International
Le groupe Facebook va se renommer Meta
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Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, a annoncé jeudi que la maison mère allait désormais s'appeler Meta, pour mieux représenter toutes ses activités. Ses différents réseaux ne changeront pas de nom.
Le fondateur du géant des technologies, accusé de faire passer les profits avant les humains par une lanceuse d'alerte et de nombreux élus, a choisi "meta" - "au-delà" en grec ancien - pour montrer qu'il y a "toujours plus à construire".
"Nous avons beaucoup appris en nous confrontant à de nombreux problèmes", a-t-il déclaré, jugeant qu'il est désormais temps de tirer les leçons pour "construire le prochain chapitre". Cette annonce a été faite au terme d'une heure et demie de présentation du "metaverse", "métavers" en français pour méta-univers.
Selon lui, le métavers représente l'avenir de l'internet, après les ordinateurs et les téléphones portables, auquel le public aura accès pour interagir, travailler ou se divertir via les technologies (lunettes de réalité augmentée, casques de réalité virtuelle, etc.).
Manoeuvre de distraction
Ce changement de nom est interprété comme une manoeuvre de distraction par les critiques du groupe californien, empêtré dans les scandales et controverses, de la désinformation à la confidentialité des données en passant par le respect du droit de la concurrence.
La firme "pense qu'une nouvelle marque peut l'aider à changer de sujet", a déjà réagi la semaine dernière une ONG de militants anti-Facebook, ironiquement baptisée "le vrai conseil de surveillance de Facebook ("The Real Facebook Oversight Board"), quand des rumeurs de changement de nom circulaient.
La colère des autorités et de la société civile s'est amplifiée ces dernières semaines à la faveur des révélations d'une lanceuse d'alerte, Frances Haugen, qui montrent que Facebook a choisi d'ignorer une partie des dangers, contenus toxiques sur Instagram pour les adolescents, désinformation qui nuit à la démocratie, etc., par souci de préserver ses profits.
10'000 personnes à recruter
Pour autant, Mark Zuckerberg parle du métavers depuis quelques mois. Il a déjà annoncé des investissements de plusieurs milliards pendant les années à venir et le recrutement de 10'000 personnes en Europe pour ce projet.
Il a donné plus détails jeudi, peignant un futur digne de la science-fiction tout en offrant des perspectives aux marques en termes de marketing.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bolivie: Morales poursuivi pour "terrorisme" par le gouvernement
Le gouvernement bolivien a déposé jeudi une plainte contre l'ancien président Evo Morales. Il est accusé de "terrorisme" et de sept autres délits, après la diffusion d'un enregistrement audio dans lequel il ordonnerait le blocage de routes autour de La Paz.
"Parmi les principaux délits dénoncés figurent le terrorisme, l'incitation publique à commettre des délits et les atteintes à la sécurité des services publics", a déclaré le ministre de la Justice, César Siles, auprès de la presse, alors que depuis lundi de nombreux barrages routiers paralysent le centre du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Harvard conteste en justice l'interdiction des étudiants étrangers
L'université Harvard a contesté jeudi en justice la décision de Donald Trump de restreindre l'accès des nouveaux étudiants internationaux à son campus, une mesure qui suscite une onde de choc pour les concernés.
En pleine guerre contre des universités qu'il considère être des incubateurs du "wokisme", Donald Trump a annoncé mercredi soir qu'il était "nécessaire de restreindre l'entrée aux ressortissants étrangers qui cherchent à venir aux Etats-Unis pour participer, exclusivement ou en grande partie, à un programme d'études de l'université Harvard".
Cette mesure s'applique immédiatement à l'encontre des "étrangers qui entrent ou tentent d'entrer aux Etats-Unis pour commencer à participer" à des programmes de l'université. Elle doit rester en vigueur pour six mois, sauf si elle est prolongée, a-t-il ajouté.
Harvard a contesté jeudi devant les tribunaux cette nouvelle mesure de l'administration Trump qui fait partie, selon elle, "d'une campagne concertée, allant crescendo, de représailles" contre cette université qui "refuse" de céder aux pressions du gouvernement.
Fin mai, le gouvernement avait déjà tenté d'interdire à Harvard d'accueillir des étudiants étrangers, en retirant à cette université sa certification SEVIS (Student and Exchange Visitor), le principal système par lequel les étudiants étrangers sont autorisés à étudier aux Etats-Unis.
Cette annonce avait provoqué beaucoup de stress pour les étudiants, avant qu'un tribunal fédéral du Massachusetts, Etat où est situé Harvard, ne leur accorde un sursis en bloquant temporairement cette mesure controversée -- jusqu'à ce que M.Trump revienne à la charge mercredi soir.
"Je m'accroche à l'espoir que Harvard remporte ce combat (judiciaire) et que je puisse y retourner à la session prochaine", explique à l'AFP Alfred Williamson, un étudiant dano-gallois de Harvard actuellement en vacances d'été à l'étranger.
Ceux qui sont actuellement inscrits à Harvard, l'université la plus ancienne des Etats-Unis et l'une des mieux classées au monde, feront l'objet d'un examen et pourraient voir leurs visas "révoqués", selon la décision annoncée mercredi.
"L'administration Trump fait tout ce qu'elle peut pour anéantir (nos) rêves", dit l'étudiant de 20 ans en physique et sciences politiques. "Trump s'en prend à Harvard parce que cette université est intègre et réfuse de se soumettre à ses exigences illégales et anti-américaines", ajoute-t-il.
Des "pions"
Harvard est sur la ligne de front de la guerre de Donald Trump contre l'enseignement supérieur, l'université ayant entre autres refusé de se soumettre à un contrôle de ses programmes académiques, de son personnel ou de ses étudiants pour maintenir des subventions fédérales.
Washington a déjà amputé d'environ 3 milliards de dollars les subventions de l'université, qui a qualifié mercredi de "représailles" les nouvelles mesures du gouvernement à son égard.
"Je savais que l'été s'annonçait long", résume à l'AFP un étudiant indien de Harvard refusant la publication de son nom par craintes de mesures de rétorsion du gouvernement à son endroit.
"Qu'en est-il des étudiants rentrés chez eux pour l'été? Ils risquent de ne pas pouvoir revenir", déclare un autre étudiant international qui cherche actuellement à renouveler son visa.
Face à ce nouvel uppercut de Trump, Harvard pourrait une fois de plus répondre par la plume de ses avocats.
"Nous pensons que l'Université Harvard va demander une injonction préliminaire devant un tribunal fédéral pour suspendre temporairement" cette nouvelle décision, a déclaré Khensani Mathebula, avocate spécialisée en immigration au caninet Laura Devine. "Simultanément, l'université devra agir rapidement" pour protéger ses étudiants internationaux, précise-t-elle.
Pour Olivia Data, étudiante en 4e année en sciences politiques à Harvard, qui a plusieurs amis étudiants étrangers, "cette nouvelle est déchirante et effrayante".
"Nos amis et camarades de classe sont utilisés comme des pions dans la prise de pouvoir d'un dictateur", alerte-t-elle. "Aucun d'entre nous ne sait où cela mènera, ni si notre université pourra protéger ses étudiants dans le système politique actuel".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Premier jour de délibérations des jurés au procès Weinstein
Douze jurés ont commencé jeudi leurs délibérations au tribunal de New York pour trouver un verdict au procès de l'ancien producteur de cinéma et roi d'Hollywood Harvey Weinstein. Il est rejugé pour agressions sexuelles et viol.
Les jurés, qui se sont retirés à huis clos vers 11h40 locales (17h40 en Suisse), ont planché sur le dossier jusqu'à environ 16h30 (22h30) et reprendront vendredi matin.
Ils ont demandé jeudi en fin de journée à disposer de plusieurs pièces du dossier, notamment les retranscriptions des témoignages de deux des trois accusatrices durant le procès.
Après six semaines de débats, le jury doit décider à l'unanimité si le roi déchu du cinéma indépendant, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sexuelles sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley en 2006 et sur l'ex-mannequin Kaja Sokola la même année, en les forçant à subir un cunnilingus, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann.
Les trois femmes ont témoigné à visage découvert pendant plusieurs jours pour raconter comment Harvey Weinstein leur avait imposé une relation sexuelle, après les avoir attirées dans son appartement ou une chambre d'hôtel à New York.
"Promotion canapé"
"Il a violé trois femmes, elles ont toutes dit non!", a martelé une dernière fois la procureure Nicole Blumberg lors de son réquisitoire final mercredi. "Dites-lui ce qu'il sait déjà, qu'il est coupable des trois crimes", a-t-elle lancé.
La défense a tout fait pour discréditer les victimes présumées, en pointant des incohérences et surtout en soulignant qu'elles avaient continué de fréquenter le magnat du cinéma indépendant après les agressions alléguées.
Lors d'une dernière plaidoirie, l'avocat Arthur Aidala a assuré que les relations sexuelles étaient consenties, dans une logique de "promotion canapé" entre de jeunes femmes qui "utilisent leur beauté, leur charmes" et un homme plus âgé qui pouvait leur ouvrir des portes dans l'univers du spectacle.
Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et d'innombrables succès ("Sexes, mensonges et vidéo", "Shakespeare in Love"), avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo contre les violences sexuelles.
Les enquêtes en octobre 2017 du New York Times et du New Yorker sur le tout puissant producteur, dont les films ont été auréolés de dizaines d'Oscars, avaient provoqué une onde de choc planétaire, libérant la parole de nombreuses victimes et contraignant les sociétés à de profondes remises en question sur la place des femmes.
Voisin de P. Diddy
Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé tout le procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.
Le procès s'est donc rejoué depuis mi-avril devant la cour pénale de Manhattan, mais dans une plus grande indifférence qu'en 2020, quand des manifestations avaient lieu chaque jour au pied du tribunal contre les violences sexuelles.
L'avocat d'Harvey Weinstein a assuré que ce contexte jouera en faveur de son client, alors que se déroule, dans un bâtiment voisin, le procès devant la justice fédérale du magnat du hip-hop P. Diddy pour trafic sexuel.
Diminué par de nombreux problèmes de santé, toujours détenu à cause d'une autre condamnation pour crimes sexuels en Californie, Harvey Weinstein, 73 ans, a comparu chaque jour sur une chaise roulante, le teint pâle.
Il n'a pas pris la parole pour se défendre mais a prononcé quelques mots jeudi matin pour "dire merci" au personnel du tribunal et aux agents des forces de l'ordre qui l'ont "traité de manière équitable".
Le procès a aussi porté sur une nouvelle inculpation d'agression sexuelle contre l'ancien mannequin polonaise Kaja Sokola, quand elle avait 19 ans.
A partir de sa chute, Harvey Weinstein a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd. Il n'a jamais reconnu aucune agression, évoquant toujours des relations consenties.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
L'Espagne rejoint le Portugal en finale
La finale de la Ligue des Nations opposera ce dimanche à Munich l’Espagne, tenante du titre, au Portugal. A Stuttgart, la Roja a battu 5-4 une équipe de France qui avait oublié de défendre.
Portés par un Lamine Yamal toujours aussi diabolique, les Espagnols ont su merveilleusement exploiter les largesses des Bleus dans leurs trente derniers mètres. En trois minutes, Nico Williams (22e) et Miquel Merino (25e), sur deux assists de Mikel Oyarzabal, ont donné le ton. Ils ont dévoilé toutes les limites du duo axial formé par Ibrahima Konaté et Clément Lenglet. Les défenseurs de Liverpool et de l’Atlético Madrid ont vraiment été dépassés devant les enchaînements des Champions d’Europe en titre.
Auteur d’un doublé, Lamine Yamal a, bien sûr, répondu présent le soir où il était opposé à Ousmane Dembélé, son grand rival pour la conquête du Ballon d'Or. Mais le joueur du FC Barcelone doit partager les lauriers avec... Unai Simon. Le gardien de l’Athletic Bilbao a, en effet, multiplié les parades face à des Français aussi généreux que naïfs avant de concéder... quatre buts sans que sa responsabilité ne soit engagée.
Introduit peu après l’heure de jeu, Ryan Cherki, qui s’apprête à quitter Lyon, se souviendra à jamais de ces premières minutes sous le maillot des Bleus. Buteur magnifique pour le 5-2 de la 79e, il a délivré deux assists pour illuminer cette fin de match et pour susciter dans le camp français le fol espoir d'une improbable remontada. Didier Deschamps n'a sans doute pas d'autre choix que de lui confier désormais les clés de son équipe. A commencer dès dimanche face à l'Allemagne dans le match pour la 3e place.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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