Économie
Italie: l'inflation baisse à 1,7% sur un an en mai

- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/05/linflation-en-italie-a-legerement-ralenti-sur-un-an-en-mai-a-17-ici-un-supermarche-a-varese-archive-1000x600.jpg&description=Italie: l'inflation baisse à 1,7% sur un an en mai', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'inflation en Italie a légèrement ralenti sur un an en mai à 1,7%, en raison notamment de la baisse des prix de l'énergie, a indiqué vendredi l'Institut national des statistiques (Istat).
L'inflation dans la péninsule était de 1,9% sur un an en avril, en dessous de l'objectif de la Banque centrale européenne (BCE) de 2% d'inflation.
"Le ralentissement est influencé par (...) l'accentuation de la baisse" des prix de l'énergie non réglementée "(-4,3% contre -3,4% le mois dernier)" a écrit l'Istat dans une note.
Si les produits alimentaires, dont le coût en Italie avait fortement augmenté lors de la vague inflationniste qui a débuté en 2021, ont vu leur prix continuer à augmenter, ils l'ont fait moins rapidement qu'en avril pour ceux non transformés, (+3,7% contre +4,2%).
Mais l'inflation sur les produits alimentaires transformés est repartie à la hausse en mai, ce qui a eu notamment pour conséquence d'augmenter le prix du "chariot de courses" calculé par l'Istat (+3,1% après +2,6% en avril).
Selon le Fonds monétaire international (FMI), l'inflation en Italie devrait rester en moyenne autour de 1,7% sur l'année 2025, avant de "converger vers l'objectif de la BCE de 2% en 2026", écrivait-il dans une note jeudi.
L'inflation a stagné à 2,2% en avril dans la zone euro et elle est désormais susceptible de tomber sous la barre des 2% beaucoup plus tôt que prévu par la BCE.
Cette dernière s'est dite confiante en avril que le combat contre l'inflation élevée était en passe d'être gagné, justifiant une nouvelle baisse des taux en dépit des incertitudes liées aux droits de douane américains.
Elle a réduit en avril son taux de dépôt, qui fait référence, de 25 points de base, à 2,25 %, tout en retirant de sa communication l'engagement à maintenir une politique de taux "restrictive" qui freine l'économie.
Ce premier aperçu de l'inflation en Italie en mai devra être confirmé par une nouvelle estimation qui sera publiée à la mi-juin.
L'Allemagne et les Etats-Unis publieront également vendredi l'indice de leurs prix à la consommation sur le mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Cité Gestion recrute John Plassard comme associé
La banque privée genevoise Cité Gestion a recruté John Plassard, le spécialiste en placements de Mirabaud Banque. L'expert des marchés financiers prendra ses nouvelles fonctions d'associé de l'établissement le 14 juillet.
John Plassard sera responsable de l'allocation stratégique auprès de Cité Gestion, dont le rachat a été annoncé mi-février par son homologue zurichoise EFG International. "Je souhaitais relever un nouveau challenge après avoir travaillé pendant treize ans pour Mirabaud Banque, et le courant est bien passé avec le directeur général de Cité Gestion, Guy Barbey", a indiqué John Plassard.
EFG International avait annoncé mi-février l'acquisition de Cité Gestion, l'opération devant être bouclée au deuxième semestre. Cette transaction doit permettre à la banque genevoise "d'accélérer sa croissance", a souligné M. Plassard, qui a précédemment oeuvré pour le français Exane et Louis Capital Market (LCM) avant de rejoindre Mirabaud Banque.
Fondée en 2009, Cité Gestion compte 9,5 milliards de francs sous gestion et supervision ainsi que 150 salariés. Implantée à Genève, Lausanne et Zurich, elle se dédie "exclusivement à la gestion de patrimoines privés pour des clients suisses et internationaux", explique-t-elle sur son portail Internet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Pas de baisse des taux d'intérêt de la Fed en vue
La Réserve fédérale (Fed) américaine devrait laisser ses taux directeurs inchangés pour la quatrième fois de suite mercredi, en adepte de l'immobilité prudente face au terrain glissant des droits de douane et des crises géopolitiques.
Le comité de politique monétaire de la banque centrale des Etats-Unis (FOMC) rendra sa décision à 14H00 (18H00 GMT) et son président, Jerome Powell, tiendra 30 minutes plus tard sa traditionnelle conférence de presse.
Le FOMC "a entamé sa réunion à 09H00, comme prévu", pour sa deuxième journée, a déclaré mercredi un porte-parole de l'institution financière.
Il s'agit de la quatrième réunion de la Fed depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier.
Les trois précédentes se sont conclues par un statu quo sur les taux, situés depuis décembre entre 4,25% et 4,50%.
La même issue est attendue mercredi.
Cela devrait alimenter la frustration du président américain, qui réclame sur tous les tons une forte détente des taux directeurs afin de réduire les coûts d'emprunt des particuliers et des entreprises.
Le président Trump affirme que l'inflation est "sous contrôle" et qu'il faudrait baisser les taux "carrément d'un point" de pourcentage.
Les banques centrales bougent généralement plus lentement leurs taux, d'un quart de point à la fois.
Surtout, les responsables de la Fed ont montré qu'ils tenaient à rester crédibles en matière de lutte contre l'inflation, et que le principal risque était pour l'heure celui d'un déraillement des prix du fait des nouveaux droits de douane.
Depuis son retour à la Maison-Blanche, M. Trump a imposé au moins 10% de surtaxe sur la plupart des produits importés aux Etats-Unis et menace d'aller plus loin.
"Trump a en quelque sorte raison quand il dit qu'il n'y a pas d'impact sur les prix à la consommation", a déclaré à l'AFP Dan North, économiste chez Allianz Trade North America. Mais, enchaîne-t-il, "c'est parce que cela prend quelques mois" avant que les vagues des droits de douane percutent les consommateurs.
"A moins que ces droits de douane ne soient retirés demain (...) l'inflation va repartir, ce que la Fed veut à tout prix éviter", selon M. North.
Prévisions actualisées
"En plus, l'économie américaine ne supplie pas la Fed de réduire les taux. Les consommateurs continuent à dépenser, le marché du travail crée encore des emplois, même s'il ralentit un peu", souligne M. North, qui s'attend au mieux à une baisse de taux lors de la dernière réunion de l'année, en décembre.
En l'absence de suspense quant à la décision de mercredi, "tout le monde regardera si une majorité (des responsables de la Fed) est toujours en faveur d'au moins une baisse cette année", pointe la banque BBVA dans une note.
Ceux-ci envisageaient jusqu'alors deux baisses de taux en 2025.
Les investisseurs guetteront aussi l'actualisation des prévisions de la Réserve fédérale pour la première économie mondiale.
Va-t-elle abaisser comme en mars ses prévisions pour la croissance, l'inflation et le chômage? Ou considère-t-elle que les États-Unis seront plus étanches que redouté au choc des droits de douane?
Le consommateur - moteur de l'économie américaine - semble en tout cas plus attentif à son porte-monnaie. Un indicateur publié mardi montre que les ventes au détail (dans les magasins, les restaurants, chez les concessionnaires) ont reflué de 0,9% en mai.
L'escalade militaire au Moyen-Orient brouille davantage le tableau. La modération de l'inflation dont se félicite M. Trump est largement due à la baisse des cours du pétrole. Le conflit menace de le faire flamber.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Les millionnaires de plus en plus nombreux
Le nombre de millionnaires n'a cessé de croître l'année dernière dans le monde, avec plus de 1000 nouveaux riches par jour, les Etats-Unis regroupant le nombre le plus important de grandes fortunes.
La transmission de cette richesse entre générations devient un enjeu majeur au vu des volumes attendus.
Le nombre de millionnaires en dollars a augmenté de 1,2% en 2024, une hausse supérieure à 684'000 personnes par rapport à l'année précédente, les Etats-Unis comptant plus de 379'000 nouveaux millionnaires, a relevé la banque UBS mercredi dans son étude sur le patrimoine. Ce sont essentiellement les marchés financiers, en forte hausse l'année dernière, qui ont soutenu cette tendance.
Les Etats-Unis, la Chine et la France comptent le plus grand nombre de millionnaires - avec respectivement 23,8 millions, 6,3 millions et 2,9 millions de personnes - les USA représentant près de 40% des millionnaires dans le monde. La hausse la plus marquée a cependant été constatée en Turquie (+8%) et aux Emirats arabes unis (+5,8%).
Poursuite de la croissance
La Suisse, qui compte 1,1 million de millionnaires, est quant à elle restée en tête de classement pour la richesse moyenne par adulte en terme de marché individuel, suivie par les Etats-Unis, Hong Kong et le Luxembourg, a ajouté le géant de la gestion de fortune dans la 16e édition de son étude.
En 2024, le patrimoine mondial a augmenté de 4,6% après une hausse de 4,2% en 2023. Cette croissance devrait se poursuivre sur la seconde moitié de la décennie, selon les économistes de la banque aux trois clés. D'ici 2029, le monde devrait compter 5,3 millions de personnes fortunées supplémentaires, un bond de 9% comparé à 2024.
Alors que le nombre de personnes fortunées ne cesse de croître, la transmission de richesse devient un enjeu majeur. Ces 20 à 25 prochaines années, plus de 83'000 milliards de dollars doivent être transférés, dont 9000 milliards entre conjoints et 74'000 milliards entre générations.
Le volume le plus important de transferts de richesse est prévu aux Etats-Unis avec plus de 29'000 milliards, au Brésil (près de 9000 milliards) et en Chine continentale (plus de 5000 milliards).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La cathédrale de Lausanne bientôt sous une lumière nouvelle
Les travaux de renouvellement de l'éclairage extérieur de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne entrent dans leur phase finale. Entamés en début juin, ils se poursuivront jusqu'à la fin août. La nouvelle mise en lumière sera dévoilée le 25 septembre, lors d'une cérémonie organisée dans le cadre du 750e anniversaire de la consécration de l'édifice.
Après l'inauguration de l'éclairage intérieur en février dernier, l'attention se porte désormais sur l'enveloppe extérieure de la cathédrale. Ce chantier a pour objectif de mettre en évidence le monument par une illumination moderne, combinant esthétisme, innovation technologique et sobriété énergétique, indique mercredi dans un communiqué l'Etat de Vvaud.
A partir du 23 juin, une configuration temporaire illuminera le portail occidental, les vitraux et le beffroi. Ce dispositif sera retiré le 25 août, plongeant momentanément la cathédrale dans l'obscurité avant la révélation du nouvel éclairage, précise-t-il.
Les futures infrastructures, conformes aux normes actuelles en matière d’efficacité énergétique, permettront une économie d'électricité de plus de 60%. Elles contribueront aussi à limiter la pollution lumineuse, protégeant ainsi la qualité du ciel nocturne tout en soulignant la beauté architecturale gothique de l'édifice, explique le Canton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
LausanneIl y a 2 jours
Vaud: les enseignantes des 1-2P manifestent à Lausanne
-
SuisseIl y a 3 jours
Roche avance sur son traitement contre la maladie de Parkinson
-
InternationalIl y a 3 jours
En attaquant l'Iran, Israël dit changer "la face du Moyen-Orient"
-
InternationalIl y a 3 jours
Le salon du Bourget décolle dans l'ombre du drame d'Air India
-
HockeyIl y a 2 jours
Rob Cookson assistant de Geoff Ward au LHC
-
InternationalIl y a 2 jours
Meta introduit la publicité sur WhatsApp
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: aucun incident majeur pendant la 1e partie de la FFG
-
InternationalIl y a 2 jours
L'évolution des religions depuis 2010 documentée