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Poids: le record du monde de Crouser invalidé

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Les 23m38 réussis par Crouser cet hiver n'ont pas été validés (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le record du monde de l'Américain Ryan Crouser, qui avait amélioré mi-février sa propre marque au lancer du poids avec un jet à 23m38, n'a pas été homologué par World Athletics.

C'est la deuxième fois en quinze mois que cette mésaventure survient au double champion olympique de 30 ans, qui pensait avoir ajouté cet hiver un centimètre à son précédent record lors de cette réunion, les Simplot Games, organisés à Pocatello, dans l'Idaho.

World Athletics a refusé de valider ce jet en raison d'un défaut technique avec l'aire de lancer et la zone d'atterrissage. "Le potentiel record du monde en salle de Ryan Crouser au lancer du poids n'a pas été validé car l'installation n'était pas certifiée et, en particulier, après une enquête, le site de lancer du poids s'est avéré non conforme", a indiqué dans un communiqué l'instance.

"Le diamètre du cercle était plus grand à chaque point de mesure que ce qui est autorisé (...) et l'inclinaison vers le bas de la zone d'atterrissage était supérieure à celle autorisée à chaque point de mesure", a-t-elle précisé pour justifier sa décision.

En janvier 2022 déjà

"Ce n'est pas un problème nouveau, a réagi Crouser sur Instagram. Je ne comprends vraiment pas d'où vient cette règle".

Déjà en janvier 2022 lors des Millrose Game, la tentative du médaillé d'or olympique à Rio et Tokyo avait été invalidée en raison d'un appareil de mesure laser défectueux qui avait provoqué l'annulation du concours.

La meilleure marque mondiale, propriété de Crouser, reste donc à 23m37. Elle a été établie en plein air lors des qualifications olympiques à Eugene en juin 2021. Il possède aussi le record du monde en salle (22m82) depuis janvier 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Onze morts dans des frappes russes dans la région de Dnipropetrovsk

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Dnipro a été durement touchée mardi par les frappes russes. (© KEYSTONE/EPA/STATE EMERGENCY SERVICE HANDOUT HANDOUT)

Au moins 11 personnes ont été tuées et plus de 100 blessées mardi dans des bombardements russes dans la région de Dnipropetrovsk. Kiev a dénoncé le "message de terreur" envoyé par Moscou au moment où les négociations entre les deux camps sont au point mort.

Ces nouvelles attaques meurtrières de l'armée russe contre une grande ville d'Ukraine, après une attaque d'ampleur à Kiev dans la nuit de dimanche à lundi, interviennent juste avant l'ouverture d'un sommet de l'Otan à La Haye.

Arrivé au Pays-Bas, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré le secrétaire général de l'Alliance Mark Rutte et espère recevoir, auprès des alliés de Kiev, de nouvelles promesses d'aide à son pays après près de trois ans et demi d'invasion russe.

Sur le terrain, les forces russes continuent leur poussée dans l'Est ukrainien face à une armée ukrainienne en difficulté et moins nombreuse, et multiplient les bombardements.

Aux alentours de 11h10 mardi, selon la police nationale ukrainienne, "l'armée russe a attaqué les villes de Dnipro et Samar avec des missiles", détruisant notamment un bâtiment administratif dans la première.

"Neuf résidents de Dnipro et deux résidents de Samar ont été tués", selon la police.

Plus de 100 personnes ont par ailleurs été blessées, notamment des passagers d'un train qui a été "endommagé" par ces frappes, toujours d'après cette source.

D'après le parquet ukrainien, des établissements scolaires et de santé ont notamment été touchés.

"En termes de dégâts, il s'agit probablement de l'une des frappes les plus importantes contre Dnipro" depuis le début de l'invasion russe en février 2022, a affirmé le maire Boris Filatov.

Volodymyr Zelensky a prévenu, pour sa part, que le bilan pourrait encore s'alourdir.

"Défendre l'Ukraine signifie défendre la vie", a-t-il poursuivi sur le réseau social X.

Le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, a rapidement dénoncé le "message de terreur et de rejet de la paix" envoyé, selon lui, par Moscou, dont l'armée avait annoncé il y a deux semaines attaquer la région de Dnipropetrovsk, une première depuis 2022.

"Renforcer la pression sur Moscou"

"Il en va de la crédibilité des alliés de renforcer la pression sur Moscou", a exhorté M. Sybiga, alors que Volodymyr Zelensky et des dirigeants des pays membres de l'Otan, dont l'Américain Donald Trump, se réunissent à partir de mardi aux Pays-Bas.

Ce sommet de l'Otan doit valider la hausse spectaculaire des dépenses de sécurité des pays membres, dans un contexte diplomatique mondial tendu.

Une réunion entre MM. Zelensky et Trump, dont les relations sont fluctuantes, est prévue mercredi, selon un haut responsable ukrainien, le président américain confirmant qu'il rencontrerait "probablement" son homologue ukrainien.

Le locataire de la Maison Blanche pousse pour un arrêt des hostilités, mais son implication personnelle dans le dossier ukrainien n'a, à ce stade, pas permis de rapprocher les positions toujours très éloignées des deux belligérants.

Pour ce faire, Donald Trump a repris langue avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Il a également repris des éléments de langage du Kremlin sur les origines de la guerre, provoquant la colère de Kiev.

L'Ukraine exige toujours que l'armée russe se retire entièrement de son territoire, occupé à près de 20% par la Russie, tandis que Moscou souhaite que Kiev lui concède la perte des territoires ukrainiens annexés et partiellement occupés par les forces russes, tout en renonçant à rejoindre l'Otan. Des exigences inacceptables pour Volodymyr Zelensky.

Et Vladimir Poutine maintient toujours ces demandes maximalistes, niant à nouveau, en fin de semaine dernière, la souveraineté de l'Ukraine: "Je considère les peuples russe et ukrainien comme un seul peuple. Dans ce sens, toute l'Ukraine nous appartient", a-t-il lancé.

Poursuite des attaques

Dans ce contexte, la Russie poursuit ses attaques contre son voisin.

Trois personnes, dont un enfant, ont été tués dans des frappes de drones russes dans l'agglomération de Soumy (nord-est), selon l'administration régionale mardi matin.

A Kiev et dans sa région, dix civils avaient péri dans la nuit de dimanche à lundi dans une série de frappes russes, selon le ministre ukrainien de l'Intérieur, Igor Klymenko, une semaine après une attaque qui avait tué au moins 28 personnes dans la capitale ukrainienne.

En réponse, l'Ukraine tente de frapper la Russie en profondeur, notamment pour perturber la logistique de l'armée de Moscou.

Dans la nuit de lundi à mardi, un drone a visé un immeuble résidentiel dans la région de Moscou, faisant deux blessés, dont un a été hospitalisé, a indiqué sur Telegram le gouverneur local, Andreï Vorobiov.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump sème le doute sur la défense des alliés

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Le premier ministre suédois Ulf Kristersson informe les médias en vue du sommet de l'Otan à La Haye. (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Donald Trump a une nouvelle fois déconcerté ses alliés de l'Otan, en restant évasif sur son engagement à les défendre. L'Alliance se réunit mercredi à La Haye pour s'engager à dépenser plus, conformément à ses exigences.

L'article 5 peut "se définir de plusieurs façons", a-t-il lancé dans l'avion le transportant vers La Haye. Cet article, pierre angulaire de l'Alliance, pose le principe de défense mutuelle: si un pays membre est attaqué, tous les autres se portent à son secours.

Attendu mardi dans la soirée, le président américain participera à un dîner de gala, à l'invitation du roi des Pays-Bas, Willem-Alexander, avant d'assister mercredi à l'unique session de travail, réduite à moins de trois heures.

Les 32 pays de l'Otan vont confirmer lors de ce sommet leur engagement à consacrer au moins 5% de leur Produit intérieur brut (PIB) à leurs dépenses de sécurité d'ici 2035. Ce pourcentage a été réclamé par le président américain, faute de quoi il a menacé de ne plus défendre les "mauvais payeurs".

En répondant à cette exigence, les pays européens de l'Otan espéraient en retour un engagement ferme des Etats-Unis, conformément à l'article 5 du traité de l'Alliance, qui oblige tous ses membres à venir en aide à celui qui serait attaqué.

"Cinq, c'est le chiffre magique" du sommet: 5% et article 5, résumait un diplomate européen à Bruxelles peu avant ce sommet.

La durée du sommet a également été resserrée au maximum pour éviter tout impair et ne pas contrarier le président américain.

En colère

Las, en quittant mardi la Maison Blanche, Donald Trump s'est aussi montré très en colère après la rupture du cessez-le-feu entre l'Iran et Israël. "Ils ne savent pas ce qu'ils foutent!", a-t-il lancé avant de quitter Washington.

Le secrétaire général de l'Alliance, Mark Rutte, espère néanmoins que la situation au Moyen-Orient ne chamboulera pas complètement la chorégraphie du sommet qu'il a déjà qualifié d'"historique", après les menaces de désengagement américain du continent européen.

"Le président américain et les dirigeants des Etats-Unis sont totalement engagés en faveur de l'Otan", a-t-il assuré mardi. "Arrêtez de vous inquiéter !", a-t-il lancé à l'adresse des Européens, les appelant à se concentrer sur ce "gros problème, cet énorme caillou dans la chaussure, à savoir que nous ne dépensons pas assez".

"L'Europe de la défense s'est enfin réveillée", a assuré de son côté la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, saluant "de nouveaux objectifs de dépenses historiques" pour la défense.

"Bond en avant"

Les 32 pays membres de l'Otan se sont mis d'accord sur un compromis: un engagement à consacrer, d'ici 2035, 3,5% aux dépenses militaires stricto sensu, et 1,5% à des dépenses de sécurité au sens large, comme la cybersécurité ou la mobilité militaire, plus facilement atteignables.

Même limité à 3,5%, l'effort budgétaire est considérable, plusieurs centaines de milliards d'euros, pour nombre de pays qui peinent déjà à atteindre l'objectif de 2% de dépenses militaires, fixé en 2014 lors d'un précédent sommet.

Lundi, Mark Rutte s'est réjoui de ce "bond en avant", le Kremlin dénonçant le lendemain une "militarisation effrénée" de l'Alliance.

"Questions non tranchées"

Dans une tribune commune publiée lundi soir par le Financial Times, Emmanuel Macron et Friedrich Merz ont souligné que l'Europe devait se réarmer "non pas parce que quelqu'un nous le demande, mais parce que nous sommes clairvoyants et le devons à nos citoyens".

Une réunion entre le président français, le chancelier allemand et le Premier ministre britannique Keir Starmer est prévue mardi en début de soirée. Ils entendent s'assurer que l'Ukraine reste tout en haut de l'agenda du sommet, et convaincre Donald Trump de la nécessité de renforcer les sanctions contre la Russie.

"La Russie rejette toutes les propositions de paix, y compris celles des États-Unis. Poutine ne pense qu'à la guerre. C'est un fait", a lancé mardi le président ukrainien Volodymyr Zelensky devant des industriels de la défense, réunis en marge du sommet de La Haye.

Donald Trump a assuré dans l'avion le conduisant aux Pays-Bas qu'il rencontrerait "probablement" le président ukrainien.

Dans leur déclaration finale, les Alliés réaffirmeront leur soutien à Kiev, qui a déjà atteint cette année quelque 35 milliards d'euros, a assuré lundi Mark Rutte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Bundesliga: Manzambi prolonge avec le SC Fribourg

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Johan Manzambi: une ascension spectaculaire (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Johan Manzambi (19 ans) poursuit sa carrière au SC Fribourg. Le milieu de terrain genevois a prolongé son contrat avec le club du sud de l'Allemagne. La durée n'a pas été précisée.

Manzambi était arrivé à Fribourg en janvier 2023, d'abord dans les équipes de jeunes. Il a débuté en première équipe lors de la saison dernière et a immédiatement convaincu avec deux buts et un assist en onze matches.

Ses bonnes performances lui ont valu ses premières sélections en équipe de Suisse durant le récent voyage aux Etats-Unis. Lors de son deuxième match, le milieu "box to box" a inscrit son premier but et donné une passe décisive lors du 4-0 face aux Américains.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Le moral des patrons allemands au plus haut depuis un an

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L'indicateur est publié le jour où le gouvernement du chancelier conservateur Friedrich Merz présente un ambitieux plan financier sur cinq ans, en rupture avec la rigueur budgétaire. (archive) (© )

Le moral des entrepreneurs allemands a progressé pour le sixième mois consécutif en juin malgré la menace des droits de douane américains, dans l'espoir que le nouveau gouvernement parvienne à relancer une économie enlisée, a indiqué mardi l'institut IFO.

L'indicateur principal du climat des affaires a atteint 88,4 points, son niveau le plus élevé depuis juin dernier, enregistrant une hausse de 0,9 point par rapport à mai.

L'économie allemande, qui sort de deux années de récession, "commence lentement à retrouver confiance", souligne Clemens Fuest, président de l'institut IFO.

Les patrons ont évalué leur situation actuelle un peu plus favorablement, mais ce sont surtout les anticipations à six mois qui se sont redressées, portées par les secteurs des services et du commerce de gros.

Dans l'industrie manufacturière plongée dans la crise, les perspectives s'éclaircissent, malgré des niveaux d'activité faibles et un carnet de commandes jugé insatisfaisant.

Le commerce de détail reste en retrait, et la prudence domine encore dans le bâtiment.

"Après l'incertitude liée aux droits de douane américains, les entreprises semblent désormais préférer voir le potentiel positif du nouveau gouvernement plutôt que de se focaliser sur les tensions commerciales et l'instabilité persistante", note Carsten Brzeski, chez ING.

L'indicateur est publié au jour où le gouvernement du chancelier conservateur Friedrich Merz présente un ambitieux plan financier sur cinq ans, en rupture avec la rigueur budgétaire, prévoyant une forte hausse des dépenses et un recours massif à l'endettement - 847 milliards d'euros - pour relancer l'économie allemande et son appareil militaire.

M. Merz a par ailleurs critiqué lundi l'approche de l'Union européenne dans les négociations commerciales avec les États-Unis, la qualifiant de "beaucoup trop compliquée".

Après avoir menacé d'imposer des droits de douane de 50% aux importations européennes à partir du 1er juin, Donald Trump avait accepté fin mai de reporter leur entrée en vigueur jusqu'au 9 juillet. Mais un accord entre les Etats-Unis et l'Union Européenne ne se dessine toujours pas.

"Le principal risque pour la conjoncture demeure la politique commerciale américaine. Si de mauvaises nouvelles venaient à surgir de ce côté, les anticipations corrigeraient probablement à la baisse de manière marquée", selon Jens-Oliver Niklasch, économiste chez LBBW.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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