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Macron en campagne face à 11 candidats, en plein conflit en Ukraine

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"Je serai président autant que je le dois et je serai candidat autant que je le peux", a déclaré Emmanuel Macron lundi soir à Poissy, en région parisienne. (© KEYSTONE/AP/Michel Euler)

Le chef de l'Etat français Emmanuel Macron affrontera 11 candidats lors de la présidentielle du 10 avril, dans un contexte chahuté par la guerre en Ukraine qui renforce sa position de favori, mais l'oblige à jongler entre campagne électorale et activité diplomatique.

"Je serai président autant que je le dois et je serai candidat autant que je le peux", a déclaré M. Macron lundi soir, tout en reconnaissant la difficulté de la tâche.

Le président, qui brigue un deuxième mandat de cinq ans, s'exprimait lundi soir lors d'une "conversation" avec des habitants de Poissy, en région parisienne, son premier déplacement de candidat.

"La force de la France n'est ni dans le rétrécissement, ni dans le catastrophisme", a-t-il lancé, en soulignant qu'il reste "encore beaucoup à faire" notamment en matière de transition énergétique, sécurité et immigration.

M. Macron, 44 ans, a officialisé sa candidature jeudi, via une lettre aux Français.

Les sondages le donnent largement en tête au premier tour et gagnant au second, prévu le 24 avril.

Il a fait un bond ces derniers jours dans les intentions de vote, à la faveur de l'invasion russe en Ukraine, qui a renforcé sa stature alors qu'il multiplie les contacts diplomatiques, d'après les analystes.

Selon un sondage Ipsos-Sopra-Steria, publié samedi, M. Macron a gagné quatre points en une semaine, passant au-dessus du seuil des 30% (à 30,5%), alors que 90% des personnes interrogées se disent inquiètes de la guerre en Ukraine.

Un autre sondage, mené par BVA, publié vendredi, montrait un bond de 5 points en 15 jours, pour atteindre 29% au premier tour, loin devant les candidats suivants.

En plein conflit russo-ukrainien, "Emmanuel Macron capitalise sur son triple statut de chef de l'Etat, protecteur des Français et de leurs valeurs, chef des armées et chef de la diplomatie", a souligné BVA.

M. Macron s'est entretenu lundi après-midi avec le président américain Joe Biden, après son homologue russe Vladimir Poutine la veille, et avant le Chinois Xi Jinping mardi. Les multiples rendez-vous diplomatiques culmineront jeudi et vendredi à Versailles pour un sommet européen.

"Intérêt accru"

"L'Ukraine frappe les esprits, déboule dans ce paysage politique, tout cela provoque un intérêt accru pour la campagne présidentielle", a relevé le directeur général délégué d'Ipsos Brice Teinturier sur la chaîne de télévision LCI, soulignant toutefois que cet "intérêt" ne porte pas sur les propositions des candidats.

Dans ce contexte exceptionnel, ses adversaires sont contraints de se positionner, non sans contorsions.

Confronté à de vives critiques pour ses positions prorusses, le leader de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon a dit "stop à l'invasion de l'Ukraine", lors d'un meeting dimanche à Lyon (sud-est). Il a aussi plaidé pour une France "non alignée" qui "n'accepte pas un ordre du monde dans lequel il y aurait d'un côté l'Otan et de l'autre un bloc russe" et chinois.

Ce qui lui a valu les foudres du candidat écologiste Yannick Jadot qui s'en est pris aux "complaisances" de M. Mélenchon et à sa "capitulation" vis-à-vis de M. Poutine.

M. Mélenchon est en tête des intentions de vote à gauche, qui se présente extrêmement divisée avec également les candidatures de Yannick Jadot, Anne Hidalgo (Parti socialiste), Fabien Roussel (Parti communiste), Nathalie Arthaud et Philippe Poutou (extrême gauche).

A droite, la principale adversaire de M. Macron est la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse.

L'extrême droite se présente de son côté avec deux candidats, Marine Le Pen (le plus souvent classée en deuxième position dans les sondages)et Eric Zemmour.

L'ancien éditorialiste et journaliste, qui a reçu le soutien dimanche de Marion Maréchal, la nièce de Marine Le Pen, est lui aussi pris à partie pour son tropisme prorusse.

Ses propos sur l'accueil des réfugiés ukrainiens en Pologne plutôt qu'en France ont aussi suscité des remous, y compris dans son entourage.

Douze candidats

Au total, les candidats seront donc douze sur la ligne de départ du premier tour le 10 avril, soit un de plus qu'en 2017, le Conseil constitutionnel ayant validé les parrainages du candidat d'extrême gauche Philippe Poutou.

Dans les starting-blocks, selon l'ordre officiel annoncé lundi et établi par tirage au sort: Nathalie Arthaud (LO), Fabien Roussel (PCF), Emmanuel Macron (LREM), Jean Lassalle (Résistons!), Marine Le Pen (RN), Eric Zemmour (Reconquête!), Jean-Luc Mélenchon (LFI), Anne Hidalgo (PS), Yannick Jadot (écologiste), Valérie Pécresse (LR), Philippe Poutou (NPA) et Nicolas Dupont-Aignan (DLF).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un ministre israélien nie l'existence des Palestiniens: tollé

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"Les Arabes ont inventé un peuple fictif (les Palestiniens) et prétendent à des droits fictifs sur la terre d'Israël", a osé le ministre israélien Bezalel Smotrich. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

L'Autorité palestinienne et plusieurs pays arabes ont fermement dénoncé lundi les propos d'un ministre israélien d'extrême droite. Ce dernier a nié l'existence des Palestiniens comme individus et comme peuple.

"Il n'y a pas de Palestiniens car il n'y a pas de peuple palestinien", a déclaré dimanche soir le ministre des Finances israélien Bezalel Smotrich lors d'une visite privée à Paris, selon une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux.

"Ce genre de commentaire n'aide pas du tout", a déclaré Farhan Haq, porte-parole du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres. L'ONU "continuera à soutenir les droits du peuple palestinien et à pousser pour une solution à deux Etats, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité", a-t-il ajouté.

Les Palestiniens, "peuple fictif"

En visite privée à Paris, M. Smotrich a fait ces déclarations le jour même de pourparlers en Egypte pour tenter d'atténuer les tensions à l'approche du ramadan et alors que le conflit israélo-palestinien est aspiré dans une nouvelle spirale de violence ayant fait déjà plus de cent morts depuis le début de l'année.

"Après 2000 ans d'exil, les prophéties (de la Bible) commencent à se réaliser et (...) le peuple d'Israël retourne chez lui", a déclaré M. Smotrich. "Il y a des Arabes autour qui n'aiment pas cela, alors que font-ils? Ils inventent un peuple fictif et prétendent à des droits fictifs sur la terre d'Israël", a-t-il ajouté.

"Preuve de racisme"

Ces "propos incendiaires" selon lesquels "il n'y a pas de peuple palestinien et que celui-ci est une invention (...) est une preuve irréfutable du racisme de l'idéologie sioniste extrémiste" du gouvernement israélien dirigé par Benjamin Netanyahu, a déclaré le Premier ministre palestinien Mohammad Shtayyeh.

Mais pour M. Smotrich, "c'est la vérité historique, c'est la vérité biblique (...) et cette vérité, les Arabes en Israël doivent l'entendre (et elle) doit être entendue ici au palais de l'Elysée, et à la Maison Blanche à Washington"

Ces paroles témoignent de la "politique raciste et fasciste" d'Israël, a déclaré le mouvement islamiste Hamas, appelant la communauté internationale, dont la France, à prendre "fermement position contre l'occupation" israélienne des Territoires palestiniens.

Carte redessinée

M. Smotrich a tenu ses propos derrière un pupitre avec une carte figurant un Israël incluant les territoires qu'il occupe depuis 1967 et la Jordanie voisine.

Condamnant des propos relevant d'un "racisme extrême", le ministère des Affaires étrangères jordanien a prévenu que "l'utilisation d'une (telle) carte" pourrait être une violation du traité de paix israélo-jordanien de 1994.

L'ambassadeur israélien en Jordanie a ensuite été convoqué par les autorités qui lui ont remis une "lettre de protestation aux termes forts" qu'il doit transmettre à son gouvernement, a indiqué le ministère jordanien en soirée.

Le ministère des Affaires étrangères israélien a affirmé l'"attachement d'Israël à l'accord de paix" avec Amman, assurant que "la position de l'Etat d'Israël, qui reconnaît l'intégrité territoriale du Royaume hachémite, n'(avait) pas changé."

Appel à "l'anéantissement"

Le Caire a qualifié les propos de M. Smotrich de "racistes", "incendiaires et inacceptables".

Les discussions de dimanche en Egypte ont accouché d'un communiqué semblable à celui d'une rencontre similaire tenue en Jordanie le 26 février et faisant part d'un engagement d'Israël et de l'Autorité palestinienne en faveur d'une "désescalade", qui n'avait alors guère été suivi d'effets.

Alors même que se tenait la réunion en Jordanie, deux colons israéliens avaient été tués par balles dans leur voiture à Huwara, localité palestinienne du nord de la Cisjordanie occupée. En représailles, des colons avaient attaqué Huwara, incendiant des dizaines de bâtiments et de voitures.

"Je pense que Huwara devrait être anéantie", avait déclaré de son côté M. Smotrich, avant de se rétracter face au tollé international provoqué par cette déclaration.

Bureau fermé à Jérusalem-Est

Autre figure d'extrême droite au sein du gouvernement Netanyahu, Itamar Ben Gvir, ministre de la Sécurité nationale, a annoncé la fermeture, à Jérusalem-Est annexée, d'un bureau de production travaillant pour le compte de la Radio-Télévision publique palestinienne, affirmant que cette société n'était pas régulièrement enregistrée auprès des autorités israéliennes et l'accusant d'"incitation à la haine".

Interrogé par l'AFP, Ahmad Assaf, chef de l'audiovisuel public palestinien a rappelé que le bureau de Palestine TV à Jérusalem-Est avait été fermé par Israël en 2018 et a condamné la décision de M. Ben Gvir comme "crime contre le journalisme".

Israël a annoncé parallèlement des mesures visant à alléger les restrictions imposées aux Palestiniens et censées leur permettre de se rendre en plus grand nombre pour venir prier sur l'esplanade des Mosquées de Jérusalem - troisième Lieu saint de l'islam - pendant le ramadan, qui doit commencer mercredi ou jeudi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Dauphins échoués: la France doit fermer des zones de pêche

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Dans la majorité des cas, les dauphins morts présentent des traces de capture par un engin de pêche. (© KEYSTONE/AP OUEST FRANCE/FREDERIC LAGET)

Le gouvernement français va devoir fermer d'ici six mois certaines zones de pêche dans l'Atlantique, pour y garantir la conservation des dauphins. C'est ce que lui a ordonné lundi le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative du pays.

La zone concernée, où il s'agit de "limiter les captures accidentelles de petits cétacés", est le golfe de Gascogne qui s'étend, à l'ouest de la France, de la côté nord de l'Espagne jusqu'à la Bretagne.

Les "dispositifs de dissuasion acoustique" équipant les bateaux de pêche "ne permettent pas de garantir un état de conservation favorable des espèces de petits cétacés" dont deux, le dauphin commun et le marsouin commun, sont menacées d'extinction, "au moins régionalement", relève le Conseil d'Etat.

Limite maximale dépassée

Car le nombre de décès de dauphins par capture accidentelle dans le golfe de Gascogne "dépasse chaque année la limite maximale permettant d'assurer un état de conservation favorable en Atlantique Nord-Est", ajoute-t-il.

Et "le système de contrôle des captures accidentelles mis en place demeure insuffisant pour connaître encore plus précisément leur ampleur", note-t-il également, en ordonnant des mesures complémentaires "pour permettre d'estimer de manière plus précise le nombre de captures annuelles de petits cétacés".

Près de 1000 morts cet hiver

Les échouages de dauphins se sont multipliés ces derniers mois sur les plages du littoral atlantique en France, dont au moins 910 cet hiver selon le dernier décompte de l'observatoire océanographique Pelagis.

Dans la majorité des cas, ces dauphins morts présentent des traces de capture par un engin de pêche.

Un recours, à l'origine de la décision du Conseil d'Etat, avait été déposé en 2021 conjointement par France Nature environnement (FNE), Sea Sheperd France et l'association de défense des milieux aquatiques (DMA).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Rapport du Giec: Thunberg dénonce la "trahison" des dirigeants

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"Le fait que les personnes au pouvoir vivent toujours dans le déni, et aillent activement dans la mauvaise direction, sera au final considéré et retenu comme une trahison sans précédent", affirme la figure suédoise de la cause climatique. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La militante écologiste Greta Thunberg a fustigé la "trahison sans précédent" des dirigeants politiques en matière de climat. Elle s'exprimait après la publication lundi de la dernière synthèse du Giec, le groupe d'experts de l'Onu.

"Le fait que les personnes au pouvoir vivent toujours dans le déni, et aillent activement dans la mauvaise direction, sera au final considéré et retenu comme une trahison sans précédent", affirme la figure suédoise de la cause climatique dans une déclaration écrite à l'AFP. "C'est juste une question de temps", ajoute la jeune femme âgée de 20 ans.

Pour Greta Thunberg, instigatrice du mouvement "Fridays for Future" et des grèves pour le climat, il devient de plus en plus impossible d'ignorer la crise climatique".

"Tant de gens en vivent les conséquences directes, la science est désormais sans équivoque et ils sont si nombreux à avoir sonné l'alarme depuis des décennies", souligne la Suédoise.

Manque de volonté politique

A l'occasion de la publication de la nouvelle synthèse du Giec, son président Hoesung Lee a déploré le manque de "volonté politique forte" en matière de lutte contre le changement climatique, du moins "pour l'instant", tout en qualifiant le rapport de "message d'espoir".

Selon le Giec, le réchauffement climatique atteindra 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle dès les années 2030-2035, alors que la température du globe a déjà grimpé de près de 1,2°C en moyenne.

Cette projection est valable dans presque tous les scénarios d'émissions de gaz à effet de serre de l'humanité à court terme établis par le groupe de scientifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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"Bon jour" pour le Yémen avec un accord en Suisse sur des détenus

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L'émissaire de l'ONU Hans Grundberg s'est dit satisfait de l'accord sur les détenus obtenu auprès des rebelles Houthis et du gouvernement yéménite. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Près de 900 détenus vont être relâchés prochainement par les parties au conflit yéménite. L'accord a été obtenu après une dizaine de jours de discussions près de Berne. "Un bon jour" pour le Yémen, a dit lundi l'émissaire de l'ONU. Et un succès pour la Suisse.

"Pour des centaines de familles yéménites, aujourd'hui est un bon jour", a dit à la presse à Genève l'émissaire Hans Grundberg, entouré de représentants du Comité de la Croix-Rouge (CICR), de la Suisse, du gouvernement yéménite en exil et des rebelles Houthis. Il n'a pas souhaité donner d'indications plus précises sur la répartition des prisonniers qui seront relâchés.

Mais auparavant, aussi bien les rebelles que le gouvernement avaient affirmé que plus de 180 prisonniers proches du gouvernement et de ses alliés seraient libérés, dont des Saoudiens et des Soudanais, contre plus de 700 Houthis.

L'accord, validé lundi à Genève, a été obtenu après dix jours de réunion dans le plus grand secret des parties, sous l'égide de l'ONU et du CICR. Dans un accord en 2018, le gouvernement en exil et les rebelles Houthis avaient convenu de relâcher 15'000 prisonniers. Ce chiffre est encore loin d'être atteint.

L'échange de détenus désormais attendu doit avoir lieu dans les trois prochaines semaines. "Nous savons que le ramadan arrive", a insisté le directeur régional du CICR Fabrizio Carboni. Et d'appeler les deux parties à un accès sans entrave dans les prochaines semaines pour avancer sur le lourd dispositif, mener des entretiens auprès de ceux qui seront libérés et garantir qu'ils sont en condition d'être transportés.

Prudence sur les avancées politiques

"Il y a beaucoup de travail, beaucoup de préparation", a-t-il insisté. En 2020, le CICR avait facilité l'échange de 1056 prisonniers entre les deux parties, le plus important de l'organisation depuis la Guerre de Corée. Il avait fallu plusieurs jours pour acheminer ces détenus.

"Dans la vie humanitaire, nous n'avons pas souvent de bonnes nouvelles à annoncer", a affirmé M. Carboni pour donner la mesure de l'arrangement obtenu. Il souhaite désormais des avancées sur les personnes portées disparues.

De son côté aussi, l'ONU en veut davantage. Son émissaire a appelé à d'autres libérations, y compris unilatérales. Il va poursuivre ses efforts pour rétablir la trêve qui avait été observée pendant six mois l'année dernière et mettre un terme à un conflit qui dure depuis plus de huit ans.

Mais, malgré le rapprochement récent entre l'Arabie saoudite, qui mène la coalition internationale en soutien au gouvernement yéménite, et l'Iran proche des Houthis, il ne veut pas donner de calendrier. "Je prends une étape après l'autre", tout en pensant à plus long terme, a insisté M. Grundberg, qui s'est rendu récemment dans ces deux pays.

En attendant des avancées politiques, l'accord de lundi prévoit une nouvelle réunion en mai prochain pour parler de libérations supplémentaires. Les deux parties ont également accepté des visites conjointes de leurs centres de détention.

Suisse satisfaite

Pour la Suisse, l'arrangement obtenu sur le Yémen tombe bien, alors qu'elle veut faire avancer les questions de paix et sécurité comme membre non permanent du Conseil de sécurité. "C'est une bonne combinaison", affirme à Keystone-ATS le chef de la division ONU au Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), l'ambassadeur Thomas Gürber.

Il n'est pas encore certain que la prochaine réunion de mai aura lieu en Suisse. Mais celle-ci est toujours prête à l'accueillir, a affirmé le secrétaire d'Etat adjoint.

La situation humanitaire reste de son côté préoccupante, même si elle s'est un peu améliorée. Comme l'année dernière, la conférence de donateurs tenue récemment à Genève n'a réussi à rassembler qu'environ 1,2 milliard de dollars, loin des 4,3 milliards demandés par l'ONU et ses partenaires.

Des dizaines de milliers de civils ont été tués ou blessés au total en raison du conflit. Et des millions de personnes ont été déplacées, estime l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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