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International

Masters ATP: Zverev bat Rublev 6-4 6-4

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Alexander Zverev s'est montré solide lundi à Turin (© KEYSTONE/AP/Antonio Calanni)

L'Allemand Alexander Zverev (ATP 2) a pris un bon départ dans les Masters ATP à Turin. Il a dominé le Russe Andrey Rublev (ATP 8) en deux sets, 6-4 6-4.

Zverev, récent vainqueur du Masters 1000 de Paris, avait déjà battu Rublev il y a tout juste un an lors de l'édition 2023 du "tournoi des maîtres" lors de leur dernière confrontation, déjà en phase de groupes et déjà sur le score de 6-4 6-4. L'Allemand a fait la différence dans le premier set en s'emparant du service de son adversaire dans le septième jeu pour mener 4-3, puis 5-3.

Les deux joueurs sont restés dos à dos dans la seconde manche jusqu'à 4-4. L'Allemand a alors pris le service de son adversaire et un avantage décisif grâce notamment à deux volées gagnantes.

Après cette victoire, Zverev, vainqueur à deux reprises des Masters (2018, 2021), occupe la 2e place du groupe "John Newcombe", derrière le Norvégien Casper Ruud (ATP 7) qui a fait sensation plus tôt en battant 6-1 7-5 l'un des prétendants au titre, l'Espagnol Carlos Alcaraz (ATP 3).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'ONU demande d'éviter les représailles et revanches en Syrie

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Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk veut que les droits humains soient au centre d'un dialogue national en Syrie (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk demande que les responsabilités pour des violations en Syrie soient établies. Lundi à Genève, il a appelé à éviter toute "représaille" ou "revanche".

Pour les Syriens, "tant de choses restent incertaines", a dit l'Autrichien à la presse. "Il est impératif que toutes les preuves soient conservées méticuleusement pour l'avenir", a-t-il insisté, après des décennies de dictature et une guerre qui a duré 13 ans.

La question de l'appareil de sécurité sera très importante, de même que celle de la recherche des personnes portées disparues, selon le Haut commissaire. Il veut que les droits humains soient au centre d'un dialogue national.

Alors que les hostilités se poursuivent dans le nord-est du pays, il appelle les parties au conflit à honorer le droit international humanitaire (DIH) et les droits humains. "Toutes les mesures doivent être prises pour garantir la protection des minorités et d'éviter des représailles et des actes de revanche".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Après une trêve Notre-Dame, Macron reprend les consultations

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Emmanuel Macron a bénéficié d'une parenthèse "enchantée" ce week-end avec Notre-Dame. (© KEYSTONE/EPA/THIBAULT CAMUS / POOL)

Après une courte trêve consacrée à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, le président français Emmanuel Macron reprend lundi ses consultations afin de nommer un nouveau Premier ministre. Son camp le presse d'agir vite.

Issu de la droite, l'ancien commissaire européen Michel Barnier, en fonction depuis seulement trois mois, a été contraint jeudi de démissionner de son poste de chef de gouvernement, après le vote de censure à l'Assemblée nationale.

Pour trouver son successeur, M. Macron, qui a bénéficié d'une parenthèse "enchantée" ce week-end avec Notre-Dame, recevra tour à tour des députés indépendants, les écologistes et les communistes lundi matin.

Alors qu'il lui avait fallu 51 jours cet été pour choisir Michel Barnier, M. Macron est cette fois pressé de trancher par son propre camp. A commencer par son allié de toujours, le centriste François Bayrou, préoccupé par "une situation que pas un citoyen français ne peut accepter de voir perdurer ou se complexifier".

Pressenti, parmi d'autres, pour Matignon, le patron du parti MoDem ne revendique pas le poste mais presque: "Si je peux aider à ce qu'on sorte de tout ça, je le ferai", a-t-il lancé dimanche.

"Pas de compromis"

La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a plaidé de son côté pour une nomination "dans les prochaines heures".

Son calcul est simple: "additionner" les députés du "socle commun" (droite et centre), des indépendants et du parti socialiste pour obtenir une majorité absolue à l'Assemblée, afin qu'il n'y ait "plus de censure possible".

Et d'appeler à "un programme d'action" commun entre ces groupes politiques, autour notamment de la question des soins, de l'agriculture ou de la décentralisation. Mais en pratique, l'arithmétique se heurte à de multiples "lignes rouges".

Le socialiste Boris Vallaud, l'écologiste Marine Tondelier et le social-démocrate Raphaël Glucksmann ont réfuté lundi l'hypothèse d'une nomination de François Bayrou, rappelant que le centriste n'a "pas gagné les législatives" et incarne la "continuité politique" d'Emmanuel Macron.

Le chef de file des députés du parti de droite Les Républicains (LR, Laurent Wauquiez a rappelé pour sa part ses "conditions": "Ni (le parti de gauche radicale) LFI au gouvernement, ni le programme (de l'alliance de gauche) du Nouveau Front populaire", au point d'affirmer qu'un Premier ministre socialiste est "une hypothèse pas crédible".

Or, c'est précisément ce que réclame le numéro un du parti socialiste, Olivier Faure, venu à l'Elysée vendredi proposer des "concessions réciproques" au président de la République, qui lui a déjà concédé des rendez-vous avec les écologistes et les communistes.

Mais ce début d'ouverture a réveillé l'ire de LFI, qui a refusé l'invitation à l'Elysée et instruit tout le weekend le procès en déloyauté de leurs alliés.

"Il n'y a pas de compromis possible avec la politique économique d'Emmanuel Macron", a affirmé la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot, pointant "une volonté claire du pouvoir de fracturer le NFP".

"Loi spéciale"

A l'autre bout de l'échiquier politique, le parti d'extrême droite du Rassemblement national (RN) reste à l'affût. Pas convié à l'Elysée, son président Jordan Bardella demande déjà "à être reçu avec Marine Le Pen" par le futur Premier ministre "de manière à pouvoir exprimer très clairement (leurs) lignes rouges", qui n'ont "pas varié": pouvoir d'achat, sécurité, immigration et scrutin proportionnel.

Arbitre de la censure du gouvernement Barnier, le parti prévient d'avance: "Vous ne pouvez pas faire comme si on n'était pas là".

La pression de nommer un nouveau chef du gouvernement est aussi liée à la situation financière du pays. Avec un déficit cette année qui devrait dépasser les 6% du PIB, la France affiche la pire performance des Vingt-Sept à l'exception de la Roumanie, très loin du plafond de 3% autorisé par l'UE.

Alors que le gouvernement démissionnaire s'était fixé l'objectif de réduire le déficit public à 5% du PIB l'an prochain, le projet de budget 2025 n'a pas pu être voté en raison de la censure.

Promise la semaine passée par M. Macron, la "loi spéciale" permettant à l'appareil d'Etat de fonctionner en l'absence de promulgation d'un budget au 1er janvier est "prête", a assuré lundi matin le ministre du Budget démissionnaire Laurent Saint-Martin, ajoutant qu'il suffirait de réunir un conseil des ministres pour que le texte soit présenté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Chine: l'inflation continue de ralentir en novembre

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Contrairement à l'inflation élevée dans d'autres pays, la Chine fait face à une stagnation des prix, ce qui freine la croissance économique. (archive) (© KEYSTONE/EPA/MARK R. CRISTINO)

L'inflation en Chine a continué de ralentir en novembre, selon des données officielles publiées lundi, témoignant d'une consommation atone malgré les efforts de relance du gouvernement.

L'indice des prix à la consommation, baromètre clé de la vitalité de la consommation des ménages et de l'activité économique de la deuxième économie mondiale, n'a progressé que de 0.2 % en novembre sur un an, contre 0.3 % en octobre, selon le Bureau national des statistiques (BNS).

Ce chiffre est inférieur aux prévisions d'économistes sondés par l'agence Bloomberg (+0,4%).

Pékin a multiplié ces derniers mois les plans de relance dans l'espoir de donner un coup de fouet à l'activité domestique, et d'éloigner définitivement le spectre de la déflation.

Contrairement à l'inflation élevée observée dans de nombreux pays, la Chine fait face à une stagnation des prix, ce qui freine la croissance économique et augmente la valeur réelle des dettes.

Le géant asiatique a déjà plongé fin 2023 dans la déflation pendant quatre mois, enregistrant en janvier la plus forte contraction des prix à la consommation en 14 ans.

Depuis fin 2022, les prix "départ usine" - c'est-à-dire prix hors transport - ne cessent également de reculer. En novembre, ils ont chuté de 2,5% sur un an, après une baisse de 2,9% en octobre, a indiqué le BNS.

Les autorités ont annoncé ces derniers mois des baisses de taux d'intérêt, des assouplissements de restrictions sur l'achat de logements, ou encore un relèvement du plafond de la dette des gouvernements locaux.

Mais de nombreux économistes estiment qu'une relance budgétaire plus directe, ciblant le soutien à la consommation intérieure, est nécessaire pour conforter pleinement la santé économique chinoise.

"L'activité s'est stabilisée, mais la reprise n'est pas suffisamment forte pour stimuler l'inflation", affirme Zhiwei Zhang, économiste en chef de Pinpoint Asset Management, dans une note.

"Un soutien budgétaire beaucoup plus important est nécessaire pour sortir la Chine de cette conjoncture déflationniste", ajoute-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Nikola Jokic trop fort pour Clint Capela et les Hawks

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Clint Capela (no 15) au duel avec Nikola Jokic. (© KEYSTONE/AP/John Bazemore)

Après six victoires de rang, Altanta est retombé brutalement de son nuage. Sur leur parquet, les Hawks se sont inclinés 141-111 devant Denver.

Au lendemain de son surprenant revers à Washington, le champion 2023 a relevé la tête. Auteur de 56 points contre les Wizards, Nikola Jokic a, à nouveau, sorti le grand jeu. Le Serbe a inscrit 48 points et a cueilli 14 rebonds. Il ne lui a manqué que 2 assists pour signer un triple double.

Trop vite handicapé par les fautes, Clint Capela n’a bénéficié que d’un temps de jeu de 19’. Avec 9 points et 10 rebonds pour un différentiel de -11, le Genevois, comme ses coéquipiers d'ailleurs, a très vite compris que Nikola Jokic était tout simplement trop fort.

Toujours privé de Kyshawn George blessé à la cheville gauche, Washington n’a pas été en mesure d’enchaîner. Dans leur salle, les Wizards ont été battus 140-112 par Memphis qui évoluait pourtant sans son atout maître Ja Morant.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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