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Économie

Mark Zuckerberg à la barre au premier jour du procès Meta

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Mark Zuckerberg a essayé par de nombreux moyens d'éviter que ce procès n'ait lieu. Il a tout au plus réussi à le retarder (Archives). (© KEYSTONE/AP/Jordan Strauss)

Le procès de Meta, accusé d'avoir acheté Instagram et WhatsApp pour étouffer des concurrents potentiels, s'est ouvert lundi à Washington en dépit des efforts de son patron, Mark Zuckerberg, pour l'éviter.

Le milliardaire a été appelé à la barre en premier. Il va essayer de montrer que les deux services ne sont devenus des applications incontournables que grâce aux investissements de son groupe.

L'affaire arrive au tribunal cinq ans après la plainte déposée sous le premier gouvernement Trump. Si le géant des réseaux sociaux perd, il pourrait être forcé de se séparer de ses deux plateformes phares.

L'agence de protection des consommateurs, la FTC, va devoir prouver que Meta, alors Facebook, a abusé de sa position dominante lors du rachat d'Instagram en 2012, pour un milliard de dollars, et de WhatsApp en 2014, pour 19 milliards.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Les assureurs Baloise et Helvetia fusionnent

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L'assureur Baloise fusionne avec son homologue Helvetia. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les assureurs Baloise et Helvetia fusionnent. Helvetia Baloise, le groupe né de la fusion "entre égaux" emploiera plus de 22'000 collaborateurs et représentera le numéro deux helvétique de la branche, son volume d'affaires s'affichant à plus de 20 milliards de francs.

Etabli à Bâle, l'assureur fusionné, détiendra une part de 20% du marché suisse et sera également présent en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, en Belgique, en Autriche et au Luxembourg ainsi qu'au niveau mondial dans les assurances spéciales, indiquent mardi Helvetia et Baloise dans un communiqué commun. Le nouveau poids lourd helvétique de l'assurance affichera un volume de primes brutes de 8,6 milliards de francs dans les affaires-vie et de 11,5 milliards dans le secteur dommages.

Dans le cadre de la transaction, les actionnaires de Baloise recevront 1,0119 titre nouvellement émis d'Helvetia pour chaque action Baloise en leur possession. Auparavant, les propriétaires des groupes bâlois et st-gallois devront donner leur feu vert à l'opération lors d'assemblées générales extraordinaires qui se tiendront le 23 mai prochain. Les conseils d'administration de Baloise et Helvetia recommandent d'approuver le projet.

Actionnaire de référence d'Helvetia à la faveur d'une participation de 34,1%, la coopérative Patria, s'est déjà engagée à donner son feu vert au mariage. La fusion, qui nécessite aussi l'approbation des autorités concernées, doit être finalisée au cours du 4e trimestre de cette année.

Synergies de 350 millions de francs

Présentant une taille similaire, des marchés complémentaires et un fort potentiel de synergie, les deux partenaires estiment les conditions d'une transaction réussie réunies, celle-ci étant appelée à créer une plus-value durable. Une grande proximité culturelle, des racines fortes en Suisse ainsi que la tradition de 160 ans de chacune des deux entreprises constituent une base solide.

La fusion doit permettre de réaliser des synergies annuelles d'environ 350 millions de francs avant impôts, les coûts d'intégration étant eux devisés entre 500 et 600 millions ces prochaines années jusqu'à l'échéance prévue de 2028. En outre, la nouvelle entité devrait générer nettement plus de liquidités et la capacité à verser des dividendes devrait augmenter d'environ 20% d'ici 2029.

La fusion entraînera aussi des suppressions d'emplois, en particulier dans les pays où il existe des chevauchements, ajoutent les deux assureurs. Les réductions d'effectifs, non chiffrées, interviendront dans la mesure du possible par l'entremise des fluctuations naturelles ainsi que des mesures de retraite anticipée. Leur mise en oeuvre est prévue avant 2029.

Le conseil d'administration sera composé de 14 membres, la moitié des administrateurs représentant Baloise, l'autre moitié provenant d'Helvetia. Thomas von Planta, actuel président de l'organe de surveillance de Baloise, sera proposé à la présidence, alors que Fabian Rupprecht, actuel directeur général d'Helvetia, assumera la direction opérationnelle du groupe (CEO).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Les assureurs Baloise et Helvetia fusionnent

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Alerte Info (© )

Les assureurs Baloise et Helvetia fusionnent. Helvetia Baloise, le groupe né de la fusion, emploiera 22'000 collaaborateurs pour un volume de primes brutes 8,6 milliards de francs dans les assurances-vie et de 11,5 milliards de francs dans les affaires dommages.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

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Trump examine la possibilité de renvoyer le président de la Fed

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Donald Trump a réitéré mercredi ses attaques contre le patron de la Fed Jerome Powell au sujet de sa politique de taux d'intérêts (archives). (© KEYSTONE/EPA/MICHAEL REYNOLDS)

Donald Trump et son gouvernement étudient la possibilité de limoger le président de la Banque centrale américaine Jerome Powell. Le patron de la Fed est dans le viseur du président depuis plusieurs jours pour son refus de baisser les taux d'intérêt de l'institution.

"Le président et son équipe continueront à se pencher sur la question" de limoger Jerome Powell, a déclaré vendredi à des journalistes le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett.

Jeudi, Donald Trump avait affirmé qu'il n'était "pas content" de M. Powell. "Je lui ai fait savoir et si je veux qu'il parte, il partira vite fait, croyez-moi", avait-il assuré.

Le milliardaire républicain n'a pas le pouvoir de limoger directement les patrons de la Fed. Pour tenter de destituer Jerome Powell, il devrait entamer une longue procédure et prouver que ce dernier a commis une faute grave.

Donald Trump a nommé Jerome Powell à la tête de la Fed lors de son premier mandat, en 2018, mais l'accuse aujourd'hui de politiser la banque centrale américaine.

Le président de la Fed a mis en garde mercredi contre les effets des droits de douane décidés par M. Trump, qui "vont très certainement entraîner au moins une hausse temporaire de l'inflation". Le président américain a fortement augmenté les droits de douane s'appliquant aux produits entrant aux Etats-Unis, imposés désormais au minimum à 10%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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JD Vance affiche son optimisme sur l'Ukraine en rencontrant Meloni

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JD Vance a été reçu au Palais Chigi par Giorgia Meloni. (© KEYSTONE/EPA/RICCARDO ANTIMIANI)

Le vice-président américain JD Vance a été reçu vendredi à Rome, en pleine guerre commerciale entre Washington et l'UE, par sa "chère amie" Giorgia Meloni. Il a assuré sur X avoir eu un entretien "fantastique" avec la cheffe du gouvernement italien et son équipe.

M. Vance a été reçu au Palais Chigi par Mme Meloni pour un entretien bilatéral et un repas auquel ont participé également les deux vice-premiers ministres italiens Matteo Salvini et Antonio Tajani.

A son arrivée à la résidence officielle de Mme Meloni en plein centre de Rome, M. Vance avait indiqué qu'il informerait Giorgia Meloni des "négociations entre la Russie, l'Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures".

Optimisme sur l'Ukraine

"Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr", avait-il ajouté. "Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale", avait-il conclu sans donner d'autres précisions.

Cet optimisme contraste avec l'impatience manifeste vendredi du secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio, à l'issue de réunions organisées la veille avec les Ukrainiens et les Européens à Paris: "Nous devons déterminer dans les prochains jours si (la paix) est faisable ou non", a dit ce dernier.

M. Rubio a menacé de "passer à autre chose" si Washington venait à établir que la paix "n'est pas possible", tranchant avec les propos de Donald Trump qui promettait pendant sa campagne électorale de mettre fin à la guerre en Ukraine "en 24 heures". "Les Etats-Unis ont d'autres priorités", a-t-il lancé à son départ de France.

Guerre commerciale

JD Vance a également assuré que les deux pays "poursuivraient les échanges" concernant les droits de douane amorcés la veille à Washington entre Mme Meloni et le président Donald Trump. Il s'est aussi dit "tout simplement enchanté de se retrouver avec une chère amie dans un bel endroit avec des gens formidables".

Mme Meloni s'est de son côté dite "fière" que JD Vance "ait décidé de passer Pâques à Rome", "après la rencontre merveilleuse que nous avons eue hier à Washington".

Giorgia Meloni a fait jeudi une visite éclair à la Maison Blanche où elle s'est entretenue avec Donald Trump des droits de douane qu'il veut imposer aux pays de l'Union européenne. Le président américain s'est dit à cette occasion sûr "à 100%" qu'un accord sur les droits de douane avec l'Union européenne serait conclu.

Fêtes de Pâques

M. Vance est arrivé en Italie samedi à l'aube avec son épouse Usha et leurs trois enfants. Ce fervent catholique devait ensuite assister à la messe du Vendredi saint en la basilique Saint-Pierre. Il participera dimanche aux célébrations pascales sur la place Saint-Pierre avant de partir pour l'Inde.

M. Vance, converti au catholicisme à 35 ans, doit être reçu samedi au Vatican par le secrétaire d'Etat du Saint-Siège, Pietro Parolin, mais il espère pouvoir également rencontrer le pape François, en convalescence après une grave pneumonie.

Le séjour de JD Vance en Italie marque son retour en Europe pour la première fois depuis son discours polémique en février à Munich à propos du respect du droit de vote et de la liberté d'expression, qui avait sidéré de nombreux dirigeants européens.

M. Vance avait déploré le "recul" de la liberté d'expression sur le Vieux continent, plus inquiétant, selon lui, que la menace posée par "la Russie", "la Chine" ou un "autre acteur externe". Mme Meloni s'était déclarée en phase avec ces propos. "Je le dis depuis des années (...), l'Europe s'est un peu perdue", avait-elle déclaré.

Trump invité à Rome

A Washington, Mme Meloni, première dirigeante européenne à visiter la Maison Blanche depuis la brutale offensive douanière lancée par son locataire, s'est déclarée "certaine" qu'un accord serait trouvé. Donald Trump a toutefois précisé qu'il n'était "pas pressé" et que Giorgia Meloni ne l'avait pas fait varier de stratégie.

La cheffe de la coalition ultraconservatrice au pouvoir à Rome a affirmé "ne pas pouvoir négocier au nom de l'Union européenne" mais elle a précisé avoir invité Donald Trump à se rendre prochainement à Rome, ce qu'il a accepté. Avec sur la table une possible entrevue avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Donald Trump a imposé depuis le 5 avril des droits de douane d'au moins 10% sur l'ensemble des produits entrant aux Etats-Unis.

Dépendante des exportations de son industrie, qui pèse près d'un quart de son PIB, Giorgia Meloni a critiqué cette offensive tarifaire tout en jouant le dialogue et exhortant Bruxelles à ne pas prendre de mesures de rétorsion.

Son pas de deux avec Donald Trump inquiète ses partenaires européens qui craignent qu'elle ne fasse cavalier seul.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / ansa

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