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International

Quand Hillary Clinton soutient la première ministre finlandaise

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La polémique a contraint Sanna Marin à s'excuser (archives). (© KEYSTONE/EPA/KIMMO BRANDT)

"Continue à danser": l'ex-secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, candidate malheureuse à la présidence, a apporté son soutien à la première ministre finlandaise, dont le goût assumé pour la fête lui vaut une controverse. La polémique a fait le tour du monde.

Dans un tweet publié dimanche sur son compte officiel, Hillary Clinton a publié une photographie d'elle en train de danser le bras levé, prise en avril 2012 dans le café Havana, à Carthagène, en Colombie. "Me voici à Carthagène, lorsque j'y étais pour une réunion en tant que secrétaire d'Etat", a écrit Hillary Clinton, en ajoutant: "Continue à danser, @marinsanna".

La première ministre finlandaise Sanna Marin a rapidement réagi, tweetant "Merci Hillary Clinton" avec une émoticône en forme de coeur.

A 36 ans, la plus jeune première ministre au monde est la cible d'une controverse après que des vidéos la montrant s'amusant et dansant avec des amis et des célébrités ont fuité en ligne. La polémique s'est encore renforcée après la publication d'une photographie de deux femmes soulevant leur haut lors d'une fête organisée en juillet dans sa résidence, contraignant Sanna Marin à s'excuser. Les tabloïds finlandais l'ont rebaptisée "Sanna la fête".

Hillary Clinton, 74 ans, a dirigé la diplomatie américaine de 2009 à 2013 sous la présidence de Barack Obama. Elle a également été candidate malheureuse à la Maison-Blanche, battue en 2016 par Donald Trump, ainsi que sénatrice et première dame des Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Commande ferme de 30 Airbus A350 en Inde

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IndiGo est la première compagnie indienne avec 100 millions de passagers en 2023 (archives). (© KEYSTONE/EPA/DIVYAKANT SOLANKI)

La compagnie IndiGo va passer une commande ferme de 30 Airbus A350-900, a annoncé jeudi l'avionneur européen, qui doit déjà au transporteur indien low-cost le plus gros contrat en volume de l'histoire de l'aviation civile pour des monocouloirs.

Cette commande, assortie de droits d'achat pour 70 appareils supplémentaires, et qui doit être signée dans les prochains jours, constituera la première d'avions gros porteurs d'IndiGo, dont la croissance effrénée épouse le dynamisme de l'économie indienne. Au prix catalogue, jamais appliqué, les 30 appareils vaudraient au total 9,5 milliards de dollars (environ 8,7 milliards de francs).

Les livraisons doivent débuter en 2027.

Pour IndiGo, déjà la première compagnie indienne avec 100 millions de passagers en 2023 - surtout sur des lignes intérieures -, ces aéronefs à long rayon d'action, jusqu'à 15'000 km, vont lui permettre "de déployer davantage ses ailes et d'étendre son réseau".

Ainsi, "IndiGo entamera la prochaine phase de sa transformation en l'un des grands acteurs de l'aviation mondiale", a espéré son directeur général, Pieter Elbers, cité dans un communiqué de son entreprise.

IndiGo et Airbus avaient fait sensation en juin 2023 en annonçant la plus importante commande en volume de l'histoire de l'aviation civile, avec 500 appareils de la famille A320neo, lors du salon aéronautique du Bourget. Prix catalogue théorique: 55 milliards de dollars.

Au total, IndiGo a passé commande de quasiment 1000 appareils de la famille A320, l'avion à succès d'Airbus face au Boeing 737 MAX affecté par de multiples revers.

Le vice-président d'Airbus chargé des ventes d'avions commerciaux, Benoît de Saint-Exupéry, a salué un "formidable nouveau chapitre dans notre relation très proche avec IndiGo", qui, avec ses futurs A350, va "davantage ouvrir le monde à l'Inde". Il a remercié la compagnie pour "avoir fait une fois de plus confiance" à Airbus.

L'A350, le dernier-né d'Airbus, fêtera en décembre le 10e anniversaire de sa mise en service. Il existe en deux versions, le 900 et le 1000, plus grand. Le 900 peut transporter entre 300 et 350 passagers, 440 dans la configuration la plus dense.

A fin mars, l'avionneur avait déjà enregistré 71 commandes pour l'A350 depuis le début de l'année. L'appareil s'affiche comme un "best-seller" pour Airbus qui en a vendu plus de 1200 depuis le lancement du programme.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Une cour d'appel annule une condamnation Weinstein pour viol

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Une cour d'appel de New York a annulé la condamnation pour viol de l'ex-producteur star d'Hollywood Harvey Weinstein en 2020 et ordonné un nouveau procès. (archives) (© KEYSTONE/AP/Etienne Laurent)

Une cour d'appel de New York a annulé jeudi la condamnation pour viol et agressions sexuelles de l'ex-producteur star d'Hollywood Harvey Weinstein en 2020, et ordonné un nouveau procès.

La cour d'appel a estimé que des erreurs de procédure avaient été commises durant ce procès, qui avait constitué une victoire pour le mouvement #MeToo. Harvey Weinstein a été séparément condamné à de la prison à Los Angeles.

Durant le procès, des témoignages portant sur d'autres faits que ceux commis contre les personnes plaignantes avaient notamment été admis "de façon erronée", selon l'une des juges de la cour d'appel. Or ces témoignages avaient "dépeint une image hautement préjudiciable" de M. Weinstein.

"La solution à ces erreurs choquantes est un nouveau procès", a poursuivi cette juge.

Harvey Weinstein, 72 ans, avait été condamné à 23 ans de prison à New York en 2020 pour viol et agression sexuelles.

Puis en 2023, l'ex-producteur a été condamné à 16 ans de prison à Los Angeles pour des faits similaires.

Le mouvement #MeToo avait été déclenché par les révélations sur le comportement de prédateur sexuel d'Harvey Weinstein, dont l'influence sur Hollywood était par le passé immense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Bombardements israéliens et combats avec le Hamas à Gaza

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L'armée israélienne a indiqué jeudi matin que ses avions avaient frappé la veille "30 cibles du Hamas" dans la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Leo Correa)

Israël a bombardé jeudi plusieurs secteurs de la bande de Gaza, comme la ville de Rafah où l'armée se prépare à une opération terrestre dans sa guerre contre le Hamas. Cela malgré les mises en garde de la communauté internationale, en particulier l'allié américain.

Le mouvement islamiste palestinien a diffusé mercredi une vidéo montrant un des otages enlevés lors de l'attaque sans précédent du 7 octobre du Hamas sur le sol israélien, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

L'armée israélienne a indiqué jeudi matin que ses avions avaient frappé la veille "30 cibles du Hamas" dans la bande de Gaza, notamment des bâtiments où étaient stockées des armes, et tué plusieurs combattants du mouvement islamiste.

Un avion a "éliminé une cellule de snipers" dans le secteur du camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, a-t-elle ajouté. Des combats entre les forces israéliennes et des combattants palestiniens ont eu lieu au nord de ce camp, selon des témoins.

Des correspondants de l'AFP et des témoins ont fait état par ailleurs de tirs d'artillerie et de frappes aériennes sur le quartier de Zeitoun, dans le sud de la ville de Gaza, dans la nuit. Des frappes aériennes ont aussi touché la ville de Rafah, dans l'extrême sud du territoire.

"C'est allé trop loin"

Des habitants de cette ville tentaient jeudi matin de récupérer des objets dans les décombres des bâtiments détruits.

"Assez de destruction, assez de guerre. Assez de sang versé d'enfants, de femmes, de personnes âgées et de civils non armés (...) c'est allé trop loin (...) Laissez les gens vivre", lance Samir Daban, au milieu des gravats.

De nombreuses capitales étrangères parmi lesquelles Washington s'inquiètent notamment des préparatifs en cours pour une offensive terrestre sur Rafah.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, assure depuis des semaines que cette ville, où se trouvent un million et demi de personnes dont une majorité de déplacés, est le dernier bastion du Hamas.

Le porte-parole du gouvernement israélien, David Mencer, a indiqué mercredi qu'Israël avançait dans cette opération, affirmant que "quatre bataillons" du Hamas se trouvaient encore à Rafah.

Déplacement de civils

Selon des responsables égyptiens, cités par le Wall Street Journal, Israël se prépare à déplacer les civils de Rafah vers la ville proche de Khan Younès, notamment, où il prévoit d'installer des abris et des centres de distribution de nourriture.

L'évacuation des civils gazaouis durerait deux à trois semaines et serait menée notamment en coordination avec les Etats-Unis, l'Egypte et d'autres pays arabes, selon ces responsables.

Washington veut des "réponses"

La Maison Blanche a exigé mercredi des "réponses" des autorités israéliennes après la découverte de fosses communes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, dont celui de Nasser à Khan Younès.

La Défense civile de Gaza a affirmé avoir exhumé depuis samedi 340 corps de personnes tuées et enterrées selon elle par les forces israéliennes dans des fosses communes dans l'hôpital Nasser.

L'armée israélienne a parlé d'allégations "sans fondement", disant avoir déterré, puis ré-enterré, des corps parce qu'elle était à la recherche de cadavres d'otages.

Un des objectifs affichés de M. Netanyahu dans la guerre à Gaza est de ramener les otages, dont les familles et proches se rassemblent régulièrement pour tenter de faire pression sur leur gouvernement pour obtenir leur libération.

"Ramenez-les"

Le Hamas a diffusé mercredi, sur sa chaîne Telegram, une vidéo d'un otage, enlevé lors du festival de musique Nova. Parlant vraisemblablement sous la contrainte, Hersh Goldberg-Polin, un Israélo-américain de 23 ans, y accuse le Premier ministre israélien et les membres de son gouvernement d'avoir "abandonné" les otages.

Mercredi soir à Jérusalem, des dizaines de manifestants se sont réunis devant la résidence de M. Netanyahu avec des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: "Ramenez-les à la maison". Les dirigeants de 18 pays, dont les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ont par ailleurs appelé dans un texte commun à "la libération immédiate de tous les otages retenus par le Hamas à Gaza".

Alors que la bande de Gaza est confrontée à une situation humanitaire dramatique, sa population risquant la famine, selon l'ONU, l'armée jordanienne a annoncé jeudi que des avions américains, allemand, britannique jordanien et égyptien avaient largué de l'aide en parachute au-dessus du nord de la bande de Gaza, opérations qui ont lieu depuis des semaines.

Frappes au Liban

La guerre à Gaza a exacerbé les violences dans la région, notamment à la frontière libano-israélienne, où Israël et le puissant mouvement Hezbollah, allié du Hamas, échangent des tirs quotidiens depuis le 7 octobre.

L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir frappé dans le sud du Liban 40 cibles du Hezbollah et tué la moitié de ses commandants dans ce secteur. Une source du mouvement pro-iranien a rejeté jeudi de "fausses" allégations.

L'agence officielle libanaise et une source du Hezbollah ont fait état par ailleurs d'une frappe au drone jeudi matin contre un camion dans l'est du Liban, faisant un blessé, imputant l'attaque à Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le PIB des Etats-Unis ralentit plus qu'attendu au premier partiel

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Le pouvoir d'achat est rogné par l'inflation et la remontée des taux d'intérêts (archives). (© KEYSTONE/AP/MARK LENNIHAN)

La croissance du produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a ralenti plus qu'attendu au premier trimestre 2024, à 1,6% en rythme annualisé, contre 3,4% au 4e trimestre 2023, selon la première estimation du département du Commerce, publiée jeudi.

Une croissance de 2,2% était attendue par les analystes pour les trois mois de janvier à mars, selon le consensus de Market Watch.

Les Etats-Unis publient leur croissance en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent puis projette l'évolution sur l'année entière à ce rythme. Mais en la comparant simplement au trimestre précédent, comme le font d'autres économies avancées, la croissance est de 0,4%.

Ce ralentissement "reflète principalement une décélération des dépenses de consommation, des exportations et des dépenses des États et des administrations locales, ainsi qu'un ralentissement des dépenses du gouvernement fédéral", détaille le département du Commerce dans son communiqué.

La consommation reste cependant le moteur de croissance de la première économie du monde. Néanmoins, si les ménages américains ont consommé plus de services - notamment pour les soins de santé, les services financiers et les assurances -, ils ont en revanche dépensé moins d'argent pour acheter des biens.

La croissance américaine avait surpris en 2023, se montrant bien plus vigoureuse que prévu, et déjouant haut la main les pronostics de récession. Elle avait même accéléré, à 2,5%, contre 1,9% en 2022.

Car la consommation était restée solide, en dépit d'un pouvoir d'achat rogné d'un côté par l'inflation, de l'autre par la hausse des taux d'intérêt.

"Rythme solide" pour 2024

La banque centrale américaine (Fed) avait d'ailleurs relevé nettement sa projection de croissance du PIB pour 2024 lors de la dernière réunion, mi-mars, à 2,1% au lieu de 1,4% précédemment.

Le FMI aussi s'est récemment montré plus optimiste pour la croissance américaine en 2024 qu'il y a trois mois, tablant désormais sur 2,7%, contre 2,1% en janvier, selon ses prévisions économiques actualisées publiées la semaine dernière.

Pour 2024, le président de la Fed de Richmond, Tom Barkin, avait indiqué lors d'une interview à l'AFP début avril, qu'il anticipe un "ralentissement" en 2024 de la croissance de l'économie américaine.

Son homologue de New York, John Williams, avait lui précisé quelques jours plus tard qu'il "pense que l'économie continuera de croître à un rythme solide cette année, probablement pas aussi élevé" qu'en 2023, "mais de l'ordre de 2%".

Tous deux disposent cette année du droit de vote au sein du comité de politique monétaire de la Fed, le FOMC, qui se réunira mardi et mercredi.

Un maintien des taux à leur niveau actuel, le plus élevé depuis plus de 20 ans, est attendu au moins jusqu'en septembre, en raison du rebond de l'inflation ces derniers mois, après des chiffres pourtant très encourageants fin 2023.

Mais la Fed ne veut pas prendre le risque de voir les prix recommencer à flamber, d'autant plus que la croissance économique et l'emploi se montrent solides, malgré les hausses de taux d'intérêt qui auraient dû peser.

En 2020 et 2021, le PIB américain avait fait le yo-yo, battant des records dans un sens puis dans l'autre.

Il avait d'abord enregistré son plus fort recul depuis 1946 (-3,5%) à cause du Covid-19, avec même deux mois de récession, puis la plus forte croissance depuis 1984 (+5,9%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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