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Climat

Le bilan des inondations à Auckland grimpe à quatre morts

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Vendredi a été le "jour le plus humide" jamais enregistré à Auckland, selon le premier ministre néo-zélandais Chris Hipkins. (© KEYSTONE/AP/Dean Purcell)

Une quatrième personne a été retrouvée morte après les inondations d'ampleur record qui ont frappé vendredi Auckland, a annoncé dimanche la police. Un drone a localisé le corps sans vie d'un homme à Onewhero, au sud de la plus grande ville de Nouvelle-Zélande.

Il avait été emporté par les eaux, après que des pluies diluviennes ont transformé ses rues en rivières et inondé l'aéroport. Selon la vice-première ministre Carmel Sepuloni, environ 3000 foyers restaient dimanche sans électricité et nombre d'autres sans eau.

L'état d'urgence décrété dans la ville de 1,6 million d'habitants est toujours en vigueur. Vendredi a été le "jour le plus humide" jamais enregistré à Auckland, selon le premier ministre néo-zélandais Chris Hipkins.

L'aéroport a rouvert aux vols intérieurs samedi et les vols internationaux devaient reprendre dimanche.

Pour des raisons de sécurité, deux concerts de la star britannique de la pop Elton John, qui étaient prévus vendredi et samedi à Auckland dans le cadre de sa tournée d'adieux, ont dû être annulés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Climat: 2025 en passe d'être la 2e ou la 3e plus chaude

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Autour du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, les chefs d'Etat de la planète se penchent sur le climat à Bélem. (© KEYSTONE/AP/Eraldo Peres)

L'année 2025 est en passe de devenir la 2e ou la 3e année la plus chaude jamais enregistrée, alors que des concentrations records de CO2 dans l'atmosphère alimentent le réchauffement climatique. Le rapport publié jeudi en prélude à la COP30 à Bélem donne le ton.

Les 11 dernières années (2015-2025) figurent d'ores et déjà chacune parmi les 11 années les plus chaudes sur les 176 années d'observation, avec les trois dernières années (2025, 2024 et 2023) qui ressortent comme les trois années les plus chaudes depuis les débuts des relevés, selon le rapport de l'OMM qui fait partie d'une série d'états des lieux du climat dressés par des agences onusiennes en perspective de la COP30.

"Cette période sans précédent de températures élevées, conjuguée à l'augmentation record des émissions de gaz à effet de serre l'an dernier, montre clairement qu'il sera pratiquement impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C dans les prochaines années sans dépasser temporairement cet objectif.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg

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Climat

Philippines: le typhon Kalmaegi tue plus de 90 personnes

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Des sauveteurs transportent un corps après la passage du typhon Kalmaegi à Cebu city. (© KEYSTONE/AP/Jacqueline Hernandez)

Le bilan du typhon Kalmaegi aux Philippines a dépassé les 90 morts mercredi, selon des chiffres officiels compilés par l'AFP sur cette catastrophe qui a provoqué des inondations d'une rare violence.

Des villes entières de la province de Cebu (centre), la plus durement frappée, ont été inondées la veille, les habitants grimpant sur les toits pour échapper aux eaux boueuses qui emportaient voitures, camions, et même d'énormes conteneurs de marchandises.

Le porte-parole de Cebu, Rhon Ramos, a indiqué mercredi à l'AFP que 35 corps avaient été découverts à Liloan, municipalité de la zone métropolitaine de la capitale locale, portant le bilan régional à 76 morts.

Dans la matinée, Rafaelito Alejandro, un responsable de la défense civile nationale, avait fait état de 17 morts dans le reste du pays. Le bilan total s'élève à ce stade à au moins 93 victimes.

"Ce sont les grandes villes qui ont été touchées, les zones très urbanisées", a indiqué M. Alejandro à la radio, précisant que 26 personnes étaient portées disparues.

Près de 400'000 personnes avaient été préventivement éloignées de la trajectoire du typhon. Mercredi matin, l'AFP a rencontré des habitants en train de nettoyer les rues, submergées la veille.

"La rivière a débordé. C'est de là que l'eau est venue", a témoigné Reynaldo Vergara, 53 ans.

"Vers 4 ou 5 heures du matin, le flot des eaux était si fort qu'on ne pouvait pas faire un pas dehors (...) rien de tel n'était jamais arrivé. Les eaux étaient déchaînées", a-t-il dit, expliquant que le courant avait tout emporté dans sa boutique.

"Sans précédent"

Kalmaegi est arrivé par l'est du pays lundi peu avant minuit (15H00 GMT), touchant terre au niveau de la province des îles Dinagat, d'après le service météorologique national.

Sur les 24 heures précédentes, 183 millimètres de précipitations s'étaient abattus sur la zone autour de la ville de Cebu, bien au-dessus de la moyenne mensuelle de 131 millimètres, a souligné auprès de l'AFP la météorologue Charmagne Varilla.

La gouverneure de la province, Pamela Baricuatro, a évoqué une situation "sans précédent".

"Nous nous attendions à ce que les vents soient dangereux, mais (...) l'eau est ce qui met véritablement notre population en danger", a-t-elle dit aux journalistes, qualifiant les inondations de "dévastatrices".

Mercredi vers 11h00 locales, Kalmaegi progressait vers l'ouest et les sites touristiques de la région de Palawan, soufflant des vents de 130 km/h, avec des pics à 180 km/h.

Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou typhons frappent les Philippines ou s'en approchent, les régions les plus pauvres du pays étant généralement les plus gravement touchées.

En comptant Kalmaegi, l'archipel d'Asie de l'Est a déjà atteint cette moyenne annuelle, a affirmé Mme Varilla. Et au moins "trois à cinq autres" de ces phénomènes pourraient survenir d'ici à décembre, a-t-elle prévenu.

Le typhon Ragasa et la tempête Bualoi, tous deux meurtriers, avaient déjà balayé les Philippines en septembre.

Selon les scientifiques, le réchauffement climatique provoqué par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Le typhon Kalmaegi fait une quarantaine de morts aux Philippines

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Des personnes inspectent les dégâts après le passage du typhon Kalmaegi aux Philippines. (© KEYSTONE/EPA/JUANITO ESPINOSA)

Au moins une quarantaine de personnes ont été tuées et des centaines de milliers déplacées aux Philippines touchées par le puissant typhon Kalmaegi. Il a entraîné mardi de violentes inondations dans une large partie du centre du pays.

Des villes entières de l'île de Cebu (centre) ont été inondées, les habitants tentant de trouver refuge sur les toits pour échapper aux eaux boueuses qui emportent voitures, camions et même d'énormes conteneurs de transport de marchandises, comme le montrent des vidéos vérifiées par l'AFP.

Rien que dans la province de Cebu, 39 personnes ont trouvé la mort, a déclaré Ainjeliz Orong, officier de communication de la province, un chiffre qui n'inclut pas la ville de Cebu City.

Selon Ethel Minoza, responsable locale de la gestion des catastrophes, interrogé par l'AFP, les corps de deux enfants ont été retrouvés à Cebu City, capitale provinciale, où les secouristes tentaient toujours d'évacuer les habitants piégés par les inondations.

Situation "sans précédent"

La gouverneure provinciale Pamela Baricuatro a qualifié la situation de "vraiment sans précédent", dans un message sur Facebook: "Les inondations sont tout simplement dévastatrices".

Au moins cinq décès ont été enregistrés dans d'autres provinces, dont celui d'une personne âgée qui s'est noyée à l'étage de sa maison dans la province de Leyte et celui d'un homme tué par la chute d'un arbre à Bohol.

Sur l'île de Midanao, également touchée, un hélicoptère militaire déployé dans le cadre d'une mission de "soutien aux opérations de secours" s'est écrasé mardi, a annoncé l'armée.

Deux pilotes et quatre membres d'équipage se trouvaient à bord. Six corps ont été retrouvés mais des analyses sont en cours pour les identifier, a indiqué la porte-parole de l'armée de l'air, la colonelle Maria Christina Basco.

"Incontrôlable"

Le typhon se déplace maintenant vers l'ouest à travers la chaîne d'îles des Visayas, s'affaiblissant légèrement avec des vents de 120 kilomètres/heure et des rafales de 165 km/h.

"L'eau est montée si vite (...) A 04h00, la situation était déjà incontrôlable, les gens ne pouvaient plus sortir (de leurs maisons)", témoigne Don del Rosario, 28 ans, habitant de Ceby City.

Comme beaucoup d'autres habitants, il a cherché refuge dans les étages supérieurs de son habitation alors que la tempête faisait rage. "Je vis ici depuis toujours et c'est de loin la pire catastrophe que nous ayons connue", assure-t-il.

Des centaines de personnes qui vivaient dans des tentes dans des camps installés après le séisme de magnitude 6,9 qui a secoué l'île fin septembre ont également été "évacuées de force pour leur sécurité", a déclaré par téléphone à l'AFP Rhon Ramos, responsable de l'information à Cebu.

Au total, près de 400'000 personnes ont été préventivement évacuées de la trajectoire du typhon, a déclaré mardi lors d'une conférence de presse Rafaelito Alejandro, administrateur adjoint du Bureau de la défense civile.

D'autres tempêtes attendues

Kalmaegi est entré par l'est de l'archipel lundi peu avant minuit (16h00 en Suisse), touchant terre au niveau de la province des îles Dinagat, dans l'archipel des îles Visayas, d'après le service météorologique national.

Après Kalmaegi, la météorologue Charmagne Varilla s'attend à ce que "trois à cinq" autres tempêtes frappent le pays asiatique d'ici la fin de l'année.

Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou typhons frappent les Philippines ou s'en approchent, les régions les plus pauvres du pays étant généralement les plus durement touchées.

Les Philippines ont été frappées en septembre par le typhon Ragasa et la tempête Bualoi, tous deux meurtriers.

Selon les scientifiques, le réchauffement climatique provoqué par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

En Jamaïque, "besoin de toute l'aide possible" après Melissa

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La Jamaïque a "besoin de toute l'aide possible" après le passage dévastateur de Melissa. (© KEYSTONE/AP/Matias Delacroix)

Près d'une semaine après que Melissa a touché terre en Jamaïque comme un des ouragans les plus puissants jamais recensés, l'île caribéenne s'organise pour venir en aide aux populations durement affectées par la catastrophe, qui a fait au moins 32 morts.

Le bilan humain communiqué par les autorités locales "est maintenant de 32 morts mais nous nous attendons à ce que ce nombre augmente", a indiqué la ministre de l'Information Dana Morris Dixon au cours d'une conférence de presse lundi, en évoquant "huit autres cas non confirmés" pour l'heure.

"Nous avons besoin de toute l'aide possible. Nous avons besoin de nourriture, d'eau, d'articles de toilette", implore Tackeisha Frazer, qui vit dans la province occidentale de Westmoreland, une des plus sévèrement frappées par la furie de Melissa.

"Il y a beaucoup de personnes déplacées qui n'ont ni où dormir ni de quoi manger. Cette crise nous dépasse. C'est la première fois que nous vivons une telle situation en Jamaïque", souligne la trentenaire, à l'ombre d'un parapluie détourné pour se protéger du soleil, depuis la file d'attente qui s'allonge devant un centre de distribution de produits de première nécessité improvisé à Whitehouse, petite ville de la côte sud-ouest.

Bénévole, Millicent Mccurdy en appelle à "toute personne à l'étranger qui peut aider ces gens". "Car ils sont sans abri, ils n'ont pas de vêtements, pas de nourriture, pas d'eau. Ils ont besoin d'aide, ils ont besoin d'aide, ils ont besoin d'aide", répète-t-elle.

Packs de bouteilles d'eau, cartons de denrées alimentaires, rouleaux de papier hygiénique: habitants et bénévoles forment une chaîne humaine pour décharger un camion rempli de marchandises.

Un homme s'attelle à réparer un toit, marteau en main, une femme et un enfant font du stop au bord de la route, des chèvres s'alimentent comme elles peuvent sur des branchages au milieu des décombres.

A Whitehouse, la mer est turquoise, mais les toits sont envolés, les arbres arrachés, et les débris s'entassent.

"Une vision vraiment terrible, terrible, terrible", se désole Diana Mullings, une commerçante. "Toutes les structures en bois ont disparu, tout, tout, tout, même les magasins en béton."

"Nous avons encore environ 25 communautés coupées du monde", qui n'ont pu être atteintes près d'une semaine après la catastrophe, a évalué lundi le ministre du Travail Pearnel Charles Junior. Au mieux, elles commencent à recevoir des vivres largués par hélicoptère, a-t-il expliqué.

Au total, Melissa, qui a dévasté des régions entières de la Jamaïque et inondé Haïti et Cuba, a fait une soixantaine de morts pendant sa course de plusieurs jours dans les Caraïbes la semaine passée.

Rendu plus destructeur par le changement climatique, l'ouragan a été le plus puissant à toucher terre en 90 ans lorsqu'il a frappé la Jamaïque mardi en catégorie 5, la plus élevée sur l'échelle Saffir-Simpson, avec des vents d'environ 300 km/h.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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