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Le FC Barcelone attribue le no 10 à Ansu Fati
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Ansu Fati a un héritage lourd à porter. L'emblématique no 10 de Lionel Messi a été attribué au jeune prodige du FC Barcelone (18 ans), a annoncé le club catalan mercredi sur ses réseaux sociaux.
Actuellement en phase de reprise après sa fracture du ménisque du genou gauche survenue il y a près d'un an, en novembre 2020, Ansu Fati est apparu dans une vidéo diffusée par le Barça sur ses réseaux sociaux. On le voit brandir puis revêtir un maillot orné du no 10, anciennement propriété de l'Argentin. Un numéro que d'autres légendes ont porté, à l'instar de Ronaldinho, Rivaldo ou Romario.
Cette attribution met ainsi un terme aux spéculations qui disaient que le no 10 de l'Argentin, transféré vers le Paris Saint-Germain début août, allait être retiré par le Barça en hommage au meilleur joueur de l'histoire du club. Mais c'est bien le jeune international espagnol Ansu Fati qui va en hériter. Le nouveau bijou issu du très réputé centre de formation catalan de "La Masia" a fait ses débuts en équipe première en 2019, à seulement 16 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Xherdan Shaqiri terrasse un FC Bienne admirable
Il n’a pas livré son meilleur match de l’année. Mais avec son formidable pied gauche, il a lâché les deux passes qui ont offert la victoire 4-1 de Bâle face à Bienne en finale de la Coupe de Suisse.
Oui, Xherdan Shaqiri est immense. Elu homme du match, le capitaine du FC Bâle a provoqué l’autogoal de son vis-à-vis Anthony De Freitas à la 35e pour l’ouverture du score avant de signer à la 67e le 2-1 sur un penalty accordé un brin sévèrement pour une faute du gardien Raphaël Radtke face à Albian Ajeti. C’est le ballon piqué de Xherdan Shaqiri qui a sans doute abusé le portier biennois dans sa sortie malheureuse. Le génie de celui qui risque de cruellement manquer ces prochains mois à l’équipe de Suisse a permis aux Rhénans de fêter un succès attendu. Mais un succès presque obtenu à l’arraché.
Un vrai match
Annoncée comme la plus déséquilibrée de son histoire, cette 100e finale de la Coupe de Suisse a offert un vrai match aux 30'897 spectateurs du Wankdorf. La réplique des Biennois fut presque inattendue dans la mesure où ils ont été capables de bousculer vraiment les Bâlois. Comme ils ne l'avaient jamais été cette année en championnat convient-il de le préciser.
L’égalisation sur penalty de Brian Beyer à l’heure de jeu est presque tombée comme un fruit mûr. L’emprise à cet instant du match était seelandaise. Sans un Marwin Hitz à son affaire, le FC Bâle aurait sans doute cédé plus tôt. Seulement, il aura manqué aux Biennois les ressources pour revenir une seconde fois dans le match après le penalty de Shaqiri. Les buts de deux jokers Marin Soticek à la 78e et de Moussa Cissé à la 80e devaient donner trop d'ampleur à un score qui reflète bien imparfaitement la physionomie de la rencontre.
Une immense résilience
Avec ce sixième doublé de son histoire, le FC Bâle a couronné une saison magnifique, celle du renouveau. Ce quatorzième succès en Coupe de Suisse est amplement mérité. La formation de Fabio Celestini a témoigné d’une immense résilience lors de son parcours avec trois matches au cours desquels elle a dû courir derrière le score, contre Sion, Carouge et Lausanne.
Eliminé par le FCB en demi-finale, le Lausanne-Sport est l’autre grand gagnant de ce premier dimanche de juin. Le doublé du FC Bâle lui ouvre les portes de la Conference League avec une entrée en lice dans le deuxième tour qualificatif le 24 juillet. Il n’y aura donc pas d’Europe pour cet admirable FC Bienne qui aurait eu l’assurance de disputer la phase de ligue de la Conférence League en cas de succès. Il reste à espérer que les Seelandais conserveront cette flamme qui a embrasé toute une ville pour gagner la saison prochaine leur place en Challenge League. La place qui doit être la leur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Grenoble: une voiture percute la foule faisant quatre blessés
Quatre personnes d'une même famille ont été blessées, dont deux grièvement, samedi soir à Grenoble après qu'une voiture a heurté la foule célébrant la victoire du PSG en Ligue des champions. L'acte n'était pas intentionnel, selon une source proche du dossier.
"Un véhicule aurait perdu le contrôle, heurtant quatre personnes dont deux blessées grièvement", a indiqué la préfecture à l'AFP. Le conducteur s'est rendu de lui-même à la police et a été placé en garde à vue.
Selon une source proche du dossier, l'automobiliste circulait à vive allure sur le cours Jean-Jaurès, une des artères principales de Grenoble, quand il a tenté d'effectuer un dérapage contrôlé, percutant la foule rassemblée pour célébrer la victoire du PSG 5-0 face à l'Inter Milan en finale de la Ligue des champions de football.
Le véhicule a alors fauché quatre piétons: deux hommes de 17 ans et deux femmes de 23 et 46 ans, membres de la même famille, selon la source proche du dossier.
Centaines d'arrestations à Paris
A Paris, des incidents ont éclaté sur l'avenue des Champs-Elysées et aux abords du parc des Princes, le stade historique du Paris Saint-Germain. A 02h00, au moins 294 personnes avaient été interpellées, selon un nouveau bilan de la préfecture de police de Paris.
"Des fauteurs de troubles sur les Champs-Elysées cherchent l'incident et vont au contact répété des agents avec des jets de mortiers d'artifice et divers projectiles", a commenté la préfecture. Un magasin de chaussures de l'avenue a été pillé. Une trentaine de personnes y ont été interpellées par la police.
Dans un message posté sur le réseau social X, le ministre français de l'intérieur Bruno Retailleau s'est insurgé "contre des barbares venus dans les rues de Paris pour commettre des délits et provoquer les forces de l'ordre", tandis que les "vrais supporters du PSG sont en train de s'enthousiasmer devant le magnifique match de leur équipe".
5400 policiers et gendarmes sont mobilisés à Paris et son agglomération.
Saturés d'appels, les sapeurs-pompiers de Paris ont tenté sur X de canaliser les demandes: "En raison des événements qui touchent actuellement Paris, nous recevons un grand nombre d'appels. Si votre appel ne revêt pas de caractère d'urgence, nous vous invitons à libérer immédiatement la ligne d'appel d'urgence".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Une démonstration pour le PSG
Yann Sommer n’est pas devenu le troisième Suisse à gagner une finale de la Ligue des Champions après Stéphane Chapuisat et Manuel Akanji. Le Bâlois et l’Inter ont été surclassés à Munich par le PSG.
Le PSG a gagné cette finale à sens unique alors qu’elle semblait si équilibrée sur le papier sur le score sans appel de 5-0. Les Parisiens offrent au football français un deuxième sacre dans cette Ligue des Champions trente-deux ans après la victoire à... Munich de Marseille devant le Milan AC.
Pas de véritables regrets
Dépassés de la première à la dernière minute, les Milanais échouent une deuxième fois en finale après celle perdue en 2023 contre Manchester City. Yann Sommer ne peut pas nourrir de véritables regrets. Le Bâlois et ses coéquipiers sont tout simplement tombés contre une équipe touchée par la grâce.
La première mi-temps du PSG fut un chef-d’½uvre. Moins de vingt minutes ont suffi aux Parisiens pour prendre la main dans cette finale. Ils ont ouvert le score 12e par Achram Hakimi sur une offrande merveilleuse de Désiré Doué. A la 20e, ce même Doué était à la conclusion d’une rupture d’Ousmane Dembélé pour signer le 2-0.
Yann Sommer n’endosse aucune responsabilité sur ces deux buts. On ne peut pas en dire autant, en revanche, pour Federico Dimarco. L’ex-Sédunois a coupé le hors-jeu sur le but de Hakimi avant de dévier malencontreusement la frappe de Doué.
Sommer, Dimarco et les autres ont vraiment été dépassés par le pressing des Parisiens. Un pressing orchestré en premier lieu par Ousmane Dembélé qui n’a cessé de multiplier les sprints pour s’opposer aux premières relances de Yann Sommer.
Une option pour Ousmane Dembélé
Malgré les quatre changements opérés par Simone Inzaghi, l'Inter ne trouvait toujours pas le moyen de troubler la sérénité de leurs juvéniles adversaires. Désiré Doué, qui fêtera ses 20 ans ce mardi, assurait définitivement le sacre des Parisiens à la 63e sur une action initiée par Ousmane Dembélé, qui a peut-être pris samedi soir une option décisive sur la conquête du Ballon d'Or. Son deuxième assist de la soirée sur le 4-0 de Khvicha Kvaratskhelia à la 73e souligne combien il est l'âme de ce PSG devenu invincible cette année. Le 5-0 de la 86e par Senny Mayulu (19 ans) qui a surpris Yann Sommer au premier poteau donnait à cette finale les allures d'une terrible correction pour l'Inter.
Cette finale a bien récompensé le formidable collectif du PSG. Elle rappelle combien le départ au Real Madrid de Kylian Mbappé l’été dernier au Real Madrid a été un mal pour un bien. Il n’y a tout simplement pas de place pour un soliste aussi fort qu'il soit dans le PSG de Luis Enrique dont le tableau de chasse en 2025 - Manchester City, Liverpool, Aston Villa, Arsenal et l'Inter - raconte une épopée merveilleuse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Donnarumma et Sommer, deux gardiens en état de grâce
Si le PSG et l'Inter Milan se retrouvent en finale de la Ligue des champions, ils le doivent pour beaucoup à leur gardien.
L'Italien Gianluigi Donnarumma et le Bâlois Yann Sommer auront encore un rôle primordial à jouer samedi à Munich.
"Cela sera aussi une finale de gardiens", pronostique pour la Gazzetta dello Sport l'ancien portier emblématique de l'Italie, Gianluigi Buffon, passé par le PSG. "Ce sont les deux meilleurs gardiens d'Europe, Donnarumma est le meilleur dans l'absolu, mais Sommer fait preuve d'une incroyable constance à haut niveau."
Donnarumma a chassé les doutes
Comme souvent depuis son arrivée au PSG en 2021, "Gigio" Donnarumma a connu cette saison bien des hauts mais aussi quelques bas, à cause des lacunes dans son jeu au pied et ses sorties aériennes.
Il a été relégué sur le banc contre le Bayern Munich en phase de ligue à cause d'un mauvais match face à Arsenal (défaite 2-0). Il a ensuite été rendu responsable de la défaite en 8e de finale aller face à Liverpool (1-0 au Parc des Princes) en ne stoppant pas la seule frappe des Reds.
Mais depuis, sans doute comme jamais depuis qu'il est parisien, l'ancien Milanais, du haut de son 1m96, a enchaîné les prestations de haute volée. Il a livré l'un de ses meilleurs matches avec le PSG au retour à Liverpool, où il a été décisif lors de la séance de tirs au but (4-1 tab).
Donnarumma, 26 ans, a ensuite été décisif face à Aston Villa, en quarts de finale, et à Arsenal, en demi-finale. Comme si affronter des clubs anglais lui avait rappelé cet Euro 2021 remporté avec la Nazionale à Wembley, avec à la clef le trophée de meilleur joueur du tournoi.
L'Italien rassure désormais pleinement ses coéquipiers et les supporters en répondant présent lors des grands rendez-vous, à rebours des années précédentes. "Il prend et montre sa valeur dans le but, affiche son potentiel. Il faut toujours un grand gardien pour gagner et c'est ce qu'il est", a appuyé son capitaine Marquinhos à propos de "Gigio".
Pour Achraf Hakimi, "c'est l'un des meilleurs gardiens du monde". En fin de contrat en 2026, il n'a toujours pas prolongé au PSG, malgré ses envies clairement assumées de rester à Paris. L'entraîneur du PSG, Luis Enrique, est peu disert devant la presse à son sujet.
Sommer, 36 printemps et toujours vert
Qu'il est loin le temps où les tifosi interistes faisaient la fine bouche et redoutaient le pire à son arrivée pour remplacer Andre Onana, parti à Manchester United. Pour sa deuxième saison en Serie A, Yann Sommer a certes encaissé plus de buts que l'an dernier (32 contre 19 en 2023/24, 13 "clean-sheets" contre 19).
Mais le Bâlois de 36 ans a joué un rôle plus déterminant avec son leadership lorsque sa défense tanguait et en réalisant des arrêts spectaculaires, notamment contre le Barça lors de cette demi-finale retour au scénario renversant (4-3 ap).
Alors que l'Inter venait de voir son avance de deux buts disparaître en six minutes, l'ancien portier de l'équipe de Suisse lui a évité le pire avec un total de sept arrêts, dont deux parades spectaculaires devant Eric Garcia et Lamine Yamal qui vont longtemps hanter les joueurs catalans.
Malgré son déficit de taille (1m83), "sa contribution aux succès de l'Inter lors des deux dernières saisons est énorme", juge Buffon.
Fidèle à son tempérament, Sommer qui va retrouver l'Allianz-Arena où il a évolué six mois en 2023 avec le Bayern Munich, garde les pieds sur terre et ne s'emballe pas. "Ce groupe mérite de jouer cette finale, mais cela serait faux de résumer ce match à un duel entre Donnarumma et moi", a-t-il prévenu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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