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International

Mexico: une collision entre deux métros fait un mort et 57 blessés

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Les trains sont entrés en collision dans un tunnel reliant les stations Potrero et La Raza, sur la ligne 3 du métro qui traverse Mexico du nord au sud. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Une collision entre deux rames de métro samedi à Mexico a fait un mort et 57 blessés, selon un bilan des autorités. Cet accident endeuille à nouveau le réseau de transport public de la capitale mexicaine après celui de mai 2021 qui avait fait 26 morts.

"Il y a 57 personnes blessées, dont certaines avec des blessures mineures mais qui sont néanmoins arrivées dans les hôpitaux et, malheureusement, un décès", a déclaré la maire de Mexico, Claudia Sheinbaum. "La personne qui est dans l'état le plus grave est le conducteur du train", a-t-elle ajouté.

Les trains sont entrés en collision dans un tunnel reliant les stations Potrero et La Raza, sur la ligne 3 du métro qui traverse Mexico du nord au sud. La justice a ouvert une enquête sur les causes de l'accident. Le président mexicain Andrés Manuel López Obrador a exprimé sur Twitter ses condoléances aux victimes.

837 millions de passagers en 2021

Le métro de Mexico est régulièrement sous le feu des critiques en raison du manque d'entretien des installations. En mai 2021, l'effondrement d'un pont au passage d'une rame avait causé la mort de 26 personnes et en avait blessé une centaine.

La même année, l'incendie d'un poste de contrôle du métro avait intoxiqué 30 personnes. En 2020, deux trains déjà entrés en collision à la station Tacubaya avaient fait un mort et 41 blessés.

Inauguré en 1969, le métro de Mexico comporte 12 lignes, 195 stations pour 226 kilomètres de voies. En 2021, il avait transporté 837 millions de passagers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La 100e victoire de Novak Djokovic à Paris

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Novak Djokovic: un sans-faute pour l'instant à Roland-Garros. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Après le 100e titre à Genève, la 100e victoire à Roland-Garros : Novak Djokovic est parfaitement lancé pour, pourquoi pas, écrire à 38 ans un nouveau chef-d’½uvre.

Le Serbe s’est qualifié pour les quarts de finale à la faveur de son succès 6-2 6-3 6-2 devant Cameron Norrie (ATP 81) qu’il avait battu il y a dix jours en demi-finale à Genève. Il a gagné en seulement 2h14’ pour confirmer sa montée en puissance.

Mercredi, il affrontera Alexander Zverev, le finaliste de l’an dernier, pour un quart de finale qui promet énormément. L’Allemand a également été très expéditif dans la mesure où son adversaire, le Néerlandais, Tallon Griekspoor, a été contraint à l’abandon au début du deuxième set. Le dernier affrontement entre Djokovic et Zverev avait tourné court en janvier à Melbourne. Blessé, le Serbe avait jeté l’éponge après la perte du premier set. Cette fois, il semble en pleine possession de ses moyens.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Refoulements: l'Allemagne continue malgré un revers judiciaire

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Le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz a fait de la réduction de l'immigration l'une de ses priorités (archives). (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

Le gouvernement allemand a décidé mercredi de maintenir les refoulements controversés de demandeurs d'asile à ses frontières, malgré une décision de justice jugeant "illégale" cette pratique critiquée par les pays voisins.

"Il n'y a aucune raison, sur la base de la décision judiciaire rendue aujourd'hui, de modifier notre pratique", a déclaré à la presse le ministre de l'Intérieur, Alexander Dobrindt.

"Nous maintenons les refoulements, nous estimons qu'ils sont juridiquement fondés", a-t-il ajouté, en minimisant un jugement rendu seulement à ses yeux sur un cas "individuel".

Le nouveau gouvernement a mis en place cette politique sitôt arrivé en fonction début mai, dans l'espoir affiché de ralentir la progression de l'extrême droite dans le pays et du sentiment anti-migrants dans l'opinion.

Il s'agit "d'envoyer un signal clair", a argumenté lundi le ministre de l'Intérieur, indiquant que 2850 migrants avaient été refoulés aux frontières depuis le 8 mai. Le pays ne peut pas gérer "le nombre élevé" de demandeurs d'asile, a affirmé M. Dobrindt.

"Illégal"

Le tribunal administratif de Berlin, saisi par trois Somaliens récemment refoulés à la frontière polonaise, s'était pourtant montré très clair dans un jugement en référé rendu un peu plus tôt. Il a qualifié d'"illégales" les pratiques du gouvernement.

Les juges ont estimé que les demandeurs d'asile devaient être d'abord accueillis dans un centre en vertu de la procédure européenne dite de Dublin, afin que l'Allemagne puisse examiner s'ils sont passés au préalable par d'autres pays de l'UE, et déterminer quel Etat membre est responsable de la demande d'asile.

Le tribunal a aussi jugé que les arguments avancés par le gouvernement, invoquant une situation d'"urgence", n'étaient pas suffisants.

Le ministre de l'Intérieur a alors dit vouloir demander l'ouverture par le tribunal administratif d'une procédure dite ordinaire, afin d'y expliciter "de manière plus ferme" les arguments du gouvernement. Selon la chaîne de télévision publique ARD, il n'est toutefois pas certain juridiquement qu'une telle procédure soit possible.

Les refoulements aux frontières visent la plupart des demandeurs d'asile, à l'exception de certaines catégories de population considérées comme particulièrement "vulnérables".

Le chancelier a voulu ainsi tenir une de ses principales promesses de campagne électorale, visant à réduire nettement l'immigration dans le pays, après plusieurs agressions mortelles ayant impliqué des étrangers.

Freiner l'AfD

Depuis, la multiplication des contrôles et le refoulement des demandeurs d'asile ont irrité les voisins de l'Allemagne, notamment la Pologne et la Suisse. Les maires de Strasbourg et de Kehl, villes française et allemande situées de part et d'autre du Rhin, ont aussi dénoncé les contrôles aux frontières renforcés qui compliquent à leurs yeux la vie des frontaliers.

Friedrich Merz est confronté à une forte progression du parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), principale force d'opposition à la chambre des députés et qui est au coude-à-coude avec les conservateurs du chancelier dans les sondages.

Pour lui, seul un renversement complet de la généreuse politique d'accueil héritée d'Angela Merkel (2005-2021) peut combattre efficacement cette tendance. Quitte à brusquer les partenaires européens.

Le gouvernement allemand vient en parallèle d'adopter des projets de loi visant à durcir les règles migratoires, notamment une suspension du regroupement familial pour les réfugiés n'ayant obtenu qu'un statut subsidiaire et la suppression d'un mécanisme de naturalisation accélérée.

Cette dernière mesure, introduite par le précédent gouvernement d'Olaf Scholz, visait à promouvoir les réfugiés ayant fait la preuve de leur bonne intégration dans un pays vieillissant et en manque de main-d'oeuvre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La sensation Loïs Boisson

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Loïs Boisson: un parcours extraordinaire à Paris. (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

Pour la première fois depuis huit ans, une Française jouera les quarts de finale de Roland-Garros. 361e mondiale, Loïs Boisson a signé l'exploit devant la tête de série no 3 Jessica Pegula.

La Dijonnaise de 22 ans s’est imposée 3-6 6-4 6-4 après 2h40’ de jeu devant l’Américaine. Mirra Andreeva (WTA 6), sa prochaine adversaire, devra vraiment se méfier de cette joueuse qui pratique un tennis en toucher dans un style qui lui est propre. Et qui possède un coup droit bien percutant.

Avant cette quinzaine, Loïs Boisson n’avait gagné qu’un seul match sur le Circuit de la WTA, en avril dernier au WTA 250 de Rouen. Son accession en quart de finale à Roland-Garros a vraiment quelque chose d’irréel.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Musée Grévin: la statue de Macron volée par des activistes

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Emmanuel Macron a sa statue au Musée Grévin depuis 2018 (archives). (© KEYSTONE/EPA/HOW HWEE YOUNG)

La statue en cire d'Emmanuel Macron a été dérobée au musée Grévin lundi par des militants de Greenpeace. Ils l'ont ensuite déposée devant l'ambassade de Russie en signe de protestation contre les liens économiques de la France avec la Russie.

Selon une source policière, deux femmes et un homme sont entrés lundi matin dans le musée parisien, situé dans le IXe arrondissement (centre). Après s'être changés, se faisant passer pour des artisans ou des employés de l'établissement, ils ont réussi à dérober la statue, d'une valeur de 40'000 euros, en la dissimulant sous une couverture et en sortant par une issue de secours.

D'après une porte-parole du musée, ils ont détourné l'attention du vigile en posant une question sur l'accès de l'ascenseur aux personnes handicapées pendant que d'autres revêtaient une blouse d'agent d'entretien.

"Ils avaient manifestement fait des repérages très précis", a-t-elle déclaré à l'AFP, ajoutant que les militants avaient rapidement appelé le musée pour leur garantir que la statue serait restituée "indemne".

La statue du président de la République française a ensuite été déposée dans l'après-midi devant l'ambassade de Russie, située dans le XVIe arrondissement (ouest) de la capitale, a constaté une journaliste présente sur les lieux.

L'action devant l'ambassade n'a duré que quelques minutes: un drapeau russe a été déployé derrière la statue d'Emmanuel Macron et un militant de l'ONG a brandi une pancarte jaune fluo portant l'inscription "Business is business". Des membres de Greenpeace ont lancé de faux billets de banque.

"Double jeu"

"Pour nous la France joue un double jeu" et "Emmanuel Macron incarne ce double discours: il soutient l'Ukraine mais encourage les entreprises françaises à continuer à faire commerce avec la Russie", a déclaré Jean-Francois Julliard, directeur général de Greenpeace France.

L'ONG veut protester contre les liens économiques entre la France et la Russie dans les secteurs du gaz, des engrais chimiques et du nucléaire.

Greenpeace déplore notamment l'explosion des importations d'engrais russe dans l'UE entre 2021 et 2023 (de plus de 80% selon les fabricants français d'engrais, rassemblés au sein de l'Union des industries de la fertilisation, l'Unifa).

L'Union européenne veut taxer les importations d'engrais russes, pour réduire cette dépendance. Les agriculteurs européens, eux, mettent en garde contre une mesure qui ne ferait que renchérir les prix des engrais et réclament d'abord la suppression des droits de douane sur les fertilisants en provenance du reste du monde.

"On vise nommément Emmanuel Macron, parce qu'il a une responsabilité toute particulière dans cette situation-là", a ajouté Jean-Francois Julliard. "C'est lui qui devrait être le premier dans les discussions européennes" pour mettre fin aux contrats commerciaux entre la Russie et les pays européens.

Précédents

L'effigie en cire de Jacques Chirac avait elle aussi été dérobée au musée Grévin, en décembre 1983, lorsqu'il était maire de Paris, avant d'être retrouvée quelques jours plus tard au zoo de Vincennes.

Celle de Georges Marchais, secrétaire national du PCF, avait elle été dérobée par un groupe nationaliste en 1980 et retrouvée au Jardin des plantes à Paris.

Enfin, pendant son mandat à l'Elysée (1974-1981), la statue de Valéry Giscard d'Estaing avait été subtilisée par des motards en colère.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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