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L'Ukraine rejette l'ultimatum russe, Biden vendredi en Pologne

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Dans un entretien diffusé par CNN, le président ukrainien Volodymyr Zelenksy s'est dit "prêt à des négociations" avec le président russe. "Je suis prêt depuis les deux dernières années et je pense que sans négociations, on n'arrêtera pas la guerre", a-t-il déclaré. (© KEYSTONE/AP)

L'Ukraine a rejeté dans la nuit de dimanche à lundi l'ultimatum de la Russie exigeant la capitulation de la ville assiégée de Marioupol. Joe Biden a annoncé une visite en Pologne pour vendredi.

"Il n'est pas question de parler de reddition ou de déposer les armes. Nous en avons déjà informé la partie russe", a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk au journal Ukrayinskaya Pravda. "C'est une manipulation délibérée et une véritable prise d'otages", a-t-elle ajouté à propos de la demande.

Le ministère de la Défense russe avait appelé l'Ukraine à "déposer ses armes" et exigé une "réponse écrite" à son ultimatum avant lundi 05h00, au nom de la sauvegarde des habitants et des infrastructures de la ville de Marioupol.

Corridors humanitaires

"Nous demandons aux autorités officielles de Kiev d'être raisonnables et d'annuler les instructions données précédemment, qui obligeaient les militants à se sacrifier et à devenir des 'martyrs de Marioupol'", avait lancé Mikhail Mizintsev, directeur du Centre national russe de gestion de la défense, dans un message diffusé par le ministère de la Défense de la Russie.

Selon M. Mizintsev, la Russie et l'Ukraine ont convenu d'un itinéraire permettant aux habitants de Marioupol de se rendre sur le territoire contrôlé par Kiev le 21 mars. "A partir de 10 heures, heure de Moscou (...) la Russie ouvre des corridors humanitaires depuis Marioupol vers l'Est, et en accord avec la partie ukrainienne, vers l'Ouest", a détaillé M. Mizintsev.

"Les occupants continuent à se comporter comme des terroristes", a répliqué Iryna Verechtchouk sur Telegram. "Ils disent qu'ils sont d'accord (pour instaurer un) corridor humanitaire et le matin, ils bombardent le lieu d'évacuation. Le gouvernement fait tout ce qui est possible. La chose la plus importante pour nous est de sauver la vie et la santé de nos citoyens".

La vice-Première ministre a demandé que la priorité soit donnée à un corridor humanitaire, permettant à environ 350'000 personnes encore bloquées à Marioupol de partir.

Biden en Pologne

Peu après, la Maison Blanche a annoncé que le président américain Joe Biden se rendra vendredi à Varsovie pour y rencontrer son homologue polonais et discuter de l'invasion russe.

"Le président discutera de la manière dont les Etats-Unis, aux côtés de nos alliés et partenaires, répondent à la crise humanitaire et des droits de l'homme que la guerre injustifiée et non provoquée de la Russie contre l'Ukraine a créée", a déclaré la Maison Blanche dans un communiqué, ajoutant que le voyage de M. Biden interviendrait après sa visite en Belgique pour rencontrer des dirigeants de l'Otan, du G7 et de l'Union européenne.

La ville portuaire de Marioupol, dans le sud du pays, est une cible centrale dans la guerre menée par Vladimir Poutine en Ukraine. Elle constitue un pont terrestre entre les forces russes en Crimée, au sud-ouest, et le territoire contrôlé par la Russie, au nord et à l'est.

"Ville fantôme"

La ville, majoritairement russophone, subit de lourds bombardements des forces russes depuis le début de l'invasion le 24 février. Le consul général de Grèce à Marioupol, qui a organisé plusieurs évacuations de ressortissants grecs, a comparé cette ville à Guernica ou encore Alep, à son arrivée dimanche à Athènes.

Selon l'administration militaire de la région de Donetsk, Marioupol est devenue "une ville fantôme". "Actuellement, plus de 80% des infrastructures de la ville sont endommagées ou détruites. Sur ces 80%, environ 40% ne sont pas récupérables", a détaillé Pavlo Kirelenko, un responsable.

Les Nations unies ont qualifié la situation humanitaire dans la ville d'"extrêmement grave", les "habitants étant confrontés à une pénurie critique et potentiellement mortelle de nourriture, d'eau et de médicaments".

Dans un entretien diffusé par CNN, le président ukrainien s'est dit "prêt à des négociations" avec le président russe. "Je suis prêt depuis les deux dernières années et je pense que sans négociations, on n'arrêtera pas la guerre", a-t-il déclaré.

Il avait auparavant dénoncé le bombardement de l'école d'art de Marioupol, détruite par des frappes russes alors que 400 personnes - femmes, enfants et personnes âgées - y étaient réfugiées selon les autorités locales.

Zelensky espère Jérusalem

Dans la nuit de dimanche à lundi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé que Jérusalem "serait le bon endroit pour trouver la paix".

"Le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, essaie de trouver un chemin pour la négociation avec la Russie et nous lui en sommes reconnaissants. Pour tous ses efforts, afin que tôt ou tard, nous puissions commencer la discussion avec la Russie. Peut-être à Jérusalem. C'est le bon endroit pour trouver la paix. Si c'est possible", a dit le chef d'Etat dans une vidéo publiée sur Telegram.

A Kiev, les frappes russes ont fait au moins un mort dimanche soir. Une énorme déflagration a secoué la ville lors de l'attaque et des feux étaient visibles dans les décombres du centre commercial Retroville, selon des journalistes de l'AFP.

"Des tirs ennemis" ont provoqué un incendie sur plusieurs étages du centre commercial situé dans le district de Podilsky, dans le nord-ouest de la ville, et mis le feu à plusieurs véhicules, ont de leur côté précisé les services de secours sur Facebook.

Les Nations unies ont estimé qu'environ 10 millions d'Ukrainiens ont fui leur foyer, dont un tiers environ est parti à l'étranger, principalement en Pologne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Croatie et Ukraine qualifiés pour la finale de l'Eurovision

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Les Ukrainiennes alyona alyona et Jerry Heil ont interprété le titre "Teresa & Maria" lors de la demi-finale de mardi. (© KEYSTONE/EPA/JESSICA GOW)

Deux des favoris de l'Eurovision 2024, Croatie et Ukraine, se sont qualifiés mardi soir pour la finale, qui se tiendra samedi à Malmö. La compétition est marquée cette année par les controverses sur la participation d'Israël.

Les genres musicaux s'entrelacent allégrement lors de cette 68ème édition du rendez-vous annuel de la musique européenne populaire. Le titre "Teresa & Maria", interprété par les Ukrainiennes alyona alyona et Jerry Heil, mélange rap et pop aux accents d'opéra tandis que "Rim Tim Tagi Dim" du Croate Baby Lasagna, qui avait été repêché en sélection nationale après un désistement, mêle rock et électro.

Au-delà des performances musicales, les éventuelles prises de position des artistes ont été scrutées pendant le premier volet de cette compétition d'habitude édulcorée qui revendique un caractère non-politique.

Depuis le début de l'année, les pétitions se sont multipliées pour exiger l'exclusion d'Israël. Fin mars, les candidats de neufs pays, dont Bambie Thug (Irlande) en lice ce mardi soir, ont appelé à un cessez-le-feu durable.

Israël en demi-finale jeudi

Lors du numéro d'ouverture, c'est finalement le chanteur suédois Éric Saade, qui a attiré l'attention. L'artiste, dont le père est d'origine palestinienne, avait prévenu vouloir utiliser sa performance pour protester contre la participation d'Israël et portait un keffieh autour du bras.

Son geste a été déploré par la télévision publique suédoise, SVT, qui organise cette 68ème édition avec l'Union européenne de radio-télévision (UER). "Il est regrettable qu'il utilise sa participation de cette manière", a déclaré à l'AFP Ebba Adielsson.

A l'issue de cette première demi-finale, tranchée par les votes du public, sont aussi qualifiés la Serbie, le Portugal, la Slovénie, la Lituanie, la Finlande, Chypre, l'Irlande et le Luxembourg. Ils rejoignent les six pays qualifiés d'office en finale: la Suède, détentrice du titre, et les "big five" - Allemagne, Espagne, France, Italie, Royaume-Uni - plus gros contributeurs à l'organisation du concours.

Israël participe à la deuxième demi-finale qui a lieu jeudi avant la finale de samedi. Plusieurs manifestations, appelant à exclure Israël du concours, doivent avoir lieu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Six poteaux et une finale pour Gregor Kobel

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Gregor Kobel s'interpose devant Kylian Mbappé. C'est le Zurichois qui ira à Wembley le 1er juin, (© KEYSTONE/AP/Frank Augstein)

Pour la première fois, un gardien suisse jouera une finale de la Ligue de Champions. Ce bonheur sera pour Gregor Kobel le 1er juin à Wembley.

Le Zurichois et le Borussia Dortmund se sont qualifiés à la faveur de leur succès 1-0 devant le PSG au Parc des Princes. Déjà victorieux sur le même score six jours plus tôt au match aller, les Allemands seront opposés en finale au vainqueur de la rencontre de mercredi entre le Real Madrid et le Bayern Munich.

Même s'ils n'ont fait que défendre lors de la dernière demi-heure, les Allemands n'ont rien volé. Conscients de leurs limites, ils ont trouvé leur salut dans un collectif parfaitement huilé autour du capitaine Emre Can.

Cet échec sera bien lourd à digérer pour le PSG et pour Kylian Mbappé. L'équipe parisienne n'a pas su exploiter un tableau de rêve pour aller en finale. Quant à Mbappé, il n'a pas pesé lors de cette double confrontation comme aurait dû peser un candidat au Ballon d'Or. Son rêve de gagner la Ligue des Champions avant de partir pour Madrid s'est envolé bien brutalement.

La tête de Mats Hummels

La première période du PSG ne fut vraiment pas celle espérée par Luis Enrique. Malgré le repositionnement de Mbappé sur le flanc gauche pour permettre la titularisation de Gonçalo Ramos dans l’axe, les Parisiens n’ont pas vraiment menacé Kobel. Le portier zurichois a traversé ces 45 premières minutes sans connaître la moindre frayeur, si ce n’est une frappe non-cadrée d’Ousmane Dembélé à la 34e.

Gianluigi Donnarumma a, en revanche, dû sortir le grand jeu à la 35e sur une rupture menée par Karim Adeyemi. Sa parade de la main gauche a empêché le Borussia d’ouvrir le score plus tôt. Un avantage des Allemands à cet instant n’aurait pas été usurpé dans la mesure où ils avaient témoigné d’une réelle maîtrise lors de cette première mi-temps alors qu’un enfer leur était promis.

A la reprise, le match s’emballait enfin. A la 50e, Mats Hummels climatisait le Parc des Princes avec le 1-0 pour le Borussia. Le défenseur a exploité les largesses impardonnables de la défense adverse pour battre de la tête Donnarumma, figé une fois de plus sur sa ligne. Mais juste avant et juste après ce coup de poignard, les Parisiens avaient trouvé le poteau gauche de Kobel par Warren Zaïre-Emery (47e) et par Nuno Mendes (60e). Le portier devait être encore sauvé à deux reprises par ses montants dans les dix dernières minutes. Après les deux poteaux du match aller, Gregor Kobel a été accompagné lors de cette demi-finale par une chance presque insolente.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Stormy Daniels livre un récit cru de sa rencontre avec Trump

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Les avocats de Donald Trump réfutent tout délit pénal. (© KEYSTONE/AP/Sarah Yenesel)

L'ancienne star de films X Stormy Daniels, personnage central du procès de Donald Trump à New York, a livré mardi un témoignage cru sur la relation sexuelle qu'elle affirme avoir eue en 2006 avec l'ex-président des Etats-Unis, un épisode au coeur du dossier.

Son témoignage était particulièrement attendu car Donald Trump, qui nie toute relation sexuelle avec Stormy Daniels, est poursuivi pour la dissimulation d'un paiement de 130'000 dollars à l'actrice pour acheter son silence à la toute fin de la campagne présidentielle de 2016.

L'audition s'est déroulée dans une ambiance tendue, et la défense a demandé, en vain, l'annulation du procès tout entier, au motif que les questions des procureurs sortaient du cadre et que les réponses s'avéraient "extrêmement préjudiciables" pour le candidat des républicains à la Maison Blanche, à six mois du scrutin du 5 novembre contre le sortant démocrate Joe Biden.

Après l'audience, Donald Trump a assuré devant les journalistes que c'était "un jour important, très révélateur" et que "le dossier s'effondre". Mais il n'a fait aucun commentaire sur Stormy Daniels, après que le juge l'a menacé de prison s'il s'en prenait encore aux témoins.

"Honte"

Nerveuse mais volubile, l'actrice de 45 ans a raconté avec force détails ce jour de 2006 où, en marge d'une compétition de golf, elle a fait la rencontre de Donald Trump, alors une figure du monde des affaires et de la jet-set. Après "une très brève rencontre", un membre de la sécurité "(m'a) dit 'M. Trump voudrait savoir si vous souhaitez dîner avec lui'", a-t-elle raconté, devant des jurés visiblement absorbés, pendant que l'intéressé restait impassible.

En tailleur pantalon noir, un épais trait d'eye-liner sur les yeux, Stormy Daniels, de son vrai nom Stephanie Clifford, s'est ensuite souvenue de la suite d'hôtel "qui faisait trois fois la taille de (son) appartement", où Donald Trump l'a accueillie "habillé d'un pyjama en soie ou en satin". La conversation est badine, le milliardaire lui fait miroiter une apparition dans sa célèbre émission de téléréalité, "The Apprentice", raconte-t-elle.

Puis Stormy Daniels raconte ce moment où, sortant de la salle de bains, elle trouve Donald Trump dévêtu sur le lit. "J'ai senti le sang quitter mes mains, et les pieds comme quand on se lève trop vite". Si elle ne s'est pas sentie menacée, elle assure que l'intention de l'homme d'affaires "était assez claire" et le "rapport de force déséquilibré".

"J'ai fini par avoir une relation sexuelle avec lui", ajoute-t-elle, précisant, à la demande de la procureure, que Donald Trump ne portait pas de préservatif. "J'ai eu honte de ne pas avoir arrêté ça, de ne pas dire non", ajoute-t-elle. Le juge Juan Merchan a paru agacé par certaines questions de la procureure, alors que la défense de Donald Trump plaidait pour que la relation sexuelle ne soit pas évoquée.

Société-écran

Stormy Daniels dit avoir recroisé Donald Trump quelques fois, puis avoir perdu le contact. Selon son récit, lorsque le milliardaire s'est lancé dans la campagne présidentielle, son agente lui a conseillé de monnayer son témoignage.

Un tabloïd américain, dont le patron était proche de Donald Trump, avait déjà payé à deux reprises pour acheter l'exclusivité des droits sur des histoires similaires, jamais publiées. "L'argent ne m'intéressait pas", assure-t-elle, en racontant avoir été menacée en 2011, par un inconnu dans un parking de Las Vegas, pour ne pas parler.

Les 130'000 dollars avaient été versés à Stormy Daniels par l'ancien avocat du milliardaire, Michael Cohen, via une société-écran. Il avait été remboursé en 2017 par la holding de Donald Trump, la Trump Organization, des dépenses maquillées selon l'accusation en "frais juridiques" qui sont au centre des poursuites.

Le candidat républicain est poursuivi pour 34 falsifications de documents comptables, qui pourraient lui valoir la première condamnation pénale d'un ancien président des Etats-Unis et, en théorie, une peine de prison.

"Chaos"

Stormy Daniels a aussi raconte le "chaos" qui a suivi dans sa vie quand le paiement a été révélé par le Wall Street Journal en janvier 2018, en pleine présidence Trump. "Soudain, j'étais au premier plan partout", accusée par le président et ses partisans d'être une menteuse, explique-t-elle.

Durant son contre-interrogatoire, l'avocate de Donald Trump, Susan Necheles, a cherché à la dépeindre en personnage vénal, qui a tout intérêt à une condamnation de l'ex-président. Elle a rappelé que Stormy Daniels avait perdu une affaire en diffamation contre Donald Trump et lui devait toujours des centaines de milliers de dollars pour frais d'avocats.

L'actrice a répondu "oui" quand l'avocate lui a demandé si elle détestait Donald Trump. Et elle dit souhaiter qu'il aille en prison s'il est condamné. Le ton est encore monté quand l'avocate a affirmé qu'elle avait cherché à extorquer l'ancien président. "Faux", a répondu, décidée, Stormy Daniels. Son témoignage se poursuit jeudi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

TikTok porte plainte contre les États-Unis

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En 2020, TikTok avait réussi à bloquer un décret similaire de l'ancien président Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Michael Dwyer)

TikTok et sa maison mère chinoise ByteDance ont porté plainte mardi contre les États-Unis. Ils estiment que la loi posant un ultimatum à la plateforme de vidéos, qui risque de la bannir du pays l'an prochain, est "inconstitutionnelle", d'après le document judiciaire.

Washington a adopté fin avril un texte qui oblige ByteDance à vendre TikTok dans un délai de douze mois, faute de quoi l'application utilisée par 170 millions d'Américains serait interdite.

Le réseau social et de nombreuses personnalités et ONG considèrent que cette loi viole la liberté d'expression de ses utilisateurs, garantie par le premier amendement de la Constitution américaine.

"Pour la première fois dans l'histoire, le Congrès a adopté une loi qui bannit une plateforme d'expression, et elle seule, de façon permanente à l'échelle nationale, et qui interdit à chaque Américain de participer à une communauté en ligne unique comptant plus d'un milliard de personnes dans le monde", déclarent les avocats de l'entreprise dans la plainte déposée devant un tribunal fédéral de Washington.

Après le vote par les élus et la promulgation par la Maison-Blanche, TikTok avait prévenu qu'elle utiliserait toutes les voies légales possibles contre la loi baptisée "Protecting Americans From Foreign Adversary Controlled Applications Act" ("protéger les Américains d'applications contrôlées par des adversaires étrangers").

Soupçons d'espionnage

Les promoteurs de ce texte font valoir des soupçons de manipulation et d'espionnage des utilisateurs américains par les autorités chinoises via TikTok.

Selon la loi, la plateforme dispose de 270 jours pour trouver de nouveaux investisseurs non chinois, faute de quoi elle sera interdite aux États-Unis. La Maison-Blanche peut accorder un délai supplémentaire de 90 jours. La bataille judiciaire pourrait monter jusqu'à la Cour suprême.

En 2020, TikTok avait réussi à bloquer un décret similaire de l'ancien président Donald Trump. Elle avait alors déposé un recours et un juge avait suspendu provisoirement le décret, estimant que les raisons invoquées pour l'interdiction étaient exagérées et la liberté d'expression menacée.

La nouvelle loi vise à contourner les difficultés rencontrées précédemment. Des experts estiment que la Cour suprême pourrait être sensible aux arguments de sécurité nationale avancés par les élus, sans certitude.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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