International
Le Portugal et l'Espagne peinent à venir à bout de plusieurs feux
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L'Espagne et le Portugal tentaient toujours de venir à bout mercredi de plusieurs feux de forêt, notamment dans le centre du Portugal. Le brasier du parc naturel de la Serra da Estrela y mobilisait d'importants moyens.
Le feu de Serra da Estrela, où 90% du périmètre a été déclaré maîtrisé à la mi-journée, continuait de concentrer les efforts "de consolidation" des pompiers, a indiqué le commandant de la protection civile Miguel Cruz lors d'un point de presse en fin de journée.
Sur le terrain plus de 1200 pompiers restaient à pied d'oeuvre, soutenus par huit aéronefs.
Dans l'après-midi, un autre foyer préoccupait les secours dans la région de Caldas da Rainha (centre), où un pompier mobilisé sur le terrain est mort d'une crise cardiaque.
Feux dans la région de Valence
L'Espagne voisine a également été confrontée à une vague de feux de forêt ces dernières semaines favorisés par la hausse des températures, notamment dans la province de Valence (est).
Le feu qui sévit depuis lundi à Bejis, à 70 kilomètres au nord-ouest de Valence, a connu une progression rapide, ravageant plus de 10'000 hectares, et entraîné l'évacuation de 1500 personnes, selon les responsables régionaux.
Quelque 200 kilomètres plus au sud, à Vall de Ebo, la météo a offert un peu de répit aux centaines de pompiers qui combattent un important incendie depuis samedi.
La pluie et la grêle, qui se sont abattus sur une zone où les flammes ont ravagé plus de 11'000 hectares, ont toutefois cloué au sol les avions de lutte contre les incendies et leurs équipes.
Au Portugal, après avoir été déclaré maîtrisé la semaine dernière, l'incendie de la Serra da Estrela s'était à nouveau embrasé lundi. Une enquête a été ouverte pour en déterminer les causes.
Odeur de brûlé à Madrid
Le feu, qui a fait partir en fumée quelque 25.000 hectares de cette zone protégée, selon des estimations provisoires, est déjà le plus important de cet été au Portugal. L'odeur de brûlé avait même été sentie à Madrid mardi.
Ce feu a détruit des espèces uniques dans le parc reconnu par l'Unesco, au coeur de la chaîne de montagnes de la Serra da Estrela culminant à environ 2000 mètres.
Mardi, les habitants du village d'Orjais, au pied des montagnes, avaient vécu des moments d'angoisse alors que les flammes approchaient de leurs maisons.
"C'était le chaos", a confié à l'AFPTV Fatima Cardoso, une habitante de 62 ans, racontant comment les habitants avaient dû lutter contre le feu aux côtés de pompiers complètement débordés.
Retour de la chaleur
L'objectif des pompiers est de parvenir à maîtriser ce feu d'ici vendredi avant que les températures ne remontent à nouveau.
"Nous ne sommes pas encore à bout de cette période critique d'incendies", a prévenu mercredi José Luis Carneiro, ministre de l'Intérieur, à l'issue d'une réunion avec les responsables de l'Institut portugais de la mer et de l'atmosphère (IPMA).
"Nous allons entrer dans une troisième vague de chaleur" à partir de samedi "qui devrait se prolonger jusqu'en septembre", qui s'annonce comme un "mois plus chaud et plus sec" que la normale, a-t-il affirmé.
Le Portugal, qui connaît cette année une sécheresse exceptionnelle, a déjà connu le mois de juillet le plus chaud depuis près d'un siècle.
Depuis le début de l'année, quelque 92'000 hectares sont partis en fumée, soit la superficie la plus étendue depuis les incendies meurtriers de 2017 qui avaient fait une centaine de victimes, selon le dernier bilan de l'Institut pour la conservation de la nature et des forêts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Coupe de l'America: des nouveautés annoncées
Le Team Alinghi participera finalement aux qualifications de la prochaine Coupe de l'America. Celles-ci, sous le nom de Coupe Louis Vuitton, se dérouleront l'an prochain au large de Naples.
Après des mois de discussions en coulisses, cinq équipes ayant participé à la dernière Coupe de l'America ont annoncé la création d'une alliance inédite et surtout l'organisation de la compétition tous les deux ans seulement, une petite révolution. Depuis sa première édition en 1851, la course à l'aiguière d'argent s'est toujours déroulée à un rythme erratique, au bon vouloir du tenant du titre qui, une fois le trophée en main, décide du calendrier et des règles de l'édition suivante.
Mais dans la continuité d'annonces récentes visant à moderniser l'image de la course - équipage mixte, plafonnement des budgets à 75 millions d'euros par campagne - le "Defender" Team New Zealand a détaillé lundi de nouveaux engagements. Pour une meilleure visibilité, l'épreuve reine devient officiellement biannuelle à partir de l'édition 2027, qui aura lieu à Naples.
"Entité unifiée"
Par ailleurs, changement majeur dans l'histoire de cette compétition âgée de 174 ans, l'organisation des prochaines éditions n'est plus seulement à la charge du "Defender". Elle sera confiée à une "entité unifiée", alliance inédite entre équipes fondatrices qui auront toutes voix au chapitre pour participer à la "croissance" et à la "stabilité à long terme" de la compétition.
"Cette alliance veillera à ce que la Coupe de l'America reste le terrain de jeu ultime pour les meilleurs marins du monde et les prouesses technologiques", s'est réjoui Ben Ainslie, directeur d'Athena Racing, premier défi lancé aux Kiwis en vue de 2027.
À ce stade, cinq écuries font partie du partenariat: Team New Zealand (NZL), Athena Racing (GBR), Luna Rossa (ITA), Team Alinghi (SUI) et K-Challenge (FRA). Elles collaboreront toutes au sein d'une structure de gouvernance indépendante.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Plan pour l'Ukraine: la Russie fait état de "lents progrès"
La Russie a fait état lundi de "lents progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis sur le plan visant à mettre fin à la guerre en Ukraine. Moscou dénonce toutefois les "tentatives malveillantes" de certains pays de faire échouer les pourparlers.
"On observe des progrès lents. Ils s'accompagnent de tentatives extrêmement néfastes et malveillantes d'un groupe influent d'États visant à torpiller ces efforts et à faire dérailler le processus diplomatique", a déclaré le vice-ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Riabkov, cité par les agences de presse russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Slalom d'Alta Badia: Loïc Meillard troisième
Loïc Meillard a pris la troisième place du slalom Coupe du monde d'Alta Badia. Le Suisse n'a été devancé que par le Norvégien Atle Lie McGrath et le Français Clément Noël.
Déjà troisième après le parcours initial, Meillard a montré une belle constance pour maintenir son rang en finale. Il lui a manqué 0''39 par rapport au vainqueur, qui l'a emporté avec 0''30 sur Noël, qui avait réalisé le meilleur temps de la 1re manche.
Trois autres Helvètes ont inscrit des points dans la station italienne. Tanguy Nef a pris une belle septième place, alors que Daniel Yule (26e) et Matthias Iten (27e) ont aussi terminé dans le top 30.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Nokia France: vers la suppression de 421 postes
La branche française de l'équipementier finlandais de télécommunications Nokia a signé un accord avec deux syndicats en vue de supprimer 421 postes, ont indiqué lundi à l'AFP plusieurs sources syndicales.
Les syndicats CFDT et CFE-CGC, majoritaires, ont approuvé le 19 décembre un plan de rupture conventionnelle collective (RCC), qui concerne 78 postes sur le site de Lannion (Côtes-d'Armor) et 343 postes sur les sites de Paris-Saclay, en région parisienne.
Les RCC, qui n'ont pas à être justifiées par des motifs économiques, doivent nécessairement obtenir l'approbation des représentants du personnel pour être mises en oeuvre.
"Les suppressions d'emplois ne sont jamais une bonne nouvelle" même si ce plan peut constituer "une opportunité" pour les salariés les plus anciens, a commenté auprès de l'AFP Olivier Marcé, délégué syndical central CFE-CGC.
Pour ce représentant du personnel, l'enjeu est de "rajeunir la moyenne d'âge de la société".
Les salariés pourront se porter volontaire au départ à partir de début janvier 2026 jusqu'à fin juin, a précisé M. Marcé, ajoutant que l'accord devait encore être validé par la direction du travail.
Cette réduction d'effectifs concerne plus de 18% des quelque 2.300 salariés de Nokia en France.
Le syndicat CGT, qui n'a pas signé l'accord, a de son côté dénoncé dans un tract "une stratégie de démantèlement qui sacrifie l'emploi".
La rupture conventionnelle collective est devenue "un outil presque routinier de gestion des effectifs, permettant d'enchaîner les réductions sans jamais interroger la stratégie industrielle", a fustigé l'organisation syndicale, qui avait signé les deux RCC précédentes, en 2023 et 2024.
"On ne peut plus accompagner ce genre de procédés", a complété un délégué syndical central CGT.
Sollicitée par l'AFP, la direction de Nokia France n'avait pas réagi dans l'immédiat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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