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Lima décrète l'état d'urgence pour bloquer des migrants

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Des centaines de migrants ayant vécu au Chili, principalement originaires d'Haïti et du Venezuela, sont bloqués, depuis des semaines, à la frontière entre la ville péruvienne de Tacna (sud) et Arica, dans le nord du Chili. (© KEYSTONE/EPA/Patricio Banda)

La présidente du Pérou a décrété mercredi l'état d'urgence aux frontières et ordonné le déploiement de l'armée. Le but est de renforcer les points de contrôle et bloquer des migrants qui font route depuis le Chili.

Des centaines de migrants ayant vécu au Chili, principalement originaires d'Haïti et du Venezuela selon les Nations Unies, tentent de quitter le pays et sont bloqués, depuis des semaines, à la frontière entre la ville péruvienne de Tacna (sud) et Arica, dans le nord du Chili.

Alors que le Chili renforce les contrôles migratoires, beaucoup affirment souhaiter rentrer chez eux ou s'en aller plus au nord, vers les Etats-Unis. Le gouvernement péruvien a déjà envoyé 200 policiers pour renforcer les postes frontaliers dans le but, selon lui, de limiter la criminalité transnationale.

Mercredi, la présidente Dina Boluarte a déclaré que des soldats seraient déployés en renfort de la police aux postes-frontières avec le Chili, la Bolivie, le Brésil, l'Equateur et la Colombie. "La police nationale maintiendra le contrôle de l'ordre interne avec le soutien des forces armées", a-t-elle déclaré à la presse.

Le gouvernement n'a pas précisé ce que l'état d'urgence impliquerait en termes de restriction de libertés individuelle et publique, ni combien de temps il resterait en place.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump reçoit le chancelier allemand Friedrich Merz

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Donald Trump (à droite) a reçu le chancelier allemand Friedrich Merz dans le Bureau ovale. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Donald Trump a reçu jeudi le chancelier allemand Friedrich Merz dans le Bureau ovale. A cette occasion, il a salué la hausse des dépenses militaires de l'Allemagne. Le dirigeant allemand a lui dit qu'il voulait "plus de pression" sur la Russie.

"Vous savez que nous avons apporté notre soutien à l'Ukraine et que nous cherchons à accroître la pression sur la Russie", a déclaré M. Merz à l'occasion de cette visite.

"Nous allons avoir une très bonne relation avec votre pays", a dit le président américain à M. Merz. Et d'ajouter: "Nous avons été investis d'une mission par notre peuple, et une partie de cette mission consiste à avoir une très bonne relation avec votre pays. Je tiens donc à vous remercier pour votre présence".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Fin de règne pour Iga Swiatek

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Iga Swiatek: elle a perdu sa couronne à Paris. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Iga Swiatek n’a pas gagné un... 27e match de suite à Roland-Garros. La triple tenante du titre est tombée en demi-finale, battue 7-6 (7/1) 4-6 6-0 par la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.

Ce choc tant attendu entre la Polonaise et la Bélarusse n’a pas vraiment tenu ses promesses. Trop tendues, les deux joueuses ont eu bien de la peine à développer leur tennis. Le grand mérite d’Aryna Sabalenka fut d’élever le curseur au jeu décisif du premier set après avoir galvaudé deux balles de... 5-1. Elle fut également la plus incisive au début du troisième set pour reprendre la main dans cette demi-finale. Le 6-0 qui a sanctionné ce troisième set fut presque humiliant pour une Iga Swiatek qui a très vite renoncé dans cette fin de match et qui a bouclé jeudi avec cette défaite une année entière sans gagner le moindre tournoi...

Pour sa première finale à Paris, Aryna Sabalenka affrontrera samedi la gagnante de la rencontre entre la no 2 mondiale Coco Gauff et Loïs Boisson (WTA 361) qui sera, bien sûr, poussée par tout le public de Roland-Garros.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Xi a demandé à Trump de changer de "trajectoire"

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Le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping, ici lors d'un sommet du G20 en 2019, se sont parlé jeudi (archives). (© KEYSTONE/AP/SUSAN WALSH)

Xi Jinping a demandé jeudi à Donald Trump, qui a engagé un spectaculaire bras de fer commercial avec Pékin, de "redresser la trajectoire", dans un échange téléphonique. Le président américain en a pour sa part fait un compte-rendu très optimiste.

"Pour redresser la trajectoire du grand navire des relations sino-américaines, il nous incombe d'en assurer fermement le gouvernail et d'en fixer clairement le cap, tout en écartant résolument toute interférence, voire toute tentative de sabotage. Cela est particulièrement crucial", a déclaré le chef de l'Etat chinois, selon des propos reproduits par l'agence de presse officielle Chine nouvelle.

Il a par ailleurs dit être ouvert à une visite de son homologue américain en Chine.

Xi Jinping a en outre exhorté Donald Trump à traiter la question de Taïwan "avec prudence" pour éviter tout "conflit", d'après la même source. Et il a appelé Washington à "retirer les mesures négatives prises contre la Chine".

Le président américain a, quant à lui, assuré que cette conversation d'environ une heure et demie s'était conclue "de manière très positive".

Changement de ton

Donald Trump a annoncé dans un message sur son réseau Truth Social que ses équipes et celles de Xi Jinping se rencontreraient "bientôt" pour discuter des droits de douane, à un endroit qui reste à définir. Et il a assuré qu'il ne "devrait plus y avoir de questions à l'avenir" sur l'accès aux terres rares chinoises, un point de friction important entre les deux superpuissances.

Le président américain, qui a confirmé que M. Xi l'avait "gentiment invité" à aller en Chine avec son épouse Melania, a souligné qu'il avait de son côté proposé à son homologue chinois de lui rendre visite aux Etats-Unis.

Le ton de l'imprévisible milliardaire républicain a donc changé du tout au tout par apport à ses sorties furibondes la semaine dernière, quand il avait accusé Pékin de ne pas respecter le contenu d'un accord de trêve commerciale négocié en mai à Genève.

Les deux hommes se sont entretenus "à la demande" de Donald Trump, a tenu à souligner Chine nouvelle.

La question de savoir qui de l'Amérique ou de la Chine est en position de force dans cet affrontement commercial est éminemment sensible pour le président américain, que ses opposants démocrates accusent, sur un ton moqueur, de reculades en série en matière de droits de douane.

Étudiants et fentanyl

Les contentieux entre les deux puissances rivales vont au-delà du commerce. Elles portent également sur le traitement des étudiants chinois inscrits dans les universités américaines, sur le trafic de fentanyl, sur les relations avec Taïwan, sur les technologies de pointe ou encore sur les frictions en mer de Chine méridionale.

L'accord trouvé à Genève et prévoyant une pause de 90 jours a permis de suspendre une folle surenchère qui avait porté les droits de douane de la Chine sur les produits américains à 125% et ceux appliqués aux marchandises chinoises par les Etats-Unis à 145%, faisant trembler les marchés mondiaux.

Pékin et Washington avaient accepté de réduire provisoirement leurs surtaxes douanières pour les abaisser à respectivement 30% et 10%.

Donald Trump avait déclaré mercredi sur Truth Social "apprécier" Xi Jinping mais estimé qu'il était "extrêmement dur de trouver un accord" avec lui.

Selon le quotidien américain Wall Street Journal, la poussée de fièvre a été provoquée par la lenteur avec laquelle la Chine a accordé de nouvelles licences d'exportation de terres rares et d'autres éléments nécessaires aux semiconducteurs et aux automobiles.

Sur un autre dossier, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lin Jian, a promis jeudi de "défendre fermement les droits et les intérêts légitimes" des étudiants chinois, après la décision de Donald Trump d'interdire les visas pour les étrangers devant intégrer l'université américaine Harvard. Près de 1300 étudiants chinois sont actuellement inscrits à Harvard, selon les chiffres officiels.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Armes: la Cour suprême américaine rejette une plainte du Mexique

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La Cour suprême des Etats-Unis a rejeté à l'unanimité une plainte du Mexique, qui accusait les fabricants d'armes américains d'alimenter la violence des cartels sur son territoire (archives). (© KEYSTONE/EPA/MICHAEL REYNOLDS)

La Cour suprême des Etats-Unis a jugé jeudi irrecevable une plainte du Mexique contre des fabricants d'armes américains. Le Mexique les accuse d'alimenter la violence des cartels de narcotrafic sur son territoire.

A l'unanimité, les neuf juges de la Cour à majorité conservatrice considèrent que loi de 2005 sur la protection du commerce légal des armes (PLCAA) immunise les fabricants contre des poursuites pour utilisation illicite de leurs produits.

Le Mexique souligne que la grande majorité des armes sur les lieux de crime sur son territoire proviennent de la contrebande avec les Etats-Unis, en raison notamment de la facilité à se procurer des armes dans ce pays. Il accuse les fabricants américains de fermer les yeux sur le trafic de leurs produits et leur réclamait des milliards de dollars de dommages et intérêts.

Le Mexique n'est pas parvenu à démontrer une "complicité" active des fabricants avec les trafiquants d'armes mais au mieux une "indifférence" de leur part face à ce phénomène, selon l'arrêt de la haute juridiction.

"Ces fabricants savent qu'ils vendent un produit dangereux à des marchands véreux qui les revendent à des hommes de paille au service des cartels", avait déclaré lors des débats en mars l'avocate du Mexique, Catherine Stetson.

"Entre 342'000 et 597'000 des armes fabriquées par eux entrent en contrebande au Mexique chaque année, selon les estimations", a précisé l'avocate.

"Conséquences destructrices pour l'économie"

L'avocat des fabricants d'armes, Noel Francisco, avait reproché au Mexique de vouloir vider de sa substance la loi de 2005.

A l'audience, une nette majorité des neuf juges avait semblé se dégager pour rejeter la plainte. Pour que cette plainte soit déclarée recevable, le Mexique devait à la fois démontrer que le comportement de ces fabricants relevait de la "complicité" de contrebande et établir un lien de causalité entre leurs agissements et le préjudice qu'il subit.

Outre les réserves juridiques exprimées par plusieurs juges, progressistes comme conservateurs, l'un de ces derniers, Brett Kavanaugh, avait mis en garde contre de "possibles conséquences destructrices pour l'économie" si la Cour adoptait la conception de la responsabilité pénale pour cause de complicité défendue par le Mexique, citant les exemples de l'industrie automobile ou pharmaceutique.

La Cour donne donc jeudi satisfaction à deux entreprises américaines, Smith & Wesson et Interstate Arms, qui lui demandaient d'annuler la procédure engagée par le Mexique.

Quelque 480'000 personnes ont péri de mort violente liée au narcotrafic au Mexique depuis 2006, date à laquelle le gouvernement a déployé l'armée pour combattre les cartels de la drogue, selon des statistiques officielles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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