Économie
Les Etats-Unis pourraient se trouver à court de liquidités en août

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Le gouvernement américain pourrait se retrouver à court de liquidités au mois d'août, faute de suspension ou de relèvement du plafond de la dette par le Congrès, a prévenu vendredi le secrétaire au Trésor Scott Bessent.
Dans une lettre adressée au président de la Chambre des représentants, le républicain Mike Johnson, le ministre a invité les élus à écarter ce risque par un texte voté avant les vacances parlementaires, qui débutent le 24 juillet.
La première économie mondiale a atteint en janvier le seuil au-delà duquel il lui est, en principe, interdit d'emprunter pour se financer.
Mais le Trésor a alors pris des "mesures extraordinaires", temporaires, pour geler des dépenses et permettre au gouvernement d'honorer ses échéances existantes.
"Il y a une probabilité raisonnable que les liquidités et les mesures extraordinaires soient épuisées en août", a averti le secrétaire au Trésor.
Les élus républicains, majoritaires dans les deux chambres du Congrès, ne sont pas encore parvenus à s'entendre sur les modalités techniques d'une suspension ou d'un relèvement du plafond de la dette.
"Je presse, respectueusement, le Congrès de hausser ou suspendre la limite de la dette d'ici mi-juillet (...) pour préserver la crédibilité et la confiance (de la communauté internationale et des investisseurs) envers les Etats-Unis", a exhorté Scott Bessent.
Fin mars, le service du budget au Congrès (CBO) avait déjà prévenu que les Etats-Unis risquaient de se retrouver en défaut de paiement en "août ou septembre 2025" faute d'accord parlementaire.
La première économie mondiale n'a encore jamais connu de défaut de paiement, un événement qui aurait des conséquences catastrophiques pour les Etats-Unis.
Longtemps traité comme un sujet non partisan, le plafond de la dette est devenu un instrument politique au milieu des années 90 et a été à l'origine d'impasses qui ont mis les Etats-Unis au bord de la cessation de paiement plus d'une fois.
"Des épisodes passés ont montré qu'attendre la dernière minute pour suspendre ou relever la limite de la dette pouvait avoir des conséquences négatives sérieuses pour les marchés financiers, les entreprises et le gouvernement fédéral", a écrit Scott Bessent.
Après l'une de ces crises, durant l'été 2011, l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's avait décidé d'abaisser la note des Etats-Unis, privée du prestigieux AAA.
"L'incapacité" éventuelle à voter un texte d'ici août "sèmerait le chaos dans notre système financier et affaiblirait la sécurité et le standing des Etats-Unis", a insisté le ministre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Léger rebond des prix à la production et à l'importation en avril
Les prix à la production et à l'importation (PPI) ont poursuivi leur ascension en avril enregistrant une hausse de 0,1% par rapport au mois dernier. En glissement annuel, le niveau des prix a ralenti de 0,5%.
L'indice PPI calculé par l'Office fédéral de la statistique (OFS) s'établit désormais à 106,9 points, soit 6,9 points au-dessus de son niveau de référence de décembre 2020. Ce renchérissement est dû essentiellement à la production autochtone (+0,2%), tiré par les prix des machines(+1,1%). Des hausses ont aussi été constatées dans les produits pétroliers (+3,2%), les équipements électriques (+0,4%) et la viande et produits carnés (+1,2%).
Les prix des produits importés sont, eux, restés stables, les baisses de prix dans les hydrocarbures (-6,2%), le kérosène (-5,9%), l'aluminium brut (-6,8%), les ordinateurs portables (-4,6%) et le café vert (-3,3%) ayant compensé le renchérissement des machines (+1,3%), de l'essence (+6,0%), des instruments et fournitures à usage médical et dentaire (+2,0%) ainsi que les meubles (+1,2%).
Sur un an, les prix à l'importation ont reculé de 1,8%, tandis que ceux à la production n'ont pas bougé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La croissance accélère en Suisse début 2025
La croissance économique a accéléré en Suisse au premier trimestre 2025, le produit intérieur brut (PIB) augmentant de 0,7% par rapport au trimestre précédent, après +0,5% au dernier partiel 2024, a annoncé jeudi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats
Économie
Royaume-Uni: le PIB progresse de 0,7% au premier trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a progressé de 0,7% au premier trimestre, a annoncé jeudi l'Office national des statistiques (ONS).
La croissance, enregistrée juste avant des hausses d'impôts sur les entreprises et l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump, s'est révélée supérieure aux attentes.
La progression du PIB s'explique "en grande partie grâce aux services, bien que la production ait également progressé de manière significative, après une période de ralentissement", a commenté la directrice des statistiques économiques de l'ONS, Liz McKeown. Le consensus des analystes interrogés par l'agence Bloomberg tablait sur une croissance plus modeste de 0,6%.
Cette hausse est une bonne nouvelle pour le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet dernier et qui a fait de la croissance économique sa priorité, mais s'est heurté pendant des mois à une économie en stagnation. "Au cours des trois premiers mois de l'année, l'économie britannique a connu une croissance plus rapide que celle des États-Unis, du Canada, de la France, de l'Italie et de l'Allemagne", s'est félicitée la ministre britannique des Finances Rachel Reeves dans un communiqué.
"Dans un contexte d'incertitude mondiale, nous faisons aujourd'hui les bons choix dans l'intérêt national", a-t-elle affirmé, évoquant notamment l'arrangement commercial signé avec les Etats-Unis pour échapper partiellement aux droits de douane de Donald Trump ou l'accord de libre-change tout juste conclu avec l'Inde.
L'embellie économique du Royaume-Uni devrait cependant n'être que limitée: les entreprises sont déjà confrontées, sur le deuxième trimestre, aux fortes hausses de cotisations patronales décidées par le gouvernement, mais aussi à l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump sur les produits du monde entier.
"Malgré l'accord commercial conclu la semaine dernière avec les États-Unis", les taxes américaines sur les produits britanniques "restent nettement plus élevées qu'avant le mois d'avril", relève Yael Selfin, analyste chez KPMG. La dynamique économique devrait selon lui "ralentir de manière significative au cours des prochains trimestres, augmentant la probabilité que le gouvernement n'atteigne pas ses objectifs budgétaires" et soit contraint d'annoncer de nouvelles coupes.
Estimant que les surtaxes douanières américaines étaient susceptibles de faire ralentir l'inflation britannique et de freiner l'activité économique dans le pays, la Banque d'Angleterre a d'ores et déjà abaissé la semaine passée son principal taux directeur d'un quart de point de pourcentage, à 4,25%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Bond des investissements étrangers en Suisse l'année dernière
Alors que l'Europe peine à convaincre, la Suisse séduit de plus en plus les investisseurs étrangers. Les projets ont ainsi augmenté de près d'un quart (24,7%) sur un an en 2024, selon une étude publiée jeudi par le géant de l'audit et du conseil EY.
Les investissements directs étrangers en Suisse ont considérablement augmenté en 2024, passant de 89 à 111 en un an, précise un communiqué diffusé jeudi. Cette progression semble s'inscrire dans une tendance, puisque les projets étaient au nombre de 58 en 2022.
Les Etats-Unis ont fortement contribué à la progression enregistrée l'année dernière, en témoignent les 27 projets recensés, ce qui représente une envolée de 69% et la création de 131 emplois. Le pays de l'Oncle Sam est désormais le plus grand investisseur sur territoire helvétique, derrière la France et l'Italie. Les entreprises allemandes ont pris le chemin inverse, réduisant drastiquement (-41%) les projets à 14, pour 123 emplois crées.
Les sociétés suisses ne sont pas en reste et accentuent leur présence sur le Vieux Continent. En 2024, les investissements helvétiques en Europe se sont enrobés de 4,7% à 247, ce qui a permis d'y créer 11'872 emplois, selon le décompte de l'European Attractiveness Survey. La France (57 projets pour 1149 emplois), l'Allemagne (47 projets, 4426 emplois) et le Royaume-Uni (22 projets, 611 emplois) figurent dans le trio de tête.
La Suisse est ainsi le sixième investisseur en Europe, un classement dominé par les Etats-Unis (942 projets et 58'144 emplois).
Malgré cela, les investissements étrangers en Europe se sont tassés l'année dernière de 5% à 5388 projets.
Pour établir son étude, EY ne prend en considération que les investissements créateurs d'emplois et exclue ainsi les opérations de fusions-acquisitions et les placements en portefeuille.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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