accord du Hezbollah", souligne Fabrice Balanche, analyste de l'Université Lumière Lyon 2.

"En répliquant sur les Palestiniens, Israël ne frappe pas directement le Hezbollah au Liban", ce qui conduirait à une escalade, note-t-il.

Vendredi soir, l'armée israélienne a dit avoir abattu un drone ayant pénétré dans son territoire depuis le Liban, sans davantage de détails.

"Epouvantable"

Israël et le Liban sont techniquement en état de guerre après différents conflits et la ligne de cessez-le-feu est contrôlée par la Force intérimaire des Nations unies (Finul), déployée dans le sud du Liban.

Celle-ci a dit avoir appelé "toutes les parties à cesser toutes leurs actions". "Les deux parties ont dit qu'elles ne voulaient pas de guerre", d'après elle.

L'armée libanaise a annoncé vendredi avoir démantelé, dans le sud du pays, une nouvelle rampe de lancement de roquettes susceptibles d'être tirées sur Israël et le ministère libanais des Affaires étrangères a assuré que le Liban voulait y préserver "le calme".

La France a rappelé "son attachement indéfectible à la sécurité d'Israël et à la stabilité et la souveraineté du Liban", appelant à la désescalade, tout comme la Russie ayant invité à "mettre fin à la violence".

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, a dénoncé les "actions agressives du régime sioniste".

Condamnant également "l'agression israélienne épouvantable" à Gaza et au Liban, le Hamas a prévenu qu'il tenait Israël comme "entièrement responsable des conséquences".

L'armée israélienne a indiqué avoir mené plusieurs raids aériens dans la nuit sur Gaza, visant dix cibles, notamment des tunnels, une mitrailleuse lourde et des ateliers de fabrication d'armes appartenant au Hamas, qui y est au pouvoir depuis 2007.

En riposte, plusieurs dizaines de missiles ont été tirés à partir du micro-territoire sous blocus israélien. Un seul a touché une zone urbaine israélienne, Sderot, endommageant une maison, selon l'armée.

Doha, qui a par le passé servi de médiateur entre Israël et le Hamas, "oeuvre à une désescalade", a déclaré vendredi à l'AFP un responsable qatari, sous couvert d'anonymat.

"L'objectif principal du Qatar est d'empêcher un carnage inutile et d'éviter des conséquences destructrices pour les Palestiniens et les populations civiles", a-t-il dit.

Le ministère de la Santé de Gaza a fait état de "dégâts" à l'hôpital pédiatrique al-Dorra (dans l'est de la ville de Gaza) à la suite des raids israéliens, condamnant un acte "inacceptable". L'armée israélienne a dit examiner ces informations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Trump sur la scène de la salle de spectacle de Washington

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Donald Trump avait enfilé son plus beau smoking avant de prendre les commandes de la cérémonie des 48es Kennedy Center Honors en compagnie de soon épouse Melania Trump. (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Donald Trump, qui promeut une approche nationaliste et "anti-woke" de la culture, s'est fait maître de cérémonie dimanche pour une soirée de gala au Kennedy Center, grande salle de spectacle de Washington dont il a pris les commandes.

Il s'agissait de rendre hommage aux récipiendaires des "Kennedy Honors", des prix remis chaque année à une poignée d'artistes à la carrière prestigieuse.

"Chacun (d'eux) a une histoire de succès et de triomphe qui n'aurait pu arriver qu'aux Etats-Unis", a vanté le président à propos des lauréats 2025, dont la superstar du cinéma Sylvester Stallone et la reine du disco Gloria Gaynor.

Ses prédécesseurs se contentaient d'assister à la soirée, succession de prestations musicales et de discours, dans la loge présidentielle.

Mais Donald Trump, ancien animateur de téléréalité, a voulu monter sur la scène de cette salle dont il a bouleversé l'organisation et la direction pour bannir ce qu'il appelle la "propagande antiaméricaine"

"C'est la plus belle soirée de l'histoire du Kennedy Center" a assuré le républicain de 79 ans, en smoking, assurant que le spectacle "recevait déjà des critiques élogieuses" et en prédisant une forte audience lors de sa diffusion par la chaîne CBS le 23 décembre.

Le milliardaire avait aussi enregistré de courtes vidéos dans le Bureau ovale qui ont scandé la soirée.

Le Kennedy Center, grande bâtisse blanche à l'architecture imposante des années 1970, posée au bord du fleuve Potomac, avait une tradition de neutralité politique et proposait depuis plus d'un demi-siècle une programmation culturelle diversifiée.

Nouvelle programmation

Pendant son premier mandat (2017-2021) Donald Trump avait boudé ces soirées, certains artistes ayant déclaré qu'ils ne souhaitaient pas le rencontrer.

Rien de tel cette fois.

Sylvester Stallone, 79 ans, entré dans la légende avec "Rocky" et "Rambo" est un partisan déclaré du président, qui l'a nommé symboliquement comme l'un de "ambassadeurs" à Hollywood, très majoritairement favorable aux démocrates.

Outre Gloria Gaynor, 82 ans, interprète de "I Will Survive", la soirée a mis à l'honneur George Strait, 73 ans, légende de la country, et le groupe de glam rock KISS - sans son guitariste Ace Frehley, décédé en octobre à 74 ans.

Egalement distingué: l'acteur britannique Michael Crawford, 83 ans, connu pour son rôle dans la comédie musicale "le Fantôme de l'opéra", un genre dont Donald Trump se dit friand.

Alors qu'ils recevaient les années précédentes un collier aux couleurs de l'arc-en-ciel, jugée "vulgaire" par la Maison Blanche de Donald Trump, les artistes ont reçu cette fois une médaille dorée, offerte par le joailler Tiffany, propriété du groupe français LVMH.

La nouvelle direction du Kennedy Center, constituée de fidèles du président, a supprimé les spectacles de drag shows qui s'y déroulaient et les événements célébrant la communauté LGBT.

Elle a invité des conférences de la droite religieuse et des artistes chrétiens.

Selon la presse américaine, les ventes de billets ont baissé depuis que M. Trump et ses proches en pris le contrôle du Kennedy Center.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le gouvernement du Bénin dit avoir déjoué un coup d'Etat

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Une tentative de coup d'état a été rapidement déjouée, dimanche, au Bénin. (© KEYSTONE/AP)

Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué une tentative de coup d'Etat visant à renverser le président Patrice Talon, lequel a assuré que la situation était "totalement sous contrôle".

Le bloc ouest-africain de la Cedeao va envoyer un soutien militaire au gouvernement béninois.

Cette tentative de putsch intervient à quelques mois du départ de la présidence de Patrice Talon, après deux mandats à la tête de ce petit pays d'Afrique de l'Ouest à la croissance robuste mais miné par des violences djihadistes dans sa partie nord.

L'Afrique de l'Ouest est particulièrement secouée par l'instabilité politique depuis le début de la décennie avec des coups d'Etat au Mali, au Burkina Faso et au Niger - deux voisins du Bénin -, ainsi qu'en Guinée et plus récemment, fin novembre, en Guinée-Bissau.

Dimanche matin, après des tirs près de la présidence, des militaires avaient fait irruption à la télévision nationale pour annoncer la destitution du président Talon, invoquant pêle-mêle la "dégradation de la situation sécuritaire" ou la remise en cause des "libertés fondamentales".

Quelques heures plus tard, le ministre béninois de l'Intérieur, Alassane Seidou, est apparu à son tour à la télévision nationale pour assurer que le coup avait été déjoué.

C'est ce qu'a confirmé Patrice Talon dans une courte adresse à la Nation dimanche soir, affirmant que la situation était "totalement sous contrôle" et que la "sécurité et l'ordre public seront maintenus partout sur le territoire national".

"Cette forfaiture ne restera pas impunie", a-t-il ajouté, après avoir félicité les militaires de la garde républicaine à son arrivée au palais présidentiel.

La France, ancienne puissance coloniale, a condamné dimanche soir la tentative de coup d'Etat et a appelé ses ressortissants "à la plus grande prudence et notamment à rester confinés", en raison d'"un contexte à cette heure encore volatil".

Après une journée où la plupart des habitants ont vaqué à leurs occupations à Cotonou, la capitale économique s'est vidée un peu plus tôt que d'habitude dans la soirée, selon un journaliste de l'AFP.

Plusieurs barrages militaires étaient déployés dans la zone de la présidence et du camp militaire voisin de Guézo.

"Ce soir, on va essayer de rentrer plus tôt. On ne sait pas qui est à la base de ce coup d'Etat", a expliqué à l'AFP Michelle Eudoxie, une coiffeuse de 50 ans.

"Ce matin j'ai commencé à entendre les sons des balles. J'ai quitté le quartier pour aller ailleurs parce que j'ai eu peur", dit de son côté Nabil Sacca, un vendeur d'essence qui se trouvait près du palais présidentiel dans la matinée.

Déploiement de troupes ouest-africaines

Selon des sources militaires à l'AFP, une douzaine de soldats ont été arrêtés. Parmi eux figurent certains auteurs de la tentative de putsch, a indiqué une source sécuritaire sans préciser si le meneur des mutins, le lieutenant-colonel Pascal Tigri figurait parmi eux.

Selon une source proche du dossier, il est en fuite.

La présidence nigériane a affirmé avoir mené dimanche des frappes à Cotonou à la demande du Bénin pour notamment aider "à déloger les putschistes de la télévision nationale et d'un camp militaire où ils s'étaient regroupés".

"Des forces nigérianes au sol sont actuellement au Bénin", a ajouté Abuja dans son communiqué.

La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cedeao) a de son côté annoncé le "déploiement immédiat" de troupes du Nigeria, de la Sierra Leone, de la Côte d'Ivoire et du Ghana pour soutenir "le gouvernement et l'armée républicaine" du Bénin et "préserver l'ordre constitutionnel".

La Force en attente de la Cedeao a le mandat de garantir la paix et la stabilité de la région. Elle s'est par exemple déployée en Gambie en 2017 lorsque le président sortant Yahya Jammeh refusait de quitter le pouvoir.

Elle avait toutefois finalement renoncé à intervenir en 2023 après le coup d'Etat au Niger.

L'Union africaine (UA) a condamné "fermement et sans équivoque" cette tentative de coup d'Etat.

L'histoire politique du Bénin a été jalonnée de plusieurs coups d'Etat ou tentatives, mais le dernier remonte à 1972.

"Aujourd'hui, c'est comme si je revivais ce que nos parents ont vécu en ce temps-là", raconte Remy Agblo un commerçant.

Patrice Talon, au pouvoir depuis 2016, arrivera en 2026 au terme de son second mandat, le maximum autorisé par la Constitution.

Son dauphin désigné, l'actuel ministre des Finances Romuald Wadagni, fait figure d'ultra-favori pour la présidentielle d'avril 2026, le principal parti d'opposition ayant été écarté de la course.

"Il y a une tension perceptible dans le pays depuis des mois du fait des élections", pointe Anatole Zinsou, informaticien à Cotonou qui déplore "l'exclusion" de certains acteurs des processus électoraux.

S'il est salué pour le développement économique du Bénin, Patrice Talon est régulièrement accusé par ses détracteurs d'avoir opéré un virage autoritaire dans un pays autrefois salué pour le dynamisme de sa démocratie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nigeria: 100 écoliers kidnappés ont été libérés

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Les parents des écoliers enlevés à l'école catholique St. Mary, photographiés le 28 novembre dernier, s'apprêtent à retrouver 100 de leurs enfants. (© KEYSTONE/AP)

Cent élèves d'une école catholique de l'ouest du Nigeria, enlevés le 21 novembre par des hommes armés non identifiés, ont été libérés, ont annoncé dimanche une source onusienne et la présidence nigériane. Ils n'ont pas précisé les circonstances de ces libérations.

Les élèves libérés de l'école catholique Saint Mary, à Papiri, dans l'Etat du Niger, "vont être remis demain" lundi à des responsables du gouvernement local, a indiqué la source onusienne, précisant que les élèves étaient arrivés à Abuja.

Cette libération a été confirmée à l'AFP par le porte-parole de la présidence nigériane Sunday Dare.

Au total, 303 élèves et 12 enseignants avaient été emmenés de force du pensionnat Saint Mary, l'un des plus importants kidnappings de masse au Nigeria, pays ravagé par le phénomène. Une cinquantaine d'entre eux avait pu peu après échapper à leurs ravisseurs.

On est sans nouvelle des quelque 165 personnes toujours présumées otages.

"On a prié et attendu leur retour, si c'est vrai alors c'est une nouvelle réconfortante", a réagi Daniel Atori, porte-parole de l'évêque Bulus Yohanna du diocèse de Kontagora dont dépend l'école.

"Toutefois, on ne nous a pas informés officiellement et n'avons reçu aucune notification du gouvernement fédéral", a-t-il ajouté.

Les enlèvements de masse sont fréquents au Nigeria, la plupart perpétrés par des gangs criminels, appelés "bandits", en quête de rançons.

Secteur "structuré et lucratif"

L'un des premiers enlèvements de masse ayant attiré l'attention internationale remonte à 2014 quand les djihadistes de Boko Haram avaient enlevé quelque 300 écolières d'un pensionnat de Chibok, localité de l'Etat de Borno (nord-est). Une décennie plus tard, environ 90 d'entre elles manquent toujours à l'appel.

Et le phénomène des enlèvements en vue d'obtenir une rançon s'est "mué en un secteur structuré à but lucratif" qui a généré environ 1,66 million de dollars entre juillet 2024 et juin 2025, estime un rapport du cabinet de consultants SBM Intelligence, basé à Lagos.

Le mois de novembre a connu une vague importante de kidnappings au cours de laquelle plus de 400 Nigérians - des écolières musulmanes, des fidèles d'une Eglise évangélique, des agriculteurs, une mariée et ses demoiselles d'honneur... - ont été enlevés en 15 jours, ébranlant profondément la nation.

Pays le plus peuplé d'Afrique, fort de 230 millions d'habitants, le Nigeria est presque également divisé entre un nord majoritairement musulman et un sud principalement chrétien et est confronté à une situation sécuritaire très dégradée.

A une insurrection djihadiste active depuis 2009 dans le nord-est du pays, sont venues s'ajouter ces dernières années dans le nord-ouest et le centre les attaques, pillages et enlèvements perpétrés par des bandits, aux mobiles plus financiers qu'idéologiques.

Cette vague d'enlèvements de masse est aussi intervenue sur fond de déclarations de Donald Trump sur une prétendue persécution ciblée des chrétiens du Nigeria par des "terroristes islamistes", un phénomène que démentent Abuja et des experts indépendants. Les attaques au Nigeria visent et tuent aussi bien chrétiens que musulmans, souvent sans distinction.

Le président américain, qui a menacé d'y intervenir militairement, a inscrit le Nigeria sur la liste des "Pays particulièrement préoccupants" (CPC) en termes de liberté religieuse, invoquant "une menace existentielle" sur les chrétiens du Nigeria.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Géant de Beaver Creek: Odermatt s'impose pour la 49e fois

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Marco Odermatt a remporté le géant de Beaver Creek et la 49e victoire de sa carrière (© KEYSTONE/AP/Robert F. Bukaty)

Marco Odermatt a remporté le géant de Beaver Creek. Le Nidwaldien est allé chercher dans le Colorado la 49e victoire de sa carrière, la 28e dans sa discipline de prédilection.

Et de 49! Mais alors qu'il possédait 1''31 avant de s'élancer pour son deuxième effort, Odermatt a transpiré pour aller s'imposer pour la première fois en géant sur la Birds of Prey. Mais comme d'habitude, le boss a conservé assez d'essence sur le bas pour l'emporter.

Le skieur d'Hergiswil a devancé de 0''23 l'Italien Alex Vinatzer, qui a signé son premier podium en géant, et de 0''34 le Norvégien Henrik Kristoffersen.

Les quatre autres Suisses sont un peu plus loin. Mitigé, voilà comment on peut désigner le début de saison de Loïc Meillard. Le skieur d'Hérémence semble manquer d'un petit quelque chose pour aller plus vite et avoir la même facilité qu'en fin de saison passée. Il boucle cette course à la 9e place.

Luca Aerni aurait pu signer un meilleur résultat que sa 13e place, sans une erreur lors de son second passage. Le Valaisan a malheureusement perdu trop de temps sur le bas.

Vainqueur l'an dernier, Thomas Tumler n'a pas réédité son exploit. Solide 5e en première manche, le Grison a reculé pour échouer au 14e rang. A noter la très grande densité dans ce géant où le 28e n'est qu'à 1''98 d'Odermatt. Les douze premiers sont dans la même seconde.

Bon résultat pour Lenz Hächler qui est parvenu à marquer ses premiers points en Coupe du monde en finissant 19e.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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