International
"J'ai choisi la continuité et l'efficacité", explique Macron
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Emmanuel Macron a affirmé vendredi avoir "choisi" dans le remaniement du gouvernement "la continuité et l'efficacité pour les temps qui viennent". Le président français s'exprimait en ouverture du premier Conseil des ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.
Le président a souhaité une "réponse complète et profonde" aux récentes émeutes. Il a évoqué un "risque de fragmentation (et) de division profonde de la Nation", lors d'une prise de parole en ouverture du premier Conseil des ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.
"Il y a un besoin d'autorité, de respect et d'espérance légitime (...) Nous devons tirer les leçons de ce qui s'est passé et y apporter des réponses en profondeur", a déclaré le chef de l'Etat, précisant que cela "structurera les travaux de rentrée" du gouvernement.
"Vous avez traversé les budgets, la réforme des retraites, des textes importants en matière d'énergie et d'économie et puis mis en oeuvre la feuille de route des 100 jours. (...) c'est pourquoi j'ai choisi la continuité et l'efficacité pour les temps qui viennent", a déclaré le président dans des propos liminaires devant le gouvernement remanié.
Il a souhaité la mise en place d'un "cadre exigeant" et la mise en "ordre" des finances publiques dans le projet de budget pour 2024. Évoquant la "crédibilité de la France en Europe", il a estimé que cette exigence, en matière notamment de réduction du déficit public, "seule, peut nous permettre d'être forts".
Emmanuel Macron a demandé à ses ministres d'être "exemplaires". "Vous êtes regardés dans tous les détails de votre action, de vos expressions, de votre vie, et ce que nous devons au pays, c'est d'agir, d'expliquer, de répondre et de le faire toujours avec la plus grande dignité", a déclaré le président.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Claudio Ranieri décline le poste de sélectionneur de l'Italie
Claudio Ranieri, 73 ans, a renoncé mardi au poste de sélectionneur de l'Italie. La Fédération italienne de football (FIGC) l'avait approché avec le licenciement à venir de Luciano Spalletti.
"Je remercie le président (de la FIGC Gabriele) Gravina pour cette opportunité, c'est un grand honneur, mais après réflexion, j'ai décidé de rester à la disposition totale de la Roma dans mes nouvelles fonctions", a déclaré Ranieri à l'agence de presse italienne Ansa.
"Les Friedkin (les propriétaires de la Roma, NDLR) m'ont donné leur plein soutien et appui pour toute décision que j'aurais prise à propos de l'équipe nationale, mais c'est ma seule décision", a-t-il ajouté.
Ranieri, passé notamment par l'Inter Milan, la Juventus, l'Atlético Madrid, Chelsea, Leicester, avec qui il a été sacré champion d'Angleterre en 2016, ou encore Monaco, occupe depuis peu le poste de conseiller stratégique des propriétaires américains de l'AS Rome.
Sorti de sa retraite en novembre dernier pour venir au secours de la Roma, alors mal en point, Ranieri était le candidat no 1 de la FIGC pour succéder à Spalletti qui a dirigé la Nazionale pour la dernière fois lundi face à la Moldavie (2-0).
Nommé en août 2023, Spalletti va être licencié après la lourde défaite de son équipe face à la Norvège (3-0) vendredi qui compromet d'entrée sa qualification directe pour le Mondial 2026.
Pour relancer la Nazionale qui n'a pas participé aux deux dernières phases finales de la Coupe du monde (2018, 2022), la FIGC pourrait maintenant se tourner vers Stefano Pioli, ancien entraîneur de l'AC Milan, actuellement aux commandes du club saoudien d'Al-Nassr.
L'Italie est 3e (3 pts) du groupe I des qualifications européennes pour le Mondial 2026, à neuf points de la Norvège qui a disputé deux matches de plus. A l'issue de cette phase, le premier du groupe sera qualifié directement pour la prochaine Coupe du monde, son second devant passer par des barrages, fatals à l'Italie pour les rendez-vous de 2018 et 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
24 Grands Prix en 2026, dont Madrid en septembre
Le nouveau Grand Prix de Madrid a été programmé début septembre dans une saison 2026 de 24 courses. Celle-ci commencera le 8 mars en Australie et se terminera à Abou Dhabi le 6 décembre.
Pour une saison marquée notamment par de profonds changements techniques, le calendrier publié lundi par la Fédération internationale de l'automobile (FIA) prend en compte les contraintes liées aux voyages aux quatre coins du monde en plaçant le GP du Canada après celui de Miami en mai, ce qui permet de regrouper les neuf courses européennes en été, de Monaco le 7 juin à l'Espagne à Madrid le 13 septembre.
Le circuit de Madrid doit encore être homologué.
Le calendrier de la saison 2026:
6-8 mars: Grand Prix d'Australie (Melbourne)
13-15 mars: Grand Prix de Chine (Shanghai)
27-29 mars: Grand Prix du Japon (Suzuka)
10-12 avril: Grand Prix de Bahreïn (Sakhir)
17-19 avril: Grand Prix d'Arabie saoudite (Jeddah)
1er-3 mai: Grand Prix de Miami
22-24 mai: Grand Prix du Canada (Montréal)
5-7 juin: Grand Prix de Monaco
12-14 juin: Grand Prix de Catalogne (Barcelone)
26-28 juin: Grand Prix d'Autriche (Spielberg)
3-5 juillet: Grand Prix de Grande-Bretagne (Silverstone)
17-19 juillet: Grand Prix de Belgique (Spa-Francorchamps)
24-26 juillet: Grand Prix de Hongrie (Budapest)
21-23 août: Grand Prix des Pays-Bas (Zandvoort)
4-6 septembre: Grand Prix d'Italie (Monza)
11-13 septembre: Grand Prix d'Espagne (Madrid) en attente d'homologation du circuit
25-27 septembre: Grand Prix d'Azerbaïdjan (Bakou)
9-11 octobre: Grand Prix de Singapour
23-25 octobre: Grand Prix des Etats-Unis (Austin)
30 octobre-1er novembre: Grand Prix du Mexique (Mexico)
6-8 novembre: Grand Prix du Brésil (Sao Paulo)
19-21 novembre: Grand Prix de Las Vegas
27-29 novembre: Grand Prix du Qatar (Lusail)
4-6 décembre: Grand Prix d'Abou Dhabi (Yas Marina)
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: crimes contre l'humanité contre les écoles et sites religieux
L'armée israélienne a perpétré des crimes contre l'humanité d'extermination en ciblant des civils réfugiés dans des écoles et des sites religieux, selon des enquêteurs onusiens. Ils ont dénoncé mardi à Genève une volonté d'affecter les prochaines "générations".
"Nous voyons de plus en plus d'indications qu'Israël mène une campagne concertée pour éliminer la vie des Palestiniens à Gaza", affirme la présidente de la Commission d'enquête internationale sur Israël et les territoires palestiniens, Navi Pillay.
L'Etat hébreu a recouru à des frappes aériennes, des bombardements, des incendies et des destructions sur 90% des écoles et des universités, affirme le rapport des trois enquêteurs qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU.
"Des preuves significatives" d'utilisation d'écoles et de sites religieux pour des raisons militaires, notamment la conversion d'une université en synagogue pour les troupes, ont aussi été obtenues. Le même reproche est fait à la branche militaire du Hamas dans une école, ajoute également le rapport.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Apple reste prudent dans l'IA malgré les pressions
Déjà en retard sur ses concurrents dans le déploiement de l'intelligence artificielle (IA) générative, Apple continue d'avancer très prudemment, laissant de nombreux analystes sur leur faim et les investisseurs impatients.
"En ce qui concerne les fonctionnalités plus personnalisées de Siri (l'assistant vocal d'Apple), nous avons besoin de plus de temps pour finaliser notre travail afin qu'elles répondent à nos exigences en matière de qualité", a déclaré lundi Tim Cook, le patron du groupe californien.
Il s'exprimait sur la scène de la conférence annuelle de l'entreprise pour les développeurs à Cupertino, rendez-vous majeur pour l'entreprise.
La transformation de Siri, annoncée lors de l'édition précédente en juin 2024, est l'aspect le plus emblématique de sa stratégie dans l'IA.
"Apple Intelligence", un ensemble de fonctionnalités dopées à l'IA générative, devait faire de Siri un véritable agent IA - le Graal actuel de la Silicon Valley - capable d'accomplir des tâches sur simple demande à l'oral, et en tenant compte des informations à disposition dans les courriels, photos, etc.
Mais Apple a dû suspendre ou retarder certains éléments, dont l'évolution de l'assistant vocal.
Alors qu'OpenAI (ChatGPT), Google et Meta multiplient les annonces sur les avancées de leurs assistants IA, toujours plus performants et autonomes, Apple s'est ainsi concentré lundi sur de nouveaux systèmes d'exploitation et design des interfaces.
"Enthousiasme émoussé"
"Les retards supplémentaires observés aujourd'hui pourraient traduire un essoufflement de l'innovation ou une incapacité à définir une direction claire en matière d'IA", estime Gadjo Sevilla, analyste d'Emarketer.
La "posture attentiste" d'Apple "risque d'émousser l'enthousiasme des investisseurs, d'autant plus que des concurrents comme Samsung et Google promettent d'importantes intégrations IA dans leurs prochains modèles", ajoute-t-il.
L'action de la firme a perdu 1,21% à la Bourse de New York lundi, mouvement amorcé au moment où débutait la conférence.
Pour les utilisateurs, l'annonce la plus marquante sera sans doute celle de l'ajout d'outils de traduction en direct à la messagerie et aux appels audio et vidéo, offre déjà existante sur des smartphones concurrents.
"Même si Siri n'a pas fait l'objet d'une refonte majeure capable de satisfaire les critiques, la traduction en direct représente une avancée significative pour Apple Intelligence, à ne pas négliger", commente Nabila Popal, directrice de recherche chez IDC. "Il s'agit de l'une des fonctionnalités d'IA les plus populaires."
Elle note que les délais dans l'IA n'ont pas nui, à ce stade, aux ventes de l'entreprise.
"Apple sait que l'IA n'est pas un sprint mais un marathon. Les annonces d'aujourd'hui montrent qu'Apple joue sur le long terme et reste bien dans la course", poursuit-elle.
"Concession" aux développeurs
Les experts ont bien accueilli la principale nouvelle pour les développeurs: ils vont pouvoir accéder directement aux capacités d'IA d'Apple Intelligence pour mettre au point des applications d'IA générative qui fonctionneront même hors ligne.
Ce service "est une concession opportune", estime Gadjo Sevilla, "tout en respectant les exigences de confidentialité et de sécurité". Il permet en outre à Apple de "revoir sa stratégie plus globale" pendant que les éditeurs "conçoivent des expériences IA intégrées au système d'Apple".
Les relations entre Apple et les développeurs sont compliquées depuis des années. Ils reprochent à la firme son écosystème très fermé et les commissions à lui reverser.
Une plainte d'Epic Games, le studio derrière le jeu vidéo à succès Fortnite, a conduit en mai la justice américaine à obliger Apple à autoriser les éditeurs d'applications aux Etats-Unis à passer par une autre plateforme de paiements que l'App Store, la boutique du groupe, une mesure déjà obligatoire dans l'Union européenne.
Autre sujet d'inquiétude pour la marque à la pomme, Jony Ive, le célèbre designer de l'iPhone, vient d'intégrer OpenAI, où il travaille avec son équipe sur une famille d'appareils connectés, pensés pour l'ère de l'IA.
L'analyste Dan Ives, de Wedbush, assure cependant rester "confiant" dans la capacité d'Apple a réussir le virage de l'IA.
"Cupertino joue la carte de la prudence, dans un contexte encore marqué par les faux pas de l'an dernier. La stratégie est claire", souligne-t-il dans une note. "Mais le temps presse."
"A terme, Tim Cook et son équipe pourraient être contraints de procéder à des acquisitions majeures pour réellement donner un coup d'accélérateur à leur feuille de route", ajoute-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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