International
Macron prône "la force tranquille" et attaque "l'extrémisme"
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/04/bon-courage-a-ceux-qui-face-a-la-russie-pronent-le-grand-repli-et-bon-courage-a-ceux-qui-face-au-retour-des-empires-et-aux-defis-des-temps-defendent-le-grand-rabougrissement-a-lance-le-presiden-1000x600.jpg&description=Macron prône "la force tranquille" et attaque "l'extrémisme"', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
En France, le président-candidat Emmanuel Macron a galvanisé ses troupes samedi lors d'un meeting géant près de Paris. Cela afin de conforter sa position de favori à la présidentielle face à la poussée dans les sondages de Marine Le Pen, une candidate d'extrême droite
Plus que pour le premier tour, où il est toujours en tête des intentions de vote, son entourage s'inquiète du resserrement de l'écart avec Mme Le Pen au second tour, plusieurs études le donnant vainqueur à 53% contre 47% pour son adversaire.
"La mobilisation, c'est maintenant", a lancé le chef de l'Etat, appelant à aller aux urnes face à la perspective d'une éventuelle défaite complètement improbable il y a une semaine encore, quand il comptait 12 points d'avance sur sa rivale.
Pouvoir d'achat
Devant plus de 30'000 personnes, il a longuement abordé la question du pouvoir d'achat - principale préoccupation des Français dont Mme Le Pen a fait son cheval de bataille -, promettant "dès cet été" le triplement de la "prime Macron" pouvant aller "jusqu'à 6000 euros, sans charge ni impôt".
Le chef de l'Etat s'est ensuite dit en faveur d'une retraite minimale à 1100 euros pour les personnes ayant réalisé une carrière complète, ainsi que le recrutement de 50'000 soignants et infirmiers pour s'occuper des personnes âgées dépendantes.
Retraite à 65 ans
Mais "il n'y pas d'argent magique" pour "financer tout cela", a-t-il prévenu, hostile à une augmentation des impôts et à un creusement de la dette. "Il faudra travailler plus et d'abord travailler plus longtemps parce que nous vivons plus vieux", a indiqué M. Macron, qui souhaite passer le départ à la retraite à 65 ans progressivement d'ici 2032, une mesure impopulaire.
Le président-candidat est parti très tardivement en campagne, happé par la guerre en Ukraine. Un conflit dans lequel il s'est fortement investi diplomatiquement, ce qui a dans un premier temps conforté sa stature présidentielle dans les sondages.
Mais pendant ce temps, Marine Le Pen a poursuivi sa campagne de terrain loin des métropoles, labourant des terres où les électeurs se sentent parfois délaissés.
Emmanuel Macron, parfois perçu comme de "président des riches" en accointance avec le monde de la finance, doit en outre faire face à la controverse provoquée par les informations sur le recours sous son mandat par les pouvoirs publics à des cabinets de conseil.
Sondages inquiétants
Les sondages sur les intentions de vote au second tour le 24 avril le donnent toujours vainqueur face à Mme Le Pen, comme lors du 2e tour de 2017, mais avec un score beaucoup plus étriqué qui se situe dans la marge d'erreur.
"A la même époque en 2017, elle était à 40, 41% face à Emmanuel Macron dans les sondages de 2e tour. Aujourd'hui elle est entre 46 et 47%, donc il y a une vraie progression", relevait vendredi soir sur la télévision France 5 le politologue Jérôme Fourquet.
Le Pen "sereine"
Vendredi, en déplacement dans l'Est, la candidate d'extrême droite s'est dite "sereine", elle qui a largement poli son image ces dernières années et a été recentrée sur l'échiquier politique par l'irruption d'un autre candidat d'extrême droite, Eric Zemmour, plus radical qu'elle.
Cet ex-polémiste s'est encore une fois distingué samedi en visitant un marché aux puces sauvage d'un quartier populaire de Marseille (Sud), qui illustre selon lui le "grand remplacement", concept complotiste dénonçant une prétendue substitution organisée parle pouvoir des populations autochtones européennes par des immigrés notamment africains.
"Ici on a importé le tiers-monde et on a le tiers monde", a notamment lancé M. Zemmour devant ce marché de "biffins" où les vendeurs disposaient les objets, bric et broc à même le sol pour trois fois rien.
Le "grand rabougrissement"
Sans le nommer, M. Macron a pourfendu lors de son meeting les tenants du "grand rabougrissement".
Troisième des sondages avec 15-16% des intentions de vote et éventuellement seul a même d'empêcher un second tour Macron-Le Pen, le candidat de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon a renvoyé les deux favoris dos à dos samedi à Paris.
"Le Pen présente la même fragilité que M. Macron, leur profonde indifférence à la maltraitance sociale", donc "on va convaincre, beaucoup de choses vont bouger" et "le vote est plus ouvert que beaucoup le pensent", a-t-il espéré.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Japon: séisme de magnitude 6,7 au nord du pays, alerte au tsunami
Un séisme de magnitude 6,7 s'est produit vendredi au large du nord du Japon, a annoncé l'agence météorologique nippone (JMA), quelques jours après une secousse dans la même zone ayant fait au moins 50 blessés. Une alerte au tsunami a été lancée.
Selon la JMA, des vagues pouvant atteindre un mètre pourraient frapper la côte du Pacifique au nord.
L'institut d'études géologiques américain USGS a indiqué que le tremblement de terre s'est produit à 130 kilomètres au large de Kuji, dans le département d'Iwate, sur l'île principale d'Honshu.
L'intensité des secousses était inférieure à celle du tremblement de terre de lundi soir, qui avait fait tomber des objets des étagères, endommagé des routes, brisé des vitres et déclenché des vagues de tsunami atteignant 70 centimètres, a indiqué la chaîne de télévision publique NHK.
L'autorité de régulation nucléaire a affirmé qu'aucune anomalie n'avait été détectée dans les installations nucléaires de la région.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump arbore à nouveau un pansement: poignées de main pointées
Alors que le président américain Donald Trump portait ces derniers jours un pansement sur le dos de la main droite, la Maison-Blanche a assuré à nouveau jeudi que cela s'expliquait par les très nombreuses poignées de main qu'il distribue. Donald Trump a 79 ans.
"Nous vous avons donné une explication pour cela par le passé", a déclaré jeudi la porte-parole Karoline Leavitt.
"Le président est constamment en train de serrer des mains", a dit la porte-parole, reprenant l'explication déjà avancée il y a quelques mois quand le président américain avait été vu avec un hématome sur le dos de la main droite, couvert d'une épaisse couche de maquillage.
"Il prend aussi de l'aspirine quotidiennement" comme traitement préventif cardiovasculaire, a rappelé Karoline Leavitt, "ce qui peut contribuer à ces bleus que vous voyez".
Plus vieux président élu
Cette explication avait également déjà été avancée par la Maison-Blanche, avant l'apparition des pansements, que Donald Trump portait, par exemple, dimanche pendant une soirée de gala à Washington.
La question de la santé est sensible pour le président américain le plus vieux jamais élu, qui répète que son prédécesseur, le démocrate Joe Biden, était sénile au point de ne plus gouverner lui-même à la fin de son mandat.
Mardi soir, Donald Trump a jugé dans un message empreint de colère sur son réseau social Truth Social que les articles qui portent sur son état de forme relevaient de la "sédition, peut-être même de la trahison".
Le président américain a passé en octobre une visite médicale incluant une IRM et son médecin a affirmé qu'il était en excellente santé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Le Sud-Coréen Do Kwon écope de 15 ans pour faillite frauduleuse
Le magnat sud-coréen des monnaies numériques, Do Kwon, accusé d'être à l'origine d'une faillite frauduleuse de plus de 40 milliards de dollars en 2022, a été condamné jeudi à 15 ans de prison à New York. Il avait fait fortune en lançant le Terra.
Agé de 34 ans, l'ancien cofondateur et patron de Terraform Labs, qui faisait face au départ à neuf chefs d'accusation, a plaidé coupable pour deux d'entre eux: complot en vue de fraude et fraude électronique.
Après avoir fui la Corée du Sud et Singapour, où était basée sa société, Do Kwon avait été arrêté au Monténégro avec son directeur financier. Réclamé à la fois par les autorités américaines et coréennes, il avait finalement été extradé vers les Etats-Unis en fin d'année dernière.
Diplômé de Stanford, passé par Apple et Microsoft, l'entrepreneur avait connu un succès rapide, attirant des milliards d'investissements en lançant en 2020 le Terra, présenté comme un "stablecoin", c'est-à-dire une devise numérique dont le cours était théoriquement arrimé à une devise classique, en l'occurrence le dollar.
Recherché par la Corée du Sud
Mais à la différence d'autres monnaies électroniques de ce type, comme le Tether ou l'USDC, le produit de la vente de Terra n'a pas été placé dans des actifs sûrs, comme du numéraire ou des obligations d'Etat, susceptibles d'être récupérés rapidement en cas de problème. Terraform Labs, l'entreprise fondée par Do Kwon, faisait reposer la valeur du Terra sur un algorithme.
Au printemps 2022, après la dégringolade de l'autre cryptomonnaie créée par Terraform Labs, le Luna, le Terra a fait l'objet de ventes massives par des investisseurs devenus suspicieux.
La valeur du Terra est descendue au-dessous d'un dollar, ce qui a poussé Terraform Labs à utiliser la presque totalité de ses réserves pour soutenir Luna et Terra, en vain. Au total, l'effondrement des deux cryptomonnaies a réduit de plus de 40 milliards de dollars la valeur des avoirs de leurs détenteurs.
Do Kwon risque également une peine de prison en Corée du sud, où une procédure contre lui est en cours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump exaspéré par les mauvais sondages sur l'économie
"Quand les sondages vont-ils refléter la grandeur de l'Amérique aujourd'hui?" Donald Trump a laissé libre cours jeudi à son exaspération face aux enquêtes d'opinion, qui révèlent le mécontentement croissant des Américains face à sa politique économique.
"Quand dira-t-on enfin que j'ai créé, sans inflation, peut-être la meilleure économie de l'histoire de notre pays? Quand les gens vont-ils comprendre ce qu'il se passe?" s'est encore indigné le président américain dans un message sur son réseau Truth Social. Il a une nouvelle fois accablé son prédécesseur démocrate Joe Biden pour le "désastre" qu'il lui a laissé en matière d'inflation.
Un sondage mené par l'université de Chicago pour l'agence AP, publié jeudi, indique que seulement 31% des Américains sont satisfaits de la politique économique menée par Donald Trump, contre 40% en mars, soit le plus bas niveau jamais relevé, y compris pendant son premier mandat. 68% d'entre eux jugent que l'économie américaine se porte mal, selon le même sondage.
Cette insatisfaction contraste avec le paysage économique flatteur dépeint par le président, qui a été élu en grande partie grâce à ses promesses de lutter contre la vie chère.
"Les prix baissent"
Le républicain de 79 ans a répété jeudi que "les prix baissaient rapidement" et vanté le haut niveau des cours de Bourse. L'inflation, qui avait flambé pendant la présidence de Joe Biden, a d'abord ralenti après le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier, puis a accéléré depuis avril.
Le dernier pointage publié, en septembre, était de 2,8% de hausse des prix sur un an. Le gouvernement n'a pas dévoilé de statistique pour octobre, invoquant la paralysie budgétaire alors en cours, et le chiffre de novembre est attendu la semaine prochaine.
"Pour ce qui concerne le coût de la vie, tous les indicateurs économiques (...) montrent qu'en réalité l'économie est meilleure et plus éclatante que sous le gouvernement précédent", a assuré la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt jeudi pendant une conférence de presse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 3 jours
Un président du Tribunal correctionnel de Lausanne est récusé
-
LausanneIl y a 2 jours
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Valais: 16 loups tués en Valais en moins de deux mois et demi
-
SuisseIl y a 3 jours
Le réseau FM peut continuer d'émettre en Suisse, dit le Parlement
-
SuisseIl y a 3 jours
Les vélos cargos et "longtails" devraient avoir des plaques
-
SuisseIl y a 3 jours
Le National valide le budget après 13 heures de débats
-
LausanneIl y a 3 jours
Budget de l'Etat de Vaud: pas touche aux communes


