International
Cerné par les manoeuvres, Taïwan fustige un "voisin malveillant"
Taïwan a fustigé vendredi son "voisin malveillant" au deuxième jour des plus grands exercices militaires jamais organisés autour de l'île par la Chine. Cette dernière reste insensible aux protestations outrées des Etats-Unis et de leurs alliés.
Pékin a tiré jeudi des missiles balistiques et déployé son aviation et sa marine de guerre dans six zones maritimes autour de Taïwan, s'approchant jusqu'à 20 km des côtes et perturbant des routes commerciales parmi les plus fréquentées du monde.
Des exercices lancés par Pékin afin d'exprimer sa colère après la visite à Taipei de la présidente de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi. La Chine a également dit mettre fin à la coopération avec les États-Unis sur de multiples dossiers.
Provocation majeure
La Chine continentale, qui considère que Taïwan fait partie de son territoire, a perçu cette visite comme une provocation majeure.
Mme Pelosi s'est "gravement ingérée dans les affaires intérieures de la Chine et a porté atteinte à sa souveraineté et à son intégrité territoriale", a dénoncé le ministère des Affaires étrangères, qui a annoncé "imposer des sanctions" contre elle et sa "famille proche", sans donner de détails.
Nombreux "avions et navires de guerre"
Les exercices doivent se poursuivre jusqu'à dimanche midi. Vendredi, Taipei a affirmé que de nombreux "avions et navires de guerre" avaient franchi en fin de matinée la "ligne médiane" du détroit de Taipei, qui sépare l'île du continent.
A Pingtan, une île chinoise située non loin des manoeuvres en cours, des journalistes de l'AFP ont aperçu vendredi à la mi-journée un avion de chasse dans le ciel.
"On n'a peur de personne"
Portant des parapluies pour se protéger d'un soleil de plomb, des touristes tentaient de prendre en photo l'appareil tandis qu'au loin, dans le détroit de Taïwan, on apercevait un navire militaire chinois.
"On espère qu'on pourra se réunifier avec Taïwan bientôt. On n'a peur de personne, notre pays est puissant", a confié l'un d'eux, M. Liu, 40 ans, venu de la province du Zhejiang (est).
Non loin de lui, Mme Wang, vêtue de jaune, était du même avis: "J'espère que la Chine pourra bientôt réintégrer Taïwan, mais je ne veux pas de guerre. J'espère que ce problème pourra être réglé pacifiquement, car nous les Chinois, nous sommes amicaux".
"Il faut que la Chine montre sa force maintenant", estimait un autre touriste, M. Zhou, 40 ans. Même si "nous aimons la paix".
"Plus de 100 avions de guerre"
Selon l'agence officielle Chine nouvelle, l'Armée populaire de libération a "fait voler plus de 100 avions de guerre, y compris des chasseurs et des bombardiers", de même que "plus de 10 destroyers et frégates" jeudi. La chaîne publique CCTV a affirmé que des missiles chinois avaient même survolé Taïwan pour la première fois.
Le gouvernement taïwanais a lui indiqué que l'armée chinoise avait lancé 11 missiles balistiques de classe Dongfeng. Le Japon en a dénombré neuf, dont quatre "auraient survolé l'île principale de Taïwan".
Pékin "surréagit"
"Nous ne nous attendions pas à ce que notre voisin malveillant fasse étalage de sa puissance à notre porte, et mette arbitrairement en péril les voies navigables les plus fréquentées du monde par ses exercices militaires", a déclaré à la presse le Premier ministre taïwanais, Su Tseng-chang.
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a fustigé vendredi les manoeuvres chinoises, "des provocations" qui représentent "une escalade importante" des tensions aux yeux des Etats-Unis, qui accusent Pékin d'avoir "choisi de surréagir" à la visite de Nancy Pelosi.
Washington a prévenu que son porte-avions USS Reagan continuerait à "surveiller" les environs de l'île mais a reporté un test de missile intercontinental pour éviter d'aggraver la crise.
La Chine "a utilisé la visite de la présidente de la Chambre des représentants comme prétexte afin d'accroître ses opérations militaires provocatrices dans et autour du détroit de Taïwan", a estimé le porte-parole de la Maison Blanche pour les questions stratégiques, John Kirby. Les tensions "peuvent baisser très facilement si les Chinois arrêtent ces exercices militaires très agressifs", a-t-il ajouté.
Tokyo proteste
Le Japon a exprimé une protestation diplomatique formelle contre Pékin, estimant que cinq des missiles chinois étaient tombés à l'intérieur de sa zone économique exclusive (ZEE). "Nous appelons à l'arrêt immédiat des exercices militaires", a déclaré le Premier ministre nippon Fumio Kishida.
A Tokyo, dernière étape de sa tournée asiatique mouvementée, Mme Pelosi a affirmé que les Etats-Unis "ne permettront pas" à la Chine d'isoler Taïwan, assurant que ce déplacement "ne visait pas à changer le statu quo ici en Asie, à changer le statu quo à Taïwan".
"Précédent fâcheux"
Mais le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a déclaré à Phnom Penh, en marge d'un sommet régional jeudi, que la "provocation flagrante" des États-Unis avait créé un "précédent fâcheux".
"Si (cette provocation) n'est pas corrigée et contrée, le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures existera-t-il toujours? Le droit international sera-t-il toujours respecté?" a-t-il déclaré, selon Chine nouvelle.
Les manoeuvres empiètent sur certaines des routes maritimes les plus fréquentées de la planète, par lesquelles des équipements électroniques essentiels provenant des usines d'Asie de l'Est sont acheminés vers les marchés mondiaux.
Le Bureau maritime et portuaire de Taïwan a mis en garde les navires passant dans cette zone et plusieurs compagnies aériennes internationales ont indiqué à l'AFP dérouter leurs vols pour éviter l'espace aérien autour de l'île.
Les analystes s'accordent à dire que, malgré ces exercices militaires, Pékin ne souhaite pas pour l'instant une confrontation armée. "La dernière chose que Xi souhaite est le déclenchement d'une guerre accidentelle", commente à l'AFP Titus Chen, professeur associé de sciences politiques à l'Université nationale Sun Yat-Sen de Taïwa
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une femelle albatros en passe de donner vie à 74 ans
Wisdom, une femelle albatros de plus de 70 ans, a pondu un oeuf sur une île du Pacifique. Elle devrait ainsi devenir l'oiseau sauvage le plus âgé jamais recensé à donner vie, selon les services fédéraux américains de protection de la faune.
Le Fish and Wildlife Service a annoncé la nouvelle sur son compte Facebook avec des photos et vidéos de Wisdom aux côtés de son nouveau partenaire. On y voit le couple d'albatros de Laysan roucouler autour de l'oeuf pondu le 27 novembre et qui doit éclore dans quelques semaines.
"Nous sommes optimistes quant à l'éclosion de l'oeuf", a dit le biologiste Jonathan Plissner.
Chaque année, Wisdom revient sur les îles Midway, en plein coeur du Pacifique, au nord d'Hawaï, pour pondre et nicher. Les scientifiques estiment qu'elle a pondu plus de 50 oeufs dans sa vie.
Pendant des décennies, elle a eu le même partenaire, ces grands oiseaux marins étant connus pour leur monogamie.
Mais ce dernier n'a pas été vu depuis des années, et Wisdom s'est tournée vers d'autres albatros.
Elle a été baguée après avoir pondu son premier oeuf, en 1956, alors qu'elle avait au moins cinq ans, l'âge de la maturité sexuelle chez les albatros.
Elle aura donc au moins 74 ans d'ici la fin du mois, mais elle pourrait aussi être bien plus âgée, ce qui fait d'elle l'oiseau sauvage le plus âgé jamais recensé.
Le deuxième albatros le plus âgé sur les îles Midway a 45 ans, a souligné le biologiste, ajoutant que Wisdom "est unique".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Premier ministre géorgien assure "gagner" face aux manifestants
Des milliers de manifestants géorgiens pro-UE se sont rassemblés vendredi pour la neuvième journée consécutive contre la décision du Premier ministre de suspendre les négociations d'adhésion à l'UE. Ils ont été dispersés au canon à eau par la police.
La police anti-émeute est intervenue devant le bâtiment du parlement, utilisant des canons à eau et procédant à des arrestations alors que la foule se repliait à quelques mètres de la zone, a constaté un journaliste de l'AFP.
Des milliers de manifestants pro-européens avaient de nouveau défié le Premier ministre qui affirme être en train de "gagner" son bras de fer contre les protestataires accusant le pouvoir de freiner les ambitions européennes de ce pays du Caucase.
Avec l'arrestation de plusieurs figures de partis d'opposition, Irakli Kobakhidzé s'est aussi félicité de voir le ministère de l'Intérieur "neutraliser avec succès les protestataires".
La Géorgie traverse une grave crise politique depuis les législatives du 26 octobre, remportées par le parti au pouvoir du Rêve géorgien, mais dénoncées comme truquées par ses opposants.
La décision du gouvernement d'Irakli Kobakhidzé - accusé de dérive autoritaire pro-russe par ses détracteurs - de suspendre jusqu'en 2028 la question des pourparlers pour rejoindre l'UE n'a fait qu'aggraver les tensions.
Chaque soir
Des milliers de Géorgiens descendent depuis dans la rue chaque soir pour des manifestations, émaillées de violences opposant les protestataires, équipés de feux d'artifice, et les policiers armés de canon à eau et de gaz lacrymogène.
L'opposition accuse le gouvernement de tenter d'enterrer les ambitions d'intégration à l'UE, bien que cet objectif, soutenu par 80% de la population selon des sondages, soit inscrit dans la Constitution.
Elle accuse aussi les autorités de vouloir tourner le pays vers la Russie et d'essayer d'effrayer la population en invoquant un risque de guerre, comme en Ukraine, alors que 20% de la Géorgie est de facto sous le contrôle de Moscou depuis une invasion russe en 2008.
La foule était moins importante vendredi que les nuits précédentes, mais les protestataires insistent que leur mouvement spontané sans réelles figures de proue ni structure est loin de s'essouffler.
"Nous nous battons pour notre liberté", a déclaré Nana, étudiante en médecine de 18 ans, enveloppée dans un drapeau géorgien. "Nous n'allons pas céder".
D'autres manifestations ont eu lieu devant le siège de la radio publique géorgienne - accusée de servir d'outil de propagande gouvernementale, le ministère de l'Éducation et les bureaux de l'administration du tourisme.
Shalva Alaverdashvili, fondateur de la fédération hôtelière du pays, a déclaré à l'AFP que la suspension "inattendue et inacceptable" des négociations d'adhésion à l'UE a des conséquences graves pour le secteur du tourisme du pays, qui représente 7% du PIB national.
Des milliers de personnes se sont également rassemblées à Batoumi, deuxième ville du pays, sur la côte de la mer Noire.
Un tribunal de Tbilissi a placé en détention provisoire vendredi soir un jeune militant de 19 ans, Zviad Tsetskhladze, arrêté lors des manifestations pour "avoir organisé, dirigé et participé à des violences en groupe".
"La démocratie en Géorgie n'existe plus. L'État de droit a été écrasé", a-t-il déclaré devant le juge.
"Nos actions sont une forme de résistance visant à préserver l'État de droit, à défendre la démocratie et à protéger les droits de chaque individu".
"Neutralise avec succès"
Cette nouvelle mobilisation intervient alors que M. Kobakhidzé a affirmé vendredi avoir "remporté une bataille importante contre le libéralo-fascisme" en Géorgie, terme qu'il emploie pour qualifier ses opposants.
Le parti au pouvoir "n'a plus le pouvoir ou les ressources pour faire face au peuple", a soutenu vendredi à l'AFP le leader du parti d'opposition Lelo, Mamouka Khazaradzé.
Le 14 décembre, un collège de grands électeurs doit élire le nouveau président du pays, issu du camp du Premier ministre, pour remplacer à partir du 29 décembre la pro-occidentale et très critique du gouvernement Salomé Zourabichvili.
Si le chef de l'Etat a des prérogatives limitées, Mme Zourabichvili, une ancienne diplomate française, s'est cependant imposée comme la voix des manifestants au sein des institutions.
Elle a annoncé qu'elle refusait de quitter ses fonctions tant que le gouvernement n'aurait pas organisé de nouvelles législatives.
Outcha, un médecin de 42 ans qui manifeste depuis une semaine, ne s'inquiète pas dans ce contexte de la baisse de la mobilisation des derniers jours.
"Bien sûr qu'on est tous un peu fatigués", dit-il à l'AFP, préférant ne pas donner son nom de famille par crainte de représailles.
"On a besoin d'un peu de repos et puis on y retournera", poursuit-il.
Dirigeants incarcérés
Quelque 300 personnes ont été arrêtées depuis le début du mouvement, selon les chiffres officiels. Le médiateur géorgien pour les droits de l'homme, Levan Iosseliani, a de son côté accusé la police de "torture".
Le chef du parti d'opposition Akhali, Nika Gvaramia, a notamment été battu lors de son arrestation devant les caméras de télévision.
Vendredi, il a été condamné à 12 jours de prison.
Le dirigeant du groupe d'opposition Géorgie forte, Alexandre Elisachvili, a été placé en détention provisoire pour deux mois.
Les Etats-Unis et l'Union européenne ont dénoncé cette répression, et Washington a menacé d'adopter de nouvelles sanctions.
Les ministres des Affaires étrangères de la France, de l'Allemagne et de la Pologne ont condamné "fermement" vendredi soir "l'usage disproportionné de la force contre les manifestants pacifiques" en Géorgie et dénoncent "le ciblage de l'opposition et des représentants des médias".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
250 suppressions de postes chez Canal+, selon l'intersyndicale
Quelque 250 postes vont être supprimés dans le groupe Canal+, dont 150 en lien avec la fin de sa chaîne C8 le 28 février, a indiqué vendredi l'intersyndicale de la filiale de Vivendi. Celle-ci se trouve dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré.
Lors d'un comité social et économique (CSE) réuni vendredi, "les élus de Canal+ ont appris avec consternation le choix de la direction de faire un plan social, concernant 150 postes (CDI, CDD, pigistes et intermittents) liés à l'arrêt de la chaîne C8 et 100 autres additionnels" au sein du groupe, détaille l'intersyndicale CGT, CFE-CGC, CFDT et +Libres (syndicat autonome) dans un communiqué.
"Nous sommes en total désaccord avec ces décisions. De plus, aucun argument économique ne justifie ce plan social +additionnel+" de 100 personnes, estiment ces organisations.
Sollicitée par l'AFP, la direction du groupe n'avait pas encore réagi vendredi soir.
L'intersyndicale a indiqué demander "à la direction de revenir sur ces décisions" et se réserve "la possibilité de les contester syndicalement".
Ces suppressions de postes interviennent au lendemain de l'annonce par le groupe Canal+ du retrait à partir de juin 2025 de ses quatre chaînes payantes sur la TNT (Canal+, Canal+ Cinéma, Canal+ Sport, Planète), en réaction également au non-renouvellement de la fréquence de C8 et à "un environnement fiscal et réglementaire de plus en plus contraignant".
La décision en juillet du régulateur de l'audiovisuel, l'Arcom, sur C8 avait provoqué une déflagration dans l'audiovisuel, certains y voyant une forme de censure, d'autres manifestant leur satisfaction.
Hanouna
En évinçant C8, qui cumule 7,6 millions d'euros d'amende en raison des dérapages de l'animateur Cyril Hanouna, le régulateur avait envoyé un signal aux chaînes sur la nécessité de respecter leurs obligations, en matière de maîtrise de l'antenne notamment.
L'Arcom doit finaliser dans les prochains jours le processus de réattribution de 15 fréquences TNT en 2025, dont C8 a été exclu.
Mobilisée comme tout l'empire Canal+, C8 a lancé début novembre une pétition en ligne pour demander son maintien, qui a rassemblé plus de 970'000 signatures.
L'annonce d'un plan social survient également trois jours avant une assemblée générale décisive pour le projet de scission de Vivendi en quatre entités indépendantes, dont la société Canal+.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Descente de Beaver Creek: Murisier surprend Odermatt
Doublé suisse lors de la descente de Coupe du monde de Beaver Creek! Justin Murisier a signé son premier succès en devançant de 0''20 son pote Marco Odermatt.
Tout vient à point à qui sait attendre. Les spécialistes imaginaient une première victoire de Justin Murisier il y a bien longtemps, lui qui est membre du Cirque blanc depuis 2010. Mais il y a eu des blessures, des doutes, trop de fougue et de multiples autres facteurs qui ont freiné la progression du Bagnard, auteur d'un unique podium en Coupe du monde, une 3e place en géant - sa discipline de base - décrochée voici quatre ans en géant à Alta Badia.
Alors voir le Valaisan remporter sa première victoire en Coupe du monde en descente a quelque chose d'un peu irréel. Pas que Murisier n'en était pas capable, mais il ne faut pas perdre de vue que ce dernier n'a commencé la descente qu'en 2021. Parti avec le dossard 3, le Bagnard a été bon dans tous les secteurs. Fluide sur le haut dans le secteur de glisse, précis dans les passages techniques, Murisier a été le meilleur, tout simplement. Même meilleur qu'Odermatt.
"Débarrassé" d'Aleksander Aamodt Kilde, vainqueur des quatre dernières courses dans le Colorado (2 descentes et 2 Super-G) mais malheureusement blessé, Marco Odermatt a donc trouvé son maître au sein de sa propre équipe. Très offensif, le Nidwaldien n'a pas ménagé ses efforts. Après 1'17, le patron de la Coupe du monde était même devant, mais il a commis quelques imprécisions dans la partie finale. Le podium est complété par Miha Hrobat à 0''35.
Justin Murisier rejoint au palmarès des vainqueurs suisses en descente à Beaver Creek des grands noms tels que Franz Heinzer, Peter Müller, Carlo Janka, Patrick Küng et Beat Feuz.
Trois autres Suisses sont pour l'heure encore dans le top 15. Stefan Rogentin et Alexis Monney sont ex-aequo à la 11e place, tandis que Marco Kohler occupe le 13e rang.
Cela s'est moins bien passé pour Franjo von Allmen, seulement 21e.
Point noir dans le camp helvétique, la chute d'Arnaud Boisset. Le Valaisan a violemment heurté la neige avec la tête avant de partir dans les filets. Il a été descendu en luge.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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