International
La mégafusée Starship d'Elon Musk décolle pour un nouveau vol test
La fusée la plus grande jamais construite, Starship, actuellement développée par l'entreprise SpaceX d'Elon Musk pour aller sur la Lune et Mars, a décollé jeudi au Texas pour un nouveau vol d'essai, selon une retransmission vidéo.
Starship s'est élancée dans les airs peu après 16H37 locales (23H37 Heure suisse), un décollage qui survient le même jour que le premier lancement de la fusée New Glenn de son concurrent Blue Origin, qui a été un succès.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux titres à défendre pour les Suisses
Le premier week-end des Mondiaux de Saalbach va amener un peu de pression dans le camp suisse. Car les athlètes de Swiss-Ski ont deux titres à défendre en descente.
Deux ans plus tôt à Méribel-Courchevel, c'était la surprise et la confirmation. Loin de faire partie du cercle des favorites, Jasmine Flury avait remporté l'or, alors que Marco Odermatt avait obtenu la juste récompense de ses efforts et de son talent en allant chercher sa première victoire dans la discipline.
Aujourd'hui, la donne est différente chez les dames. Jasmine Flury, après une lourde blessure, ne peut défendre ses chances en Autriche. La lumière se tourne donc comme bien souvent sur Lara Gut-Behrami et Corinne Suter. Le Super-G de jeudi n'a pas permis aux deux femmes de dénicher du métal, ce qui augmente un peu la pression. Sans être les plus rapides, les deux Suissesses pourront lutter pour les médailles samedi, mais il faudra réaliser une course quasi parfaite et absorber avec douceur les mouvements de terrain.
Même si le troisième et dernier entraînement n'est pas le plus significatif, Ester Ledecka a malgré tout montré la voie à suivre, tout comme l'Allemande Emma Aicher qui a freiné en fin de parcours alors qu'elle avait le meilleur temps. Toujours placée, Federica Brignone visera une deuxième médaille après l'argent du Super-G, alors que Mirjam Puchner dans le camp autrichien et Breezy Johnson chez les Américaines seront deux femmes à suivre avec attention.
Odermatt en chef de meute
Chez les messieurs, les chances helvétiques semblent plus grandes. Grâce au titre d'Odermatt en France, les Suisses sont cinq au départ. Et hormis peut-être Justin Murisier, même si celui-ci est monté en puissance au fil des entraînements, tous peuvent monter sur le podium dimanche. Odermatt, Franjo von Allmen, Alexis Monney et Justin Murisier comptent une victoire cet hiver. Quant à Stefan Rogentin, plus à l'aise en Super-G, il apprécie cette piste de Saalbach et l'a démontré lors des entraînements.
Mais bien évidemment qu'avec son titre en Super-G vendredi, Marco Odermatt se présente comme le grand favori à sa propre succession. Les bookmakers ne s'y sont pas trompés puisque le tenant du titre a une cote très basse. Derrière le patron du ski mondial, on retrouve Franjo von Allmen, l'Autrichien Vincent Kriechmayr, 4e du Super-G, et l'Américain Ryan Cochran-Siegle qui a remporté les deux premiers galops d'essai.
Alexis Monney et Stefan Rogentin suivent. S'il parvient à gommer certaines petites imperfections, le Fribourgeois peut se glisser tout devant. Comme il l'a laissé entendre, son matériel (réd: il skie sur la même marque qu'Odermatt) marche bien et même si la topographie ne ressemble ni à Bormio, ni à Kitzbühel, Monney s'impose de plus en plus comme un skieur tout-terrain.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les élus de l'Alaska s'opposent au changement de nom du mont Denali
Le Sénat de l'Alaska a voté vendredi contre le projet du président américain Donald Trump de changer le nom du plus haut pic d'Amérique du Nord, le Denali, la dénomination utilisée par les populations autochtones. Le milliardaire veut le rebaptiser mont McKinley.
Le sommet, qui culmine à plus de 6000 mètres d'altitude, avait été renommé "Denali" par l'ancien président Barack Obama en 2015, adoptant ainsi le nom utilisé par les populations locales de l'Alaska (nord-ouest) depuis des siècles et par le gouvernement de l'Etat dans les années 1970.
Lors de son discours d'investiture le 20 janvier, le 47e président des Etats-Unis d'Amérique Donald Trump avait annoncé vouloir "restaurer ce nom de mont McKinley en hommage à William McKinley, un grand président. C'est ainsi que cela doit être".
25e président américain
Après la chambre basse, le Sénat de l'Alaska, dominé par les républicains, a demandé à l'unanimité au président de renoncer à son projet. "Le nom Denali est profondément ancré dans la culture et l'identité de l'Etat", ont-ils avancé dans une résolution.
"Les noms des lieux géographiques de l'État devraient être déterminés par les habitants et les représentants de l'État", ont-ils ajouté.
William McKinley, 25e président des Etats-Unis, ne s'est jamais rendu sur le Denali et n'a aucun lien ni avec l'Alaska ni avec cette montagne, bien qu'elle ait été nommée en son honneur en 1917.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump retire à Biden l'accès aux informations confidentielles
Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi retirer le droit de son prédécesseur Joe Biden à accéder à des renseignements classés confidentiels. Cette pratique permet aux anciens présidents d'être tenus au courant d'informations sensibles.
"Il n'est pas nécessaire que Joe Biden continue à accéder à des informations confidentielles", a écrit le 47e président des Etats-Unis sur son réseau social Truth Social. "Joe, tu es viré", a ajouté le milliardaire républicain.
"Nous supprimons donc immédiatement l'habilitation secret-défense de Joe Biden et mettrons fin à son rapport quotidien des agences de renseignements", a poursuivi le républicain, de retour au pouvoir depuis moins de trois semaines.
Il dit prendre cette décision, car Joe Biden en avait fait de même pour lui en 2021, le démocrate citant alors le "comportement incohérent" de Donald Trump lors de l'assaut du Capitole, le 6 janvier 2021, juste avant qu'il ne quitte la Maison-Blanche.
Les capacités de Joe Biden, 82 ans, ont été épinglées dans un rapport il y a un an, explique le milliardaire de 78 ans, faisant référence à celui du procureur spécial Robert Hur, qui avait recommandé en février 2024 un non-lieu pour Joe Biden dans une affaire de rétention de documents confidentiels.
"Mauvaise mémoire"
Le procureur spécial avait évoqué un "homme âgé à la mauvaise mémoire" qui "ne se souvenait plus quand il était vice-président" (de 2009 à 2017, pendant les mandats de Barack Obama) ni de l'année exacte du décès de son fils aîné Beau.
Donald Trump a été lui-même inculpé d'avoir compromis la sécurité nationale en conservant dans sa résidence privée des documents, dont des plans militaires ou des informations sur des armes nucléaires, après la fin de son mandat, au lieu de les remettre aux Archives nationales.
Mais l'affaire a été classée sans suite depuis sa victoire à l'élection présidentielle en novembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump veut "absorber notre pays", dit le premier ministre canadien
L'idée du président américain Donald Trump de faire du Canada le 51e Etat américain est motivée par la richesse du sous-sol canadien, a déclaré vendredi le premier ministre Justin Trudeau. C'est une menace à prendre au sérieux, a-t-il mis en garde.
Le président des Etats-Unis veut "absorber notre pays et c'est une réalité", a affirmé Justin Trudeau selon plusieurs médias canadiens, alors qu'il s'adressait en privé à des chefs d'entreprises pendant un sommet économique à Toronto, organisé pour faire face à la menace américaine d'imposer des droits de douane de 25% sur des produits canadiens.
"Non seulement le gouvernement Trump sait combien de minéraux cruciaux nous possédons, mais c'est peut-être même la raison pour laquelle il continue de parler de nous absorber et de faire de nous le 51e État" américain, a-t-il déclaré. "Ils sont très conscients de nos ressources, de ce que nous avons et ils veulent vraiment pouvoir en bénéficier".
Droits de douane
Ces derniers mois, le président américain a évoqué à de nombreuses reprises la possibilité pour les Etats-Unis et le Canada de fusionner et a même menacé de faire usage de la "force économique" pour annexer son voisin du nord, un allié dont les Etats-Unis "subventionnent" la protection, selon lui.
Les élus canadiens ont d'abord perçu ces propos comme une blague, avant de durcir le ton. Justin Trudeau assurait au début janvier que "jamais, au grand jamais, le Canada ne fera partie des Etats-Unis".
Des droits de douane américains devaient entrer en vigueur mardi mais Donald Trump a accordé au Canada un sursis de 30 jours. Il les a justifiés comme un moyen de forcer le Canada à lutter contre le trafic de fentanyl, puissant opioïde qui cause une grave crise sanitaire aux Etats-Unis et contre les arrivées de migrants illégaux aux Etats-Unis. Mais il s'est également plaint du déficit commercial américain avec le Canada.
Au-delà des menaces douanières, le Premier ministre canadien a ajouté que son pays devrait se préparer à "ce qui pourrait être une situation politique à long terme plus difficile avec les États-Unis".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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