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Économie

L'Inter et l'AC Milan officiellement co-propriétaires de San Siro

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L'Inter et l'AC Milan sont désormais officiellement co-propriétaires du stade San Siro (© KEYSTONE/AP/Luca Bruno)

L'Inter et l'AC Milan sont devenus officiellement co-propriétaires de San Siro, qui appartenait jusque-là à la ville de Milan. Il s'agit d'une étape cruciale dans leur projet de nouveau stade.

"L'AC Milan et l'Inter annoncent qu'ils ont signé ce (mercredi) l'acte de vente avec la municipalité de Milan pour l'acquisition de l'espace urbain San Siro, composé du stade Meazza et des terrains environnants", ont annoncé les deux clubs dans un communiqué commun.

La vente du stade avait été acceptée par le conseil municipal de Milan le 30 septembre dernier au terme de plus de onze heures de débats, par 24 voix pour, vingt contre et deux abstentions.

L'AC Milan et l'Inter ont déboursé 197 millions d'euros pour l'actuel stade et les parkings adjacents où ils comptent construire leur nouveau stade qu'ils continueront de partager. Le nouveau San Siro, d'une capacité de 71'500 places, doit être livré en 2031 et coûtera aux deux clubs 1,2 milliard d'euros. Il sera conçu par les cabinets d'architectes Foster + Partners et MANICA.

L'actuel stade, l'un des plus emblématiques du football européen, souvent comparé à une cathédrale de béton, est le plus grand d'Italie avec ses 75'000 places. Mais l'enceinte, inaugurée en 1926 et rénovée à plusieurs reprises depuis, n'est plus adaptée aux besoins des spectateurs comme des clubs qui veulent accroître leurs recettes tirées de l'exploitation du stade.

Des vestiges à intégrer

San Siro, connu également sous le nom de stade Giuseppe-Meazza, sera détruit en grande partie une fois que les travaux de construction du nouveau stade seront en voie d'achèvement. Les vestiges du stade, dont l'une des tribunes est classée monument historique, doivent être intégrés dans un projet immobilier de bureaux et d'installations sportives.

Le stade de San Siro sera cet hiver le cadre de la cérémonie d'ouverture des JO 2026 de Milan Cortina (6-22 février).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

L'ex-patron de Credit Suisse (Suisse) brigue la présidence de SIX

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André Helfenstein, membre du conseil d'administration de SIX depuis 2020, a été directeur général de la branche helvétique de Credit Suisse (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Cette fois, c'est confirmé: André Helfenstein, l'ex-patron de Credit Suisse (Suisse), est bel et bien candidat à la présidence du groupe financier SIX, l'opérateur de la Bourse suisse.

Son nom sera proposé à l'assemblée générale du 6 mai prochain, en remplacement de Thomas Wellauer, en poste depuis 2020.

Le nom de M. Helfenstein comme potentiel nouveau président de SIX circulait depuis quelques jours. Il restera comme le dernier patron de l'entité helvétique de Credit Suisse, avant que la grande banque ne soit rachetée par son concurrent UBS en 2023. André Helfenstein siège au conseil d'administration de SIX depuis 2020.

Thomas Wellauer avait annoncé son retrait de la présidence et de l'organe de surveillance en mai.

Le groupe SIX est une entreprise commune des banques suisses et appartient à quelque 120 institutions financières, à commencer par UBS. La dernière grande banque du pays y a multiplié sa participation par deux avec la reprise de Credit Suisse, pour détenir désormais plus d'un tiers des parts. Le conseil d'administration comprend aussi des représentants de la Banque cantonale de Zurich, de Raiffeisen Suisse, de Vontobel, de Pictet et de Saxo Bank Suisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Swiss Re lancera en 2026 un programme de rachat d'actions permanent

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Le réassureur Swiss Re vise un bénéfice net pour l'année prochaine de 4,5 milliards de dollars (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le réassureur Swiss Re promet vendredi à ses actionnaires un programme de rachat d'actions "durable", doté d'une enveloppe de 500 millions de dollars par année, dès 2026.

Le groupe zurichois remanie en outre quelque peu ses objectifs pour l'année prochaine, tout en reconnaissant un important, mais ultime impact de la restructuration de son unité réassurance vie et santé.

La finalisation de la réorganisation de ce portefeuille grèvera les résultats du dernier trimestre 2025 d'environ 250 millions de dollars, prévient le géant du secteur à l'occasion de sa journée dédiée aux investisseurs.

L'objectif de bénéfice net pour l'année prochaine est relevé à 4,5 milliards de dollars, contre 4,4 milliards pour l'année en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Meurtre d'un patron d'assurance US: l'arrestation en questions

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Luigi Mangione est passé devant la cour criminelle, à Manhattan. (© KEYSTONE/AP/Curtis Means)

La défense de Luigi Mangione, accusé d'avoir tué de sang-froid le patron du plus gros assureur de santé américain en 2024, s'est attardée jeudi sur les conditions de son arrestation, guettant des erreurs dans la conduite des policiers.

Les avocats de cet homme de 27 ans tentent depuis plusieurs jours dans une audience préliminaire à New York de faire annuler des preuves recueillies au moment de son interpellation ainsi que ses premières déclarations aux forces de l'ordre, dénonçant des erreurs de procédure.

L'enjeu est de taille: c'est au moment de son arrestation dans un McDonald's de Pennsylvanie qu'il a été trouvé porteur d'un pistolet muni d'un silencieux, correspondant aux douilles retrouvées sur les lieux du meurtre, et d'un carnet dans lequel il exprimait son hostilité au secteur de l'assurance santé.

Brian Thompson, 50 ans, PDG du premier assureur santé du pays United Healthcare, a été abattu le matin du 4 décembre 2024 dans une rue de Manhattan, en plein coeur de New York, alors qu'il sortait de son hôtel.

Jeudi à l'audience, un an exactement après le meurtre, le tribunal a visionné des images montrant les policiers interrogeant dans le McDonald's le suspect sur son identité, les raisons de sa présence dans cette région rurale et pour savoir s'il avait été à New York.

"Je ne sais pas ce que vous fabriquez, les gars, je vais juste attendre", leur répond-il notamment après leur avoir donné une fausse identité, continuant de manger nonchalamment, des chants de Noël en fond sonore.

Les défenseurs du jeune homme, devenu pour certains le symbole de la colère des Américains contre leur système d'assurance santé, reprochent notamment aux enquêteurs d'avoir commencé à l'interroger sans lui signifier ses droits.

A la barre, l'un des policiers, Tyler Frye, a en outre reconnu que les membres des forces de l'ordre ont continué à lui poser des questions alors qu'il leur a dit qu'il refusait de leur répondre.

Pour le moment, aucune date n'a été arrêtée pour un procès de Luigi Mangione, dont les passages au tribunal sont systématiquement accompagnés de la présence de supporters, le plus souvent des jeunes femmes.

Dans le cadre de cette procédure pour meurtre menée au niveau de l'Etat, il encourt la prison à perpétuité. Il risque par ailleurs la peine de mort dans une autre procédure au niveau fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

CS AT1: des investisseurs japonais portent plainte contre la Suisse

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Des investisseurs japonais reprochent à la Confédération d'avoir violé l'accord de libre-échange entre les deux pays en ordonnant la dépréciation de plus de 16,5 milliards de francs d'obligations AT1 lors du sauvetage de Credit Suisse en mars 2023 (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Un groupe d'investisseurs japonais a intenté une action en justice contre la Confédération suite à la dépréciation d'obligations émises par la banque Credit Suisse, avalée par UBS. Il ne s'agit que de la première vague de poursuites, selon leur cabinet d'avocats.

Les 184 investisseurs ont déposé une demande d'arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), comme l'a annoncé jeudi leur cabinet d'avocats, Drew & Napier. Ils reprochent à la Confédération d'avoir violé l'accord de libre-échange entre les deux pays en ordonnant la dépréciation de plus de 16,5 milliards de francs d'obligations AT1 lors du sauvetage de Credit Suisse en mars 2023.

Les investisseurs affirment avoir été traités de manière injuste et arbitraire, et avoir subi une expropriation de fait. "Les plaignants détiennent des obligations d'une valeur de plus de 138 millions de dollars", a précisé le cabinet d'avocats singapourien à l'agence AWP.

Contactée, la Confédération n'avait pas réagi dans l'immédiat.

Il ne s'agit que de la première vague de poursuites, d'autres sont attendues dans les prochains mois. Selon Drew & Napier, le cabinet représente au total environ 560 détenteurs asiatiques d'obligations au Japon, à Hong Kong et à Singapour, qui réclament des pertes supérieures à 300 millions de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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