International
Samsung veut supprimer des postes en Asie du Sud-Est et en Océanie
Samsung Electronics, filiale du groupe sud-coréen Samsung, veut supprimer des emplois en Asie du Sud-Est, Australie et en Nouvelle-Zélande. Selon des informations de presse, 10% des postes pourraient disparaître dans les activités concernées par la restructuration.
Le géant de l'électronique grand public et des puces mémoire modifie ses effectifs en Asie du Sud-Est, Australie et Nouvelle-Zélande, et "ces ajustements incluent des suppressions d'emplois", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'entreprise. Il s'agit d'"ajustements de routine des effectifs", qui sont mis en oeuvre "pour améliorer l'efficacité opérationnelle", a expliqué Samsung Electronics dans un communiqué.
L'entreprise "n'a pas fixé d'objectif chiffré pour des postes en particulier", a ajouté le fabricant des smartphones Galaxy. Toutefois, selon l'agence Bloomberg, ces licenciements pourraient concerner environ 10% des personnels de Samsung Electronics dans les régions visées.
Basée à Suwon, dans le sud de la Corée du Sud, l'entreprise emploie plus de 267'800 personnes au total, dont plus de la moitié à l'étranger. L'annonce de ces suppressions d'emplois survient après que celle en août du fabricant américain de puces Intel. Ce dernier avait alors annoncé un grand plan social pour licencier d'ici à la fin de l'année plus de 15% de son personnel, soit environ 18'000 personnes, afin de réduire ses coûts après avoir subi une perte nette de 1,6 milliard de dollars (1,35 milliard de francs) au deuxième trimestre.
De son côté, Samsung Electronics a multiplié par 15 son bénéfice d'exploitation au deuxième trimestre, par rapport à la même période de 2023, grâce à un rebond des prix des puces et à une hausse de la demande pour ses produits utilisés pour l'intelligence artificielle (IA). D'avril à juin, son bénéfice d'exploitation a atteint 10'440 milliards de wons (6,56 milliards de francs) contre 670 milliards de wons un an plus tôt. Son chiffre d'affaires a bondi de 23,3%, à 74'000 milliards de wons.
Samsung Electronics est la filiale phare de Samsung Group, le plus important des conglomérats familiaux qui dominent la quatrième économie d'Asie. Ce géant technologique est l'un des plus grands producteurs mondiaux de semi-conducteurs, utilisés aujourd'hui dans tous les domaines, des appareils électroménagers aux téléphones portables, en passant par les voitures et les armes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Climat
L'état d'urgence décrété en Floride à l'approche d'un Milton
Le gouverneur de Floride a décrété l'état d'urgence dans 35 comtés samedi face à la menace de la tempête tropicale Milton. Cet Etat du sud des Etats-Unis est toujours sous le choc provoqué par le puissant ouragan Hélène qui y a fait 14 morts.
"Nous allons continuer à mettre en place les moyens de l'Etat pour nous préparer à des opérations de recherche et de sauvetage efficaces, au rétablissement de l'électricité et au dégagement des routes", a écrit sur le réseau social X le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis.
La tempête tropicale Milton, qui progresse actuellement dans l'ouest du golfe du Mexique, "devrait se transformer en ouragan majeur en se dirigeant vers la Floride en milieu de semaine prochaine", a indiqué l'agence météorologique nationale NWS, également sur X.
220 morts
Selon les premières prévisions, Milton traversera probablement la Floride avant d'atteindre l'océan Atlantique, le centre national des ouragans (NHC) mettant en garde contre des "conséquences potentiellement mortelles pour certaines parties de la côte ouest de la Floride mardi ou mercredi".
Milton pourrait, d'après sa trajectoire anticipée par le NHC, épargner l'intérieur des terres américaines, comme les montagnes de Caroline du Nord, où l'ouragan Hélène a occasionné de graves dégâts en déclenchant notamment des inondations.
Hélène a tué au moins 220 personnes dans le sud-est des Etats-Unis dont 14 en Floride, selon un décompte de l'AFP basé sur les chiffres communiqués par les autorités.
Selon les scientifiques, le changement climatique rend plus probable l'intensification rapide des tempêtes et augmente le risque d'ouragans plus puissants, en réchauffant les eaux des mers et des océans.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Intenses bombardements israéliens sur Beyrouth
De violents bombardements aériens israéliens sur la banlieue sud de Beyrouth ont terrorisé les habitants de la capitale libanaise dimanche, à la veille du premier anniversaire de l'attaque du Hamas palestinien ayant déclenché la guerre à Gaza.
L'agence de presse officielle libanaise ANI a rapporté que plus de "30 frappes" ont touché dans la nuit plusieurs secteurs de la banlieue sud, fief du Hezbollah pro-iranien, qui a selon Israël déjà perdu "440 combattants" depuis lundi.
Au sud de Beyrouth, une boule de feu s'est élevée dans les airs illuminant la nuit de la capitale où un correspondant de l'AFP a vu des dizaines de personnes fuyant le quartier de Sabra à pied ou à moto alors que les explosions retentissaient en arrière-plan.
Mehdi Zaïter, 60 ans, primeur dans la banlieue sud de Beyrouth, a raconté à l'AFP qu'"il y avait des frappes de tous les côtés. Ils n'avaient pas de cible militaire, seulement des bâtiments civils et des propriétés privées, s'emporte-t-il.
"C'était la nuit la plus violente qu'on ait vécue. Il y avait tellement de bombardements qu'on aurait cru un tremblement de terre", poursuit l'homme qui refuse toujours de quitter sa maison.
Dans la banlieue sud, les destructions sont énormes et touchent de nombreux bâtiments, a rapporté un photographe de l'AFP. Des pelleteuses s'activent à déblayer les débris de l'ancienne route de l'aéroport, alors que les frappes se poursuivaient dimanche dans la matinée.
Frappes à Gaza
Après avoir affaibli le Hamas lors de représailles toujours en cours dans la bande de Gaza assiégée, Israël a déplacé mi-septembre l'essentiel de ses opérations vers le front libanais, ouvert par le Hezbollah en soutien au mouvement islamiste palestinien le 8 octobre 2023.
Mais dimanche, l'armée israélienne a annoncé "encercler" la zone de Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, où elle estime que le Hamas reconstruit ses capacités. Et la Défense civile de Gaza a fait état de 21 morts dans une frappe israélienne sur une mosquée transformée en abri pour des déplacés à Deir al-Balah (centre).
L'armée israélienne a expliqué avoir "mené une frappe précise sur des terroristes du Hamas qui opéraient dans un centre de commandement (...) dans une structure qui servait auparavant de mosquée"
Sur le front libanais, l'armée israélienne a indiqué avoir "mené dans la région de Beyrouth une série de frappes ciblées sur plusieurs installations de stockage d'armes et des sites appartenant à l'organisation terroriste Hezbollah" et va "continuer d'opérer pour démanteler les capacités du Hezbollah".
Le Hezbollah a de son côté dit avoir ciblé dans la nuit une force de l'armée israélienne avec des obus après une tentative d'infiltration dans la zone de Blida dans le sud du Liban.
De plus, il a affirmé avoir visé un groupe de soldats israéliens "avec une salve de roquettes" lors de "l'évacuation de blessés et de soldats morts" dans la région frontalière de Manara à 00h45 locales dimanche et a également revendiqué une attaque de drones contre une base militaire israélienne dans le nord d'Israël.
Le Premier ministre libanais a appelé à "faire pression sur Israël" pour un cessez-le-feu.
"Crise terrible"
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu doit prononcer lundi un discours à la nation pour marquer l'anniversaire de l'attaque du Hamas qui a déclenché la guerre à Gaza le 7 octobre.
Depuis un an, 41'825 personnes ont été tuées dans le territoire palestinien dévasté, selon des chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas publiés samedi, des données jugées fiables par l'ONU.
L'assaut sans précédent du Hamas le 7 octobre en Israël a entraîné la mort de 1205 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur les chiffres officiels israéliens, incluant les otages morts ou tués en captivité dans la bande de Gaza. Sur les 251 personnes enlevées alors, 97 sont toujours otages à Gaza: 64 présumées vivantes et 33 mortes.
Au Liban, le gouvernement Netanyahu veut en finir avec les tirs de roquettes du Hezbollah, déclenchés le 8 octobre en soutien au Hamas, et permettre le retour des dizaines de milliers de déplacés chez eux dans le nord d'Israël.
Après un bombardement israélien vendredi sur Beyrouth, un responsable du Hezbollah a affirmé à l'AFP que le contact était "perdu" avec Hachem Safieddine, potentiel successeur de Hassan Nasrallah, considéré comme l'homme le plus puissant du Liban et tué par Israël le 27 septembre.
Depuis octobre 2023, plus de 2000 personnes ont été tuées au Liban, dont plus d'un millier depuis l'intensification des frappes israéliennes le 23 septembre, selon les autorités. Environ 1,2 million de personnes ont été déplacées.
Samedi, le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, a estimé que le Liban traversait une "crise terrible", tandis que le coordinateur humanitaire de l'ONU pour le Liban, Imran Riza, a mis en garde contre une "hausse alarmante des attaques contre les services de santé".
"Les travailleurs de la santé paient le prix le plus lourd, celui de leur vie. Le système de santé est au bord de l'effondrement", a-t-il averti, alors que des hôpitaux ont suspendu leur activité en raison des frappes israéliennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump en campagne à Butler, là où il avait failli être tué
L'ancien président américain Donald Trump est revenu samedi à Butler, en Pennsylvanie, là où, le 13 juillet, il avait réchappé de peu à une tentative d'assassinat. Il a assuré qu'il n'abandonnerait "jamais" même si le tireur cherchait à le "réduire au silence".
"Il y a 12 semaines, ici même, un assassin a tenté de me réduire au silence, ainsi que notre mouvement. Ce monstre vicieux [...] était proche d'y parvenir, mais la main de la providence l'en a empêché", a déclaré M. Trump, devant une foule acquise. Mais le candidat à la présidentielle de novembre l'assure: "Je n'abandonnerai jamais, ne plierai jamais, ne me briserai jamais".
Le républicain s'adressait à plusieurs milliers de personnes rassemblées dans la bourgade de Butler, dans l'Etat crucial de la Pennsylvanie, un mois jour pour jour avant l'élection présidentielle du 5 novembre, où il affrontera la vice-présidente démocrate Kamala Harris.
Avec Musk
Il a marqué une minute de silence, à l'heure précise où les tirs ont retenti le 13 juillet dernier, avec un hommage appuyé à la seule victime, Corey Comperatore, avant de reprendre son discours à l'endroit exact où il avait alors été interrompu. Il a également dénoncé ceux qu'il désigne comme "les ennemis de l'intérieur, bien plus dangereux que ceux de l'extérieur".
"Ces huit dernières années, ceux qui veulent nous arrêter m'ont calomnié, ont tenté de me destituer, m'ont poursuivi en justice, ont essayé de m'enlever des bulletins de vote et, qui sait, même peut-être tenté de me tuer. Mais je n'ai jamais cessé de me battre pour vous et je ne cesserai jamais", a assuré l'ex-président à ses supporters.
Le rassemblement s'est déroulé sous très haute sécurité, des tireurs d'élite étant installés sur les toits de plusieurs bâtiments environnants et un drone survolant la foule, a pu constater un journaliste de l'AFP.
Avant son entrée sur scène, Donald Trump était précédé de son colistier J.D. Vance, sous les yeux de l'homme le plus riche au monde Elon Musk, des proches de victimes des tirs et des forces de l'ordre qui l'ont protégé.
Invité à venir s'exprimer par M. Trump, le milliardaire a présenté l'élection américaine comme "un combat qu'il ne faut pas perdre", craignant qu'il ne s'agisse, dans le cas contraire, "de la dernière élection, c'est ma prédiction".
La tentative d'assassinat de Butler, suivie d'une deuxième en septembre sur le golf en Floride de l'ancien président, a provoqué un choc dans le pays et à l'étranger.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Une victoire de plus pour Zakaria et Köhn
La fête continue pour l’AS Monaco du capitaine Denis Zakaria. Victorieux 2-1 à Rennes, les Monégasques ont cueilli un quatrième succès de rang en Ligue 1.
Avec Zakaria et Philipp Köhn mais sans Breel Embolo qui n’a pas quitté le banc des remplaçants, Monaco a marqué en première période par l’Allemand Timo Kehrer et par l’Américain Folann Balogun. Cette victoire permet aux Monégasques de prendre provisoirement la tête du classement avec 3 points d’avance sur le PSG qui jouera à Nice dimanche.
Tous deux avertis, Denis Zakaria et Philipp Köhn ont été parmi les meilleurs Monégasques. Le capitaine a abattu un immense travail devant sa défense alors que le gardien a réussi plusieurs interventions de grande classe. L’entraîneur Adi Hütter se retrouve désormais devant un choix cornélien pour la place de no 1 entre Köhn et le Polonais Radoslav Majecki, le titulaire désigné avant le début de la saison, qui est revenu de blessure.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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