International
TF1: le bénéfice net quadruplé à 225,3 millions d'euros en 2021
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Le groupe TF1 a dégagé un bénéfice net de 225,3 millions d'euros (237,9 millions de francs) en 2021, quadruplé par rapport à 2020, année plombée par la pandémie, et en hausse de 45% sur l'année 2019, a-t-il annoncé vendredi.
Le chiffre d'affaires a progressé de 16,6% à 2,427 milliards d'euros, dépassant de 3,8% celui réalisé en 2019, avant la crise sanitaire.
"La forte progression du chiffre d'affaires et de la rentabilité s'explique à la fois par les activités Média et la contribution significative des activités complémentaires développées par le groupe, notamment la production de contenus avec Newen Studios", a indiqué le groupe dans son communiqué.
La publicité, la principale source de revenus du groupe, a vu son chiffre d'affaires augmenter de 14,2% sur un an à 1,695 milliard d'euros. Par rapport à 2019, la hausse est de 2,6%.
Demande soutenue de publicité
"La demande soutenue en espaces publicitaires s'est confirmée tout au long de l'année", a indiqué TF1.
Le taux de marge opérationnelle courante s'est élevé à 14,1% (12,9% hors comptabilisation de 29,5 millions d'euros de crédit d'impôt accordé au titre de la pandémie) contre 9,1% en 2020 et 10,9% en 2019.
"Le coût des programmes du groupe s'élève à 981 millions d'euros. Il est en baisse de 30,6 millions d'euros par rapport à 2019, mais en hausse par rapport à fin décembre 2020, marquée par de fortes économies dans un contexte très spécifique lié au Covid-19", selon le communiqué.
Le groupe ne fournit pas de prévisions chiffrées pour 2022, mais note que "le projet de rapprochement entre les groupes TF1 et M6, qui vise à apporter une réponse aux mutations profondes du secteur, se poursuit dans un calendrier conforme à celui initialement prévu".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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La marche était trop haute pour Loïs Boisson
La magnifique aventure de Loïs Boisson (WTA 361) à Roland-Garros a connu une fin abrupte : une défaite 6-1 6-2 en seulement 1h09’ devant la no 2 mondiale Coco Gauff.
Après ses succès contre Jessica Pegula (WTA 3) et Mira Andreeva (WTA 6), la joueuse de Dijon n’a pas eu l’ombre d’une chance face à la gagnante de l’US Open 2023. Dès les premiers coups de raquette, l’Américaine a placé la barre beaucoup trop. A aucun moment, le public parisien n’a pas s’enflammer pour sa joueuse comme il l’avait fait lors des précédents matches.
Finaliste malheureuse à Paris en 2022 face à Iga Swiatek, Coco Gauff s’offre une deuxième possibilité de cueillir le titre à la Porte d’Auteuil. Elle aura vraiment sa chance face à Aryny Sabalenka dans cette finale qui opposera les deux premières du classement de la WTA. L’Américaine et la Bélarusse ont été opposées à dix reprises à ce jour avec cinq victoires pour chacune des deux joueuses. C’est Aryna Sabalenka qui est sortie victorieuse de leur dernier affrontement, en avril dernier en finale du tournoi WTA 1000 de Madrid (6-3 7-6).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Rencontre cordiale entre Merz et Trump, divergences sur l'Ukraine
Le chancelier allemand Friedrich Merz doit être soulagé: il n'a pas été piégé comme d'autres dirigeants étrangers par Donald Trump, qui l'a reçu jeudi de manière très cordiale, en dépit de leurs différends commerciaux. Des divergences ont affleuré sur l'Ukraine.
"Nous avons été investis d'une mission par notre peuple, et une partie de cette mission consiste à avoir une très bonne relation avec votre pays. Je tiens donc à vous remercier pour votre présence", a déclaré le président américain au dirigeant allemand dans le Bureau ovale.
Friedrich Merz lui a offert un exemplaire encadré du certificat de naissance de son grand-père, Frederick (Friedrich) Trump, né en Allemagne en 1869. Le président américain l'a de son côté complimenté pour son anglais très fluide.
"Je sais qu'à présent, vous dépensez davantage d'argent pour la défense, beaucoup plus d'argent, et c'est une bonne chose", a aussi déclaré Donald Trump, qui n'a de cesse de réclamer plus d'efforts de la part des alliés de l'Otan.
Dépenses militaires
Le chancelier a promis de satisfaire d'ici début 2030 l'exigence américaine d'une augmentation des dépenses de défense et de sécurité des pays de l'Alliance, à 5% de leur PIB.
Le président américain n'a pas frontalement attaqué son invité sur la question épineuse de l'excédent commercial allemand, tandis que ce dernier s'est gardé d'exposer trop crûment leurs divergences sur le conflit déclenché par l'invasion russe de l'Ukraine en 2022.
"Vous savez que nous avons apporté notre soutien à l'Ukraine et que nous cherchons à accroître la pression sur la Russie", a déclaré le chancelier allemand, depuis un mois à la tête de la première économie européenne, sans que Donald Trump ne réponde à cette demande à peine voilée de nouvelles sanctions américaines contre Moscou.
Friedrich Merz a assuré que Donald Trump, très sensible à la flatterie, était "le personnage-clé" pour trouver une issue pacifique.
Le républicain a seulement dit avoir demandé à Vladimir Poutine, avec lequel il a parlé mercredi, de ne pas répondre à la spectaculaire attaque de drones lancée par l'Ukraine le week-end dernier sur plusieurs aérodromes russes, tout en assurant que cette riposte russe ne serait "pas belle à voir".
"J'ai dit (à Vladimir Poutine) : 'Ne le faites pas. Vous ne devriez pas le faire. Vous devriez arrêter'. Mais encore une fois, il y a beaucoup de haine (entre l'Ukraine et la Russie)", a déclaré le président américain, qui a à nouveau semblé renvoyer dos à dos les deux belligérants.
Merz sauvé par Musk?
"Notre alliance avec les Etats-Unis a été, est et restera d'une importance capitale pour la sécurité, la liberté et la prospérité en Europe", avait écrit Friedrich Merz avant son départ pour Washington.
La bataille commerciale est évidemment au centre de la visite, à quelques semaines de la date à laquelle le président américain menace d'imposer des droits de douane de 50% sur tous les produits européens, un cauchemar pour une économie allemande déjà affaiblie.
Friedrich Merz avait prévenu avant la visite que l'Allemagne, troisième économie mondiale, ne se présentait pas en "quémandeur".
Le dirigeant allemand n'est pas tombé dans une embuscade telle que celle tendue par le président américain à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, puis sud-africain Cyril Ramaphosa.
Il le doit peut-être à un troisième homme, absent du Bureau ovale mais dont le nom a été prononcé plusieurs fois: Elon Musk, qui a émis de très vives critiques contre une grande loi budgétaire portée par Donald Trump.
Le président américain, devant les caméras, a rompu avec son allié en disant qu'il était "très déçu" par le multimilliardaire. Le patron de Space X et Tesla, qui vient de quitter son rôle de "conseiller spécial" de la Maison Blanche, a répliqué immédiatement sur X en accusant le républicain de dire des choses "fausses".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Fin de règne pour Iga Swiatek
Iga Swiatek n’a pas gagné un... 27e match de suite à Roland-Garros. La triple tenante du titre est tombée en demi-finale, battue 7-6 (7/1) 4-6 6-0 par la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.
Ce choc tant attendu entre la Polonaise et la Bélarusse n’a pas vraiment tenu ses promesses. Trop tendues, les deux joueuses ont eu bien de la peine à développer leur tennis. Le grand mérite d’Aryna Sabalenka fut d’élever le curseur au jeu décisif du premier set après avoir galvaudé deux balles de... 5-1. Elle fut également la plus incisive au début du troisième set pour reprendre la main dans cette demi-finale. Le 6-0 qui a sanctionné ce troisième set fut presque humiliant pour une Iga Swiatek qui a très vite renoncé dans cette fin de match et qui a bouclé jeudi avec cette défaite une année entière sans gagner le moindre tournoi...
Pour sa première finale à Paris, Aryna Sabalenka affrontrera samedi la gagnante de la rencontre entre la no 2 mondiale Coco Gauff et Loïs Boisson (WTA 361) qui sera, bien sûr, poussée par tout le public de Roland-Garros.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Xi a demandé à Trump de changer de "trajectoire"
Xi Jinping a demandé jeudi à Donald Trump, qui a engagé un spectaculaire bras de fer commercial avec Pékin, de "redresser la trajectoire", dans un échange téléphonique. Le président américain en a pour sa part fait un compte-rendu très optimiste.
"Pour redresser la trajectoire du grand navire des relations sino-américaines, il nous incombe d'en assurer fermement le gouvernail et d'en fixer clairement le cap, tout en écartant résolument toute interférence, voire toute tentative de sabotage. Cela est particulièrement crucial", a déclaré le chef de l'Etat chinois, selon des propos reproduits par l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Il a par ailleurs dit être ouvert à une visite de son homologue américain en Chine.
Xi Jinping a en outre exhorté Donald Trump à traiter la question de Taïwan "avec prudence" pour éviter tout "conflit", d'après la même source. Et il a appelé Washington à "retirer les mesures négatives prises contre la Chine".
Le président américain a, quant à lui, assuré que cette conversation d'environ une heure et demie s'était conclue "de manière très positive".
Changement de ton
Donald Trump a annoncé dans un message sur son réseau Truth Social que ses équipes et celles de Xi Jinping se rencontreraient "bientôt" pour discuter des droits de douane, à un endroit qui reste à définir. Et il a assuré qu'il ne "devrait plus y avoir de questions à l'avenir" sur l'accès aux terres rares chinoises, un point de friction important entre les deux superpuissances.
Le président américain, qui a confirmé que M. Xi l'avait "gentiment invité" à aller en Chine avec son épouse Melania, a souligné qu'il avait de son côté proposé à son homologue chinois de lui rendre visite aux Etats-Unis.
Le ton de l'imprévisible milliardaire républicain a donc changé du tout au tout par apport à ses sorties furibondes la semaine dernière, quand il avait accusé Pékin de ne pas respecter le contenu d'un accord de trêve commerciale négocié en mai à Genève.
Les deux hommes se sont entretenus "à la demande" de Donald Trump, a tenu à souligner Chine nouvelle.
La question de savoir qui de l'Amérique ou de la Chine est en position de force dans cet affrontement commercial est éminemment sensible pour le président américain, que ses opposants démocrates accusent, sur un ton moqueur, de reculades en série en matière de droits de douane.
Étudiants et fentanyl
Les contentieux entre les deux puissances rivales vont au-delà du commerce. Elles portent également sur le traitement des étudiants chinois inscrits dans les universités américaines, sur le trafic de fentanyl, sur les relations avec Taïwan, sur les technologies de pointe ou encore sur les frictions en mer de Chine méridionale.
L'accord trouvé à Genève et prévoyant une pause de 90 jours a permis de suspendre une folle surenchère qui avait porté les droits de douane de la Chine sur les produits américains à 125% et ceux appliqués aux marchandises chinoises par les Etats-Unis à 145%, faisant trembler les marchés mondiaux.
Pékin et Washington avaient accepté de réduire provisoirement leurs surtaxes douanières pour les abaisser à respectivement 30% et 10%.
Donald Trump avait déclaré mercredi sur Truth Social "apprécier" Xi Jinping mais estimé qu'il était "extrêmement dur de trouver un accord" avec lui.
Selon le quotidien américain Wall Street Journal, la poussée de fièvre a été provoquée par la lenteur avec laquelle la Chine a accordé de nouvelles licences d'exportation de terres rares et d'autres éléments nécessaires aux semiconducteurs et aux automobiles.
Sur un autre dossier, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lin Jian, a promis jeudi de "défendre fermement les droits et les intérêts légitimes" des étudiants chinois, après la décision de Donald Trump d'interdire les visas pour les étrangers devant intégrer l'université américaine Harvard. Près de 1300 étudiants chinois sont actuellement inscrits à Harvard, selon les chiffres officiels.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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