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La première étape et le maillot jaune pour Adam Yates

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Adam Yates est parvenu à devancer son frère jumeau Simon dans les rues de Bilbao. (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

Le premier vainqueur d’étape sur le Tour de France 2023 se nomme Adam Yates (UAE Team Emirates). Dans les rues de Bilbao, le Britannique a battu son frère jumeau Simon (BikeExchange) de 4'' et le Slovène Tadej Pogacar de 12''.

Le vainqueur du dernier Tour de Romandie endosse du même coup le maillot jaune de leader, au terme d'une étape qui présentait 2879 mètres de dénivelé (182 km).

Outsiders de cette Grande Boucle, Enric Mas (Movistar) et Richard Carapaz (EF Education-EasyPost) sont tombés dans une descente à 22 km de l'arrivée. Touché à une épaule, l'Espagnol a abandonné. L'Equatorien est reparti, visiblement blessé à un genou.

L'étape a été marquée par une échappée de cinq coureurs, dès le premier kilomètre. Celle-ci aura duré 131 km. Puis l'équipe UAE Team Emirates de Tadej Pocacar a durci la course sur les deux dernières côtes. Celle de Pike (2 km à 10%) a permis au Slovène de tester son grand rival à la victoire finale, le Danois Jonas Vingegaard, sans parvenir à le décramponner. Troisième de l'étape, Pogacar a tout de même grappillé 4 secondes de bonification.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Formule 1: Max Verstappen reconnaît avoir mal agi

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Max Verstappen a fait son mea culpa (© KEYSTONE/AP/Joan Monfort)

Max Verstappen a fait son mea culpa au lendemain de son accrochage avec George Russell au Grand Prix d'Espagne. Il s'est agi d'une manoeuvre "inappropriée et qui n'aurait pas dû se produire."

"Nous étions sur une stratégie prometteuse et une bonne course à Barcelone, jusqu'à ce que la voiture de sécurité sorte" - en raison d'une panne sur la Mercedes de l'Italien Andrea Kimi Antonelli - a expliqué sur ses réseaux sociaux le Néerlandais de chez Red Bull, au lendemain de la course.

Et de poursuivre: "notre choix de pneus en fin de course et quelques manoeuvres après la relance ont nourri ma frustration, conduisant à une manoeuvre qui était inappropriée et qui n'aurait pas dû se produire".

S'il a profité de la neutralisation de la course pour repasser par les stands, le Néerlandais, alors 3e du GP, en est ressorti avec des pneus durs, plus lents que les gommes tendres de ses adversaires. A la relance à six tours de la fin, le champion du monde en titre s'est fait doubler par Charles Leclerc (Ferrari). Son écurie lui a ensuite demandé de laisser repasser Russell (Mercedes) qu'il avait dépassé en empruntant une échappatoire.

Geste d'humeur

Après avoir exprimé son mécontentement à la radio, Verstappen, connu pour son tempérament de feu, a ouvert la porte à la Mercedes, mais a immédiatement réaccéléré et l'a percutée au virage suivant, une manoeuvre qui ressemblait fortement à un geste d'humeur. "Je donne toujours tout ce que j'ai pour l'équipe et les émotions peuvent être vives", a-t-il écrit lundi, alors qu'il ne s'était pas exprimé sur cet accrochage dimanche.

Le pilote Red Bull, jugé responsable, a reçu une pénalité de dix secondes, une sanction qui l'a fait reculer de la cinquième à la dixième place.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le chef de l'OIT prêt face à "un devoir de réforme" et de "rigueur"

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Le directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT) Gilbert Houngbo a affirmé que l'institution doit diminuer ses dépenses face à la situation internationale imposée par les tensions entre certains Etats (archives). (© KEYSTONE/PIERRE ALBOUY)

"L'heure est à la rigueur". Le directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT) Gilbert Houngbo a admis lundi devant des milliers de délégués à Genève "le devoir de réforme" imposé par la situation internationale.

Au début de la 113e Conférence internationale du travail, il a souhaité une organisation "plus efficiente" devant les 187 Etats membres et les partenaires sociaux. Il a ajouté qu'il fallait de la "fermeté" pour diminuer les dépenses et rendre l'institution plus robuste et qui met au centre l'être humain. "L'emploi doit être une composante active" des avancées économiques, a-t-il aussi ajouté, refusant également d'opposer la protection des travailleurs et celles-ci.

Parmi les questions les plus importantes attendues pendant deux semaines, le financement de l'organisation sera au centre des discussions. Il y a quelques jours, M. Houngbo avait affirmé à la presse que les décisions américaines affectaient moins son institution que les entités humanitaires.

Mais les Etats-Unis n'ont plus payé leurs contributions, environ 15% de l'institution, en 2024 et cette année, comme c'est le cas sur la plupart des agences onusiennes. Et six pays alimentent près de 70% de l'enveloppe de l'organisation, qui ne devrait pas augmenter. "Les Etats membres attendent de nous que nous coupions dans nos dépenses", affirme le directeur général. Il ajoute que deux à trois étages du siège à Genève pourraient être loués.

Ces derniers mois, environ 200 personnes ont dû être remerciées sur un peu plus de 3500 collaborateurs, selon lui. Un chiffre inférieur à celui que le syndicat du personnel de l'organisation qui parlait plutôt de près de 300 postes supprimés. M. Houngbo a aussi affirmé examiner de possibles délocalisations vers des villes européennes, africaines ou asiatiques. "C'est trop tôt pour prendre une décision", a-t-il encore dit.

Les Etats membres devront également se pencher pour la première fois sur le scénario de règles internationales sur l'emploi dans l'économie "de plateforme" numérique. Cette discussion ne devrait pas être achevée cette année, a admis une responsable de l'organisation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'Ukraine prête à prendre les mesures "nécessaires" pour une paix

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Cette rencontre intervient au lendemain d'une opération des Ukrainiens qui ont introduit des drones explosifs en Russie avant de les activer pour frapper l'aviation russe stationnée sur plusieurs aérodromes. (© KEYSTONE/EPA/TOLGA BOZOGLU)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé lundi que son pays était prêt à prendre les mesures "nécessaires" pour faire avancer les pourparlers de paix avec la Russie. Une nouvelle réunion bilatérale, sous médiation turque, devait débuter vers midi.

Cette rencontre intervient au lendemain d'une opération ingénieuse sans précédent des Ukrainiens qui ont introduit des drones explosifs en Russie avant de les activer pour frapper l'aviation russe stationnée sur plusieurs aérodromes.

Moscou et Kiev avaient déjà engagé de premières discussions directes le 16 mai dans la métropole turque, mais le rendez-vous avait été peu fructueux.

La réunion entre Russes et Ukrainiens, sous la médiation notamment du ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan, devait débuter à 13h00 locales, au palais Ciragan.

"Nous sommes prêts à prendre les mesures nécessaires en vue de la paix" avec Moscou, a déclaré Volodymyr Zelensky depuis Vilnius en Lituanie, où il doit participer à un sommet réunissant des dirigeants du flanc oriental de l'Otan. Il n'a toutefois pas précisé quelles étaient concrètement ces "mesures".

Une source au sein de la délégation ukrainienne a dit à l'AFP espérer voir les émissaires russes "prêts à aller de l'avant", sans "répéter les mêmes ultimatums" posés par Moscou par le passé, notamment la demande que l'Ukraine renonce à rejoindre l'Otan et qu'elle accepte de perdre les territoires actuellement occupés par la Russie.

Avant la réunion avec les Russes, des membres de la délégation ukrainienne ont rencontré à Istanbul des représentants italiens, allemands et britanniques pour "coordonner leurs positions", selon la diplomatie ukrainienne.

De son côté, la Russie avait annoncé qu'elle présenterait un "mémorandum" de ses conditions pour un accord de paix.

Ces pourparlers interviennent au lendemain d'un vaste assaut inédit de drones ukrainiens contre quatre aérodromes militaires russes qui a touché 41 avions russes, dont des bombardiers stratégiques, y compris en Sibérie très loin du front, selon les services de sécurité ukrainiens (SBU).

Lundi matin, l'armée russe a annoncé avoir abattu dans la nuit 162 drones ukrainiens, Kiev affirmant de son côté que Moscou avait lancé 80 drones contre son territoire.

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov s'est entretenu dimanche au téléphone avec son homologue américain Marco Rubio au sujet de ces pourparlers, selon le ministère russe des Affaires étrangères cité par l'agence Tass.

Priorités divergentes

Les deux parties sont très loin d'un accord, que ce soit une trêve ou un règlement à plus long terme.

Les priorités de l'Ukraine sont "un cessez-le-feu complet et inconditionnel", et le "retour des prisonniers" et des enfants ukrainiens que Kiev accuse Moscou d'avoir enlevés, a déclaré dimanche sur les réseaux sociaux le président ukrainien, Volodymyr Zelensky.

M. Zelensky souhaite également une rencontre directe avec son homologue russe Vladimir Poutine. Perspective que le Kremlin a plusieurs fois repoussée.

Moscou refuse le "cessez-le-feu inconditionnel" demandé par Kiev et les Occidentaux et insiste pour régler ce qu'elle nomme les "causes profondes" du conflit, en référence à une série de demandes maximalistes.

La Russie exige notamment que l'Ukraine renonce définitivement à rejoindre l'Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l'annexion. Ces conditions sont inacceptables pour Kiev, qui exige en retour un retrait pur et simple des troupes russes de son territoire.

L'Ukraine veut aussi des garanties de sécurité concrètes, appuyées par les Occidentaux, comme la protection de l'Otan ou la présence de troupes occidentales sur le terrain, ce que la Russie exclut.

La guerre, qui dure depuis plus de trois ans, a fait au moins des dizaines de milliers de morts civils et militaires dans les deux camps.

La guerre continue

Le principal négociateur russe à Istanbul sera Vladimir Medinski, un conseiller idéologique de M. Poutine qui a mené les négociations avortées de 2022 et qui a rédigé des manuels scolaires justifiant l'invasion et remis en question le droit à l'existence de l'Ukraine.

La délégation ukrainienne sera, elle, dirigée par le ministre de la Défense Roustem Oumerov, considéré comme un fin négociateur mais dont le ministère reste empêtré dans des scandales.

L'Ukraine a annoncé dimanche avoir touché une quarantaine d'avions militaires russes, et revendiqué des dégâts à hauteur de 7 milliards de dollars, en frappant à des milliers de kilomètres du front.

Cette opération d'ampleur a été menée via des drones introduits clandestinement en Russie, puis lancés sur des bases militaires.

Sur le terrain en revanche, Kiev est à la peine, les troupes de Moscou ayant progressé ces derniers jours, notamment dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Dior: nouveau directeur artistique des collections Femme

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Fraîchement arrivé chez Dior, Jonathan Anderson hérite de la collection femme avant même la présentation de sa première collection homme, agendée pour la fin du mois de juin. (Archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDRE PAIN)

Après des mois de spéculations, le créateur Jonathan Anderson a été nommé lundi directeur artistique des collections Femme de Dior, en remplacement de Maria Grazia Chiuri, et devient le premier styliste à avoir la charge des deux lignes de la maison phare de LVMH.

"Jonathan Anderson est l'un des plus grands talents créatifs de sa génération. Son incomparable signature artistique sera un atout essentiel pour écrire le prochain chapitre de l'histoire de la Maison Dior", s'est réjoui Bernard Arnault, patron de LVMH, cité dans un communiqué.

Le créateur, qui a évoqué dans le même texte l'"immense honneur" que représente pour lui cette nomination, était arrivé mi-avril à la tête de Dior Homme et présentera sa première collection pour cette ligne le 27 juin lors de la prochaine Fashion Week parisienne.

Le styliste nord-irlandais avait quitté mi-mars Loewe, également propriété de LVMH, marque espagnole classique à qui il a donné un coup de fouet pendant les onze années à sa tête, au point d'en faire l'une des préférées des célébrités.

A 40 ans, il est considéré comme l'un des enfants prodiges de la mode. Pendant des années, les défilés de Loewe ont été le point de rencontre des stars du 7e art, de Timothée Chamalet à Pedro Almodóvar en passant par Tilda Swinton. Plusieurs d'entre elles ont été les ambassadrices de la marque.

Vaste mercato

Formé à la London School of Fashion, Jonathan Anderson a débuté dans le département marketing de Prada, puis a créé sa propre marque en 2008, JW Anderson. Chez Loewe, il s'est forgé une réputation de créateur aux coupes impeccables, avec une utilisation généreuse de matériaux nobles, comme le cuir et le métal.

A la tête des collections Femme de Dior, il succède à Maria Grazia Chiuri, qui a quitté son poste jeudi après l'avoir occupé pendant neuf ans.

Depuis des mois, le nom de ce discret quadragénaire revenait en boucle pour prendre les rênes de Dior.

"Ce serait d'une certaine façon une sorte de nouveau chapitre, avec peut-être l'idée de tisser des liens et d'avoir une plus grande cohérence entre un discours homme et un discours femme, et donc d'avoir quelque chose d'impactant pour les consommateurs", décryptait avant cette annonce pour l'AFP Serge Carreira, professeur affilié à Sciences Po et spécialiste de l'industrie du luxe. Et ce, alors que LVMH tout comme l'ensemble du secteur du luxe, traverse un ralentissement de sa croissance.

Après la nomination du Franco-Belge Matthieu Blazy chez Chanel en décembre, mais qui ne présentera sa première collection qu'en octobre, celle de Jonathan Anderson chez Dior est sans aucun doute le plus gros événement du vaste mercato qui agite la mode ces derniers mois.

Du haut de leurs 40 ans, ces deux hommes discrets sont désormais à la tête des plus grandes maisons de couture françaises. Si, dans les deux cas, leur réputation les précède, Jonathan Anderson est toutefois plus connu et reconnu que son confrère.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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