International
Jérémy Desplanches 13e des demi-finales
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Jérémy Desplanches a disputé jeudi soir le dernier 200 m 4 nages de sa brillante carrière. Le médaillé de bronze olympique de Tokyo 2021 a comme prévu échoué en demi-finales aux Jeux de Paris.
"Il y a beaucoup d'émotions. Je ne suis pas déçu, ce sont presque des larmes de joie. Normalement je garde mon calme. Mais la natation c'est quinze ans de ma vie. C'était génial, incroyable. J'aime ça, j'ai toujours aimé ça, mais il est temps de passer à autre chose", a-t-il lâché, retenant tout juste ses larmes, en zone mixte.
"C'est dur. Mais c'est pour cela que je m'étais imposé de me dire que j'arrêterais après ces Jeux. Parce que si je m'écoutais, je rempilerais pour quatre ans. Mais ce n'est pas ce que je dois faire. Il faut passer à autre chose. Je veux voir ce que la vie d'après me réserve", a-t-il encore expliqué.
Neuvième des séries en 1'58''46 après s'être arraché jusqu'au bout, Jérémy Desplanches n'avait pas l'énergie - physique et mentale - nécessaire pour accomplir un ultime exploit. Le champion d'Europe 2018, encore 4e de sa course après la partie de brasse, n'a pas tenu le choc en crawl.
Desplanches - qui a arrêté son échauffement pour venir féliciter son "petit frère" Roman Mityukov - a réalisé un chrono de 1'58''93, synonyme de 13e place. Le Genevois, qui aura 30 ans le 7 août, aura eu le privilège de nager comme en matinée dans la même course que la superstar Léon Marchand (1er en 1'56''31).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Au moins 14 morts à Kiev dans des frappes russes
Des frappes aériennes russes qui ont ciblé Kiev dans la nuit de lundi à mardi ont fait au moins 14 morts, dont un Américain, ont annoncé les autorités ukrainiennes. Il s'agit d'une des attaques au bilan le plus lourd depuis le début de la guerre en Ukraine.
Au total, "27 sites dans différents districts de la capitale ont été la cible de tirs ennemis cette nuit. Parmi eux se trouvent des immeubles résidentiels, des établissements éducatifs et des infrastructures critiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur ukrainien, Igor Klymenko.
"Le bilan des morts a été porté à 14. Quarante-quatre personnes ont été blessées à Kiev. Six autres ont été blessées à Odessa", a-t-il précisé sur Telegram. Le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko avait fait état plus tôt d'au 14 morts à Kiev, précisant que des recherches étaient en cours pour retrouver des victimes potentielles dans les décombres.
"Dans le district de Solomianski, un citoyen américain de 62 ans est décédé dans une maison située en face de l'endroit où les médecins portaient assistance aux blessés", a précisé le maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko mardi sur Telegram.
"Attaque combinée"
Le maire de Kiev avait averti au début de la nuit que des drones ennemis se dirigeaient vers la ville "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris.
Le chef de l'administration militaire de la ville de Kiev, Timour Tkatchenko, a de son côté indiqué qu'une "attaque combinée" de "missiles et des drones" russes avaient provoqué "des incendies dans plusieurs zones" de la capitale.
La ville portuaire d'Odessa a aussi subi des attaques. "Treize personnes ont été hospitalisées. Des gens pourraient être piégés sous les décombres", a déclaré le gouverneur de la ville du sud de l'Ukraine Oleg Kiper.
Les autorités russes ont de leur côté annoncé des restrictions temporaires de vol sur les quatre aéroports de Moscou.
Le chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, a dénoncé sur Telegram de nouvelles frappes russes sur "des immeubles résidentiels à Kiev. La Russie poursuit sa guerre contre les civils."
Les récents pourparlers de paix entre Moscou et Kiev sont bloqués, alors que les deux camps campent sur leurs positions, très éloignées. Moscou a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par Kiev et les Européens, tandis que l'Ukraine a qualifié d'"ultimatums" les demandes russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Oklahoma City à un succès du titre
Le Thunder est à un succès du titre en NBA. Oklahoma City a dominé les Indiana Pacers 120-109 à domicile lundi pour mener 3-2 dans cette finale des play-off.
OKC, qui a pu craindre un temps un nouveau retour miraculeux des Pacers, a donc pris pour la première fois l'avantage dans cette série. Le Thunder bénéficiera d'une première occasion de conclure jeudi à Indianapolis lors du match 6.
Lieutenant du MVP Shai Gilgeous-Alexander (31 points, 10 passes), Jalen Williams a été exceptionnel avec 40 points, 6 rebonds et 4 passes décisives. "Mes coéquipiers me donnent une grande confiance en moi, me demandent de rester moi-même", a-t-il expliqué au micro du diffuseur.
"On a l'opportunité de se servir de nos expériences passées. Ce soir, c'était honnêtement exactement comme le match 1 (avec un retour victorieux des Pacers). On apprend au fil de cette finale, c'est ce qui rend notre équipe si bonne. On a été capables collectivement d'obtenir des stops défensifs pour l'emporter."
Les Pacers, largement dominés en première période (59-45 à la pause, après avoir accusé jusqu'à 18 longueurs de retard), sont en effet revenus à deux points en début de quatrième quart dans le sillage de Pascal Siakam (28 points, 6 rebonds, 5 assists, 3 interceptions) et de l'étonnant T.J. McConnell (18 points).
Leur héros habituel Tyrese Haliburton, touché au mollet droit en début de partie, a en revanche raté son match (4 points, tous sur la ligne des lancers-francs, 0/6 au tir). Et, contrairement à ce qui s'était passé dans un acte I remporté par Indiana en Oklahoma, le Thunder a cette fois-ci tenu bon dans le "money time".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7
Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt qu'initialement prévu, afin de se consacrer selon la Maison Blanche au conflit entre Israël et l'Iran, selon des journalistes sur place
Le président américain a toutefois signé juste avant ce retour précipité pour Washington un communiqué commun dans lequel les chefs d'Etat et de gouvernement du groupe appellent à une "désescalade" au Moyen Orient tout en affirmant le droit d'Israël à "se défendre" et en déclarant que l'Iran ne devra "jamais" pouvoir se doter de l'arme nucléaire.
"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, avait annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.
Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.
Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.
Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.
Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.
Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.
Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.
Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran
Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".
Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.
Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.
La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.
Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.
"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.
"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.
Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".
Télévision d'Etat attaquée
Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.
Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.
Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.
Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.
Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.
Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.
Changer "la face du Moyen-Orient"
Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.
Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".
Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".
"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.
Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".
"Arrêter la guerre"
Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".
"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".
Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.
Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.
Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.
Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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