International
Le bénéfice net d'Apple progresse grâce aux services
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Apple a vu son bénéfice net progresser de 7,8% pour atteindre 21,45 milliards de dollars sur le troisième trimestre de son exercice décalé, dépassant les attentes du marché, malgré une baisse des ventes d'iPhone sur un an.
Entre avril et juin, le chiffre d'affaires du groupe a atteint 85,78 milliards de dollars, dépassant là encore les attentes des marchés, qui tablaient plutôt sur des ventes autour de 84,4 milliards de dollars, selon l'agence Bloomberg, grâce en particulier à une progression de la vente de services.
Sur les neuf premiers mois de son exercice décalé, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 296,1 milliards de dollars, ce qui représente une modeste hausse, de l'ordre de 0,8%, sur un an.
Donnée particulièrement observée par les investisseurs américains, le bénéfice par action a atteint 1,40 dollar pour le trimestre, contre 1,26 dollar un an plus tôt, là encore au-dessus des attentes.
Un point d'inquiétude existe cependant toujours, le chiffre d'affaires en Chine, un marché stratégique pour Apple, reculant de 6,5% sur le trimestre. La baisse est moins forte cependant que sur les six premiers mois de son exercice.
Le groupe américain profite en particulier de la bonne tenue de ses services, qui lui ont permis de compenser la baisse des ventes d'iPhone sur un an, qui reste malgré tout sa locomotive en termes de chiffre d'affaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Meta paye cher pour attirer des talents de l'IA et rebondir
En état d'alerte, Mark Zuckerberg et Meta déboursent actuellement des milliards pour étoffer leur équipe d'intelligence artificielle (IA) et se replacer dans la course, une stratégie qui fait des sceptiques.
Mi-juin, l'empire américain des réseaux sociaux n'a pas hésité à lâcher plus de 14 milliards de dollars (11,2 milliards de francs) pour acquérir 49% du capital de Scale AI, spécialisé dans la mise en état de données utilisées pour développer les modèles d'IA.
Le groupe de Menlo Park (Californie) avait auparavant approché, d'après plusieurs médias américains, le co-fondateur d'OpenAI Ilya Sutskever, mais aussi Perplexity AI, rival autoproclamé de Google, ou encore le joyau de la vidéo IA, Runway.
Selon le patron d'Open AI, Sam Altman, Meta a offert une prime individuelle à la signature de plus de 100 millions de dollars à "beaucoup" d'employés d'OpenAI et environ le même montant annuel en salaire.
Quatre d'entre eux ont fini par craquer, tout comme le directeur général de Scale AI, Alexandr Wang.
Selon plusieurs médias, c'est le PDG Mark Zuckerberg lui-même qui a sonné la charge, inquiet de voir Meta distancé dans l'IA générative, malgré des investissements de plusieurs dizaines de milliards.
Son dernier grand modèle d'IA, Llama 4, lancé début avril, a déçu.
Il arrive derrière tous les poids lourds, américains, chinois et français, dans le classement établi par la plateforme d'évaluation indépendante LMArena sur l'écriture de code, et même derrière son prédécesseur Llama 3 pour l'interface texte.
Meta veut intégrer ses nouvelles recrues à une nouvelle équipe dédiée au développement de la "superintelligence", qui correspond à une IA supérieure aux capacités humaines de compréhension et de réflexion.
"Dépenses incontrôlées"
"Je pense qu'il va réussir à attirer des vrais talents, et il n'avait pas trop le choix", commente à l'AFP le blogueur Zvi Mowshowitz, "mais ce côté mercenaires est très problématique, sans compter que personne ne veut travailler", hormis moyennant une rémunération très élevée, "pour cette société et ces produits".
"Du coup, je ne m'attends pas à ce que ça +marche+", dit-il, c'est-à-dire que Meta reprenne la main dans l'IA.
A Wall Street, si le cours du titre approche de son sommet historique et la capitalisation des 2.000 milliards de dollars, des dents commencent à grincer.
"Les investisseurs institutionnels se soucient avant tout des liquidités" que dégage l'entreprise (cash-flow) "et de la bonne gestion des capitaux", décrit Ted Mortonson, analyste chez Baird. "Et en ce moment, il n'y a aucun contre-pouvoir" à Mark Zuckerberg.
"Ceux qui ont des actions les gardent pour la publicité IA, sur laquelle Meta est extrêmement bien positionné", selon lui. "Mais ils sont aussi inquiets de voir ces dépenses incontrôlées."
Lors d'une interview pour le podcast Stratechery, Mark Zuckerberg a expliqué que son groupe comptait se substituer totalement aux agences marketing et de publicité grâce à l'IA, pour offrir bientôt une solution clef en main directement aux annonceurs et créer ainsi une nouvelle source de revenus.
"Cela ne change rien au potentiel de rentabilité à court terme", considère, pour sa part, Angelo Zino, analyste de CFRA, qui se dit également confiant à un horizon plus lointain, "car cela va créer davantage d'opportunités, de façons de monétiser l'IA, que ce soit via la publicité, les appareils connectés (lunettes et casques) ou même Llama."
Selon le New York Times, Mark Zuckerberg envisage néanmoins de ne plus faire de Llama le navire amiral de l'IA chez Meta, quitte à utiliser des modèles concurrents.
Mehmet Canayaz, professeur à l'université Penn State, souligne que l'IA générative entre actuellement dans une nouvelle phase, celle des agents numériques, de plus petits modèles à même de réaliser une multitude de tâches de façon autonome.
"Cela signifie que Meta peut prospérer même sans avoir les modèles les plus avancés", dit-il, "si les leurs répondent aux besoins d'un marché spécifique" comme la publicité.
Quant à la "superintelligence", ou l'IA générale, la seconde égalant l'homme et la première le dépassant, "il va encore falloir attendre au moins trois à cinq ans", prévoit Angelo Zino. "Mais il vous faut recruter ces gens et investir massivement pour être prêt quand on passera à cette phase."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Football
Le Bayern éteint Flamengo et défiera le PSG
Tout simplement plus fort, le Bayern Munich de Harry Kane, auteur d'un doublé, a fait parler sa puissance dimanche à Miami pour écarter Flamengo (4-2) de sa route au Mondial des clubs.
Les Bavarois défieront le PSG dans un quart de finale choc. Ce sera donc un duel entre cadors européens, plus habitués à se défier en Ligue des champions, qui aura lieu samedi prochain à Atlanta, les Parisiens s'étant débarrassés sans ménagement de l'Inter Miami de Lionel Messi (4-0).
"Ce sera difficile contre Paris, a anticipé Kane. Ils ont eu une saison incroyable. Nous avons déjà joué contre eux et gagné cette saison (en Ligue champions). Nous devons nous en inspirer, même si nous savons que ce ne sera pas facile."
Le Brésil, qui a placé ses quatre équipes en 8es de finale, peut encore en voir une seconde, après Palmeiras, rallier le prochain tour, si Fluminense fait tomber l'Inter Milan lundi. En attendant, après Botafogo, c'est l'un de ses clubs les plus emblématiques, celui de Zico, Bebeto ou encore Romario qui prend la porte.
Neuf avertissements
Ce 8e de finale au parfum intercontinental vintage, très animé et bien tendu (9 avertissements), les Bavarois l'ont pris au sérieux. En trois minutes, dans les dix premières, Munich a fait plier la défense. D'abord sur un corner dévié contre son camp par le Chilien Erick Pulgar (6e), puis après un tir à l'entrée de la surface de Harry Kane, légèrement dévié (9e).
En prenant à la gorge Flamengo d'entrée, Munich venait de mettre un gros coup sur la carafe de son adversaire. Mais c'était sans compter "la force mentale des joueurs brésiliens", mise en avant la veille par leur entraîneur Filipe Luis. Il a eu raison, puisque son équipe a réduit le score par Gerson, auteur d'un missile en demi-volée sous la barre de Manuel Neuer (33e).
Bousculé et coffre-fort percé, le Bayern a néanmoins vite repris son sérieux et le contrôle du ballon. Et Leon Goretzka a permis aux siens de refaire le break (3-1, 41e). Flamengo a repris espoir quand Jorginho a transformé un penalty (55e) mais, après une belle occasion manquée par Bruno Henrique devant Neuer (66e), c'est l'inévitable "HurriKane" qui a scellé le sort du match (73e).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Reprise des négociations Ottawa-Washington sur un accord commercial
Le Canada a annulé une taxe visant les géants de la technologie dans l'espoir de parvenir à un accord commercial avec les Etats-Unis. Il a annoncé dans la foulée la reprise des négociations rompues deux jours plus tôt par le président américain Donald Trump.
Le ministre canadien des finances, François-Philippe Champagne, "a annoncé aujourd'hui [dimanche, ndlr] que le Canada annulerait la taxe sur les services numériques (TSN)", selon un communiqué du gouvernement. Celui-ci précise que la reprise des négociations doit déboucher sur un accord commercial avec Washington d'ici au 21 juillet.
Cette détente entre le Canada et les Etats-Unis survient deux jours après la rupture des discussions par le président américain, qui avait qualifié de "coup direct et évident" porté aux Etats-Unis la taxe d'Ottawa visant les géants du numérique.
Cette ponction de 3% sur les revenus tirés de la publicité en ligne, des plateformes de vente, des réseaux sociaux ou de la vente de données personnelles, devait entrer en vigueur lundi et toucher particulièrement les poids lourds américains de la technologie.
Taxation des multinationales
Elle ciblait notamment les mastodontes Google, Apple, Meta (Facebook), Amazon ou Microsoft. Ceux-ci sont accusés de profiter du caractère immatériel de leur activité pour échapper à l'impôt.
"Retirer la taxe sur les services numériques fera avancer les discussions et appuiera nos efforts pour créer des emplois et bâtir de la prospérité", a estimé sur réseau social X le ministre canadien des finances François-Philippe Champagne.
Donald Trump et la Maison-Blanche n'ont pas réagi dans l'immédiat.
La TSN avait été adoptée l'an dernier à titre temporaire, dans l'attente de l'aboutissement de négociations internationales sur la taxation des multinationales.
Cette taxe ciblait les acteurs du numérique qui génèrent un chiffre d'affaires mondial annuel supérieur à 1,1 milliard de dollars canadiens et des revenus annuels au Canada supérieurs à 20 millions de dollars canadiens.
Droits de douane
Vendredi, Donald Trump avait qualifié la TSN de "scandaleuse" sur son réseau social Truth Social et indiqué que les Etats-Unis communiqueraient au Canada, dans les sept jours, le niveau des droits de douane qui lui serait imposé.
Le premier ministre canadien Mark Carney avait promis en retour de "continuer à mener ces négociations complexes, dans l'intérêt supérieur des Canadiens".
Depuis le retour de Donald Trump au pouvoir en janvier, le gouvernement américain a annoncé, puis suspendu, dans l'attente de négociations, plusieurs taxes sur les importations canadiennes aux Etats-Unis, tandis que le Canada a riposté en imposant des droits de douane.
Le président américain a visé en particulier les secteurs canadiens de l'automobile, de l'acier et de l'aluminium, alors que les Etats-Unis et le Canada sont, avec le Mexique, membres d'un accord de libre-échange (ACEUM ou USMCA en anglais).
Les relations entre Ottawa et Washington se sont détériorées sous le second mandat présidentiel de Donald Trump, qui a demandé à plusieurs reprises que le Canada devienne le 51e Etat américain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Au moins deux personnes tuées dans une embuscade dans l'Idaho
Au moins deux personnes ont été tuées dimanche dans l'Etat américain de l'Idaho (nord-ouest) dans une embuscade tendue à des pompiers qui luttaient contre un feu de broussailles, a annoncé le shérif local. Le tireur n'a montré "aucun signe de vouloir se rendre".
"Nous avons maintenant deux morts. Nous avons un nombre inconnu de victimes [...] En ce moment même, nous essuyons des tirs de tireurs embusqués", a déclaré le shérif du comté de Kootenai. Il a encouragé les forces de l'ordre "à tirer pour neutraliser la menace".
"Plusieurs pompiers héroïques ont été attaqués aujourd'hui alors qu'ils intervenaient sur un incendie dans le nord de l'Idaho", a annoncé sur le réseau social X le gouverneur de l'Etat, Brad Little. Il a dénoncé "une attaque directe odieuse contre nos courageux pompiers".
189 fusillades en 2025
Les autorités ont demandé aux résidents de rester sur place jusqu'à ce que l'affrontement soit terminé.
Avec plus d'armes à feu en circulation que d'habitants, les Etats-Unis affichent le taux de mortalité par arme à feu le plus élevé de tous les pays développés. Les tueries sont un fléau récurrent que les gouvernements successifs n'ont jusqu'à présent pas réussi à endiguer, de nombreux Américains restant très attachés à leurs armes.
Aux Etats-Unis, le droit au port d'arme est protégé par le deuxième amendement de la constitution.
Selon le Gun Violence Archive, il y a eu 189 fusillades de masse cette année aux États-Unis, qui sont définies par l'organisation comme des incidents, durant lequel au moins quatre personnes, autres que le tireur, sont tuées ou blessées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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