International
Les ventes de Mattel affectées par la baisse des commandes
Le fabricant de jouets Mattel est passé dans le rouge au premier trimestre. Les ventes ont pâti de la gestion par les magasins de leurs stocks après plusieurs trimestres perturbés par des difficultés d'approvisionnement.
Le chiffre d'affaires de l'entreprise a chuté de 22% à 815 millions de dollars, restant malgré tout au-dessus des attentes des analystes. Les problèmes dans les chaînes d'approvisionnement apparus pendant la pandémie ont fortement perturbé les livraisons, poussant certains commerçants à gonfler par précaution leurs commandes afin de s'assurer d'avoir en rayons suffisamment de poupées Barbie, de petites voitures Hot Wheels et autres jeux de sociétés pour les fêtes de fin d'année.
Mais entre le ralentissement économique et la forte inflation, les ventes n'ont pas été aussi bonnes que prévu fin 2022. Résultat: les magasins avaient "des stocks importants en début d'année", a expliqué Ynon Kreiz, le PDG de Mattel, lors d'une conférence téléphonique.
Les résultats du groupe pâtissent par ailleurs "de la comparaison avec le même trimestre en 2022", quand les gérants de magasins avaient passé d'importantes commandes très tôt pour Noël afin d'avoir suffisamment de stocks en temps voulu, a-t-il ajouté. Les ventes de Mattel devraient encore souffrir de la gestion par les commerçants de leurs inventaires au deuxième trimestre mais la situation devrait ensuite se stabiliser, a avancé le responsable.
"Nous devrions revenir aux tendances historiques de livraisons au second semestre", a dit M. Kreiz. Le groupe mise aussi sur la sortie du film Barbie, dont la sortie est prévue le 21 juillet.
Mattel a maintenu ses prévisions pour l'ensemble de l'année. Au premier trimestre, le groupe a enregistré une perte nette de 106 millions de dollars, contre un bénéfice de 21 millions sur la même période en 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Football
Une deuxième chance pour la Fiorentina
La Fiorentina jouera à nouveau la finale de la Conférence League. Les Italiens se sont qualifiés grâce à leur nul 1-1 à Bruges après avoir enlevé 3-2 le match aller.
Les "bourreaux" du FC Bâle de l’an dernier ont dû attendre la 84e minute et un penalty transformé par l’Argentin Lucas Beltran pour forcer la décision. Les Belges avaient ouvert le score à la 20e par leur capitaine Hans Vanaken.
Les Florentins méritent leur qualification dans la mesure où leur emprise fut très marquée après le repos. Mais ils peuvent aussi remercier leur gardien Pietro Terracciano, auteur d’une parade décisive dans le temps additionnel sur une tête de Vanaken.
En finale le 29 mai au stade du AEK Athènes, la Fiorentina affrontera le vainqueur de la confrontation entre Olympiakos et Aston Villa. Les Grecs ont gagné 4-2 le match aller. Les Italiens auront à c½ur d’effacer leur défaite face à West Ham lors de la finale 2023.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Climeworks inaugure une seconde usine de captage de CO2 en Islande
Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks. Elle décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.
Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.
Entourés par des montagnes, douze conteneurs ont commencé ces derniers jours à ventiler de l'air pour en extraire le CO2 grâce à un procédé chimique, alimenté par la chaleur issue de la centrale géothermique voisine ON Power.
D'ici la fin de l'année, 72 unités seront installées autour de l'usine qui compresse ensuite le gaz et le dissout dans de l'eau avant de l'injecter sous terre. A 700 mètres profondeur, au contact du basalte, roche volcanique poreuse riche en calcium et magnésium, le CO2 met environ deux ans à se minéraliser et est ainsi stocké durablement, selon un procédé mis au point par la société islandaise Carbfix.
36'000 tonnes de CO2 par an
Quelque 10'000 tonnes de CO2 étaient jusqu'ici captées puis stockées par an dans le monde, dont 4000 par Orca et le reste principalement par des unités pilote expérimentales. Une fois pleinement opérationnelle, Mammoth permettra d'en absorber 36'000 tonnes par an.
"Nous sommes passés de quelques milligrammes de CO2 captés dans notre laboratoire il y a 15 ans à quelques kilos, puis des tonnes et des milliers de tonnes", se réjouit Jan Wurzbacher, fondateur et codirigeant de Climeworks. D'ici 2030, l'entreprise vise une capacité de plusieurs millions de tonnes et entrevoit le milliard pour 2050.
Une vingtaine d'autres projets développés par Climeworks et d'autres start-up devraient permettre d'atteindre les 10 millions de tonnes d'ici 2030. A comparer aux 40 milliards de tonnes émises l'année dernière dans le monde.
Crédit carbone
Ces usines énergivores se distinguent de celles qui captent le CO2, plus concentré, à la sortie d'infrastructures industrielles ou énergétiques mais aussi de celles qui réutilisent ce gaz au lieu de le stocker.
Pour chaque tonne de CO2 stockée, Climeworks peut ainsi générer un crédit carbone qui permet à ses clients (Lego, Microsoft, H&M, Swiss Re, JP Morgan Chase, Lufthansa...) de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.
Ces technologies sont reconnues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) comme une solution pour éliminer du CO2 de l'atmosphère mais ne sont pas encore très intégrées aux scénarios de réductions des émissions tant leur développement, extrêmement couteux, est encore au stade embryonnaire avec des financements publics limités.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Avoirs en Russie: Raiffeisen renonce à un accord controversé
La banque autrichienne Raiffeisenbank (RBI) a annoncé mercredi abandonner son montage complexe impliquant l'oligarque russe Oleg Deripaska, visé par des sanctions occidentales, pour récupérer des avoirs gelés en Russie, face aux réticences notamment américaines.
"La banque a décidé de renoncer à la transaction par mesure de précaution", a déclaré RBI dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion de son conseil d'administration, expliquant "ne pas avoir obtenu le soutien nécessaire lors de récents entretiens avec les autorités compétentes".
Il y a plus d'un an, elle avait annoncé vouloir "vendre ou scinder" sa filiale russe. Puis en décembre, elle avait dit vouloir racheter les parts dans l'entreprise autrichienne de construction Strabag à une entité contrôlée à l'époque par Oleg Deripaska et depuis cédée.
Encore active en Russie
La filiale russe de RBI devait acquérir ces actions pour une valeur de plus d'un milliard d'euros puis rapatrier les avoirs vers la maison mère en Autriche sous forme de dividendes en nature.
L'opération était vue d'un mauvais oeil par le Trésor américain, dont une haute responsable était venue à Vienne en mars.
La semaine dernière, le PDG de RBI Johann Strobl avait affirmé que le projet serait annulé s'il existait "un risque de sanctions ou d'autres conséquences négatives de la part de l'une des autorités concernées".
Plus de deux ans après l'invasion de l'Ukraine, Raiffeisen demeure la plus grande banque occidentale opérant en Russie, malgré les appels de la Banque centrale européenne (BCE) à quitter le pays, parlant d'un risque peu contrôlable.
Raiffeisen y est présente depuis 1996 et emploie plus de 9.000 personnes, selon son rapport financier de 2023.
Elle affirme y réduire progressivement ses activités, dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait dénoncé en 2022 le maintien.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Benjamin Thomas bat les sprinters
Echec aux sprinters à Lucques, la cité du plus grand d’entre eux Mario Cipollini lors de la 5e étape du Giro ! Benjamin Thomas s’est imposé pour conclure victorieusement une échappée à quatre.
Le Français a devancé le Suédois Michael Valgren et l’Italien Andrea Pietrobon, qui avait porté une attaque à la flamme rouge avant d’échouer sur le fil. Le peloton n’est jamais parvenu à combler un écart inférieur pourtant à la minute lors des vingt derniers kilomètres.
Quintuple Champion du monde l’omnium et médaillé de bronze de l’Américaine au Jeux de Tokyo 2021, Benjamin Thomas a offert à son équipe Cofidis son premier succès de l’année. Celui qui brille sur la piste a témoigné d’un très grand sens tactique à Lucques pour ne pas se laisser abuser par l’attaque de Pietrobon.
Tadej Pogacar conserve le maillot rose de leader. Le Slovène a passé une journée fort paisible entre Gênes et Lucques sur un parcours bien trop neutre pour qu’il puisse s’exprimer. Le Slovène a eu le bonheur de ne pas être impliqué dans les chutes qui ont émaillé cette étape de transition.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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